Fleur resta elle aussi étonnament calme pour une Brujah, du moins en apparence car en fait elle comptait lentement jusqu'à dix pour ne pas arracher les yeux de la sénéchal. Elle n'aimait déjà pas cette vampire, mais ce soir elle pensait qu'elle n'avait rien à faire à se poste. Elle finit tout de même par fermer les yeux un instant pour vider totalement son esprit.

"Madame, si vous avez tendance à plus respecter un homme qui a fait ses preuves plutôt qu'un homme qui a des titres je suis d'accord avec vous, voir même je vous suis........ Mais si l'on suit votre raisonnement, je suis aux regret de vous dire que vous ne méritez pas le respect que vous réclamez... Vous n'avez rien fait pour la camarilla, vous insultez les clans Trémère......... Et ....... Et en ses temps de guerre vous osez insinuer que vous avez des contact avec le Sabbat. Je pense que la seule bonne option pour vous est de lever votre royal postérieur de ce siège et d'aller implorer le pardon de monsieur le régent. Parce qu'en vérité je vous le dis, même la vulgaire Brujah que je suis, sais l'énorme erreur politique que vous venez de faire."

Fleur ne dit plus rien, mais planta son regard dans celui de la Ventru. Elle voulait vraiment faire comprendre à cette idiote que son erreur politique ne lui serait pas pardonné, ni par elle ni par d'autres. Elle décida même que Isabault méritait une petite prière pour qu'elle retrouve ses esprits bien qu'elle savait déjà que la fierté mal placé de la sénéchal la pousserait à ne pas tenir compte de ses avertissements.

*vous considerez que je n ai rien fait pour cette camarilla fouiller demander a votre sir il vous expliquera. Vous ne m aimez pas c est votre droit et pour mes contact sces relations dates davant que ces groupes furent fondes on n oublie pas de vieux amis tres chere enfant... si vous ne voulez pas de mon aide c est votre choix je chasserais de mon cote par loisir et vous du votre par devoir...

Elle attendit que Stanislas sorte

Fleur peut m'importe ce que vous pensez de moi, depuis qu'elle est fondée j'ai travaillé a maintenir la camarilla en place, je crois au projet mais ne suis pas une politicienne, pas du tout. Je vous remercie du calme que vous avez avec la vieille folle que je suis !
elle rit !

mais nous n'aurons pas le choix de travailler tous ensemble pour s'en sortir peu importe ce que les trémère pensent ou ce que nous pensons respectivement ! Je vais parler à Stanislas et tenter de rattraper le coup d'orgeuil des trémères, mais pour arriver à défendre cette cité vous aurez besoin de toute l'aide possible. j'ai vue et vécu trop pour ... enfin ce n'est pas important !

Il y a moyen que nous collaborions toutes deux memes si vous n'aimer pas mes manières j'en suis certaine ! Laissez nous une chance de nous prouver mutuellement que nous vallons toute deux mieux que ce que nous croyons !

Fleur regarda le nosfératu partir avec un sentiment de honte. Dans l'histoire c'est bien lui qui avait raison et cela lui faisait mal de se l'avouer. Elle avait envie de se lever pour lui présenter ses excuses, mais elle n'était plus sur de rien....

Soudain elle prit conscience que la sénéchal lui parlait. Elle resta sans vois devant un tel discour. Fleur jura intérieurement, comment continuer à être en colère quand l'on faisait un coup pareil, car elle aurait aimé resté avec sa haine.

" Laissez tomber, nous avons merdé toute les deux sur se coup la..... Aller vous occuper des trémère et moi je vais chercher le seul prévôt qui sache comment faire....."

Elle se leva et de dirigea vers la sortit du bureau le telephone portable déjà dans la main pour appeler Heinrich. Puis devant la porte elle s'arrêta et fit face à la sénéchal :

"Vous avez raison je ne vous aime pas, mais je ne mélange pas la haine et le travail..... Je serait capable de vous obéir si vous êtes capable de ranger votre égo dans votre poche."

Elle sortit rapidement pour partir à la recherche du prévôt.

entrée salle de bal

elle arriva marchant lentement elle devait structurer ses idées... elle ferme et barra la porte... elle devait etre tranquille ! puis composa...*.évidemment !!* elle laissa un message

(Arrivé de la salle de bal )

Elle ouvrit la porte et, la laissant ouverte, alla rouvrir la fenêtre pour un inième fois cette nuit, elle alla ensuite prendre place dans un des fauteuils près du canapé... aussi bien rendre tout cela moins formelle, évitons le coin du bureau...

Alors, vous acceptez de me parler maintenant...

le ton était neutre, sans reproche aucun, sans moquerit

Ondoval était planté devant Isabault drout comme un "i" les mains croisées derrière le dos dans une posture très militaire, mais il était évident qu'il avait du mal à dissimuler sa frustration

"Je ne suis là que parceque le sieigneur Nomurold, Pontifex dont je depends m'a appelé suite à un message laissé sur son répondeur par vos soin, de mon propre chef, je ne serais jamais revenu nous voir après la façon dont vous avez osé me traiter. "

Ondoval écouta la Sénéchale et se demandait si l'égo de cette femme avait des limites.... Il n'aimait pas être là c'était un fait. Mais on ne discute pas un ordre ; voilà un fait, encore un et bien plus important que ses sentiments personnels.
Lorsqu'elle eut terminé il avança d'un pas , ramena ses bras le long de son corps . Un claquement sec semblable à celui d'une brindille se fit entendre .....
Une dizaine de petits éclats de bois vola à travers la pièce vers la ventrue .

En brisant la pellicule de cire Ondoval libéra l'enchantement présent sur le pieu, qui se fractionna en une douzaine d'éclat qui furent propulsé vers isabault à une vitesse ahurissante ; plus terrible encore ils suivaient les mouvements de leur cible si bien que toute esquive était rendu impossible....

Ondoval fut saisit de terreur lorsqu'il réalisa que la plupart de ces éclats se brisèrent sur la peau de la Sénéchale comme des fétus de pailles lancés sur une statue de granit ; la Ventrue avait la peau dure ... très dure..

Mais, quelques uns des éclats atteignirent tout de même le cœur de la belle, qui se retrouva figée, incapable de faire le moindre geste ou encore de parler. Elle était immobile et vulnérable alors que le régent s'approchait d'elle ...

Le Tremere s'approcha de la Sénéchale , saisit des sciseaux sur son bureau et en coupa deux mèches discrètes qu'il angea dans deux petit sachets , puis il s'avança vers elle et colla littérallement son visage sur celui d'Isabault

"Le seigneur Nomurold m'a fait par de votre plainte auprès de notre Clan, il a trouvé votre comportement totalement inacceptable ! Pour qui vous prenez vous donc !!!! Votre incapacité à contenir votre égo démeusuré à crée un mini scandale qui vous dépasse tout comme il me dépasse !! Votre amie Madame Guil est furieuse de la position dans laquelle vous l'avez mise par rapport au clan Tremere ! La reine également..... ne saviez vous pas que le clan tremere est un bloc ou chacun à sa place définie par sa valeur et non pas par ses appuis ou connaissance ? J'ai été désigné par Etrius et avec lui le conseil intérieur de Vienne comme Régent c'est à dire ambassadeur du clan Tremere à la cour de France , ce faisant je suis la voix du clan, ses yeux et ses oreilles! ALors lorsque vous me manquez de respect vous manquez de respect au clan Tremere sombre idiote !!!!! Vienne avait demandé votre destruction, Mme Guil a su obtenir votre grace non sans une contrepartie ce qu'elle voit comme une humiliation... Votre sotise, votre mégalomanie ont mit des gens que vous estimez et respectez dans une facheuse position ....Mais j'imagine que cela vous importe peu! Vous l'avez dit vous même .... la politique .....

ALors écoutez moi bien misérable petite Ventrue , désormais vous ne manquerez jamais plus de respect , ni remettrez en question mon statut ou mon autorité , je ne vous parle pas d'une menace de mort , non vous semblez suicidaire au point de vous en moquer , je parle de milles tourment , de douleurs inimaginables pour vous et vos proche! ET oui c'est une menace , et elle émane et de moi et de Vienne !"

Ondoval lacha sur la Sénéchale quelques pétales de rose séchées tout en prononcant trois mots dans une langue étrange écrit sur une petite feuille qu'il sorti de sa poche droite

Isabault incapable de bouger , commença à vomir du sang , beaucoup de sang , le sang coulait également par les yeux, les narines , les oreilles puis au bout de quelques secondes par les pores de tout son corps

Spoiler:

C'est désagréable n'est ce pas? Surtout lorsqu'on est paralysé ? ce n'est là qu'un mince appercu , un très mince appercu de ce que je puis vous faire .....

Il tourna les talons et se dirigea vers la porte , lorsque le régent l'ouvrit il se retourna

Ne jouez plus jamais avec moi, isabault , vous avez cramé tous vos appuis.... de puissantes personnes vous tiennent en haute estime mais cette politique que vous méprisez les empeche de prendre parti pour vous contre le clan Tremere qui protège toujours ses interrets, sa réputation et fait corps des lors qu'on s'attaque à un seul de ses membres ....Clan qui dans cette affaire de démons, va vous laisser vous débrouiller seule ....

Il claqua des doigts en refermanant la pièce , le bois présent dans le corps et le coeur d'Isabault se désintégra . Il l'entendit vomir bruyament en finissant d'expulser le sang qu'elle avait en elle ....

une fois tout le sang explusé, elle se dit que finalement le problème n'était pas le démon dans cette cité mais le fait que contrairement à chez elle les primogènes ne prenait pas leur titre por un privilège d'avoir l'oportunité d'être entendu, mais bien comme une source de pouvoir et de prestige et elle se rappela pourquoi elle avait quitté ce vieux continent...

elle se leva et arracha sa robe, s'en servit pour imbiber le sang par terre passa un coup de fil et se nettoya et s'habilla avec ce qu'elle avait dans le bureau, elle ne retournerait pas au bal de toute facon...

Elle commenca a rassembler les cartes et les plans et les infos qu'elle avait sur la situation de paris

Spoiler:

Elle demanda a une goule d'apporter quelque chose pour laver le plancher et un sac por la robe qui devrait être détruite puis de lui amener des vidéo de surveillance elle lui fournit les dates... toutes les vidéos... la goule arriva quelques temps plus tard, les papiers étendus avec les cartes sur le bureau. la sénéchal livide dans un coin assise avec l'ordinateur a même le sol... elle lui demanda de nettoyer tout cela puis elle commenca a regarder les vidéos... attentivement !

puis quand elle fut partie, elle dressa une liste d'individu de numéro et tout en observant les vidéos, revenant en arrière quand elle croyait avoir manqué quelque chose, elle commenca a téléphoner, écrire et texter... il fallait qu'elle trouve ! peut importe ou elle cherchait, elle n'avait plus de secte ce soir... dans sa tete tout était comme au départ

elle en profiterait pour poser des questions sur ce démon...ca aussi elle le gardait à l'esprit

Le travaille serait long, mais elle était capable de patience... le premier disque terminé, rien... elle le changea et poursivit son travail... a diable la sénéchaussé elle ne l'avait prise que pour avoir accès a cette information, elle ferait ce qu'elle avait a faire et quitterait ensuite avec un peu de chance il y aurait d travail de terrain dans cette enquête qui l'amènerait loin de Paris et ... lui donnerait l'occasion de se vanger... il ne le savait pas encore mais il mourrait pour ca !

Elle appela Louis lui et lui demanda de mettre toutes les ressources possible à la recherche de Villon elle avait un besoin urgent de lui parler puis reprit téléphone et écoute et envoya un texto et poursuivit

Alexander arriva devant le bureau et frappa a la porte puis attendit qu'on lui dise d'entrer.

Elle était toujours au sol, assise dans des coussins, avec l'ordinateur sur les cuisses et le cellulaire dans la main... livide a cause de la faim qui la tenaillait.

Entrer...

Alexander entra dans le bureau vit le sang sur le sol en train d'être nettoyer et isa livide dans un coin.

"Que c'est-il passer ici? tu ma parler d'un truc que Ondoval t'avait fait?"

Il s'approcha d'Isa et s'accroupit devant elle.

Elle déposa l'ordinateur

je veux savoir ce qu'il m'a fait le chien...

elle était étrangement calme, contenant la bête du mieux qu'elle le pouvait

Il m'a pieuté et je me suis mise à vomir... qu'est ce que c'est ? dis moi ? dis moi, mais éloigne toi !

Alexander regarda Isabault l'air surpris puisse releva et s'éloigna tout en réfléchissant. Il n'avait pas aimé les propos qu'avait employé la Ventru pour parler de son régent, mais pour l'instant il préféra ne pas lui en faire part elle semblait bien trop mal en point. Le régent avait de bonnes raison de faire se qu'il avait fait, mais que se soit Isabault qui en fasse les fraies lui faisait beaucoup de mal.

"Je pense qu'il a dut utiliser un rituel mais je ne peux dire lequel car je ne le connait pas."

Et même s'il l'avait connu il n'était pas sur qu'il soit en droit de lui expliquer ou même de l'aider.Il se retourna vers Isa mais resta loin d'elle. Même dans cette état elle était magnifique et son coeur se serra. Pourvu que les choses n'aille pas plus loin entre son régent et elle, car elle n'aurait aucune chance.

elle accota sa tête contre le mur et ferma les yeux... elle avait joué au dés elle avait perdu... elle trouverait une solution...

tu veux me rendre service ? je sais que ce sera difficile, mais ... si je rentre dans la pièce à côté je tue les deux, j'en suis certaine ! tu veux... s'il te plait... pas les amener, mais...

la demande avait l'air difficile, elle lui pointa un verre qui était sur le bureau...

ils ne savent pas que nous existons... sinon je demanderais à Ivan quand il me donnera signe de vie

La pétale avait désigné la porte du bureau puis s'en était retourné dans la salle du bal, laissant la ventru seul. Lou entendit tout de suite que la sénéchal n'était pas seule, mais elle n'avait pas de temps à perdre. Ses ordres avait été clair et elle devait faire au plus vite. Elle s'approcha donc de la porte et frappa trois fois de manière suffisamment fort et sec pour ne pas être ignoré par les occupants des lieux.

Le temps que quelqu'un réponde elle sortis son téléphone pour écrire un message ensuite elle le rangea tout aussi vite. Elle sort un miroirs afin de vérifier que sa présentation soit correcte, une fois qu'elle s'estime parfaite elle range tout aussi rapidement l'objet dans sa pochette et attend patiemment que l'on daigne lui répondre.

Elle venait a peine de terminer sa phrase, la dernière syllable venait d'être prononcée que l'on frappa à la porte. Elle détestait ce bureau, elle ne pourrait pas y travailler, elle ne pourrait rien faire... la bête commencait à réclamer son du, elle avait de la difficulté à la contenir. Isabault se replia sur elle meme, se concentrant le plus possible, elle ne pouvait pas ce permettre de perdre les pédales ce soir, encore moins en face d'un autre kindred.

Dans un soupir le mot évidemment se fit entendre et elle se déplia et se releva

on mangera plus tard.. toujours plus tard... bien plus tard ! Entrez !

Quand Lou ouvrit la porte, le bureau était un vrai chantier de cartes de la ville et du monde, de bouts de papier, de noms, de numéros de téléphone, de Cd. Les choses reposaient en parti sur le bureau et beaucoup sur le sol. La sénéchal était debout et s'approchait du bureau. Il y avait un homme dans la pièce.

Lou ouvrit la porte dès qu'elle entendit la voix de la sénéchal lui autorisant l'entrée au bureau. Elle s'arrêta sur le perron, observant d'abord la salle en désordre avec un air réprobateur, puis son regard se porta sur l'homme présent. Lou fronça les sourcils, elle n'avait pas envie d'avoir un observateur quand elle parlerais à la ventru, mais ne pouvait pas le signifier ouvertement. Enfin elle tourna la tête vers la sénéchal et de ses yeux couleur lac elle détailla la femme.

Lou compris tout de suite qu'elle n'arrivait pas au bon moment, la femme avait l'expression des animaux affamés, le teint livide et Lou aurait parié que ce n'était pas sa couleur naturelle. Elle savait maintenant pourquoi on lui avait demander de venir soutenir cette femme. Lou ne savait pas vraiment ce qu'elle devait ressentir devant elle, après tout elle était connu dans son clan. Certains l'aimaient d'autres la haïssaient et Lou se demanda un instant si elle ne devrait pas être déçu.....

Elle laissa ses doutes de côté estimant qu'ils n'étaient qu'entrave à son devoir et avança dans la pièce en prenant soin de refermer la porte derrière elle, il ne faudrait pas que des oreilles puisse rapporter son manquement aux règles, elle avait une réputation à tenir, même si la elle semblait quelques peux écornée.

"Je vois que je n'arrive pas au bon moment, madame..... Ou au contraire au bon moment...... Tout dépend de se qui à causé votre état"

Elle se plaça devant le bureau de la sénéchal plantant son regard dans le sien en excluant ainsi l'homme.

"Je suis Lou, madame et il semblerait que quelqu'un vous apprécie suffisamment pour me demander de venir me mettre à votre service. Il m'a était rapporté que votre diplomatie laisser à désirer......"

Peut être que Lou y allait fort pour sa présentation, mais elle avait besoin de savoir ou elle mettait les pieds et surtout l'ampleur du problème. Elle n'avait malheureusement pas eut le temps de prendre tout les renseignement qu'elle voulait avant son arrivé. Elle n'avait pas baissé une fois son regard attendant les réactions de la femme.

On l'avait envoyé?... qui l'avait envoyé? pourquoi ? Isabault n'avait pas écouté plus loin, déjà elle marchait vers la femme, vers cette Lou... qui était elle? elle avait beau tenté de trouver, de réfléchir, pas de réponse, aucune réponse... elle marchait droit sur elle, térrifiante, la dévisageant, elle la fit reculer et ferma la porte, accotant la femme sur celle-ci en la poussant de sa main qui était maintenant sur sa gorge.

qui t'as envoyé ici ? et pour faire quoi exactement ?

elle n'avait pas et m'aimait pas que l'on s'imisse dans ses histoires...elle avait des recherches a faire et ca elle y arriverait bien elle-meme.

Lou put voir que la bête était proche, mais que la ventrue luttait pour la réprimer

a quelle famille tu appartiens ?

Lou avait peur cette fois et elle ne tenta pas de le cacher. La main sur sa gorge la faisait terriblement souffrir, elle sentait bien que la sénéchal était sur le point de faire une autre erreur. Elle tenta de remettre de l'ordre dans ses idées car la moindre phrase qui ne plairait pas à cette folle, elle se retrouverait vraiment morte.

"Je suis Lou Infante d'Armando, il semble qu'il vous soit redevable à vous et à un ami qui a souhaité resté secret. Détruisez moi maintenant et c'est tout le clan Ventru que vous vous mettez à dos. Lâchez moi, histoire que je puisse vous aider et éviter de me dire que vous n'avez pas besoin d'aider... Rien qu'a votre aire on sait que c'est faux..... Je vous propose une aide gratuite sans contre partie puisque mon sir me l'a ordonné alors prenez la."

Elle semblait avoir retrouvé toute dignité, même si au font d'elle elle avait peur de cette vampire incapable de se contrôler. Elle avait voulu savoir ou elle mettait les pieds, à présent elle le savait. Comment avez t-on pu laisser une femme pareil à un poste ou l'art de la politique devait être savamment maitrisé. Celle la ne connaissait que la violence, en même temps elle n'avait pas l'âge pour se prêter à se genre de jeu. Pourvu qu'elle n'est pas trop fait de bêtise pendant cette semaine ou personne ne la canalisait.