Il ne le vit pas venir ..... quelques secondes et un peu de sang suffirent à Raphael pour reprendre forme humaine . Quelques secondes plus tard , le Giovanni était de nouveau debout sans aucune cicatrice. Quelques secondes qui lui parurent durer une éternitée tant la colère et la haine n'avaient plus de limite . Il se redressa donc avec une rapidité qui pouvait surprendre .

Le visage était calme mais les yeux deux torches flamboyantes .

Spoiler:

Le membre 'Raphael' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 8, 6, 6, 7, 5, 5

Fleur ne put parler plus longtemps à Fey, ni se concentrer sur les occupants du salon car son téléphone vibra. Elle fronça les sourcils en le sortant de sa poche pour voir qui l'appelait. Le numéro était inconnu et Fleur faillit ne pas répondre, puis se ravisa et déccrocha tout de même.

"Ah.......... Bah temps mieux que je t'es au téléphone mon ami. Nous avons besoin de toi de toute urgence, abandonne ce que tu fais et viens me rejoindre dans mon bureau....."

Elle fut interrompu dans sa phrase par un bruit sourd et humide. Elle détourna donc les yeux vers la salle du petit salon et murmura un "bon sang". Elle se rapprocha donc de la salle avec un regard pour Fey afin qu'elle se tienne prête à intervenir si un nouvelle acte de violence était fait dans l'élyseum et de préférence elle aimerait plutôt en coller une au Giovani.

Le fléau se mit à luire d"une lueur verdâtre ....
Ensuite Arthur cria une dixième de seconde et ... plus rien!
Ses habits enfin ce qu'il en restait, retombèrent sur le sol , mais il n'y avait plus rien de dedans.....
Il venait d'être désintégré

Raphael réajusta son col , tira sur le bas de sa veste pour que le plis soit impeccable , sourit à Wolfgang et retourna s'assoir

" Bien , j'espère que l'attente avec la reine ne sera pas longue ...au vue des regards lancés ici, j'ai peur de devoir me redéfendre avant longtemps..."

Fleur resta un instant heberluée devant la scène en se répétant intérieurement que le Giovani ne pouvait pas avoir fait sa. Qu'il riposte à une attaque phisique oui, d'ailleurs elle n'aurait pas laisser Arthur recommencer, mais le tuer simplement, il fallait être fou. Soudain son oeil capte quelques choses qui bouge sous les vétements. I,stinctivement elle s'approche des vétements au sol tout en regardant Raphael en coin.

Lorsque Fleurs soulève les guenille et vois avec stupéfaction une grenouille et pas n'importe quel grenouille : Cette grenouille à une cicatrice sur le coup. Elle reste quelques seconde à regarder cet grenouille se demandant se qu'elle devait faire et elle jète un regard au sénéchal afin de savoir la conduite à tenir.

Luddmila refit son entrée dans le salon qui était soudainement plus agité que tout à l'heure... la faisant meme hésité avant d'entrer... elle retourna s'asseoir ou elle était ! elle en apprendrait bien plus sur cette communauté en la voyant s'auto gérer en temps de crise qu'en les regardant discourir doucement dans les salons... mais si elle pouvait faire les deux !!!

" Ses excuses sont exgigées et attendues dans l'heure ! C'est au mieux le temps que je vais attendre dans ce salon ; une fois parti il y aura incident diplomatique !"

Il regarda la grenouille avec un sourire puis le gangrel

"Sénéchal je suis certain que vous saurez accéder à ma demande on ne peut plus légitime"

Ahuizotl avait cru un instant que le fléau avait été purement et simplement éliminé. Son regard se fit alors dur et transpirait la haine. Mais le vieux Gangrel avait mis en garde le Giovanni et il n'avait plus rien d'autre à faire ici.

En attendant le sénéchal, il avait écouté avec attention ce qui se disait et il n'en revenait pas d'entendre le Giovanni accuser les autres d'avoir menacé sa personne, se dédouanant totalement de toute responsabilité dans cette histoire.

Il était lâche en plus de n'avoir aucune humanité. Ho oui, c'est sûr, ce type là serait détruit s'il venait sur son domaine, quelles que puissent être les conséquences infligées par la Reine ...

Quand Raphael le regarda pour lui sourire, il soutint son regard, mais ne lui rendit encun sourire en retour.

Alors, le sénéchal l'attrapa par le bras pour l'accompagner vers la sortie. Il se laissa entrainer le plus simplement possible.

C'est alors qu'il s'arreta l'espace d'une seconde à peine, comme s'il avait été témoin de quelquechose, peut être sur le mur .... Il tourna alors sa tête une autre fois vers le Giovanni, le regardant fixement pendant quelques secondes et repris son chemin avant que le sénéchal ne perde patience.

Il doit accomplir sa prophétie et il sait maintenant comment faire couler le sang ...
[sortie avec Stanislas vers ...]

Fey choqué de tant de comportement inadéquat en si peu de temps regarda Fleur et s'en approcha doucement

euh... le fléau qui frappe l'indépendant ok c'est moche, fâchant mâme ! Je crois que j'aurais répliqué aussi... mais l'utilisation de discipline, parce que même si je sais pas c'est quoi, je sais que transformer un mec en grenouille c'est pas normal... il y a discipline impliquée j'en suis prête à mettre ma main à couper ! de toute facon... Raphael Giovanni n'avait pas été banni par la reine au bal... Fleur je comprend rien à ce qui se passe ! elle est ou la gardienne quand on a besoin d'elle de toute facon et pourquoi le sénéchal est a plat ventre devant de Giovanni?

elle était vraiment confuse... soirée de merde encore...

c'est quoi ton histoire de russe sinon?

Soulagé qu'Ahuitzotl le suive sans faire d'histoire, Stanislas repensa à la scène, le déroulement chronologique etait important...
Il s'arreta en chemin pour informer une goule des evennements qui venaient d'avoir lieu dans le petit salon et la charger de transmettre l'information a la gardienne et a Mme des Termes.
Il récupéra sa canne a l'entrée, saluant la jeune fille qui entrait et se refit un visage humain avant de sortir.

Spoiler:

Il invita le gangrel a monter dans la voiture et, une fois sur la route lui parla.

"Ne vous méprenez pas sur moi Mr. Je hais au moins autant que vous ce nécromancien. Et je lui souhaite une fin des plus douloureuses a chaque fois que je le vois.
Croyez bien que des que cette histoire avec le russe sera terminée, je me reconcentrerais sur son cas...
Cependant vous n'auriez pas du le menacer ainsi, d'une part parce que vous avez de la sorte enfreint le caractère sacré de l'elyseum, et d'autre part parce qu'il sait maintenant que vous etes son adversaire et qu'il tentera de vous nuire afin d'éliminer la menace que vous pouvez représenter a ses yeux.
Voila pourquoi j'attends de vous que vous lui présentiez vos excuses lorsque nous retournerons au Louvre, il vous pensera, avec de la chance, maté par votre sénéchal, et vous méprisera assez pour oublier votre existence.
J'ai conscience de la difficulté de se que je vous demande, mais cela est nécessaire. Nous aurons besoin de vous pour lui faire payer ses affronts...."


Vers chez moi

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Ahuizotl était serein, mais reparler de ce Giovanni avec le sénéchal le mettait dans une situation délicate. Toutefois, il allait essayer de lui présenter la situation plus clairement sans entrer trop profondement dans les détails...

"Sénéchal ! Sachez que je n'ai pas menacé cet homme mais je l'ai mis en garde car, effetivement, il est mon ennemi et je le détruirai sans hésitation s'il pose les pieds sur mon domaine. Il semble normal que je le previenne afin qu'il ne commette pas cette erreur fatale de manière involontaire.

Sachez aussi que lorsque je dis qu'il est mon ennemi, c'est parce que ses desseins sont sombres et qu'il est une menace pour cette ville. J'ai juré à la Reine de protéger ses terres et je le ferai !

Si vous pensez que des excuses hypocrites s'imposent, je le ferai mais à mon humble avis, ce serait un avoeux de faiblesse de ma part qui lui donnerait un avantage certain auprès de la Reine. Non je vous le dis, cet homme ne reculera devant rien pour semer la discorde et le chaos, il ne faut lui faire aucun cadeau et il faut le détruire dès que l'occasion se présentera."

Il ne voulait pas dire au Sénéchal que ce caïnite était aussi un envoyé des Dieux car il y perdrait le peu de crédibilité qu'il devrait avoir. Mais dans son esprit, la certitude qu'il fallait le détruire ne pourrait lui être otée, pas même par la Reine.

* Son sang coulera ....*

[Entrée depuis le Louvre]

Mélissange avait suivi la goule jusqu'au petit salon, tirant sa valise à roulette Lancel ainsi que son vanity. Elle abandonna les deux à la jeune femme avant de pénétrer dans le petit salon.

Il y avait du monde, certainement trop au gout de la rose qui ne put s'empêcher de voir en eux des cadavres ambulants. Elle ferma les yeux quelques instants, tressaillit, maudissant son sire de l'avoir abandonnée pour une histoire de datation de momie.

Pour la première fois elle se retrouvait au milieu de ce genre de population et en était affolée, n'arrivant pas à se mettre en tête qu'elle était dorénavant comme eux...Une abomination de la nature, remettant en question toutes ses études. Elle sourit pourtant, si il existait des éternels, peut être qu'un jour la momie de la tombe MK20 leur livrerait ses secrets en discourant ! Et Merritt se rendrait compte de son erreur ! Elle faillit exploser de rire, se retenant en posant une main sur ses lèvres.

La jeune femme se souvint alors des paroles de Merritt, les morts étaient sensibles à la politesse. Rouvrant son regard, elle afficha un sourire radieux, puis inclina poliment la tête en signe de salut respectueux à chaque personne se trouvant dans les lieux avec un "Bonsoir".

Une fois son tour fini, elle fila se lover dans le premier fauteuil trouvé, sortant de sa besace un magazine d'histoire et s'y plongea...Enfin tout du moins fit mine de s'y plonger, ne perdant pas une miette de ce qui se passait dans le petit salon.

La grenouille regardait la goule, d'un air inexpressif mais se laissa facilement attraper par cette dernière !
La jeune femme souffla heureuse que la situation ne soit pas devenue plus ridicule et humiliante qu'elle ne l'était déjà,et avec la grenouille dans les mains quitta le petit salon

Départ pour le bureau de la primogène Toréador

ALors qu'il se demandait ce que cette jeune fille avait pu faire de la grenouille et si quelqu'un allair petre assez stupide ou désespéré pour lui donner un baiser, le Sénéchal qui venait de revenir dans le salon s'approcha suivit du primogène gangrel.

* Gagné* pensa t il alors qu'il regardait l'indien avec un regard et un sourire qui en disait long pour l'estime qu'il avait pour le primogène et la joie, non la délectation avec laquelle le Giovanni comptait bien savourer l'humiliation publique de celui qui l'avait menacé un peu plus tot....

" Vraiment ? Voyons voir , qu'il parle , mais nous sommes tous conscient que des mots ne suffiront pas n'est ce pas ?"