Le petit salon 11/02

Ventrue

[Arrivée de la Geole 5 au sous-sol]

Un homme, en costume blanc cassé, portant des gants blancs eux-aussi, des lunettes de soleil sur le nez, avec les cheveux courts, s'arrêta dans le couloir, invitant d'un geste de la main une magnifique jeune femme à entrer dans la pièce.

« Mademoiselle Luddmila, après vous, je vous en prie. Vous avez été absolument parfaite, je tenais à vous le dire, et suis heureux que tout cela se soit passé avec tant d'aise. »

Membre du Staff

Guilbert s' était préparé pour rencontrer la Reine. Il avait choisit ce costume noir qui lui allait pas si mal. Une chemise rouge sang, et une cravatte unie rouge sang, elle aussi, et des souliers de la même couleur. Original.
Puis il mit son imper en cuir noir et dévala les rues à... vélo. Fendant l' air, le loustic ne manquait ni d' aise ni de finesse sur son engin bicycle. Un bmx. Il arriva au Louvre et s' arrêta aux pieds de celui ci, mit la sécurité de son vélo, et dit à une goule, en lui donnant la clé de son antivol
" - Je vous confie Dame Libellule, faites en sorte qu' aucun bourdon ne tourne autour, svp... Je dois me présenter à la Reine, je suis Guilbert de Valmont."

" - Bien, monsieur. " dis la goule perplexe

Une autre goule vint à sa rencontre, pendant qu' il mettait ses pinces de vélo en poche, et lui dit qu' il venait se présenter à la Reine, tout simplement. On lui indiqua le petit salon comme étant une sorte de salle d' attente.
Un couple y entra en parlant, Guilbert recula pour les laisser passer, puis alla s' asseoir dans un coin du petit salon.
Comme il s' ennuyait, il sortit un livre de sa poche, une sorte de petit recueil des 100 blagues les plus délirantes, mais il n' en trouva aucune d' assez drôle ce soir. Il salua les deux personnes, poliement puis dit simplement :

" - Bonsoir..." il eut un petit sourire crispé.

Guilbert sentit comme un petit air glacé dans la pièce. Un courant d' air ? Toujours est il que la malkavian reprit la lecture de son livre, le visage sérieux et fermé...

Sétite (Toréador)

Arrivée de la Geole 5

Elle lui sourit et passa devant lui... elle fit un signe de tête a l'inconnu... il n'y avait que ca ici ! les tetes avaient changées depuis la derniere fois !

Les compliments sont bien gentils, mais vous avez tout fait mon cher... quoi que vous aviez l'avantage que ce grand gaillard fut ennivré par votre charme ...

Elle se dirigea lentement vers un fauteuil !

Ventrue

D'Arcy suivit Luddmila, et s'installa à ses côtés, non sans saluer l'inconnu d'un signe de tête.

« Vous êtes bien trop modeste mademoiselle Luddmila. Je n'ose imaginer sa réaction si son regard ne s'était pas posé sur vous quand il a brisé ses chaînes ! La grâce de vos traits, votre sourire angélique, vous nous auriez mis tout deux à genoux d'un simple battement de cils ! Je n'ai fais que me mettre entre vous au cas où les choses tournaient mal, ce qui ne fût pas le cas, fort heureusement. »

D'Arcy sorti une magnifique montre à gousset de la poche de son gilet, et regarda l'heure très rapidement.

« Fichtre, déjà si tard…les heures s'écoulent telles des secondes en votre compagnie…il faut que j'appelle Ivan, je ne voudrais pas abuser de l'hospitalité de notre Reine…si vous vous bien m'excuser 30 petites secondes et je suis à nouveau à vous. »

Il prit son téléphone portable, se leva et s'éloigna un peu, puis revint rapidement s'installer aux côtés de la Rose.

Spoiler:

Sétite (Toréador)

*Décidemment les charmeur en font toujours trop...*L'idée la fit sourire tandis qu'il s'éloignait... il allait dormir chez Ivan... intéressant... Ivan lui ouvrait ses portes ce d'Arcy devait avoir une importance quelconque... ca ou Ivan avait perdu des gallons et se cherchait des alliés...

elle prit elle meme son cellulaire histoire de vérifier les appelles... écoutant les messages, elle sourit de nouveau et raccrocha

Ventrue

D'Arcy s'était réinstallé.

« Vous connaissez Ivan j'ai crû remarquer ? »

Sétite (Toréador)

*Ah... !* elle sourit croisa ses jambes révélant la blancheur de ses cuisses dénudées à présent

oui.. je le connais bien, enfin... je crois ! nous... nous venons de la meme... région ! En outre, c'est un homme tout à fait exquis et... j'aime bien ...

Elle laissa la phrase en suspend, il y mettrais bien les insinuations qu'il souhaitait !

et vous ? vous avez le plaisir de sa compagnie depuis longtemps ?

Ventrue

Le Ventrue s'était installé confortablement au fond du fauteuil, les bras sur les accoudoirs, ses lunettes toujours vissées sur son nez. Il sourit largement à la question posée par la Rose.

« De quelle région venez-vous si cela n'est pas indiscret ? Je parierais bien pour un pays de l'est…mais pour répondre à votre question, je ne suis arrivé que hier et n'avait jamais eu l'occasion jusqu'à maintenant de le rencontrer. C'est dorénavant chose faite même si d'autres circonstances eût été bien préférables… »

Sétite (Toréador)

Que c'est il passé lors de votre rencontre j'ai plus ou moins suivit en fait ?!!?

elle se pencha vers l'accoudoir le plus près de lui

racontez moi !

elle lui sourit, curieuse

Ventrue

Il se pencha de la même manière, parlant plus bas, comme si leur conversation acquérait un côté privé.

« Oh, rien de particulier avec Ivan, nous sommes Cousins. Mais disons qu'une légère différence d'us et coutumes entre ma région et la capitale m'ont fait me fourvoyer en matière d'étiquette, chose qui ne se reproduira plus. Bref, vous ne m'avez pas répondu, vous venez de quel pays ? »

Sétite (Toréador)

Il ne lachait pas le morceau ... c'était un corriace !

Je suis d'Estonie... mais j'ai... j'avais un sir qui ne tenait jamais en place alors je suis d'un peu toutes les cours

le sourire devint triste une fraction de seconde, mais la Rose se ressaisit rapidement

je comprend votre situation, s'adapter aux us et aux coutumes peu parfois être complexe, ca peu parcontre devenir un plaisir avec le temps ! vous verrez... l'importance est de toujours y avoir un chez soi ... dans chaque cité !

Ventrue

« Estonie ? »

Il sembla essayer de se remémorer quelque chose pendant ¼ de seconde avant de reprendre sa phrase.

« Je n'ai jamais eu l'occasion d'y aller…même si je n'en ai pas été si éloigné fût une époque. Quant aux us et coutumes, cela ne serait pas arrivé si j'avais eu le temps de me renseigner, mais ce ne fût malheureusement pas le cas. Qu'est-ce qui vous amène dans la capitale ? J'imagine que vous avez pris votre envol depuis quelques années… »

Sétite (Toréador)

Toujours cette question! Avait elle reellement besoin d une raison pour venir profiter de la cite... oh bien entendue des raisons elle en avait mais... la rose sourit

* un peu de travail et un peu de loisir ! J ai ici une maison que j aime tout particulierement et des amis mortel et immortels que j affectionne alors ... disons que je suis venue profiter de la conjoncture de tout cela! Et vous qu est ce qui vous a amene a paris?

Ventrue

« Quelle chance vous avez ! Vous devez vous sentir bien plus à l'aise que moi alors que je n'ai meme pas quitté mon pays d'origine et suis à peine à 250 malheureux kilomètres de chez moi ! »

Luddmila n'aurait pas su dire s'il plaisantait ou était sérieux.

«Quant à la raison de ma venue, l'on m'avait chargé de remettre un message en mains propres, ce qui est chose faite. Mais je crains que les circonstances ne me fassent rester davantage. J'espere néanmoins pouvoir découvrir la ville sereinement et profiter de sa culture. Cela fait bien trop longtemps que je ne suis pas allé au théâtre ou à l'opéra ! »

il observait la Rose, guettant ses réactions. Il n'avait pas bougé d'un millimètre, à l'exception de ses doigts sur l'accoudoirs, qui «parlaient» avec lui.

Sétite (Toréador)

La rose se calla dans son fauteuil. Confortable, elle remonta ses jambe contre elle

* il vous faudra vous trouver un guide l exploration de cette cite, seul, en ces temps troubler ne semble pas etre une bonne chose! Je suis certaine que vous trouverai une personne assez aimable pour vous y accompagner! Peut etre le jeune homme qu il y avait dans cette cellule... je m intient mon point il vous devorais des yeux...

La rose jeta un coup d oeil en direction de l inconnu qui etait dans le petit salon il semblait toujours occuper, elle se retourna ver d arcy toujours aussi souriante

Ventrue

Le Ventrue se mit à sourire de plus en plus largement, jusqu'à se mettre à rire franchement. Il mit un certain temps à retrouver son calme.

« Mademoiselle Luddmila, on ne m'avait pas fait autant rire depuis un certain nombre d'années ! Kurtis et moi ? Dans vos fantasmes les plus fous peut-être, mais dans la réalité jamais, Ô grand jamais je ne me fourvoierais avec le Sabbat, plutôt voir mon dernier lever de soleil ! Qui plus est, seule la gente féminine trouve grâce à mes yeux… »

Il stoppa son phrasé ½ seconde, son visage tourné vers la Rose, et lui sourit.

« Quant à l' avenir de Kurtis, il est tout tracé, la destruction ! Il ne dévorera plus personne et certainement pas moi. Bref. Vous êtes bien aimable de vouloir me trouver un guide…et de ce fait vous me paraissez toute désignée, sauf votre respect, mademoiselle Luddmila. Qu'en dites-vous ? »

Il était resté tourné vers la Rose, parlant calmement, à voix basse.

Sétite (Toréador)

Elle rit doucement avec lui... tout en restant repliee physiquement sur elle meme.

* eh bien, je ne sais pas monsieur d arcy... je ne sais pas! Je ne crois pas etre la bonne personne pour jouer les guides et encore moins la bonne personne pour vous proteger dans les rues de paris!

La rose replaca ses cheveux,

* peut etre Ivan pourra t il davantage vous aider. En outre, comme vous etes de la meme famille vous pourrez regler vous histoires tout en jouant les touristes!

La meche retombant encore dans son visage elle la replaca encore a l arriere de son oreille

Ventrue

« Pas la bonne personne ? Vous qui vous êtes fort probablement intéressée aux bâtiments les plus dignes d'intérêt de la capitale ainsi qu'à son histoire ? Qui mieux qu'une Rose pourrait me faire découvrir les charmes de cette ville ? Quant à me défendre, je doute que nous prenions beaucoup de risques en restant dans les zones contrôlées par notre Très Sainte Camarilla, et qui plus est, nos dons respectifs sont idéaux pour nous défendre discrètement si cela s'avérait nécessaire. Maintenant, je n'ai pas d'affaire particulière à régler avec Ivan, et s'il y'en avait cela se ferait dans un bureau et pas lors d'une promenade. J'ajoute de plus que je suis persuadé qu'il voudrait me faire visiter la défense et autres quartiers d'affaires, très peu pour moi en matière de loisir, merci bien ! »

D'Arcy était resté assez enjoué, enthousiaste à l'idée qu'elle puisse lui faire découvrir les beautés de la ville, et même rieur en évoquant les quartiers d'affaires avec Ivan.

Sétite (Toréador)

La rose senti qu approchait le temps de retourner a la maison, tout en se depliant elle croisa les jambes

* nous verrons... si l occasion nous est donne de nous recroiser... peut etre me prendra t il fantaisie de vous divertir!

La rose lui sourit tout en se levant

* je dois vous laisser, le temps de retourner et... enfin! Je vous souhaite une belle fin de nuit monsieur d arcy et une excellente journee!

Ventrue

Le Ventrue se leva en même temps que la Rose afin de la saluer en respectant les formes et la bienséance.

« Notre monde est petit mademoiselle Luddmila, et vous rendrait avec plaisir le divertissement si vous désiriez visiter la capitale des Flandres, qui recèle quelques trésors. Dans tout les cas, soyez prudente, je ne doute pas que quelques malandrins se permettraient d'observer allers et venues pour mieux vous - et nous - traquer.
Bonne journée mademoiselle Luddmila, au plaisir. »

Il ne s'était pas départi de son sourire aimable, même s'il avait perdu un peu de sa superbe lorsque la Rose annonça son départ.

Sétite (Toréador)

Ne vous inquiétez pas pour moi Monsieur D'Arcy...

Elle s'inclina légèrement devant le ventrue, salua d'un geste discret l'inconnue et quitta la pièce...

sortie pour chez elle !

Ventrue

« Mieux vaut quelques précautions que des regrets ou des condoléances, mademoiselle Luddmila. À très bientôt j'espère. »

Il se tourna vers l'inconnu, fît un signe de tête.

« Monsieur, je ne puis que vous conseiller de vous tourner vers les serviteurs du palais si vous ne savez où passer la journée. Bonsoir. »

Il lui fît un signe de tête avant de quitter la pièce.

*Allons-voir si jamais Lou est là avant d'aller me coucher…*

[sortie vers le bureau de Lou]

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