Le petit salon 11/02

Ventrue

« Je suis persuadé que vous pourriez vous montrer d'une efficacité redoutable, que cela soit dans le domaine de la logistique, pour débusquer un ennemi qui voudrait ne pas être remarqué, pour le faire fuir ou encore le disposer à collaborer plus que de raison. En tant que membre d'un clan fondateur de la Camarilla, il est tout naturel que vous vouliez porter assistance…Je connais ma place en temps de guerre, et ne souhaite que trouver ce en quoi vous seriez la plus efficace possible pour le bien de notre Très Sainte Camarilla. »

Il ne semblait pas avoir quitté la Rose des yeux, n'avait pas bougé d'un millimètre, à l'exception de ses lèvres.

Sétite (Toréador)

Il lui donnait un cours d'histoire maintenant... décidémment celui ci était divertissant. ses jambes se détournèrent de lui, se croisant dans l'autre sens

évidemment que je suis capable de bien des choses, je suis emplie de talents ! Certains cachés d'autres non ! mais puisqu'il faut vraiment vous expliquez l'ampleur de la chose, je ne crois vraiment pas que l'endroit soit appropriée... il y a de bonnes et de mauvaises oreilles partout, meme en Élyséum...

la main délicate de la rose s'était posé sur son genou

Le sénéchal est déjà au courant que s'il a besoin de quoi que ce soit, je suis disposée à l'aider dans les limites de mes compétences ! s'il est aussi renseigner qu'il le devrait il connait déjà tout ce qu'il y a à savoir sur ma personne et sur la vôtre mon cher !

Ventrue

« Mademoiselle Luddmila, si vous avez déjà informé de vos capacités le Sénéchal fort bien. Je comprends que vous ne vouliez pas en dévoiler davantage ici et maintenant. Je doute cependant que le Sénéchal me connaisse…aussi, je vais l'informer de mon concours de ce pas… »

Il se leva, glissant ses mains dans son dos.

« Si vous estimez que vous n'avez rien à ajouter au Sénéchal, mademoiselle Luddmila, je vais vous laisser, à moins que vous ne désiriez m'accompagner. »

Il se pencha pour saluer la Rose.

Sétite (Toréador)

Me passer du plaisir de revoir le senechal... la dame sourit et se leva

* allons monsieur d arcy je vous suis, peut etre me souviendrais je de quelque chose de pertinent au fur et a mesure que nous nous approcherons du bureau du senechal!

Elle le suivit

Ventrue

D'Arcy fît demi-tour pour quitter le petit salon. Il proposa son bras à la Rose pour la marche.

« Avec plaisir mademoiselle Luddmila. Mesdames, messieurs, je vous souhaite une bonne nuit si nous n'avons pas l'occasion de nous revoir… »

[Sortie vers le bureau du Sénéchal]

Toréador

Mélissange dû se rendre à l'évidence que Raphael n'avait pas fait attention à sa présence. Depuis combien de temps était elle plantée là, se transformant lentement en statue de sel ? Mieux valait ne pas savoir, les goules la confondant déjà avec les meubles du salon.

Elle allait pour renoncer à se présenter, fit mine de retourner à son fauteuil puis changea d'avis.

"Monsieur Raphael..." Elle atendit qu'il tourne son regard vers elle. "Je vous prie de bien vouloir excuser mon audace de venir vous déranger, monsieur. Mais je n'ai pu résister à venir saluer le généreux donateur que vous êtes...Vous..." Elle se stoppa nette dans sa phrase, conciente qu'elle était entrain de s'emporter et en avait omis de se présenter.

"Mon nom ne vous dira certainement rien, mais j'ai eut le plaisir de travailler sur nombres d'artefacts confiez à notre association par vos soins."

Elle le salua avec grace. "Mélissange de la Ruisselière, membre du clan de la rose et infant de Merritt Greeves." Son léger accent anglais avait fait s'envoler le nom de son sire , la faisant regretter un bref instant qu'il ne soit pas présent pour ce premier entretien avec un immortel.

Giovanni

*Quoi encore....hmmm calme toi Raphael, si tu dois attendre autant le faire en charmante compagnie *

Raphael écouta la jeune femme tout en pianotant sur son téléphone mobile sans se soucier que cela soit impoli. Discrètement en revanche il jetta un oeil sur son écran lu rapidement quelques lignes ce qui lui prit une ou deux secondes à peine .

"Veuillez m'excusez , un mail attendu et important , mais je n'ai pas perdu un mot de ce que vous avez dit n'ayez crainte ! Enchanté de faire votre connaissance , enfin ! Le travail réalisé sur ces cartouches a été tout simplement prodigieux,du grand art si je puis dire.... D'ailleurs j'ai pu en voir le résultat final il y a 3 mois lors de mon dernier voyage au Caire dont le musée sert d'écrin à cette si belle pièce ....non décidement ce cher Banu Duval à été bien inspiré de vous confier ces tablettes ! Mais dites moi donc ce que vous faites ici , et surtout sur quoi travaillez vous actuellement ?"

Toréador

Mélissange ne dit mot quand au comportement plutôt irrévérencieux du giovanni, peu étonnée après tout ce qu'elle avait vu depuis son arrivée dans le petit salon. Elle était même prête à s'excuser et retourner à son cher fauteuil, laissant l'homme à ses mails importants. Qui était elle pour l'importuner de toute manière...

L'immortel s'excusa de son comportement puis félicita la jeune femme pour son travail sur des tablettes. Elle ne releva pas son erreur de confondre cartouches et tablettes, bien trop ravie de voir à quel point le mécène qu'elle croyait tout juste intéressé par les transactions pécuniaires était en réalité un passionné.

Ses yeux se mirent à pétiller alors qu'il évoquait Le Caire, un sourire radieux illuminant son visage. Il lui demanda alors les raisons de sa présence ainsi que ses recherches actuelles.

"Si vous parlez de ma présence dans ce salon, j'y suis contrainte pour les présentations d'usage à la reine. Pour Paris, c'est une idée de mon Sire pour mon entrée dans ma nouvelle non vie."

Elle leva les yeux au ciel, visiblement peu encore habituée à tout cela et mal à l'aise.

"Pour le moment, malheureusement, mon départ sur Paris à dû me faire abandonner mes dernières fouilles dans la vallée des rois." Son sourire avait fuit de ses lèvres carmins. "Je ne désespère pas d'être utile à quelque chose dans la ville lumière, après tout, un véritable musée gise sous nos pieds, chaque coup de pioche peu révèler bien des merveilles..."

Elle sembla hésiter un instant.

"Je ne voudrais pas vous importuner plus longtemps, vous semblez assez occupé, je voulais juste vous remercier pour les délicieuses nuits blanches passées sur ces tablettes." Lança t elle tout en riant .

Giovanni

Une goule fit signe au Giovanni

*Enfin la putain va me recevoir...*

"Oh qu'il est triste de voir un tel talent inutilisé ! Dans votre cas l'inactivité devrait être punissable ! " Il rit et réalisa que c'était sincère.

" Et dites moi ma chère , si vous aviez un voeux à faire, sur quoi ou où aimeriez vous travailler à Paris ?"

Toréador

Mélissange se mit à rire aussi à défaut de pouvoir rougir.

"Vous me flattez monsieur...Si j'avais un voeu à faire ?" Elle sembla chercher, bien en peine de se décider aussi rapidement. "Mon coeur balancerai entre les fondations du Louvres ainsi que ses archives encore bien mal connues et..." Elle tapota doucement du pied "Les catacombes qui sont pour la plupart encore inexplorées dont certains vestiges remontent à l'époque romaine, voir plus !."

Giovanni

" Interressant...veuillez m'excuser, mais la reine m'attend et je ne sais combien de temps cela prendra... voici ma carte n'hésitez pas" il fit signe à la goule qu'il arrivait, se leva salua la jeune Toréador et fit quelques pas vers la sortie en griffonnant quelque chose sur un morceaux de papier qu'il donna à la pétale qui l'attendait .

Sortie vers la salle du trone

Membre du Staff

Lorsque Raphael eut quitté le salon , une jeune fille s'approcha respectueusement de la jeune Mélissange et lui tendit ce qu'elle avait pu prendre pour un morceau de papier

"De la part de Monsieur Giovanni mademoiselle"

Après un large sourire et une révérence elle prit congé à reculons avant de partir à son tour

Spoiler:

Toréador

"Vous êtes tout excusez monsieur." Souriat la rose tout en saluant le mécène afin de prendre congé.

Elle prit la carte, le remerciant d'un signe de tête puis alla la ranger dans son sac fourre tout posé au pied de son fauteuil.

Une goule s'approchant lui tendit un mot de la part de monsieur Giovanni. Elle l'ouvrit et resta bouche bée, tombant assise sur le fauteuil.

Durant quelques instants, elle resta de marbre, le mot entre les mains puis se leva comme pour rattraper le giovanni.

"Il doit y avoir erreur monsieur, que suis je censée en faire ?" Bafouilla t'elle dans un murmure se rendant à l'évidence qu'elle parlait dans le vide. Elle retourna s'asseoir, les yeux encore écarquillés puis rangea le mot.

Invité

TU aTeND dePuIs K K K... coMbien de TeMps MaRion ?

Marion - " Je ne sais pas... j'ai l'impression que ça fait des heures "

C' esT JoLI ici... Tu ne TrOuvE PAS ?

Marion - " La décoration est un peu lourde mais il y a des choses belles, mais elles bougent, c'est étrange, elles se battent, les couleurs chavirent "

Au prix d'un effort important Marion parvient à se concentrer sur la pièce et les gens qui l'entourent, c'est comme dans un rêve, les couleur et els forment qui bougent sont des gens en fait... il se battent, ils se parlent, ils sont fou, c'est rassurant...

PluS K.. K K qu'une PerSonNe avAnt tOi...

Marion - " chut, nous ne sommes pas seul, ils vont t'entendre avec leurs beaux costumes, leurs grandes oreilles "

*Plus qu'une personne avant moi*

Se dit elle pour se donner du courage alors que l'homme non loin se dirige vers le bureau de la Reine des fae...

Toréador

Elles n'étaient plus que deux dans le petit salon, tout était si calme que Mélissange aurait pu enfin savourer sa lecture, mais cela ne fut pas le cas. Elle avait l'esprit ailleurs, embué par toutes ses nouveautés.

Tournant son regard, elle aperçut la jeune fille qui restait à attendre, semblant se parler à elle même. ELle l'avait déjà saluée un peu plus tot, sans avoir de réponse...

N'y tenant plus, elle se leva, rangea son magazine puis s'approcha de la jeune femme qui semblait se parler à elle même.Après tout, l'attente serait moins longue à faire plus ample connaissance.

"Bonsoir mademoiselle, il semblerait qu'il n'y ai enfin plus que nous deux. L'attente ne devrait plus être très longue. Enfin espérons le..."

Un sourire radieux naquit sur ses lèvres alors qu'elle tendait une main amicale à la jeune femme.

"Je me nomme Mélissange de la Ruisselière, du clan de la rose. Je viens me présenter à la reine, comme le veut la tradition."

Invité

Manon se tourne vers la superbe jeune femme qui lui fait face. Pendant quelques instants elle ne dit rien, trop de choses se bousculent dans son âme, les murs blancs, les moulures, les dorures, ce visage sans défaut qui lui parle et lui sourit. Elle voudrait pétrifier cet instant particulier et le mettre sur socle de marbre blanc, mais comment exposer l'instant présent ? Manon sort de son mutisme et commence à parler, l'odeur de son souffle ressemble à celui d'une mortelle, ce qui est destabilisant.

Manon - "Bonjour Dame de Ruisselière, je suis Manon Cadoret, j'arrive de New York, j'ai été confiée à cette coure par le Prince Celebros pour terminer mon éducation..."

Manon ne quitte pas Mélissange des yeux un instant, elle la fixe comme si elle voulait imprimer, pétrifier son visage dans sa mémoire, pour la sculpter, plus tard...

Manon - " Vous serrez parfaite... vous ressemblez à une de mes sire, ma préférée, mais vous êtes plus sombre à l'intérieur... En revenche vos mains ne sont pas rouges comme les siennes, c'est rassurant vous ne trouvez pas ?"

Manon continue de fixer Mélissange toutafais innoçament...

Toréador

Mélissange baissa la main qu'elle tendait à la jeune femme qui visiblement était troublée. Elle se sentit comme scanné par ce regard enfantin et de ne pas être immortelle aurait certainement rougit.

"Enchantée de faire votre connaissance Mademoiselle Manon Cadoret."

Son sourire se figea pourtant lorsque la jeune femme parla de son âme sombre et de main sanglantes. Par automatisme, elle regarda ses doigts, les faisant bouger devant ses yeux, ne comprenant pas trop ce que voulait dire la charmante mais néanmoins déroutante jeune femme.

"Vous êtes de ceux qui pensez que nous sommes damnés ? J'aime à croire que le salut est pour tous mademoiselle." Les yeux de la rose se mirent à briller, soit de tristesse soit d'ironie, bien malin qui eut pu le dire à cet instant.

Rapprochant un siège, elle prit place en face de la malkavienne, a une distance résonnable, ne voulant molester de trop sa compagne d'attente.

"Je suis une nouvelle née et j'avoue que tout cela me dépasse. Il y a quelques temps encore ces histoires de vampires n'étaient pour moi que des histoires de vielles femmes. "Elle se mit à rire doucement. "Et voilà que je me retrouve seule au milieu du Louvres à voir des grenouilles et des damnés se chamailler..." Elle haussa les épaules.

"Mais je parle trop...J'ai toujours ce défaut quand je suis nerveuse." Elle haussa de nouveau des épaules, faisant se soulever la croix Hank pendu au cordon de velour ornant son cou.

"Parfaite pour quoi ?" Comme si la conversation de la jeune femme lui revenait tout à coup, elle plongea son regard noisette interrogateur dans celui de Manon.

Invité

Manon laisse échapper un petit rire cristalin qui fait penser au teintement d'une clochette. Il n'y a pas la moindre trace de cruauté, de calcul et perversité dans son regard contrairement aux autres enfants de la nuit.

Manon - " Vous m'avez mal comprise Dame, je ne parlais pas de votre âme mais de votre sang... quant à vos mains, elles sont encore belles..."

Elle prend la main de Mellissange avec douceur et commence à l'examiner sous toutes les coutures. La sensation est frappante, la peau de Manon est chaude au toucher. La chaleur de ce contacte semble se répendre et irradier chaques fibre de la chaire morte de Mellissange, lui insufflant l'espace d'un instant une vie nouvelle et les sensations d'une mortelle.

Manon - " Contrairement à ma Sire préférée les votres sont encore blanches, les siennes sont rouges, elles me font peur, mais pas autant que celle du Mentor. "

Manon relache la main de Mellissange, la chaleur et la sensation de vie disparaissent peu à peu, laissnt à la place une sentiment de nostalgie.

Manon - " Vous serrez parfaite pour l'immortalité, je comprend qu'on vous ai choisi, vous serrez une des plus belles statues de Paris, j'espère juste que vous ne vous changerez pas en gargouille... "

TU pOurAiS luI dEmAndEr de rEsTeR coMME çA... iCi... sAns bOuGeR... pOuR l'EteRniTé... pEut eTRRe K... Qu'eLLe aImeRait EtrE uNe StaTUE ???? TU pOurAiS LE dEmAndER à sOn Ame...

Manon cligne des yeux et essui discrêtement une goute de sang qui perle de son oreille droite. Après quelques instants elle retrouve son calme apparent.

Toréador

Mélissange laissa la jeune fille examiner ses mains tout en savourant son contact si chaleureux sur ses mains glacées. Sentant avec délice la chaleur l'envahir. Elle ne put s'empêcher de regarder Manon avec une compassion au bord des yeux, faisant briller son regard noisette.

Quel age avait la douce jeune femme aux airs d'enfant perdu ? 15, 16 tout au plus. Fauchée dans la splendeur de sa jeunesse par un de ces immortels sans principes...Pourquoi avoir privé une enfant de sa vie, de son devenir ?

L'enfant lacha sa main, la laissant un instant bien perdu de ce contact brisé. Elle se mit à parler de statues et de gargouilles, d'immortalité et de Paris. Les mots mirent du temps à se frayer un chemin jusqu'aux pensées de la rose, trop occupée à couver la malkavienne d'un regard protecteur.

"J'espère bien ne pas finir en gargouille et encore moins en grenouille. " Se mit elle à rire doucement " Votre chaleur, votre souffle, vous me semblez si fragile, fraichement cueillie pour l'immortalité, comment cela se fait il que votre sire vous ait laissée seule ici ?"

La rose se mordilla la lèvre, après tout, elle n avait que 2 mois et Merrit n'était pas là non plus, en quoi était ce là ses affaires ?

Invité

Manon était ravie de pouvoir enfin discuter avec quelqu'un, depuis qu'Alex l'avait laissée à l'aeroport, elle n'avait eu que de brefs échanges avec les autres immortels. Elle se souvenait encore des longues nuits qui avaient suivi son étreinte, dans le gigantesque atelier que Celebros lui avait aménagé quelquepar sous New York, pour la garder comme une pièce de collection.

Manon - " Mes sires n'avaient qu'un droit de visite... c'est le Prince qui c'est occupé de moi au début... puis... je ne sais pas... il a dit que je devais partir loin, très loin de lui, que quelqu'un m'apprendrait à vivre la nuit... ailleur... loin...

LOiN... lOiN... ToUjOuRS pLuS LOIN... tu n'iras JAMAIS assé LoIn...

Les pupilles de Manon se dillatent démesurément, elle plisse les paupière de toutes ses forces et se masse le front comme prise d'un violent mal de tête, puis reporte son attention sur Mellissange.

Toréador

Le visage de Mélissange se décomposa quelque peu devant le récit de la jeune femme. Quel genre d'énergumène pouvait bien demander à une adolescente de fuir, la laissant livrée à elle même sans même se donner la peine de la préparer correctement à cette nouvelle vie...enfin non vie...

"Je vous aurai bien proposé de vous accompagner dans l'apprentissage de cette nouvelle..." Elle chercha ses mots. " Cette nouvelle existence qui s'offre à vous, mais malheureusement, je suis moi même trop peu expérimentée."

Elle haussa des épaules, visiblement désolée de ne pouvoir offrir que tres peu d'aide.

"Nous pourrions néanmoins faire un bout de chemin ensemble si la solitude vous parrait trop pesante." A nouveau un large sourire exquis parcouru son visage. "Mais j'y pense ! Cela a l'air d'être une coutume par ici." Elle lui fit un clin d'oeil amusé puis farfouilla dans son sac en tirant une carte et un stylo.

Elle barra un numéro puis en rajouta un autre.

"Tenez." Elle tendit la carte à Manon. "Ainsi vous pourrez me joindre, les numéros sur Londres ne sont pas bon, j'ai donc rajouté celui de mon portable."

Elle se rapprocha de la jeune femme posant une main délicate sur son front.

"Vous avez l'air souffrante...Est ce que tout va bien ?"

Invité

Le visage de Manon se fend d'un sourire enfantin, angélique, elle prend la carte de visite avec empressement et la fixe, comme pour enfoncer chaque lettre, chaque chiffre dans sa mémoire. Le contact de la main de Mellissange l'arrache à sa contemplation. Comme sa main, le front de Manon est chaud au toucher, et cette sensation recommence à serpenter le long du bras de la Toréador.

Manon - " Merci... merci beaucoup ! Je suis sure que nous seront amies. Si la Reine ou la personne a qui je serais confiée accepte de me laisser un atelier je vous ferai un cadeau, c'est promis ! "

Manon foure la carte dans une poche et sort une feuille de papier et un stylo de son sac à dos usé et plein de poudre de platre. Elle inscrit le numero de son portable dessus et la tend à Mellissange.

Manon - " Tenez, c'est le miens, vous pouvez m'appeller quand vous voulez, enfin sauf le jour... et ne vous inquietez pas pour moi, on m'a dit que je ne tomberais jamais plus malade que je ne le suis... j'ai commencé à m'y faire, ce sont ces petites choses qui creusent leurs galeries sous la surface... c'est normal... sans l'être... tout en ne l'étant qu'a moitié... comme moi. "

Manon - " Et vous, qui êtes vous pour les autres ? Que faites vous dans le domaine d'une fée ? "

Une goule entre dans le salon et fait signe à Manon de la suivre vers la salle du Trone

Manon - " C'est mon tour, je vais voir la Reine fée ! A bientot j'espère Mellissange !

*Quitte le petit salon pour la sale du Trone*

Toréador

Mélissange prit le morceau de papier et le rangea dans sa besace tout en remerciant la jeune fille. Elle la regarda partir avec le coeur toujours aussi serré, fallait il que ce monde soit cruel pour lui avoir oté les ailes aussi vite.

Puis elle reprit place dans son fauteuil, pas besoin de magazine cette fois, elle avait de quoi cogiter sans trop s'ennuyer jusqu'à ce que son tour arrive, qu'elle heure pouvait il bien être ?

Akira arriva dans le petit salon quasiment désert et se dirigea vers Mélissange.

"M^elle... Votre tour est arrivé de pour rencontrer la Reine. Je vous pris de bien vouloir me suivre dans la salle du Trône afin que je vous y introduise."

Elle s'inclina et la guida jusqu'à la salle où trônait la souveraine de Paris.

Toréador

Mélissange resta un instant interdite, c'était enfin son tour et pourtant elle serait bein restée encore durant une éternité dans ce petit salon, même vide. Elle apréhendait la rencontre...Et si elle n'était pas à la hauteur ? Elle préféra ne pas y penser plus avant.

Se levant, elle prit ses affaires bien que laissant sa valise et son vanity pret de la porte puis suivi la goule jusqu'à la salle du trône.

[Sortie vers la salle du trône]

» Le petit salon 10-02
» Le petit salon 13/02
» Le petit salon 14/02
» Le petit salon
» le petit salon 06-02

Le petit salon 11/02

Le petit salon 11/02

Sujets similaires

Sujets similaires