Le petit salon 11/02

Giovanni

Raphael arriva à l'Elyseum très tôt, il gara sa voiture devant le Louvres et comme d'habitude jetta les clefs aux premier touriste venu; utiliser deux fois uen voiture....quelle déconvenue! Sans armes il passa enq uelques secondes le contrôle à l'entrée et se dirigea vers le petit salon où il pensait pouvoir trouver de nombreux cainites .

En fait il en cherchait un. Ou plutot UNE. Il sentit quelque chose d'étrange .

# on érige des défense contre nous maitre#

"Pas étonnant ...le plus curieux c'est que cela n'ait pas été fait avant, mais tiens toi pret au cas ou ..." répondit il à voix basse avant d'utiliser le lien mental qui l'unissait à Salvatore.

*"Vas me trouver cette reine, et assure toi qu'elle soit heureuse de me trouver ici"*

Il s'assit dans un confortable fauteuil non loin de l'entrée du salon , croisa les jambes et attendit.

La goule ouvrit la porte à d'Arcy pour l'introduire dans le petit salon, lorsqu'elle vit l'autre occupant de la pièce elle se crispa un peux mais le salua d'un ton neutre.

"Bonsoir monsieur Giovani."

Elle intéroga les deux hommes du ragard en leur proposant.

"Voulez vous boire quelque chose pour vous aider à patienter ?"

Sétite (Toréador)

La rose entra finalement au Louvre, laissant les journaux dans la voiture demandant à son chauffeur de les détruire immédiatement

elle se fit fouiller espérant que cela arrete une fois la présentation terminée et demandant aux goules d'avertir les pétales qu'elle attendrait que la reine soit disposée à la rencontrée, on lui indiqua le petit salon afin qu'elle y attende patiemment... *une autre soirée improductive... pourvu que je ne finisse pas dans le bureau du sénéchal!* elle marcha lentement jusqu'au petit salon, le souhaitant moins turbulent que la veille et y apercu l'homme d'hier et un inconnu, elle leur sourit et prit place gracieusement dans un fauteuil !

Ventrue

(Hrp: Arriver de la demeure de Ivan)

Ivan arrivât au Louvre et se pliât à la fouille protocolaire, laissant ses armes aux goules gardiennes des lieux et rejoignit le petit salon qu'il traversât en direction de la rose tout en détaillant rapidement les personnes présentes.

Son regard ne fit que passer sur l'autre ventrue, puis il fixât un instant le Giovannie. Dans son souvenir la reine l'avait bannit de l'Elyseum et sa sire avait même avancer quelques arguments supplémentaires quant aux activités de cette homme.
Il fronçât presque imperceptiblement les sourcils à cette pensée, mais s’abstient de tous commentaire. Si la gardienne le tolérait en ceux lieux, il devait bien y avoir une raison.

Bonsoir messieurs.

Il posât ensuite le regard sur Luddmila et la rejoignit, lui parlant presque à voix basse.

Tu es partit on ne peu plus discrètement hier.

Il se sentait crispé par la présence de Raphaël, priant intérieurement pour que Florence est fait fausse voix et ne lui ai donné que des élucubration malkaviennes sans le moindre fondement.

Sétite (Toréador)

La rose releva la tete en entendant la voix d'Ivan, elle se leva pour l'acceuillir et tout en replacant sa robe elle lui sourit

oui ... je ne souhaitais pas m'imisser dans vos histoires de famille... j'ai bien assez des miennes ! Merci d'être venu me secourir de l'ennuis c'est plus qu'aimable de ta part surtout que, te connaissant tu dois avoir mille chose à faire !

Elle lui fit signe de prendre le fauteuil près d'elle et se rassit, croisant les jambes !

J'ai crue comprendre que les choses étaient pire que ce que l'on m'avait raconté...

Giovanni

Le salon ne tarda pas à se remplir

Voulez vous boire quelque chose pour vous aider à patienter?

"Oh très volontier si c'est du sang frais ou mieux du sang de vampire, par contre si vous me proposez le sang infecte froid et mort issue de ces saloperies de poches que vous avez l'habitude de servir ici , ça sera non merci jeune fille" un sourire malsain ponctua cette phrase.

Puis il dévisagea tour à tour les autres vampires avec un interet appuyé pour la charmante jeune femme qui semblait connaitre l'infant de la Sénachale et dont il n'arrivait pas à se souvenir du nom . Il regarda également l'homme quui accompagnait la goule se demandant qui il était....

*Décidement c'est l'auberge espagnole ici...*

"Bonsoir à tous et à toutes , Belle nuit n'est ce pas ? Enfin si on fait abstraction de tous ces problèmes de sabbat , de monstres qui rodent et de ce fou dont le CV et l'adresse nous a été imposé en vision !"

Ventrue

[Arrivée de la Salle du Trône]

*Allons bon, un nécromant, magnifique*

d'Arcy fit un signe de tête au giovanni, sans chercher à s'approcher davantage de lui.
« Bonsoir. Monsieur d'Arcy du clan des Roys. »
il se tourna alors vers la goule, puis alla s'installer dans un fauteuil, empruntant un livre dans les rayonnages pour se donner une contenance.
« Un cognac si vous avez. Merci mademoiselle. »
d'Arcy se leva par politesse à l'arrivée de Luddmila, répondit franchement au sourire de la Rose, mais ne desserra pas les dents, puis se rassit. L'attitude d'Ivan envers sa personne le fît replonger aussi sec le nez dans le livre dont il s'était emparé. Les paroles du Giovanni lui firent quitter l'ouvrage.

« Je suis arrivé tard hier, et ai eu la chance de rater ces…festivités. Sauriez-vous m'éclairer davantage sur la situation, monsieur ? »

Giovanni

" Oh avec plaisir monsieur, Paris brule ....depuis le départ de Villon cette Ville est gouvernée par une brave dame qui essaie , en vain, de reprendre les reines de son domaine .... le sabbat attaque ouvertement, des vampires ont été tué , des chasseurs rodent un peu partout et je ne vous parle même pas , on murmure qu'un démon auraut fait des sous sols de la ville son domaine et aurait tué toutes les créatures naturelles ou surnaturelles qui s'y trouvaient , y compris le clan noséfératu en entier ! Mais tout va bien nous sommes dans un salon feutré , nul doute que nos ennemis auront la courtoisie de ne pas briser la quiétude de ce lieu en respectant les lois de la gardienne de l'Elyseum..."'

Ventrue

d'Arcy reçu le flot d'informations et l'ironie des dires du Giovanni en plein visage. Un silence s'éternisa une fois qu'il eût fini sa phrase avant de prendre la parole.

« Je suis ravi de voir qu'un clan neutre tel que le vôtre s'inquiète de la Camarilla, monsieur Giovanni. Vous risquez effectivement d'avoir pas mal de matière si la ville est effectivement dans l'état que vous m'annoncez. »

Giovanni

" Voyons monsieur d'Arcy, restons sérieux... je m'inquiète bien moins de la camarilla que de mes interets...le chaos engendre l'instabilité, et l'instabilité ne fait guère bon ménage avec le commerce...enfin à part le commerce d'armes bien sur ! Du coup je suis là pour essayer d'en apprendre plus sur la situation, en effet qui dit démon dans les égouts dit invovateurs suppots de satan...j'espère également obtenir audience auprès d'Isabault la Sénéchale afin de me mettre au service de mes interets, ceux de mon clan et de fait ceux de la camarilla"

Il soupira d'ennui

"Et puis je connaitre la raison de votre venue en ces lieux? Un autre émissaire de Mithras venu chercher la mort dans cette ville peut etre ?"

Ventrue

Les deux hommes intervinrent avant qu'il ne puisse répondre à la rose. L'ironie du Giovannie lui arrachât un sourire en coin, il avait plutôt bien présenter Paris, si ce n'est qu'il avait étrangement omit de parler des infernalistes qui festoyaient en ville depuis quelques nuits.

Je croie que Monsieur Giovannie t'a plutôt bien dépeint la situation.

Il prit place là où la Toréador l'avait invité à s'assoir, laissant le nouveau née de son clan à sa discussion avec Raphaël, tout en gardant une oreille attentive à leur conversation. Avec un peu de chance il ne serait pas suffisamment stupide pour renouveler ses exploits de la veille avec son nouvel interlocuteur. Dans le pire des cas il perdrait la vie suite à l'échange et ce ne serait certainement pas une grande perte pour leur clan.

Ventrue

le Ventrue reprit la parole après qu'Ivan lui ai confirmé les faits, sans animosité dans la voix.

« Bien sûr, j'aurais dû m'en douter. Le Clan Giovanni n'a pas pour habitude de déformer les faits quand les affaires sont en jeu. Après tout chacun suit les directives qui lui sont données, n'est-ce pas ? Néanmoins, concernant ma mort, je crains de ne pouvoir vous faire ce plaisir dans l'immédiat monsieur Giovanni. Je ne suis pas un émissaire de Son Altesse Mithras, mais un simple messager tout ce qu'il y'a de plus français ! Qu'est-il donc arrivé à l'émissaire en question ? »

d'Arcy n'avait pas bougé du fauteuil si ce n'est pour fermer le livre qu'il tenait en main et le poser sur la table basse se trouvant devant lui.

Giovanni

" Allez savoir! Tué ca c'est un fait mais par qui? Le sabbat? Des ennemis de Mithras ?"

Il s'enfonça un peu plus dans son fauteuil

"Et d'où nous viens cet énigmatique messager ?"

Ventrue

« J'imagine que Son Altesse risque d'être ravi du destin de son emissaire, un problème de plus à gérer pour les autorités locales dirait-on… Je viens du duché de Flandres et d'Artois, dirigé par messire Grégoire de Tournemine, Ancien de la Rose. Peut-être avez-vous déjà entendu parler de Lille, autrement appellée la capitale des Flandres ? »

Giovanni

Raphael sembla se détendre

" Oh merveilleux ! Lille ! Bien sur , je connais fort bien cette belle ville ; et Greg aussi , un vieil ami, je suis son principal mécène pour Les Lille Art Fair depuis ...hmm 2006 ou 2007, une merveilleuse foire qui révèle chaque années des gens de talent ! Ah ce bon vieux Greg, un poseur quoi qu'il en dise, assurement un poseur ...mais quel flair ! Quel goût !"

Ventrue

« Si vous le dites monsieur, si vous le dites. J'avoue bien humblement ne pas être un intime de messire le Duc, aussi vous comprendrez que je ne me permette ni ne cautionne ce genre de familiarités déplacées. Pour ce qui est de l'art, je vous laisserais donc en discuter avec messire le Duc, mes connaissances en la matière sont, au mieux, éxécrables.Vous avez néanmoins raison sur un point, la capitale des Flandres dispose d'un charme indéniable ! J'arpente ses rues depuis…quelques années maintenant et je ne m'en lasse pas ! La proximité de Londres, Bruxelles, Paris en fait un carrefour incontournable. Ceci dit, si vous appréciez la gastronomie, je pourrais vous recommander quelques adresses. À moins que vous n'ayez perdu goût pour la chose. »

Giovanni

" je comprends, je comprends monsieur d'Arcy! Pour ce qui est de l'art culinaire, c'était l'un de pêchés mignon du temps ou mon coeur battait encore..hélas aujourd'hui les mets les plus délicats me paraitraient bien fade et peu appétissant , un peu à l'instar du sang humain d'ailleurs qui avec les siècles perd de son attrait"

Ventrue

« Quel dommage. Vous savez comme moi que nombre de contrats se gagnent autour d'une bonne table ou d'une bonne bouteille…enfin, là n'est pas la seule méthode bien sûr, mais autant lier l'utile à l'agréable. Quant au sang, avez-vous essayé de le réhausser, par exemple d'alcool noble ? Ou de vous nourrir sur une jeune femme qui aurait connu le plaisir charnel quelques minutes auparavant ? De ma petite expérience, vous pourriez peut-être y trouver certaines subtilités qui ne manqueraient pas d'éveiller vos papilles… »

Giovanni

la fraicheur de ce vampire le faisait sourire

" Essayez à l'occasion le sang d'un vampire, surtout terrifié, la peur, sa terreur , sa volonté de vivre .. tout cela impregne son sang et en exhauste le gôut"

Il fie une moue déçue

"malheureusement votre secte voit ce régime alimentaire d'un mauvais oeil....mais de vous à moi tout cela n'est qu'hypocrisie , je connais de nombreux anciens et de clans prétendus civilisés, qui ne boivent plus que cela ; l'astuce étant d'infanter une pauvre ame qu'on garde prisonniere dans une cave ou geole dans le seul but de s'en nourrir..."

Sétite (Toréador)

Luddmila resta muette, écoutant les deux hommes tenter de prouver à l'autre qui était le plus fort... *un jeu de garcon!* l'idée la fit sourire, elle regarda Ivan affichant un air amusé... regarder les hommes jouer a qui pisse le plus loin l'avait toujorus amusé.

Apprenant une chose ou deux dans la joute verbal elle trouvait ce D'arcy bon pour mettre de l'ambiance dans un élysé, ce Giovannis aussi... énoncant tout ces trucs en plein élyséum... enfin ! elle comprenait maintenant ce qu'elle avait ressenti entre le giovanni et Ivan plus tot...

Ventrue

Il observe un moment les deux hommes se donner en spectacle. De toute évidence le Giovannie jouait de la provocation avec d'Arcy, il ne restait plus qu'à espérer qu'il ne tombe pas dans le piège.
Se tournant a nouveau vers la Rose, il s'adresse à elle ignorant délibérément les derniers propos de Raphaël. Si quelques chose devait être fait c'était par la gardienne et non par lui.

Tu devient quoi depuis la dernière fois que l'ont c'est vu ? C'était il y a quoi.... soixante-quinze, quatre-vingts ans ? J'imagine que tu a publier d'autre merveilles depuis...

Au faite comme tu a eu mon numéro ?

Sétite (Toréador)

Elle lui sourit

oui un ou deux trucs, mais rien de dithyrambique... pour ton numéro... un téléphone ici et là... j'ai eu une petite rencontre malsaine avec la quelques créatures sabbatiques... j'ai pensé a toi... enfin...

elle rit...

j'ai du passer de nombreux coup de fils, mais... je t'ai retrouvé et comme je venais sur Paris... alors j'ai pris une chance que tu te rappelles de moi !

la rose déposa son sac au sol et croisa les jambes.

l'ambiance est toujours aussi... survolté?

Ventrue

Parfois même un peu plus.

Avec un peu de chance il n'y aurait pas d'attaquer ou de massacre de calices cette nuit, mais la présence du Giovannie lui laissait craindre le pire. Il n'était certainement pas venu pour titiller un nouveau née.

Donc tu pense à moi quant tu rencontre des sabbats ?

Il aurait tout de même été curieux de savoir qui avait bien pu lui donner ce numéro.

Sétite (Toréador)

pas uniquement quand je rencontre des sabbats...

la rose replia ses jambes contre elle comme elle le faisait si souvent lorsqu'elle était bien

chaque bonne bataille ramène des souvenirs... je sais pas pourquoi ce coup ci ... ce fut toi ! ca doit être les cheveux... il avait les mêmes que toi, mais il était plus agressif et moins charmant aussi!

Bourgmestres [Gangrel]

Viens des quais de Seine

Comme d'habitude William déposa son sac a l'entrée et se prêta au rituel de la fouille, puis il se dirigea vers le petit salon et resta un petit moment interdit par le nombre de personnes présentes.
Aucun visage familier et tous des vampires....

"Messieurs dames, bonsoir."

Il se dirigea vers un fauteuil en les jaugeant tous du regard, retira ses lunettes afin de dévoiler son héritage et attendit là.

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