John avais bien entendu le gardien et dit " bien sur monsieur le gardien je vous suis de ce pas" regarde les rose ramasse ces papier " je vous saluent et au plaisir de ce revoir bientôt" saluent tout les gen en place



direction salle du trône

Il salua Mélissange de la même manière qu'elle le fit à son égard.


Puis, le Bretteur se leva et se dirigea vers Elea et Armand. Arrivé à hauteur.


-"Monsieur Duplessis, c'est fort diligent à vous de l'aider; mais Demoiselle Casato a été bléssée de manière grave, même pour un cainite et ses blessures sont encore fort douloureuses, d'ou sa réaction, n'en prenez pas ombrage, la douleur des brulures est particulièrement vive.
Sachant où se trouvent les diverses blessures je vais m'en occuper."


Il fit un signe de tête, remerciant encore Armand avant de delicatement et doucement soulerver Elea et de l'installer de nouveau sur un fauteuil.

Amélie avait attrapé la main de Byrion pour les suivre dans le petit salon, mais une fois la elle stop le visage terrifié et un léger mouvement de recul alors que sa main lâche le géant de granit. Son regard fouille la salle un instant, pour se poser sur le Prisonnier. Elle penche la tête sur le côté en fronçant les sourcils. Comment avait il était prit dans la toile d'araignée ? Et comment se faisait il que l'araignée était encore accrochée à lui pour manger, son passé, son présent et son avenir ? Elle penche la tête de l'autre côté, sa n'allait pas, mais pas du tout. Amélie fait trois pas dans la salle tandis que la main de Rosie entre en contact avec la sienne........

Le regard de Rosie se retourne immédiatement sur le prisonnier, elle voit par les yeux de sa sœur, la toile d'araignée qui retiens le vampire un pieds dans chaque monde, lui interdisant la liberté pleine dans chacun d'eux. Ni ici, là bas et par conséquent pas a sa place alors que la prophétie a besoin de lui pour que le bras puisse abattre son épée au bonne endroit. La vision s'estompe laissant une Amélie perplexe, qui se retourne pour regarder Byrion le regard emplit de questions. Elle a lâché la mains de Rosie et s'accroupit à côté d'elle avec un petit sourire.

"On est venu chercher les lutin, hein ?"

Le Bretteur se figea à l'entrée des Malkavian et de Byrion. Ne les lachant pas du regard, il se mis à saigner des oreilles pendant le chant de Rosie, malgrés que son visage reste impassible.

Il ne bougea pas d'un pouçe, comme hypnotisé...

Des Flashs, décorts irréls fait de corps fusionnés gesticulants et gemissants, une cascade de sang... Une belle femmes mais a l'abdoment et pattes d'araigné...

Son masque d'os...lourd sur son visage...Sa faux dont depuis un temps indeterminé, long, beaucoup trop long, n'avait plus un centimétre de métal non rougis par le sang.

Son regard, à present cerclé d'une brume fantomatique était maintenant fixé sur le visage de Rosie.

Dans un souffle à peinne audible :

-"Le faucheur...N'est plus qu'un souvenir...je n'en suis que l'ombre..."

Elea avait fait comprendre à Armand qu’elle ne voulait pas qu’il l’aide puis le bourgmestre était venu la récupérer en rassurant Armand sur l’attitude d’Elea qui était visiblement en état de choc.
Armand ne s’en était pas senti offusqué, il avait bien vu que la Dame était dans un bien triste état.
-« Désolé… »
Avait bredouillé Armand a l’attention d’Ela et Bastien.

Puis il allait retourner auprès de Mélissange mais celle-ci avait disparu.
Armand scrutait le salon du regard pour la trouver, mais rien…
Armand…Devenait mal a l’aise, sa langue se promenait sur ses lèvres dans des gestes de panique.
-« Mélissange! »
*Mélissange.*
Il devenait agité, il voulait la trouver, mais il fini par comprendre qu’elle avait du quitter le salon tout comme Abigael et son ami.
Puis Armand fronça les sourcils en serrant les dents.
*Mais pourquoi je m’inquiète moi? Elle n’est plus la et alors? Je ne vais pas me mettre à chialer comme un gosse qui a perdu sa mère dans un centre commercial! Allons donc! Mais qu’est-ce-qui me prend? C’est vraiment trop con!*
Il haussa les épaules puis alla s’asseoir sur une chaise libre.

Deux filles et un grand type venait de faire leur entrée. Il y avait une blonde…La blonde…Oui bien sur, celle qui avait chanté des chansons a…A ce mec qui s’était gratté les fesses…A ce Thibault, oui! Elle était la lorsqu’il était venu au Louvre pour la première fois.

Puis un son terrible, d’instinct Armand portait ses deux mains a ses oreilles.
C’était épouvantable! Monstrueux, il bondit de sa chaise comme s’il était assis sur un clou.
-« MAIS C'EST QUOI ÇA!? »
S'était écrié Armand avant de constater que c’était la nouvelle venue, la petite au cheveux noirs qui avait chanté.
Armand abaissa tranquillement ses mains de ses oreilles en regardant de loin la petite qui venait de faire ces sons, il était complètement ahuri et sous le choc.
*C’est donc cela que les Gaulois ressentaient lorsqu’Assurancetourix chantait dans les bédés d’Astérix! Alors je comprend l’horreur qui devait les gagner et le besoin de ligoter le barde a un arbre a chaque banquet. Merde!*

Armand était retombé sur son siège.

Amelie n'avait pas fait le moindre mouvement, encore accroupie, regardant la scene absente, une meche de ses long cheveux blond entortiller entre ses doigts. Soudain tout bascula dans ses reperes, Rosie pleurait et si Rosie pleurait Amelie n'allait pas bien non plus.

Amelie se releve pour allait prendre sa soeur dans ses bras, passant une main dans ses cheveux en un douce caresse. Son regard se fixe sur l objet du malheure de Rosie. Et l avait deja vu, mais elle ne savait plus ou, elle voulait lui arracher les yeux et la langue par se que a cause de lui Rosie pleurait et en faite alors qu elle tenait la petite chose dans ses bras elle envisagea avec serieux de lui faire du mal. Elle tendit ses mucles prete a sauter a la gorge du vampire.

La colère qu'elle ressentait se mua soudaine tristesse et Amélie eut une soudaine envie de hurler, de tout casser autour d'elle, mais son corps refusa de bouger, seul un petit tremblement de son corps indiqua aux observateurs se qu'elle ressentait à se moment la. Son regard chargé de haine se détourna du Toréador qui venait d'insulter Rosie pour regarder celle ci avec un petit sourire, elle tend la main encore un peut tremblante pour caresser sa joue délicatement.

"Oui, Amélie et ta petite fée rien qu'à toi....."

Sa main retombe, alors que son sourire disparait.

"Tu amènes les lutins au chef ?"

Elle cligne plusieurs des yeux chassant le sang qui tentait de sortir malgré sa volonté, puis décide soudain de sortir de cette minuscule salle étouffante, se faisant elle passe juste à côté de Armand et lui lance avec une voix froide et totalement exempt de folie, qui contrastait avec sa robe d'été et ses pieds nue.

"N'insultez plus jamais un seul membres du clan Malkavian petit peintre de Dante ou je vous promet que vos toiles vous semblerons très fade la prochaines fois que vous toucherez vos pinceaux."

Elle se penche sur lui pour murmurer de manière a se que seul lui entende.

" Thibault était un être merveilleux en comparaison de se que je vois de vous."

Amélie se relève et sort de la salle, seule.

Armand émergeait de sa béatitude tout en se sachant pas comment réagir.
La petite chanteuse avait remarqué sa réaction, pas uniquement elle en fait. Mais celle-ci pleurait maintenant à cause de lui. Puis la petite blonde était allée la rejoindre en lui lançant des regards très noirs, très menaçants….
*Mais? Je suis ciblé? Je passe pour un bourreau maintenant? Oh mais c’est un comble!*

Le comble était surtout que Mélissange était revenu, pas pour lui mais pour consoler celle qui venait de produire ces sons épouvantables. La Rose ignorait surement que la voix de la petite était probablement une arme terrifiante de destruction massive.
Ajouté à cela le grand gaillard qui lui faisait des remontrances à présent!
-« Ciel! »
Armand était outré de constater qu’on le considérait comme un vilain petit canard, un tonton bec-de-lièvre…Un monstre, quoi.
-« Mais… »
Il voulait se défendre.
-« Mais…Je…’Ça’ ne voulais pas dire la petite, mais plutôt les sons monstr…Les sons…m’avaient… »
Armand déclarait forfait, a quoi bon? Encore une fois il se sentait l’objet de mépris parmi sa race.
En plus, le gaillard lui avait dit que la petite était la pupille du Prince…Elle irait ou plutôt, ils iraient probablement tous pleurer de concert devant le Prince en pointant du doigt Armand tout en lui lançant des pierres.
À cause de sa réaction devant une attaque sonore il se mettait déjà a dos le nouveau Prince.
D’autant plus que si elle chantait comme ça, imaginer comment le Prince pouvait chanter! Surtout si elle était sa pupille et que lui le maître de chant! Imaginer rester assis sur une chaise pour écouter le Prince chanter pendant des heures…A coté de cela, un poteau de torture chez les sabbats paraitrait surement une jouissance.
Armand était découragé, ses épaules s’affaissèrent…Décidément il avait véritablement un comportement social désastreux envers les siens. Il se disait que le problème ce n’était pas eux…Mais bien lui. C’était lui le fouteur de merde, celui qui trouvait le chic pour se faire haïr par certains membre de son propre clan et par les autres maintenant!
*Ostie d’Kâliss de Tabarnak, de Tabarnak de TABARNAK!*
Il secouait la tête en serrant les dents et les fesses.

Ces Caïnites, c’était les fous, il n’y avait plus aucun doute a ce sujet, chanter comme ça et obtenir l’approbation de ses pairs qui réagissaient comme s’ils venaient d’entendre l’aria d’un opéra de Mozart. Oui ils étaient dingues, complètement givrés, sautés à la clôture et siphonnés dans l’tapis! La chanteuse mangeait une oreille de peluche…Le grand, leur garde du corps et la belle blondinette sexuel au regard assassin semblaient évoluer dans un environnement très spatial.
Armand redoutait les fous, il avait entendu dire que pendant une crise dans leurs états d’humains, ils pouvaient soulever une voiture, alors imaginer ce qu’ils pourraient réaliser dans le corps d’un Caïnite avec les pouvoirs, la force…
*Merde!*
Et Mélissange qui les consolait et recevait même un merci…Merde!…Il avait envie de pincer la Rose! Elle au moins, elle savait comment s’y prendre pour se faire aimer naturellement, tout le contraire d’Armand…Lui…Il était détestable comme la peste…A mettre sous tutelle, a tenir en laisse sinon il foutait la merde tout naturellement…Un casse-pied de la classe mondiale. Isabelle devait être une Malkavienne déguisé pour s’être éprise de lui…
Les fous se parlaient de fées et de lutins maintenant et comme si ce n’était pas suffisant la blondinette aux belles fesses s’était approchée de lui pour l’invectiver et le menacer tout en le comparant d’une façon qu’il ne comprenant pas a Thibault…Puis elle s’était retirée.
Cette fois cela en était trop. Armand lâchait prise.
-« Oh pis d’la marde! »
Fit-il, tout en effectuant un geste de rejet avec ses deux bras.
Il se levait et quittait le petit salon, presque honteux tout en étouffant une colère que la pression faisait monter progressivement. Mais avant de passer la porte il avait adressé un regard désolé a Mélissange.

[Sortie vers l’extérieur à l’entrée du Louvre.]

Elle regarda mélisange partir aux suites de l'ex favorite et de... son ami ?!?, elle observa Elea se tourner en ridicule et Armand déespérer de perdre sa première proie se lancer en aide à Elea, elle regarda Bastien aller chercher Elea et finalement les malkivians se donner en spectacle...
Luddmila avait pris place dans l'un des fauteuils... finalement la soirée aurait le mérite d'être instructive et... divertissante !
elle resalua mélissange lorsque celle ci entra a nouveau, envoyant un message ou deux de son cellulaire
la ville de Paris allait bien mal...
elle les regarda tous et sourit

Alors que ses yeux à present lumineux et cerclés d'une brume spectrale bleuâtre semblaient vouloir rester ainsi un instant; Le Faucheur commenca à reprendre ses esprits.

Pourtant il ne sembalit pas encore etre revenu à la normale, meme si le sang avait céssé de couler de ses oreilles.

Le Faucheur recula légérement afin d'observer Elea dans les yeux.

Un ton de voie légérement différent, il s'adressa à sa nièce.

-"Ca vas, ca vas...Je me remet, merci Elea."

Il porta un index à son visage comme s'il s'atendais à y trouver quelque-chose et sembla mécontent de toucher sa peau.

Reprenant une expression de visage neutre, il regarda de manière circulaire la pièce où il se trouvait, s'arretant une petite seconde sur chaques personnes, trop pour ne pas les détailler, pas assez pour etre impoli.

-"Nil Anois ach ceol na h-oiche."

Dis t'il en se reinstalant de manière confortable, un sourire de sarcasme et une lueur inquiétante dans le regard toujours fantomatique.

Faucheur tourna la tête vers Elea alors qu'elle chantait écoutant celle-ci comme s'il cherchait à reconnaitre l'origine de ce chant.

Puis petit à petit pendant la chanson, les yeux de Bastien redevinrent normaux.

Quand Elea eut fini, avec un signe de tête de remerciement à sa nièce, le Bretteur lui tendis un mouchoir de couleur rouge.

-"Sacré Maya, souvent je me demande si elle sait exactement ce qui vas se passer ou si seul son instinc la guide...

A moins que ce ne soit un pur hazard. Cependant merci, si Kitt..Maya ne l'a pas fait, je te conterait l'histoire que nous avons avec ce chant."