Alors que Geoffrey laissait sa phrase en suspend, il ne pu s’empêcher d'exprimer ce qu'il pensait.

De la terre de Nod.
Oui, présenté ainsi, cela est tout à fait cohérent, plus que ce qu'il m'a été donné de retenir.
J'avais en tête que les Nodistes étaient le regroupement des brebis galeuses qui ne voulaient pas réellement être Camaristes, Sabbat, ou qualifiées d'Indépendants.

Il fit une petite mou de dépit, qui passa à l'incompréhension, son regard dans le vide il s'exprima d'un ton las et monotone.
A vrai dire, je ne sais pas grand chose.

Arrivé de la

Elle était arrivée au Louvre en ayant pris son temps, elle avait profité de cette nouvelle liberté. Elle passa le contrôle des gardes sans même être fouillée, car Gallus lui avait envoyé un message pour lui expliquer qu'elle faisait partie de la coterie de combat. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi le Primogène Brujah l'avait choisit elle alors qu'elle n'avait aucune capacité au combat, ses sort n'était nullement ciblé pour le combat et sa thaumaturgie encore moins. Non en étant sérieux deux minutes, elle n'était bonne que pour jouer les es....... Enfin elle laissa tomber, elle lui demanderait si elle le croisait. Elle entra donc dans le salon avec une certaine nervosité, elle n'avait jamais aimé le monde et la elle y était encore confronté. Elle traverse donc la pièce les yeux rivé au sol pour se mettre dans le coin le plus isolé possible. Attendre les ordres du régents ou ceux du primogène Brujah, voila se qu'elle ferait. Elle soupire vraiment mal à l'aise et sort un livre de son sac à rituel, autant s'occuper en attendant.

Nadia n'avait pas pu s'empêcher de suivre la conversation en cour de route tout en faisant semblant de lire et elle compris exactement ou voulait en venir la jeune Toréador. Un sourire moqueur naquit sur ses lèvre alors qu'elle refermait bruyamment son livre. Se qui a de magnifique avec l'intelligence c'est que ne dépend pas des connaissances que la personne a, ni de sa culture, mais bien de sa façon d'envisager ou de raisonner et la elle venait de montrer à quel point elle avait de la connaissance, mais pas un brin de jugeote. Nadia pose son regard si particulier sur Mélissange, lui dévoilant son envie de rire. Tranquillement elle se lève passe juste à côté d'elle en lui faisant un clin d'oeil rapide qui signifiait : Tu veux savoir pour la pierre et nous coiffer au poteau......... Et bien tu te lourde encore. Elle sort en courant pour rattraper le Nosfératu.

"Monsieur, monsieur attendez s'il vous plait........."

[Arrive du bureau de la Sénéchale.]

Il assista de loin à la bousculade et au départ de Mélissange.
Nadia semblait quand à elle suivre un Nosfératu. C'est avec un sourcil levé qu'il observait la scène.

Nadia arrivant à sa hauteur, il lui souris, en effectuant un signe de tête interrogateur.

Mais pourquoi étaient-ils comme ça ?

Il ne comprenait pas pourquoi Geoffrey était parti précipitamment.
Une femme bizarre, bien faite certes mais franchement étrange l'avait suivit au trot.
La jeune Mélissange semblait connaitre beaucoup de choses mais confuse.
Quand aux autres...

Au moins ici, il n'y avait pas de cris, pas de défit, pas de combat, une nuit calme.
Il était satisfait tout de même, il s'en était sortit.
Mais un compte à rebours dont il ne connaissait pas le décompte était en train de s'égrainer.

Il se détendit un peu, se releva pour se "dégourdir" les jambes sans trop se préoccuper de qui était là.
De toute façon il ne connaissant personne, autant regarder les livres, eux au moins seront encore là après la dernière bataille.
Sauf si le Louvre brûlait.

Nadia éclate de rire en voyant la rose partir dans une bousculade de collégienne. Elle avait espéré plus de répartie, mais elle en avait trop demandé à Mélissange, elle ne serait donc pas un adversaire.Quelques peu déçu elle continua son chemin jusqu'au niveau de Aziel qui la regardait le regard interrogatif. Elle hausse tranquillement les épaules faisant comprendre ainsi qu'il n'y avait rien a dire d’intéressant, alors qu'elle lui souriait en s'arrêtant juste à côté de lui, puis regarda le sol un air gênée avant de lui adresser la parole.

"IL parait que je fait partie de la coterie de combat........ Il est fou se Primogène. Dit moi qu'il a eut le bon sens de te choisir aussi ?"

Elle regarde le couloir un instant cherchant du regard le Nosfératu, mais il avait disparu.

"On a des ordres ?"

Arriver du sous sol

Elle se déplaçait lentement, comme fatiguée, mais aucune marque physique ne venait le confirmer, elle passe devant le couple qu'elle se rappela avoir croisé et leur fit un signe de la tête avant d'entrer dans le petit salon. Sur le seuil, elle cherche Thurim du regard. Elle soupire rassurée qu'il soit toujours la et entier, elle commençait vraiment à se faire du soucis pour son ami vers qui elle se dirigeait pour finir par s'assoir juste à côté de lui...... Enfin plus se laisser tomber dans le fauteuil. Elle garde le silence un moment regardant droit devant soit, avant de tourner la tête vers lui avec un sourire las.

"Cela vous tente toujours de faire un tour par la salle d'arme, mon ami ?"

Elle n'avait pas spécialement envie de combattre, mais elle voulait parler avec Thurim et le prétexte lui sembla bon.

Il était de marcher tranquillement, les mains croisées dans le dos avec une posture altière, parcourant les rayonnages.
Certains livres d'histoire avaient retenu son attention, 1ère Guerre Mondiale, 2nd Guerre Mondiale, Compte rendu d’Auschwitz...

Il commençait à s'ennuyer, généralement de bonne compagnie, il n'aimait guère faire le premier pas et ce soir plus encore.
Il ne comprenait pas ce qu'il se passait ici, aucun d'eux n'était tel qu'ils étaient décrit par les vieux chefs de meutes, les évêques, l'archevêque.

Soudain Fleur entra dans le petit salon, pour s'affaler dans le fauteuil juste à côté.
Intrigué au prime abord, il la regarda avec un air soupçonneux.
Oui, visiblement elle n'était pas dans son "assiette".

Au moins elle n'avait pas perdu la parole, sa question lui fit d'autant plus plaisir qu'il n'avait touché une arme, même d’entraînement.
Mais bien sûr, nous en avons parlé sur la route et j'attend de ferrailler quelques peu avec vous ma chère.
Je pense m'être un peu "rouillé" mais cela devrait revenir avec le pratique je pense.

Elle observa son ami en silence quelques secondes, il avait remarqué bien sur qu'elle n'était pas vraiment en forme, mais il avait eut la décence de ne pas le faire remarquer. Une bonne séance d'entrainement ne lui ferait pas de mal tout compte fait. Elle se leva en souriant à son ami, ils n'avaient plus rien à faire ici de toute façon, elle n'attendait que son rendez vous avec le gardien pour quitter les lieux.... Et surement une discussion avec Bastien afin de lui demander de ne pas faire quelques choses de regrettable, mais sa pouvait attendre demain, il avait bien trop a faire pour tenter quoi que se soit.

"Aller suivez moi Thurim, nous allons nous déverrouiller les membres."


Elle commence à quitte le petit salon, attendant à la porte que son ami la suive.

Direction là

Il lui sourit aimablement en affirmant de la tête.
Je n'en suis pas au point d'en être entravé mais je suis fort aise que nous puissions entretenir nos compétences ensemble.
Je vous suis Mademoiselle.

Il marcha à la suite de Fleur pour la dépasser au niveau de la porte.
Porte qu'il ouvre et contient pour laisser son amie passer.


[ Vers la salle d'arme ]

Aziel regarda Nadia, une pointe d'amusement lorsqu'elle lui révéla être celle qui faisait parti de la coterie de combat.
Il prononça ses premier mots depuis qu'il était entré au Louvre cette nuit.

-"Non, je ne suis pas dans cette coterie, et pour cause, je suis Fléau. Cependant il est fort à parier que je travaille de concert avec cette coterie régulièrement.
Mais je pense comprendre le choix de ce primogéne..."

Il se contenta de secouer la tête de gauche à droite à la dernière question.

-"Nous pourrions en profiter pour aller chasser, bien que si j'ai bien compris, cette nuit il vas nous falloir veiller à la sécurité du Louvre."

Nadia haussa les épaules de nouveau, elle ne comprenait pas le choix du primogène Brujah et encore moins pourquoi Aziel n'en était pas étonné. Ils semblait croire qu'elle avait les aptitudes requises sans avoir jamais combattu, soit il étaient fou tout les deux soit ils pensait tout les deux qu'elle allait apprendre des rituels offensif et toute deux se trompait, elle n'en connaissait que deux, elle en resterait à sa, son domaine étaient les esprits point.

Elle le regarde secouer la tête, comprenant qu'elle n'avait pas d'ordres, elle fit une légère moue de dépit.... Seul Aziel allait servir, soit. IL lui proposa de chasser et elle accueillit l'idée avec un sourire car effectivement, elle aurait besoin de plus de sang, mais autant faire du rapide et sans risque puisqu'il devait surveiller le Louvre, elle pourrait surement enchanter les armes des membres de la coterie de combat pour cette nuit histoire de se rendre utile.

"D'accord pour une chasse rapide et sans risque."

Il fit oui de la tête à Nadia.

-"Un aller-retour sur nos terres rapide et on revient."

Il se dirigea vers la sortie du Louvre, marquant un temps d’arrêt pour attendre la Trémére. Il savait que celle-ci devait avoir faim et ce depuis le début de la nuit.

[Direction domaine Trémére.]

Il était rapidement arivé dans le petit salon, il connaissait les lieux, lui et Villon avaient fait affaires qulques fois; il y a longtemps... Le lieu était vide au premier abord, plustot bon signe jugea t il avant de prendre place sur une chaise! Bien calé les yeux légèrement plissés il attendait ; regardant parfois l'écran de son mobile à l'affut d'un nouveau message.

Nadia suivit en silence Aziel.

Direction là

Il vit très rapidement entrer un homme dont on lui avait fait une description des plus précise dans le salon désert. En temps de guerre il semblerait que même à Paris les vampires aient des choses plus importantes à faire que de venir cancaner dans les Elyésums... Il trouva cela assez rassurant en un sens !

Less se leva salua le Gardien avec la politesse de ceux qui visiblement n'ont pas grande connaissance de l'Etiquette mais qui pour autant ne manque pas de savoir vivre. Il remarqua que la main de l'homme ne lui était pas tendue; il n'en fut pas spécialement surpris après tout il ne se connaissait pas..

" Effectivement Monsieur le Gardien, mais je vous en prie appelez moi Less"

SOn manteau était à présent sur son avant bras , il attendait de voir si la discussion se déroulerait ici où ailleurs

"OUi j'avoue en avoir quelques unes ; je vous suis bien volontier"

Droit comme un "i" il attendait que le Gardien se dirige vers son bureau pour l'y suivre deux pas derrière .

EN routes son téléphone vibra une dizaine de fois sans qu'il n'y jette le moindre coup d'oeil.