Salle du trône - 01 avril 2011

Vivian regarda Dimitri sortir tout en réfléchissant à tout se qui secouait la ville. Parménion ne l'avait pas fait venir par hasard, c'était vraiment le bordel. Il soupira en se levant et se tourna vers son amis qui avait repris place sur son trône.
Tout deux échangèrent des nouvelles personnelles et "professionnelles". En petit comité ou plus précisément entre amis le vieux Nosfératus était plus loquasse qu'à l’accoutumé, mais cela restait exceptionnel et bien vite le flots de ses paroles cessèrent malgré tout ce qu'il y avait à raconter. De toute façon ils n'avaient pas besoin de ça. Ils le savaient. Depuis temps d'année ils étaient sur la même longueur d'ondes, travailler et agir ensemble ne leur étaient pas étranger.

Comme il l'avait annoncé plus tôt, l'ancien pris congé du Prince et monta à pas lents les marches menant à son bureau en suivant une goule qui portait ses effet personnel, qu'il avait laissé à l'entré de l'élyséum.

[Sortie vers l'étage]

Toréador

[Arrive du petit salon.]

Aaron entra dans la salle du trone, il ne doutais pas que la harpie avait renseignée le Prince sur les raisons de son absence au combat; Mais la situation restait des plus délicate. Il savait qu'il avait fait une erreur stratégique, doublé d'un péché d’orgueil et était volontiers prêt à l'admettre.

Il s’arrêta à la distance voulue par le protocole et posa genou à terre, baisant la tête, attendant que le prince lui donne la parole.

Cependant, malgré sa situation actuelle, il devait cette fois-ci s'adresser à son monarque sur un sujet peut-être délicat.

Aaron pénétra dans la salle du trône sous les yeux de Parménion. Il prit le temps de lui tourner le dos et de monter prendre possession du trône, celui là même où Villon avait rendu mainte fois justice. Il prit sa place. Puis avec le peu de considération qu'il avait envers ceux qui ne tenaient pas leurs engagements, il prit la parole.

- Relevez vous Monsieur Zilberman... Je vous écoute.

Toréador

Au moins le ton était donné...
Aaron se releva et joint ses mains dans son dos.

-" Avant toute chose, je tient à vous présenter mes excuses pour ma défection il y as trois nuit."

C'était à présent au Prince de voir ce qu'il faisait de ses excuses, la seule chose dont Aaron était sur : c'est que même pardonnées ce genre de fautes n'étaient jamais oubliées.

*Des circonstances atténuantes ne restent qu'atténuantes, ton erreur et ton échec sont bien présent Aaron...*

L'entame de la conversation ne lui faciliterais pas la tache pour la suite, mais au moins il avait eut le cran de présenter des excuses, s'exposant ainsi à la colère du prince dont le sang, de par son clan était assez vif.

-" Je viens aussi pour parler de la tache confiée à mon clan pour la nuit prochaine, il est un point sur-lequel il me semble important de parler."

Avant de continuer plus en avant, il se devais de laisser à Parménion le loisir de mettre un terme à cette conversation ou d'autoriser le primogene à s'exprimer sur le sujet.

Parménion resta de marbre, fixant le primogène dans les yeux. Aaron pouvait voir un regard sans âge, doté sans doute de millier d'années vécues, de batailles, de défaites et de victoires.

- Bien. J'accepte vos excuses, vu les circonstances...

Mais.

Je vais réfléchir à une réprimande. Les toréadors de Paris ne sont plus ce qu'ils étaient depuis le départ de Villon. Vous n'êtes que l'ombre de vous mêmes... Vous qui définissiez la mode et les usage dans tous les pays camaristes. Je compte sur votre clan pour redresser la barre, ma patience à des limites.

Il se leva.

- Cela étant dit. Je vous écoute pour ce que vous avez à me confier.

Toréador

Il suivi attentivement les parole de Parménion, passant par les états émotionnel par lequel celui-ci cherchait à l'amener: Soulagement, Appréhension, Adhésion...
La phrase sur sa punition à venir fut finalement bienvenue, après tout punition était en général mère de rachat... A moins que l'on soit un parfait sadique... Chose à méditer face à un Cainite millénaire.

La tirade sur le clan de la Rose fut sans surprise aucune; en plus d’être des plus justifiée, il l'avait lui même constaté et dernièrement cultivée.

Cependant, tout n'était pas perdu, le Prince accordait encore suffisamment d'attention au clan de la Rose pour pouvoir s’énerver. Pour certains ce aurais été la fin des haricots, pour Aaron, une lueur d'espoir; On ne s’énerve pas sur ceux dont on attend absolument rien.

Il acquiesça du chef à ces paroles avant de poursuivre.

-"C'est au sujet de la statue:

D’après moi, son exposition lors du bal serait de mauvais gout, tant sur le plan de la composition que sur le plan ... Je dirais "moral"..."
* Sans rire, le coup des têtes d'animaux empaillés c'est ni classe, ni même esthétique; Bien que je ne doute pas du coté esthétique de ce Boubanos au vu du nombre de fans qu'il se traine du coté du clan de la Rose....*
"... Au niveau des interprétations, l'on peut prendre cela comme une insulte ou une chicane à un adversaire vaincu; L'inviter aux festivités de sa défaite... Hors je crois savoir que les plus grand guerriers savent montrer respects à leurs adversaires.
Et si ce n'est pas une insulte envers lui, alors, ce pourrait être interprété comme une insulte à ceux qui sont tombés sous ses attaques.
Si vous souhaitez cependant un rappel de victoire, un symbole; s'il avait une épée *de préférence non magique*, une arme ou un écusson, je saurais bien plus comment l'exposer."

*Et ça serait aussi foutrement moins dangereux....*

La requête était légitime. Mais la cour avait besoin de savoir qu'elle pouvait triompher des adversités qui se présentaient. Boubanos en avait été une énorme. L'une des plus grosses adversités qui avaient été rencontrée par les cainites de France.

- Il est pourtant nécessaire que les membres de la cour de Paris sachent que le sacrifice n'a pas été vain. Que celui-ci a conduit l'ennemi dans ses retranchements, jusqu'à sa neutralisation finale. Cette exposition, pourra sans doute en choquer certains c'est évident... Mais le regain de moral n'en sera que salutaire pour les cainites.

Toréador

Il avait exposé son avis, ses derniers actes ne rendais pas Aaron légitime pour insister sur ce point. De plus il comprenais où le Prince souhaitais en venir, si comme Aaron le préférais, cette statue était mise sous clef et bonne garde, un sentiment d'insécurité pouvait naitre chez ceux qui n'étaient pas encore atteint de la meilleure compagne du Cainite : La paranoïa.

* S'il plait à la cour...*

-" Je comprend là votre idée..."
Dit' il en saluant de la tête le monarque.

-"...J'ai en ce cas une proposition et quelques question rapides, comprenez qu'organiser un bal de qualité en une nuit n'est pas des plus aisé.
Dans le même cadre que votre idée au sujet de la statue, je pensait à faire une fresque chronologique de tout les dangers auxquels Paris as survécu, en ce cas la statue du vaincu sera la dernière pièce.
Une tenue correcte seras exigée, sachant que certains n'y ont pas accès par leur moyens, j'aimerais avoir l'autorisation d'user d'autres pièces où ceux-ci pourrons revêtir une tenue qui leur sera prêtée.
J'aurais bien aimé aussi un autel où l'on pourrais rendre hommage à ceux qui sont tombés, mais dans ma position, il pourrais être mal pris que ce soit un des grand absent du combat qui s'en charge; Pensez vous pouvoir mandater quelqu'un pour cela? A moins que vous ayez déjà un projet de commémoration?..."

Tout se bousculait dans la tête d'Aaron, Christine n'avait pas encore répondu, il prenait donc les devant. Il avait peut de temps mais il ferais avec.
*Aléa jacta est.*

-"...Et dernier point, pardonnez moi de prendre votre temps, pensez vous qu'il y ais un risque pour qu'une attaque se produise lors de la réception? Le vaincu as encore des alliés dans la nature et jusqu'ici nos ennemis semblent toujours savoir quand attaquer."

Oui Aaron avait actuellement moult sujets de préoccupation.

- C'est entendu. Pour le risque de voir la réception interrompue, je me suis déjà chargé de monter une coterie chargée de la sécurité.

Inutile de dire de qui il s'agissait pour l'instant. Dimitri avait d'autres chats à fouetter pour l'organisation de la sécurité.

- Pour votre demande, elle est accordée. Nous vous donnerons l'accès aux salles connexes de la salle de bal. Pour l'organisation, peut être que Madame Lombard pourra gèrer cela avec votre aval, je sais qu'elle est revenue sur la capitale. Ce serait un bon choix.

Toréador

Aaron eut de nouveau un signe de tête affirmatif avant de répondre :
-" Je vous en remercie.
Oui j'ai effectivement déjà contacté cette personne, elle me semble à moi aussi la plus qualifiée."

Il effectua une révérence signe qu'il avait, de son coté, fini; Il attendis poliment que Parménion lui donne congé ou ajoute autre chose.

Parménion regagna sa place sur le trone de paris.

une fois installé.

- Vous pouvez disposer monsieur Zilberman

Toréador

Aaron salua le prince d'une nouvelle révérence et se dirigea vers : [le petit salon.]

[Viens du petit salon]

Abigaëlle entra dans la salle du trône et ne put s'empêcher d'en faire le tour du regard. Elle vit le Prince assis sur son trône, une aura majestueuse et puissante émanant de lui. Une soudaine angoisse s'empara de la vampire, mais elle ne le montra pas. Le montrer serait un signe de faiblesse qu'elle ne pouvait pas se permettre.

La jeune femme s'arrêta à la distance voulu par le protocole et fit une révérence. Maintenant qu'elle était là, elle ne pouvait pas reculer. Elle ne savait pas qui était la personne qu'elle avait face à elle, mais elle espérait que cette dernière serait clémente.

Elle savait qu'elle avait frôlé le bris de mascarade et l'oubli des prélèvements et de l'appareil photo dans la morgue de la police n'allait surement pas arranger la situation. La rouquine attendit que le Prince lui donne la parole pour se présenter et expliquer les raisons de sa présence en ces lieux.

Membre du Staff

A peine entrée le prince semblait se lever pour prendre une porte située derrière le trône, accompagné de 4 gardes. Il n'avait même pas remarqué Abygaelle. Une goule s'avança voyant la jeune vampire.

- Madame... Le Prince Parménion ne reçoit plus ce soir, vous devez aller voir le sénéchal du royaume, Vivian de la Rochère.

Le garde t'escorte jusqu'au bureau du sénéchal.

hrp:

» Salle du trône - 2 Avril 2011
» La salle du Trone
» SALLE DU TRONE - 27.03.2011
» salle du trone samedi/12/fevrier/2011.
» Salle du trône 21 fev.

Salle du trône - 01 avril 2011

Salle du trône - 01 avril 2011

Sujets similaires

Sujets similaires