Le truc est petit... la cuisine minuscule, mais on s'en fou... la salle de bain, c'est pas le pérou, mais on fait avec... la chambre à la chose importante, un walk-in... et le lit est acceptable vue que... on n'a pas de courbature à cause du manque de confort ! On était loin de chez maman ! et l'apparte avait les trucs nécessaires une bonne serrure et était bien insonorisé ! Elle y avait déposé les maigres choses qu'elle avait avec elle... elle accrocha le cadeau d'Armand... pour l'admirer ou pour l'hair elle ne savait pas et se coucha

avec la nouvelle nuit, elle refit le tour de l'appartement, nettoyant le tout (pas grand chose à faire la dame à qui elle louait avait tout fait) et se prépara, remontant ses cheveux, mettant sa robe de concert, et prit un taxi, elle jouait ce soir... elle avait mis dans un sac une robe autre pour le louvre ensuite !

(départ pour concert)

Elle finit par revenir, avec son violoncelle et un sac... s'était un début... elle lanca son sac sur le plancher près de la porte et déposa le violoncelle à sa place et s'allongea sur le divan qui servirait de lit...
elle s'étira et ramena son sac à elle... prit le téléphone ...des messages ? quelques uns, mais... mais pas celui qu'elle voulait. un nouveau prince... s'était pas prévoir ! se payer une humiliation... cette nuit ? devant tout le clan encore ? non ! elle n'en avait pas la force !
elle mit le téléphone sur son ventre et sa tete sur le cousin... elle tourna son regard vers la fenetre se disant qu'il faudrait pas oublier le rideau quoi que... ce serait un moyen aussi ! elle ferma les yeux... pour ne les rouvrirent que quelques bonnes dizaines de minutes plus tard

il avait payé le taxi et resta un moment en silence devant la porte avant de soupirer. Il l'avait suivit jusque la, se demandant s'il avait bien fait, mais après tout maintenant qu'il était la pourquoi aurait il reculé, au pire elle lui dirait de partir. Il s'avance sur la porte et frappe trois coup sec.

Elle était a se regarder les pieds qui avaient rejoint le plafond... elle sursauta... elle attendait un téléphone, pas un frappage de porte ! elle se leva et pieds nus dans sa longue robe violette, elle se dirigea vers la porte
Elle fut surprise d'y trouver Frédérique et cela paru dans son regard ! comment savait il ou elle vivait ! diantre quelle honte ! lui ici dans ce trou digne d'un nosfératue!
bonsoir!?! tu t'es égaré?

Lorsque la porte s'ouvre, Frédéric se retrouve brusquement face à la jolie Toréador, ne sachant plus quoi dire quelques secondes. Soudain un sourire fleurie sur sa bouche carmin alors qu'il la regarde des pied à la tête avec un air presque tendre. Il secoue la tête avant de gentiment repousser Abigail dans son appartement et de refermer la porte derrière lui.

"Bonsoir, non je ne me suis pas égaré, je sort de ton concert......... Mais peut être voulez tu être seul ?"

Il ... il ... il faisait quoi là ? il entrait, il la poussait dans son propre trou à rat! il.. il s'imposait... il avait été au concert et... et elle ne l'avait pas vue... elle baissa les yeux, honteuse.. elle n'avait pas pensé regardé et ohhhhhhh! elle tourna pour lui faire dos !quoi dire quoi faire... vite vite vite ! ses joues étaient en feu ... elle mit naivement ses mains devant ca empêchait de voir la couleur flamboyante
non non entre.. thrumm.. entre voyons !
Elle regarda et libéra une place sur une chaise et elle alla s'assoir sur le divan...il avait le choix de la place

c'est.. c'est gentil d'être venu! que puis-je ?

Il regarda les émotions se succéder sur le visage de la rose avant qu'elle ne se détourne.
Un petit sourire moqueur se dessine alors qu'elle tente de reprendre le contrôle sur elle même.
Il reste debout dans l'entrer tout en continuant de regarder Abigail se démener pour avoir à l'aise.

"J'aurais aimé que tu m'accompagne me présenter au prince."

Elle resta sans mots… le regardant
avec des yeux énormes de surprises… elle se ressaisit rapidement.. elle ne
pouvait pas dévisager ainsi quelqu’un ca ne se faisait pas ! elle regarda le
sol quelques secondes pour ce reprendre et lui sourire





Euh bien… je … thrumm … je ne connais pas ce
prince… thrumm.. je crois que… enfin que ce n’est peut être pas une excellente
idée, …enfin je crois que ma présence ne te sera pas très utile et…





*ils vont m’humilier pour le
plaisir si j’y vais j’met pas les pieds là moi !*





… et





*et ils vont vous associer à moi c’est
mauvais pour vous!*





… et … thrumm enfin je … je
pensais que ca se .. se faisait seul les présentation… thrumm.. je ne voudrais pas nuire à … je ne voudrais pas
déranger et .. et ne pas être mêler à vos trucs personnels …et…





*et tu devrais te taire ma
pauvre!*





Elle écouta son propre conseil et
se tue, pinçant ses lèvres

Son sourire moqueur disparait pour faire place à un air tendre et sérieux.
Il s'approche doucement pour la prendre dans ses bras et pose son menton sur sa tête avec beaucoup de délicatesse avant de murmurer.

"N'ai pas peur Abigail, Je serais près de toi et je peux te jurer que personne ne te feras de mal. Je vais veiller sur toi...... Si tu es d'accord."

Il recule pour pouvoir la regarder dans les yeux.

"Abigail, laisse moi l'honneur de t'avoir à mes côté pour cette présentation, je me sentirais mieux si j'avais quelqu'un que je connais auprès de moi."

Alors qu'elle baissait les yeux, il posa sa main sous son menton et releva son visage pour qu'elle le regarde de nouveau.
Il dégagea une mèche de cheveux qui recouvrait le visage d'Abigail et recommença à sourire.

"Ais-je vraiment besoin d'une raison ?"

Elle réussit a contenir son tremblement, son émotion aussi. La seule chose qui trahis sa gêne fut le rouge qui lui alluma les joues et ses yeux qui tentèrent de fuir pendant quelques instants
elle réfléchit rapidement... et elle était certaine que oui, il avait une raison ! il avait fait le choix de vouloir veiller sur elle, et faire un choix implique obligatoirement une raison, puisqu'il y a utilisation de la volonté dans le processus décisionnel, mais... si le désir qu'il soit présent au concert avait suffit a lui laisser un billet, s'était peut être simplement le désir d'aider...
La rose haussa des épaules tout en pincant ses lèvres,

j'imagine que... que non !

Après tous, peut être souhaitait il garder tout cela pour lui

Frédéric regarde l'émotion inonder le visage avec un immense sourire. IL se demandait comment une morte pouvait encore faire réagir autant son corps comme si elle était vivante. Se rendait t'elle compte qu'elle n'avait plus besoin de ses artifices ou est qu'elle ne le faisait même pas expret ? Qu'importe au finale c'était très mignon même sur un vampire. Son sourire s’agrandit lorsqu'elle répond enfin de façon timide.

"Tu ne crains vraiment rien, Viens ! "

Avec douceur il lui prend la main et l'amène jusqu'à sa voiture, ou il lui ouvre la porte galamment et l'aide a s'installer côté passager, refaire avec délicatesse la portière et va s'installer au volant de son bolide, qu'il démarre doucement afin de ne pas effrayer à demoiselle.

Spoiler:

[Direction le Louvre]

La rose avait ainsi remis son manteau et repris son sac et l avait suivit

* il faudra trouver melisange il y a une presentation du clan tout entier ce soir...

Elle avait souh aiter ne pas y etre mais bon!


}epart devant le louvre

Fred l’avait laissé chez elle à la
fin de la rencontre … elle avait montée seule les escaliers et était tombée…
elle entra totalement démoralisée… et très nerveuse. Déjà aller se présenter au
prince était quelque chose de stressant… se faire jeter et devoir y retourner…
ohhh ciel ! c’était une épreuve…


Elle retira sa robe… et regarda le
violoncelle… elle sourit. Elle s’assit derrière et prit l’archet dans ses
doigts, le caressa et lentement fie pleurer l’instrument… tout son chagrin s’y
communiqua. Elle s’endormie dans cette plainte qu’elle reprit au début de la
nuit, comme si elle ne l’avait jamais arrêté.





Elle ne faisait qu’un avec lui,
ses craintes, ses doutes, ses douleurs, ses souvenirs récents et … et tellement
joyeux, et sauvage… la musique entourait l’appartement, lourde et légère,
plaintive et folle… elle en avait besoin elle jouerait tant que la douleur y
serait

La plainte, douloureuse et sauvage devait envahir le quartier... elle pleurait, ses larmes coulant sur ses joues tombaient sur sa poitrine une à une, se fracassant parfois contre le violoncelle, parfois sur le sol.
La voix de la rose se mêla à la plainte du violoncelle. quiconque aurait entendu la voix et la musique aurait ressenti ce chagrin, cette colère. des heures passèrent et elle finit par se taire et se figer... les larmes finirent par arreter de couler... elle était sans vetement, mais on aurait pu penser qu'elle portait une indescente robe rouge

Elle venait de déposer son violoncelle dans le socle que ... le téléphone, elle s'en saisit pricipitamment Geneviève ?... non... le message la fit quand meme sourire, elle répondit, elle n'avait pas le gout d'y aller... elle regardait dehors quand il sonna a nouveau, elle répondit encore... elle n'aurait pas le choix en fait...
Machinalement elle se dirigea vers la salle de bain... prit une douche et en sorti plusieurs longues minutes plus tard. elle se dirigea vers le garde robe... elle les sortie une a une... elle n'y arrivait pas... elle revait de ses pentalons de jogging et un vieux t-shirt... elle ne pouvait certainement pas se présenter ainsi a la rencontre et encore moins devant le prince.
Elle alla se coiffer et se maquiller... peut être l'inspiration viendrait ensuite... elle remonta patiemment ses cheveux et se maquilla légèrement... en cas de doute... la robe noire... c'est ce qu'elle fit
puis... elle se mit en marche
(le louvre)
https://i.servimg.com/u/f75/16/70/79/30/robe_a10.jpg

(Arrivée du Louvre)

Elle y était encore allé pour rien... certes elle avait une nouvelle primogène... mais elle n'avait de toute façon aucune autre option à l'exception de cette Lady machin et ne savait toujours pas à quoi ca servait... Elle avait marché longuement pour le retour et avait les jambes lourdes. La balade eut au moins le mérite de la détendre ! Elle était sortie du salon déboussolée, là elle était mieux... toujours triste, toujours confuse, mais mieux ! Elle lui manquait tant !

Elle déverrouilla la porte de son minuscule taudis et entra, prenant soin de tout refermer

ouvrant tout grand les rideaux, elle s'assit dans le canapé et observa la ville, les pieds sur la table... ciel que sa mère en aurait honte à ce moment précis ! qu'est ce qu'elle s'ennuyait de sa mère à cet instant précie

La jeune rose se demanda en regardant la ville si cette existence était réellement ce qu'elle voulait... elle ne savait plus ! Elle avait jamais voulu être comme elle était... tout ce qu'elle avait toujours voulu vraiment était de disparaitre derriere son violon... dans la musique.

le jour allait se lever et... elle allait dormir... elle tira les rideau et se laissa choir dans le canapé

Elle resta saisit... un rêve? bien étrange ! une réalité ? non non non impossible...
Avec la tombée de la nuit, la rose se réveilla complétement et regarda partout... ce ne du être qu'un rêve...seulement un rêve... elle vérifia la porte pour être certaine... barrée ! les fenêtres ? bien fermées...

Ce ne fut qu'un rêve... elle alla dans la salle de bain... s'habiller elle ne passerait pas la nuit dans ses vêtements de la veille...

(retour du jardin du Luxembourg)

Elle monta le violoncelle... et dès que la porte extérieure fut refermée, elle éclata en larmes, elle barra la porte, plaçant une chaise devant. elle vérifia toutes les 2 fenêtres de la petite chambre. Elle fit le tour de la pièce, cherchant l'odeur, s'assurant qu'elle était seule et saine d'esprit...Elle ne savait vraiment pas ce qui n'allait pas avec elle, mais il y avait quelque chose qui n'allait pas...

la peine d'avoir perdu la femme qu'elle aime pouvait il faire ca? ou c'est le fait de se sentir seule? elle avait l'habitude de l'isolement, mais... pas d'être totalement seule et ... elle ne comprenait pas.

Elle prit la doudou et se mis en boule dans le canapé

Elle se terra encore plus dans le canapé, dans la couette... elle y resta quelques temps, pleurant, se posant une pléthore de questions... cherchant a comprendre ce qui se passe, cherchant a savoir pourquoi elle était si tourmentée, et pourquoi personne ne répondais et... pourquoi elle ne pouvait plus manger de creme glacé...

Elle immergea elle envoya un message un dernier espoir...

elle retourna sous les couettes

le temps passait et les réponses n'arrivaient toujours pas... elle regarda une ultime fois le cellulaire qu'elle ferma et lança au bout de ses bras dans un coin de la pièce...
elle savait que le premier chagrin d'amour était censé être le plus douloureux, elle savait que les premières fois étaient les plus difficiles, mais elle n'avait pas envie de raisonner, la jeune rose ne s'en sentait pas capable, elle n'en avait pas l'énergie.
Elle se retrouvait seule au moment ou elle aurait eu besoin de sa mère, au moment ou elle aurait eu besoin d'une amie... il lui semblait encore une fois que ce monde était trop cruel pour la jeune femme qui avait toujours été surprotéger qu'elle était.
Elle en vint à se demandé s'il y a deux nuits de cela elle n'aurait pas du continuer son chemin sans tenir compte de cet étranger qui l'avait bousculer... elle cru alors à un signe du destin... foutaise !

Elle se laissa tomber sur le dos, la tête sous la couette... elle sentait cette odeur, elle entendait à nouveau la voix...je reviendrais... c'est ce que la voix avait dit... mais comme l'odeur était elle réelle ou pur fruit de son imagination...

Elle souleva la couette et regarda son violon... elle sentait les bras de la reine sur elle, comme lorsque cette dernière c'était assis contre elle pendait qu'elle jouait... elle ferma les yeux et se tourna afin d'avoir le visage contre le dossier du canapé... Le violoncelle venait d'être associer à ce souvenir, à sa douleur... elle n'avait plus envie de jouer...

La jeune rose se demandait si ça valait la peine de continuer, et ou continuer si ça en valait la peine. Elle ne savait plus...elle pensa a mamie... elle était parti depuis quelques années déjà mais elle avait été la seule a ne pas critiquer Abi quand elle avait été malade... les pours et les contres ma belle enfant, tu sauras si ça vaut la peine de te battre...

Elle se leva et alla chercher feuilles et crayon... elle sépara la première feuille en 2 et commença à écrire