il l'empêcha de passer... pourquoi il la poursuivait avec ca ? elle ne savait pas et elle n'aimait pas ca !? que voulait il savoir exactement ?

il se mit à la bercer... à chantonner... il voulait qu'elle prenne son temps... il voulait comprendre... mais comprendre quoi ?

elle se décolla de lui et le regarda dans les yeux...



Je ne sais pas ce que tu veux savoir ... et je n'ai pas envie de parler de tout ca !

les larmes n'avaient pas arrêtées de couler... elle tremblait toujours, de peur et de froid... elle alla vers le lit et s'enroula dans les couettes

Il la regarda et tout à coup une colère qu'il ne soupsçonnait pas posséder jaillit en lui assombrissant ses traits. Et c'est d'une voix froide et calme qu'il parla.

"Tu ne veux pas en parler ? Tu me demandes pourquoi je veux savoir ? Si moi je te pose la question c'est bien par ce que je ne sais rien RIEN de toi avant notre rencontre, contrairement semblerait-il TOUT Paris. Alors avant je ne voulais pas te brusquer je voulais que tu me dévoile ton histoire par toi-même pour que je puisse apprendre à te connaitre. Mais là j'apprend que tu as eu des relation avec une reine non moins qu'infernaliste, que tu as été guérit et choyé par eux ! Imagine si celà arrives aux oreilles du Prince aujourd'hui ? Car si tu le savais pas ils sont en pleine réunion de Primogénat pour parler des infernaliste JUSTEMENT !"

Kaoum chercha à se calmer, essayant de reprendre le contrôle de ses émotions. Il venait de se choquer lui-même. Jusqu'à maintenant seule sa Sire avait réussit à provoquer autant d'émotion en lui. Mais là c'était tout de même différent, au lieu de haine, c'était l'inquiétude qui l'agitait. Il finit par se reprendre et c'est d'une voix douce qu'il enchaina.

"Mon aimée. Si je veux tant savoir ce qu'il en est réellement c'est par ce que j'ai peur pour toi. Je veux pouvoir te protéger, je comprend maintenant que mon choix de ne pas fouiller par moi-même dans ton passé et attendre que tu m'en parle a été un erreur. Je t'en prie . . je t'en supplie racontes moi. Je veux entendre cette histoire de ta bouche."

Sa voix se termina par les résonnance de la supplique.

il  s'énerve... le ton reste calme, mais il s'énerve, elle le sent, elle a peur... elle se lance en dehors du lit en attrapant une robe qu'elle enfile en se dirigeant vers la porte. Elle a mal mais ne sait pas pourquoi...elle ne sait pas ce qui fait le plus mal...le fait que Geneviève soit peut être une infernaliste et ne le lui ait pas dit ? Le fait que Kaoum la passe à la question ?  qu'encore une fois, la personne qu'elle aime lui fasse peur ?

Elle attrapa son manteau et glissa dans des souliers...s'il approchait elle sortait.. elle tenait la poignée de la porte


Quand je suis arrivée ici... 3 personnes ont été gentilles avec moi et m'ont aidé... Raphael... Ivan...Geneviève

Elle tourna la poignée

Geneviève ...m'a aimé, je crois... enfin se nourrissait sur moi... parfois... Ivan a été un mentor en quelque sorte et... Raphael aimait ma musique...

elle ouvrit la porte

et là... je sors tu me fais peur... j'ai pas envie que...

elle sortie

(a moins que tu l'en empeche)

Kaoum reçu les paroles de Abigail comme un choque. Il avait apprit à la connaitre un peu ce dernier mois, mais il n'avait jamais imaginé ça. Elle était nourriture et joué pour infernalise ou quoi ?

Il marcha en même temps qu'elle la retenant par le bras sans serrer trop fort.

"Je suis . . désolé . ."

L'était-il vraiment ? Où était-ce seulement logique de l'être ? Lui même ne savait plus. Était-ce des sentiments ? Il n'en savait foutrement rien !

"Je suis désolé."

Encore il le redis. Il lui lacha son bras. Et alla s'assoir sur le lit la tête entre ses mains.

"J'ai entendu comme quoi tu était lié à la Reine et aux deux autres infernalistes. Et j'ai tout de suite élaboré les pires scénarios."

Il sembla se reprendre un instant et enleva ses mains, le visage toujours tourné vers le sol.

"Mais tu sais les autres ne t'aimes pas comme moi. Si ils l'apprennent et juge ils risque de vouloir s'en prendre à toi. Je . . je souhaites te protéger et pour ça il faut que je sache . . ."

Il eut un rire triste.

"Oui c'est tout ce que je suis. Un banque de données. Sans données je ne sert à rien !"

Il regarda Abigail en espérant qu'elle était toujours là.

"Je t'en supplie, pour toi, pour moi . . . pour nous ! Racontes moi !"

Il la retient par le bras, elle a peur qu'il la lance par la pièce, elle tremble et blêmi... il lâche son bras et va s'assoir sur le lit... elle fige elle ne comprend plus non habitué à cette situation et il parle et il a des doutes, des incertitudes

un bruit de porte qui se ferme... de tissus qui se froisse, Bai se retrouve assise contre la porte, les genoux contre la poitrine, elle l'écoute... elle se questionne, elle veut mourir, il veut la protéger... mais de quoi ? elle a encore plus peur... il la regarde, il est une banque de données ? elle ne comprend pas... pour elle il est un homme... un coeur... un sourire... une source de chaleur... de dévotion et d'acharnement... pour elle il est intelligence et curiosité et force et douceur... pour elle était sécurité et réconfort... enfin jusqu'a il y a une minute...


quand je suis arrivée ici... Raphael est la première personne que j'ai vraiment connu... enfin je pensais... il m'a nourrit... une fois...et quand je me suis présenté a Geneviève elle m'a amené dans sa chambre et... s'est nourrit de moi et... m'a nourrit aussi... mais je ne savais pas alors que boire le sang d'un autre vampire créait un lien entre les deux... c'est Ivan qui m'a expliqué...après que je l'ai mordu parce que trop faim. ensuite j'ai fait plus attention... jusqu'a toi ... je devais manger

Elle cacha son visage elle ne voulait pas voir sa réaction... s'il la frappait, elle ne voulait pas le voir venir... s'il était décu, ou horrifier ou ... elle ne voulait pas le savoir

Kaoum la vit assise contre la porte heureux qu'elle soit encore là. Il l'écouta et sans s'en rendre compte se leva et se dirigea vers elle à pas mesurer. Il agissait comme avec un animal effrayé. Il s'accroupit à côté d'elle et la prit dans ses bras, doucement, délicatement. Il posa son front contre le sien sans faire pression, juste un contact.

"Mon amour, je ne t'en voudrais jamais pour ce que tu aurais fait avant notre rencontre. Ta vie avant 'nous' est ce qui m'a permis de te rencontrer et aimer celle que tu es maintenant."

Il se tut un instant puis repris comme à regret mais son ton était toujours aussi doux.

"Aides moi en répondant à cette question s'il te plait. As-tu entendus parlé ou participé à des actions infernaliste ? Des rituels magiques ou autre chose qui pourrait te sembler bisarre ?"

Il restat sans bougé le temps qu'il fallait pour qu'elle réponde sans la bursquer.

Elle le senti près d'elle, il la prenait dans ses bras, disait ne pas lui en vouloir... son front contre le sien... elle tremblait... trop d'émotion en même temps, trop de confusion

et le coup de couteau... il lui demande si elle a participé a des trucs d'infernalistes... si elle est...

Oh... ! elle le regarde, horrifié


NON !

met les mains devant sa bouche... elle n'aurait pas du crier...


non... le seul truc étrange c'est le fantôme qui s'en ai prit a moi... et Raphael qui l'a chassé... il m'a alors dit qu'il était possible que le fantôme revienne un jour mais... c'est pas encore arrivé.

*C'est quoi cette histoire de fantôme encore ?*

Mais le soulgement le submergea tellement qu'il n'y fit aucune allusion sur le moment. Il la serra plus fort dans ses bras plongeant son visage dans ses cheveux.

"Je te crois mon amour, il me fallait seulement te poser la question. Désolé d'avoir été si brusque. Comme promis je ne t'embête plus avec ça aujourd'hui, si tu le veux"

Il recula la tête et la regarda en souriant puis l'embrassa avec passion et douceur.

il l'embrasse, il comprend, tout va bien, il est calme, elle sourit, elle l'embrasse aussi !

La jeune rose se blotti dans les bras de Kaoum...  se détend, le chatouille de son nez dans son cou...

ca.. ca. me blesse que...que tu penses des cho...cho...choses comme ca de..de moi

Kaoum fut heureux de la voir réagir positivement. Il l'aimait il en était sur, même s'il ne savait pas si c'était réellement grace à des sentiments. Il la serra dans ses bras et l'embrassa dans le cou.

"Je suis navré, je ne peux m'empêcher d'aborder toutes les éventualités face à une question. Je suis comme ça. Mais je ne le penses plus maintenant et je suis heureux de te connaitre un peu plus."

Il se leva la soulevant dans ses bras et la mena jusqu'au lit. Là il la déposa se laissant entrainé par le mouvement de ses bras autour de lui et s'allongea pret d'elle. Il était toujours nu, elle en robe, il l'embrassa.

"Je t'aime."

Elle s'accrocha a lui quand il la souleva... serrant ses petits bras autour du cou de Kaoum.
il allait la déposer sur le lit... et il enroula ses bras autour d'elle... elle était bien ! si bien...


moi aussi je t'aime...

elle lui avait dit en le regardant dans les yeux... ses joues avaient changées de couleur...


mais...si tu veux savoir quelque chose... fait que le demander ok ? et dit moi pourquoi ... mais... te fache plus.. c'est difficile pour moi de parler de tout ca c'est des moments douloureux ce qu'il y a avant toi et...

elle soupira et se bloitti en silence... elle ne voulait plus y penser

Kaoum ne répondit pas se contentant de la regarder dans les yeux et d'acquiesser d'un signe de tête. Il l'embrassa à nouveau et plongeat sa tête dans son coup pour l'embrasser, le cou, les épaules, retour sur le visage et la bouche. Il l'aimait et il souhaitait le lui montrer. Ses main se firent petit à petit plus baladeuse tout en restant tendre. Elle s'attardèrent sur les hanches et les bras, passant delicatement au creu des coudes et du poignet. Il remonta délicatement la ligne médiane de son corps passant ainsi par le nombril et le creux des seins pour revenir vers le visage ou il l'embrassa en caressant ses cheveux. Puis il la regarda pour voir s'il pouvait aller plus loin.

il se mit a l'embrasser et la caresser tendrement, elle lui sourit, refermant ses jambes autour des hanches de Kaoum, pressant son sexe contre le sien...

elle l'embrassa tendrement tout en caressant sa nuque...

La réaction d'Abigail le fit sourir. Il fit descendre une bretelle de sa robe. Puis l'autre. Enfin délicatement comme une fleur qui se dévoile il dévoila son corps. Parfait ! Magnifique ! Du moins ce furent les pensées de Kaoum qu'il n'osa les prononcés à voix haute.

À la vue des petite montagne d'Abigail il les embrassa s'attardant un moment sur chacun d'eux. Pendant ce temps ses mains continuèrent à se balader sur son corps sans arrêter les caresses. La gauche s'occupait du haut du corps, la droite le bas. Cette dernière s'approchait souvent du centre des plaisirs de sa belle mais jamais n'y allait s'amusant à l'exciter dans pour autant la toucher.

Le corps tres sensible d'Abigail répondait a chacune des caresses donné par kaoum. La jeune fille soupirante de plaisir, le sourire aux lèvres, les yeux clos, les mains de la rose effleurant la peau du nosfératu avec plaisir

le reste était derrière... ce qui s'était passé avant n'avait plus d'importance... les mains d'abigail jouaient dans le dos de kaoum, découvrant du bout des doigts les fesses de l'homme..., goutant son cou de ses lèvres, puis de ses dents, le mordant avec plaisir et douceur...

Kaoum ne s'arrêta pas en si bon chemin. Frissonnant sous les caresses et morsures de sa belle il descendit ses levres de plus en plus bas sur son corps. Il s'arrêtait sur chaque centimètre carré de peau avec autant de douceur qu'il était capable. De plus en plus bas et finit par embrasser les lèvres de sa dulcinée. Mais celles-ci ne se trouvaient pas sur son visage. Ses mains quant à elle prirent le relais de ses lèvres sur le reste du corps. Il allait lui donner le baisé le plus langoureux qu'elle n'ait jamais eu,

la tete de kaoum, comme tout son corps d'ailleurs tentait de fuir la bouche d'Abigail... lui donnant des frissons, provoquant des spasmes dans le corps si fragile

elle se laissa faire, se laissa guider. Elle caressait le crâne de son aimé... son corps se cambrant sous les douceurs qu'il lui accordait

Après un moment qui dans leur monde hors du temps dura une éternité il quitta les lèvres inférieurs de sa dulciné pour embrasser le reste de son corps et mettre son visage non loin du sien.

"Mon amour je t'ai. . ."

C'est ce moment que choisit son téléphone pour vibrer tel un diable sur la table. La bulle éclata et Kaoum revint d'un coup à une réalité qu'il avait réussit à fuir pendant un moment. Il regarda sa belle en souriant.

*Bah qu'importe qui c'est il attendra un peu.*

"Mon amour aurais-tu faim par hasard ?"

Il l'embrassa dans le cou lui offrant par ce geste le sien propre.

Elle était bien... heureuse... avec celui qu'elle aime... puis... LE TÉLÉPHONE ! un instant de colère... non il ne répondait pas finalement... un sourire réapparu sur son visage

Puis... toujours avec elle, faisant fi du téléphone, il lui demanda si elle avait faim... bien sur qu'elle avait faim...Elle lui murmura oui à l'oreille puis caressa le cou de sa langue et le mordit tout doucement, essayant de ne pas lui faire de mal. Et elle bue... lentement, longuement, le retenant près d'elle elle était bien !

Kaoum la sentit timidement planter ses crocs en lui. Étrange comme il s'était habitué à cette sensation. Le plaisir du Baisé se répendant dans son corps. Il lui faudrait recharger lui même les bateries bientôt. Mais pour le moment il se laissait aller au plaisir que lui procurait sa bien-aimé et que lui même savait qu'il lui procurait. C'était mille fois meilleur que le sexe, mille fois meilleur que tout ce qu'il avait gouté jusqu'à maintenant. Pendant les seconde où Abigail lui pompait sa vitae son esprit se vidait enfin de tout soucie. Il attendit ainsi qu'elle finisse de se repaitre.

Spoiler:

Spoiler:

Elle but lentement, prenant plaisir, le sentant si près d'elle, elle était bien... elle referma la plait et resta la tete dans le cou de Kaoum, le retenant contre elle, se refusant à le laisser partir... elle le savait bientôt il se préoccuperait du téléphone, là elle le voulait pour elle seule, près d'elle

elle le retenait de ses mains, de ses bras et de ses jambes, agrippée à lui, lové dans ses bras

elle lui sourit et l'embrassa avant de recoucher sa tete dans son cou

elle resta muette

Kaoum resta là même lorsqu'elle retira ses crocs. Il était bien et n'avait pas envie, autant qu'elle peut être, de bouger. Il la sentait contre lui, sa chaleur et sa présence si humaine. Mais il savait qu'elle serait là pour l'éternité à ses côtés. Du moins l'espérait-il et il ferait tout pour ça.

Les minutes passère pendant qu'il pesait sur elle. Enfin pas trop car il compensait avec ses bras et jambes. Sa tête dans ses cheveux à sentir son parfum. Il était au paradis. Mais au bout d'un moment sa raison et son esprit calculateur et terre à terre repris peu à peu le dessus.

*Il est temps de bouger Kaoum*

Il releva la tête et la regarda en souriant. Il l'embrassa doucement dans le cou et les lèvres et posa son front contre le sien.

"Il est temps que je bouge mon amour. J'ai des affaires à régler aujourd'hui qui ne peuvent pas attendre."

Il l'embrassa à nouveau. Commençant à desserer son étreinte tout en se redressant.

"Je ne sais pas encore quand j'aurais finis mais si j'ai du temps en fin de nuit promis je t'appelles ok ?"

Il l'embrassa une dernière fois avant de se lever. Il caressa la jambe d'Abigail au passage. Puis il attrapa son téléphone et envoya un message.

elle fit une moue triste lorsqu'il s'éloigna... mais elle comprenait et en plus, il avait fait un effort pour passer un peu de temps avec elle... elle afficha un sourire qui effaca la triste mine et se leva aussi.

La rose se dirigea à la salle de bain et réchauffa l'eau du bain, s'y glissant... elle se préparerait tranquillement et... elle irait se balader ensuite !

Kaoum reçu une réponse direct et déposa son téléphone. Il alla jusqu'à son ordinateur auquel il jetta un oeil et un sourire s'afficha sur son visage. Oui tout se déroulait doucement tranquilement. Il éteigna l'ordinateur laissant son serveur s'occuper du reste. De toute façon en cas d'échec ou d'attaque son portable recevrait une signal d'alerte.

Il alla dans la salle de bain et sourit à Abigail.

"Je vais pas avoir le temps de prendre une douche on dirait."

Il se brossa les dents et coiffa sa barbe. Pas que ses dents risquait quoique ce soit mais c'était pour pas que son haleine sente la mort. Un comble pour quelqu'un qui la trompe chaque jour.

*Quitte à rire de la mort autant lui faire un beau sourire non ? *

Cette pensée le fit rire. Il se lava la bouche et alla embrasser Abigail avec son haleine fraiche. Il sortit ensuite de la salle de bain et s'habilla. Cette fois il fit très attention à ce qu'il mit. Rien de réellement classe en vérité. Un pantalon de sport noir, un haut à manche longue et colle roulé tout aussi noir et des baskets noires aussi. Par dessus ça il mis son éternel manteau aux multiples poches contenant tout son attirail : ordinateur, une trousse de contenant le nécessaire à l'ouverture de toute porte électronique standard ou pc (petits tourne-vices, coupe fil, pince plate . . . ), deux talkie-walkies, ainsi que deux micros et camerais miniatures pré-programmés pour communiquer avec son serveur via internet sur une ligne sécurisé.

Il vérifia rapidement l'état du matériel avant de la fourrer dans sa poche. La dessus il récupéra son couteau de chasse qu'il plaça à sa ceinture dans son doe. Ainsi que ses 12 couteaux de lancé qu'il fixa à ses avant-bras cachés par son manteau. Il récupéra aussi un émetteur qu'il trafiqua pour que si il l'activait son serveur enverrait directement ses coordonnées à Venise.

Il avait décidé dès maintenant de ne prendre plus aucun risque. Ainsi c'est ainsi équipé qu'il passa la porte par la porte de la salle de bain avec un sourire.

"Je vais y aller ma belle. Et n'oublie pas que je t'aime."

Il lui fit un clin d'oeil, fit un signe à Zeus de le suivre, activa 1000 visage et franchit la porte de l'appartement pour le jardin du Luxembourg

Elle resta là tranquille quelques longues minutes, elle y était bien... la soirée avait commencé étrangement, mais Abigail avait décidé qu'elle ne pourrait que bien se finir ainsi elle finit par sortir du bain... elle irait jouer dans ce petit café qu'elle avait tant aimé

elle se maquilla, s'habilla et se coiffa... puis elle prit son violoncelle et... se mit en route tranquillement

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(petit café)