venant de la salle d'arme Jean entra dans le petit salon et s'arrêta à l'entrée. Pour ceux qui l'avait déjà aperçu ils pouvaient remarquer qu'il n'avait plus sa veste de costume sur lui, portant seulement sa chemise sous laquelle se dessiner parfaitement sa musculature. Il fit un tour d'horizon pour voir qui était présent et constatat la désertion de la salle. Il salua de la tête ceux qu'il n'avit pas aperçu et se dirigea vers un couple assis un peu plus loin.

L'homme portait une petite barbe délibéremment négligé et la femme bien que pas très belle avait un maintient qui lui attira l'oeil, mais il ne s'attarda pas dessus. Il arriva prêt du couple qui était en train de discuter. Il attendit que l'homme finisse ce qu'il disait, un peu en retrait avant de s'avancer.

"Bonsoir. Excusez moi de vous interrompre Monsieur, Madame, mais je souhaiterais vous demander quelque chose si vous le permettez."

Il leur sourit d'un sourire confiant et chaleureux et attendit avant de poursuivre.

"Il se trouve qu'il existe dans ce bâtiment une salle d'arme et d'entrainement. Je m'y suis rendu mais n'y ai trouvé personne avec qui m'entrainer. Je me demandais donc si l'un d'entre vous, ou les deux, souhaitait me rejoindre. Je penses personnellement que par les temps qui cours un entrainement martial est des plus primordials. Qu'en pensez vous ?"

Jean écouta obligeamment la réponse des deux personnes à qui il s'était adressé. La première le fit sourire, la seconde beaucoup moins.
Il regarda un instant Lucien semblant le jeaugé puis s'adressa à lui.

"Monsieur, sachez que je suis le genre de personne qui dit en général ce qu'elle pense. Que cela vous plaise ou non, mais quand je trouve quelque chose drole je ris, et quand je trouve quelque chose d'inintéressant je l'oublie. Vous disiez quoi déjà ?"

Il fit un sourire à Lucien du genre froid mais convenable simulant l'intérêt. Puis il se tourna vers la Dame et la son sourire se fit plus chaleureux.

"Ma Dame, veuillez excuser mes manières, mais comme je le disais je ne suis pas habitué aux jeux de la cours et ai tendance à dire ce que je penses. Néanmoins, j'apprécie votre franc parlé et celà me donne encore plus envie de m'entrainer avec vous. Je suis certain que si vous ditent à l'un des gardes où vous vous trouvez ils viendront vous chercher le moment venu. Sachez que je cherche désespéremment quelqu'un qui pourra me donner une racler comme vous ditent."

Et il partit d'un rire amical, un peu taquin mais pas du tout moqueur. Il savait que dans le monde de la nuit l'apparence ne voulait pas tout dire. En voyant la Dame, elle lui rappelait Constance dans ses manières, ce qu'il trouvait fort appréciable.

Jean restat à regarder Lucien lui sortir toute sa verve à la figure, la mine blasé. Au fond il avait pitié de cet homme. Enchevêtré dans des siècles de traditions et qui ne peut reconnaitre les qualités d'une personne que si celle-ci parlait le même langage que lui. Quel démonstration dégocentrisme et de narcissisme mal dissimulé. Au final, ce n'était peut être pas sa faute. Et lui-même, Jean, était-il si différent ? À force de vivre avec soit on ne finit par ne voir que ses propres précepts.

Tels étaient les pensées de Jean pendant que Lucien lui déballait ses constations dignes des plus grand mélodrames avec toutes sa gestuelles et ses mimiques. Un acteur né pour sur, que ça en devenait presque risible. Jean commençait à se demander si il ne devrait pas s'excuser pour ses paroles aux finales peut être trop déplacé quand l'homme mis fin au débats. Finalement tant pis, il ne risquait pas de revenir fréquenter ce genre d'individu de toute façon.

Il attendit donc que Alexie soit prête pour lui montrer le chemin d'un geste de la main, l'invitant à passer devant lui.

"Ma Dame si vous voulez bien me suivre. Vous trouverez certainement des gardes à l'entrée du petit salon si vous souhaitez signaler où vous serez."

Puis dans un dernier geste il regarda Lucien.

"Monsieur, malgré l'antipathie que vous me portez, permettez moi de vous souhaiter une excellente soirée."

Il hocha la tête vers lui. Si Lucien prennait la peine de regarder Jean il pourrait apercevoir un regret sincère dans le regard de Jean. Mais nulle demande de pardon ne sortit de ses lèvres pendant qu'il se dirigeait vers la salle d'arme.

" Mouais pas très intéressant tout ça."
 
Disait Lucien alors qu'il refermait son journal et ranger ses divers quotidiens en relevant la tête vers Alexie à qui il offrait un sourire.
 
" Déjà de retour ? Vous vous êtes bien amusée j'espère. Et je me demande surtout si vous êtes arrivé à vos fins "

Petit clin d'oeil amusé et très «nature» comme s'il étaient potes depuis des années

 Un sourire mutin se dessinait sur son visage et il fixait la demoiselle avec une lueur dans le regard.
 
 " Oh mais on le sait tout deux. Je sais que vous étiez très motivée pour se combat mais pas pour le simple plaisir de l'affronter."
 
Un petit clin d'oeil pour ponctuer.
 
 " Ne vous en faites pas je ne trahirais pas ce secret."
 
 Bien sûr il parlait avec un ton qui reflétait l'amusement et retenait un petit rire et retenait un petit rire. 

[Depuis son bureau]

Venise descendit les escaliers lentement, laissant Kaoum la dépasser pour se fondre dans la nuit tandis que Phantom était encore dans le bureau. Elle n'était pas pressée d'atteindre la salle du trône pour rencontrer le Prince. Etait-ce lui qui avait piégé son bureau? C'était probable. Ses Frères avaient joué les électrons libres en faisant plus que surveiller l'église qui avait finie en ruine. Il était logique que Parmenion veuille tenir ces remuants sujets à l’œil... Ou à l'oreille en l’occurrence. 

De toute manière, elle serait bientôt fixée. Ce qui avait été dit à la réunion aurait de quoi faire bondir le Prince de son trône... Noyauter son beau projet, réclamer une récompense supplémentaire alors que les Nosferatu lui étaient redevables de leur exhumation des décombres sans parler que Venise avait clamé haut et fort que rien n'avait été fait pour leur rendre leur territoire ni les intégrer à la vie politique. Tout cela était potentiellement passible de mort ultime. Sous les traits figés de son masque en carton peint, les lèvres de Venise s'étirèrent en un sourire sardonique. 

C'est lorsqu'elle posa le pied sur le sol du rez-de-chaussée qu'elle ressentit quelque chose d'étrange. Était-ce son entraînement auprès des animaux qui lui avait permis de développer une sorte de sixième sens? En tout cas, elle ressentait une atmosphère électrique, empreinte de dangers. Elle jeta des regards furtifs autour d'elle, cherchant d'où venait la menace. Seul un couple badinait innocemment, assis dans les fauteuils du Petit Salon. Elle fut quelques secondes déstabilisée d'éprouver des impressions si peu familières. Était-elle en train de devenir folle? Son esprit pragmatique reprit le dessus et elle parvint à la conclusion qu'elle était angoissée à l'idée de rencontrer Parmenion, rien de plus. 

La femme masquée habillée de noir passa devant les deux inconnus qu'elle salua rapidement d'un "Bonjour" froid mais néanmoins courtois de sa voix d'alto. Pour quelqu'un qui détestait les visages inconnus et les mondanités, c'était déjà beaucoup. Elle traversa la pièce pour rejoindre un garde près de l'entrée de la Salle du Trône. Avec sa diplomatie habituelle, elle aborda la goule sans utiliser de circonvolutions linguistiques.


"Bonjour. J'aimerais parler au Prince. Est-ce possible?"

Son timbre froid et monocorde légèrement étouffé par le carton résonnait dans la pièce vide. Elle fixa le garde sans ciller, telle une statue de cire, attendant une réponse.

 Lucien secouait légèrement la tête avec un rire discret.
 
 " Eh bien, vous aimez mettre les formes pour me dire simplement qu'il a pris une branlée. J'en déduis qu'il a donc pris une correction comme vous souhaitiez le faire !"
 
 Un petit applaudissement sincère, après tout la performance était réelle vu la différence de gabarit alors qu'il avait un sourire mystérieux en coin.
 
 " Vous êtes quelqu'un de très honnête ! j'aime beaucoup ce trait."
 
 Une Dame faisait son apparition et les saluer sans attendre pour aller parler à un garde. Il se relevait pour s'incliner avec élégance pour lui répondre en espérant qu'elle le remarque du moins.

(refuge toréador)

Luddmila entra donc dans le petit salon, sourire aux lèvres, la démarche élégante, sensuelle. elle observa les lieux et sourit en s'inclinant doucement, légèrement en direction de chacun... descendant un peu plus bas lorsqu'il s’agissait d'un membre du clan nosfératue. puis, traversant le salon, elle alla s'assoir un peu plus loin.

Elle déposa son sac à ses pieds, elle croisa ses longues jambes et pris ses quelques messages, en retourna un

Lucien fermait les yeux un court instant le temps d'une brève réflexion.
 
" Voilà des paroles qui sonnent très «sage» et j'avoue que ce sont ceux que je préfère, quelle que soit la forme du combat d'ailleurs...C'est bien plus exaltant comme ça. Mais nous savons aussi bien lun que l'autre que ce n'est pas toujours vrai...Quand une des deux parties surclasse l'autre, elle sait comment se dérouleront les choses et qu'elle sera l'issue avant même de commencer."
 
Il ne cherchait pas spécialement à la convaincre et donner juste son avis, son sourire s'effaçant quelques secondes quand il parlait.
 
" Enfin, quoi qu'il en soit, encore bravo, je sais maintenant que je n'ai pas intérêt à vous agacer uh uh."
 
Il affichait de nouveau cet air dandy qu'il avait en permanence et ne jouait pas la comédie. Lucien n'était juste pas le type de personne à se morfondre même quand quelque chose lui revenait en tête et préférait profiter de chaque instant avec le sourire.
 
Un regard sur Luddmila qui ne passait pas inaperçu avec cette démarche naturellement sensuelle et il s'inclinait pour la saluer avec galanterie et élégance en lui offrant un sourire charmant. Une simple politesse et il revenait à Alexie sans la délaisser affichant une mine amicale.

poste de garde

*Bon le petit salon son endroit de prédilection pour glané les informations gratuite *humm voilà une sœur de clan très certainement *  Après avoir salué les gens présent il s’approche de la vision de la dame au masque, mes reste asse loin pour quelle est une conversation sans se sentir envahir par moi.

Un salut de la tête sobre et discret à l'intention de John et c'est un petit sourire amusé que lui tirait Alexie avec sa remarque. Lucien haussait légèrement les épaules affichant une attitude un peu désinvolte.
 
" Je ne suis pas d'une nature à devenir paranoïaque pour autant et puis beaucoup aboient beaucoup qu'ils ne mordront jamais vous savez. Après, je ne vous cache pas que j'ai déjà quelques ennuis mais je n'avais pas était pris au dépourvu, on va dire que je jauge bien les gens !"
 
Un petit clin d'oeil ponctuait sa phrase et il affichait un air très malicieux.
 
" Et puis je suis joueur ça ne me déplaît pas forcément et j'ai aussi peut-être quelques atouts dans ma manche !"
 
Il souriait, la conversation lui était plaisante et il était très satisfait de la voir se détendre un peu en laissant de côté le fardeau qu'elle portait.

" Disons que j'aime toutes les formes de jeux."
 
Il avait un petit sourire malicieux encore une fois.
 
" Êt quand je dis ça, comprenez que parfois ils ne sont pas quaifiés comme tel et les mises n'ont rien à voir avec de l'argent."
 
Il avait un petit haussement d'épaules.
 
" Tout ça n'est pas très intéressant ! Dites vous que j'aime fréquenter tout les lieux de débauche comme dirait ma primogène ! Ca vous donnera une idée de ce que je peux aimer."

Venise tourna la tête lorsqu'un nouveau venu pénétra dans le Petit Salon. Elle le dévisagea quelques secondes, comme pétrifiée. A vrai dire, elle n'en croyait pas ses yeux: l'individu avait la peau aussi verte que Kaoum mais pas sa haute silhouette, ni sa barbe. Il n'en demeurait pas moins que l'inconnu était incontestablement un Nosferatu. 

"Oubliez ma requête." dit-elle d'une voix sourde au garde dont elle ne se préoccupait même plus. 

Son téléphone vibra dans sa poche; cela la fit revenir à la réalité. Elle lança un regard perplexe à son écran lorsqu'elle vit le message de son correspondant. Elle tapa une rapide réponse. Le timing de sa soirée était chamboulé depuis sa surprenante découverte dans son bureau. Tant mieux, cela lui évitera un entretien désagréable avec le Prince dont elle se méfiait toujours... Autant que tout à chacun en fait. 

Il lui restait quelques minutes avant que les deux primogènes arrivent; assez pour faire la connaissance de ce Frère.
Elle fit quelques pas, se planta devant lui les bras croisés et avec sa diplomatie habituelle, alla droit au but.


"Qui êtes-vous?" A travers son masque, ses grands yeux noirs étincelaient étrangement.

John vie la dame au masque écarté le garde et venir droit sur lui *hummm une sœur qui vas droit au but excellent*  tout en la regardant droit dans les yeux mes pas de façon agressive il se présentât. 

'' je me nomme John Griffin  je suis de retour de Londres pour affaire personnel je suis résidant reconnut par sa majesté Parménion je viens aussi faire un rapport a Guéric ex primogene puisque on ma informé quil ne siegait plus et a qui ai-je honneur ''  dit il en baisant la tête poliment et revient au yeux de la dame avec un intérêt certain.


*pour le moment sa devrait être suffisant j aime le petit salon pour avoir de l info pas en donné cette dama a un regard très spécial une vivacité asse rare chez les vampire interesent mes ou son slobodan adam et guéric *