Aprés un dernier salut aux roses, il posa son regard sur le régent qui était de retour, celui-ci semblait pour le moins nerveux, voir en colère.
Il observa ainsi, se demandant ce qu'il allait se passer, quand Francis fut de retour.

Il répondit à sa question d'un signe de tête affirmatif des plus sobres. Enfin, discuté c’était vite dis, Nadia avait était aussi silencieuse qu'une tombe, si l'on oubliait les étranges paroles qu'elle avait murmuré.

Il attendais que le Régent parle, à son visage, il avait quelque chose de pas forcément sympathique à dire.

Arrivée de la Salle du Trône

Anathème sorti, lentement mais en faisant des pas de grande amplitude.
Il réfléchissait, visiblement et il était contrarié.

Il croisa un Caïnite faisant la trentaine et trapu. Ses yeux vert fixés sur la porte.
Ainsi qu'une femme sublime femme, fraîche et à l'odeur enivrante.

"Chercher des informations... Stanislas... putain, mon grand oncle en quelques sorte..."

Il leva les yeux pour regarder les autres personnes présentes dans le petit salon.

"Il faut que je prévienne Ruxandra, si seulement Zélios n'était pas mort..."

Il s'avança au milieux du petit salon, en frottant les plis de sa chemise, calmement, puis se redressa avec l'apparente intention de s'exprimer auprès de tous.

"Stanislas n'était pas un bleu, je suis dans la merde s'il s'est fait avoir."

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs.
Je viens de me présenter devant sa Majesté et je me présente maintenant à vous.
Nul besoin de vous annoncer mon clan, n'usant pas de mes disciplines présentement.
Je me nomme Anathème, je viens d'Autriche mais suis originaire de cette ville, qui a bien changé...

Il fit une petite pause, puis continua d'une voix calme et posé.

Arrivé depuis quelques jour seulement, j'ai erré dans les égouts sans trouver aucun des miens et j'espérais trouver ici Stanislas.
A peine présenté à l'Autorité, je me trouve investi d'une mission, dont je fais une affaire personnelle, celle de retrouver le Sénéchal de Sa Majesté.
Je vous demande donc aimablement, selon la volonté de notre Monarque, de me permettre de réunir les informations que vous détenez concernant, les récents travaux de Monsieur Stanislas Daragon.
La Reine sera informée de la participation de toutes les personnes permettant d'élucider les circonstances de la disparition de son Sénéchal et souhaitant des résultats rapidement, je commence la réunions d'information dès maintenant.
Il parlait avec aisance et assurance, alors que la plupart des Nosfératus semblaient timides, réservés ou mal à l'aise, principalement à cause de leur propre laideur.

J'attend de faire connaissance avec chacun de vous, comme j'attend chaque information à votre disposition.
Il avait fini par un ton ferme.
Il était peut-être jeune ici, mais, entre la volonté de la Reine et le fait de ne voir aucun des siens dans les sous sol... il devait montrer qu'il savait être professionnel, entre deux crises.

Tant bien que mal Nadia arrive à faire entendre raison à l'esprit qui commencer à l'ennuyer fortement. Elle le regarde donc passer au travers du mur avec un certains soulagement avant de regarder la pièce toujours cachée dans l'ombre. Tout soulagement disparait lorsqu'elle aperçois le visage grave du régent apparaitre. Elle connaissait se regard, il avait des ennuies. Elle fronce ses sourcils en l'observant de ses yeux verrons alors que Francis fait enfin son entré dans la pièce. Tant mieux elle avait à lui parler assez urgemment. Elle ne prend même pas la peine de répondre à sa question déjà parle plus doucement, timidement, les yeux au sol.

"Monsieur j'ai un message d'Etrius pour vous."

Elle espérait qu'il réagirait vite et qu'il ne déciderait pas d'attendre pour lui demander le contenu du message.

Visiblement nullement dérangé par l'apparence du nosfératu, ou du moins suffisamment doué pour ne rien en montrer, celui-ci l'observa un moment, puis le salua de manière polie sans pour autant rompre le silence qu'il gardait depuis un petit moment.

Francis venait de répondre et déjà une rose venait chercher le Régent.

Il se passait des choses graves au Louvre et bien sur le Régent était demandé.

L'Alastor souhaitais parler à Nadia seul à seul, chose qu'il aurait du mal à faire dans le petit salon. Aziel allait'il se retrouver seul tréméré dans le petit salon?

La faim commençait sérieusement à se faire sentir et il espérait avoir le temps de se nourrir ce soir, mais cella semblait mal engagé.

Nadia regarda le régent avant qu'il ne parte, elle reconnaissait se regard et elle savait qu'il était en colère, elle savait même pour quel raison, mais elle n'y pouvait rien, alors elle baisse de nouveau es yeux au sol. Au moins elle était sans le régent elle n'avait donc plus à utiliser d'excuse pour parler à Francis. De toute façon, le deuxième apprentis finirait lui aussi par le savoir alors autant qu'il soit préparé. Elle se racle la gorge et prend la parole à voix basse sans relever ses yeux d'abord à Francis.

"Nous allons avoir un problème monsieur........ Monsieur le régent n'a pas lu les compte rendu d'Ondoval, par conséquent il n'est pas au courant pour...... Mon étreinte. De plus se Louvre n'est pas protégé contre les esprit, encore une chance qu'il n'y est pas de nécromant en ville ou se lieu serrait maudit depuis un moment."

Elle reste quelques seconde silencieuse relevant enfin ses yeux verrons pour se plonger dans ceux de Francis, puis elle se retourne sur le nosfératu qui à prit la parole.

"Je suis navrée Monsieur mais je ne suis arrivée en ville que cette nuit et je ne connais pas monsieur le sénéchal."

Suite à la question de son supérieur, Aziel se mit à réfléchir un instant, il avait écouté plusieurs conversations entre vampires dans ce même petit salon quelques nuits auparavant. L'apprenti se mis à recroiser et compiler ses informations comme le ferait un ordinateur, le visage neutre. Puis enfin.

-" j'ais entendu que le primogène Brujah cherchait à créer un groupe d'intervention et de combat, je possède peut d'informations, mais de ce que j'en ai entendu, parmi les guerriers ayant fait leur preuves il se trouverais le bourgmestre des Gangrels.

Mis à part le primogéne Brujah et le bougmestre Gangrel, je n'ai entendu parler que du fléau mais celui-ci semble avoir disparu, il était d'une manière ou d'une autre en lien avec l'ancienne gardienne de l’Élyséeum qui fut détruite il me semble, celle-ci était l'infante de la reine.

je n'ai entendu parler d'aucun ventrue comme grand combattant mais cela dis je n'ai pas pus laisser mes oreilles traîner bien longtemps et fut rapidement invité à rejoindre la chanterie au plus vite par la reine elle-même.

Pour ce qui est de la discrétion... Il semblerait qu'il ne reste qu'un seul nosfératu camariste et actif sur Paris."

Il baissa d'un ton afin que seul ses deux compère puissent entendre la suite.

-"Quand à cette histoire d'esprits, je possède quelques compétence qui peuvent s'averer utiles à ce sujet."

Avant même d'arriver à la porte d'entrée du salon, Zlothan sût que de nombreux cainites y étaient rassemblés. Certains devaient, tout comme lui, attendre qu'on les appelle pour être introduit auprès de la reine de France tandis que d'autres, probablement les plus nombreux, devaient simplement se réunir là pour rencontrer leurs semblables et tisser des alliances et des intrigues. Nous somme dans un Elyséum après tout.
#Apparaitre, se montrer , être vu afin d'exister socialement!# un des règles que son sire lui avait inculquée lui revint tout à coup à l'esprit.

Alors qu'il entrait dans la vaste salle, il salua d'un sourire de circonstance aux lèvres les personnes présentes , très excité par le fait de ne connaitre personne ; essayant de deviner clan et importance...et imaginant les nombreuses alliances qu'il allait forger en ce lieu au fil des nuits à venir !

Pour lui Paris c'était un peu le far ouest du 19 ième siècle tout était à découvrir et à conquérir pour un homme un homme avec un peu d'ambition .... ET lui, il n'était pas peu ambitieux!

La plupart des personnes présentent "étaient rassemblées en petit groupe ; il était hors de question d'imposer sa présence sans y avoir été invité! cela était foncièrement déplacé , sans doute digne d'un Toréador mais certainement pas d'un Ventrue !

Il jeta donc son dévolu sur un fauteuil à peu près au centre de la pièce qui le rendait disponible pour un maximum de personnes présente , il ramassa un livre posé sur une table basse qu’il commença à feuilleter afin de se donner une contenance.

Nadia écoute attentivement son maître avec une moue de mécontentement. Il était pour mentir par omission au régent et cela ne lui plaisait pas vraiment, mais après tout elle n'avait qu'elle le faire elle même un peux plus tôt au lieux de s'en plaindre maintenant. Elle pose son regard sur Aziel entre la colère et l’intérêt, pour qui la prenait il elle avait les rituel qu'il fallait pour plier un esprit à sa volonté s'il le fallait. Le seul soucis était que l'on était en élyséum. Elle retombe dans son mutisme ses yeux verrons définitivement braqué au sol. Elle recule d'un pas se replongeant dans l'ombre pour s'en envelopper tel un manteau protecteur. Elle ne lève que légèrement les yeux lorsqu'un homme entre dans le salon, mais elle les rabaisse aussi vite. Elle attendrait que les autres ai fait connaissance avec lui pour se présenter. Nadia passe ses mains dans son dos pour en tordre les doigts alors que Cassandre s'approche d'elle pour lui murmurer à l'oreille se qu'elle avait apprit sur les esprits erre dans le Louvre.....

Une fois sortit du bureau du futur gardien, il ne restait plus qu'à attendre dans le salon le bon vouloir de la reine, mais avant de rentrer dans la salle la femme barricade son esprit afin de faire cesser les voix au moins le temps de l'attente, il serait regrettable qu'elle fasse une autres erreur. Lorsque Fleur passe la porte, elle égraine son chapelet en même temps qu'une prière silencieuse se récite dans son esprit, le regard translucide perdu au delà des murs de la pièce. Bien sur à peine a tel franchit la seuil les voix se remettent à l'assaillir. Rapidement sans le moindre regard pour les occupants elle se dirige dans le fond de la pièce ou elle se poste adossée au mur, prenant ensuite le temps de regarder chacun en silence. Aucun d'eux n'était de ceux qu'elle devait faire avancer, mais pourtant certains méritaient peut être de s'attarder un instant, après toutes les âmes que l'on pouvait sauver été bonne à prendre. Elle relève soudain son regard sur la petite trémère qui espère que l'on ne prêtera pas attention à son cas, mais elle se trompe son cas intéresse Fleur qui lui adresse un sourire de plus magnifique, serein. Puis elle regarde l'Alastor le visage se vidant d'expression pour enfin recommencer à fixer la porte de sortie comme si personne dans la pièce n'était présent.

Il regarda avec intérêt la jeune femme qui venait d'entrer . D'abord attiré par sa beauté avant de se rendre compte que quelque chose n'allait pas ; pas du tout ....
Il fût assaillis par de violent sentiments ; de la honte de la peur , du dégout mais pour lui même , il se sentait accablé par le poids de sa condition et se trouva répugnant; il devait s'éloigner de la jeune fille et au plus vite tant elle le faisait se sentir mal à l'aise en le ramenant à sa condition d'âme damnée... C'est ce qu'il fit essayant de ne pas trop montrer son désarrois , sans doute sans grand succès tant il se sentait mal ( jet de comédie). Il se leva donc et se dirigea assez rapidement, sans doutes trop pour ne pas attirer l'attention , au plus loin de la jeune femme , en mettant un mot sur ce qu'il ressentait : la vrai foi !!

Il fixait la jeune femme avec un mélange de peur de dégout et de haine; peur de ce qu'elle pouvait lui faire endurer , le dégout que sa foi lui faisait ressentir pour sa propre personne; et la haine pour cette femme qui lui imposait cela en plein Elyséum !! Comment cela pouvait il être possible ?? Une telle attaque , ici en plein Elyséum
Zlothan essayait de comprendre comment cela était possible se forçant à rester quelques instant afin de voir la réaction des autres vampires afin de déterminer si cette attaque était dirigée uniquement contre lui ou si elle mettait toutes les personnes présentes aussi mal à l'aise que lui.

jet de comédie

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'Dés 10 faces' : 6, 4, 7

A l'entrée de Mademoiselle de Rochefort, Anathème se dirigeait vers un fauteuil dans un coin inoccupé de la pièce et s'apprêtait à poser la main sur l'accoudoir.

Quand soudain il se senti nauséeux, acculé tel une proie, un sentiment particulier, quelque chose d'inconnu jusqu'alors.
Il éructa, comme si son sang tentait de remonter dans sa gorge.

Marqué par ce malaise soudain, il fit un faut pas, trébucha légèrement et se rattrapa avec l'accoudoir pour s'affaler sur le fauteuil.
Ses griffes se rétractèrent sur les accoudoirs en y laissant des sillons, pendant qu'il poussait avec ses pieds pour faire reculer le fauteuil dans un bruit feutré dû aux patins sous les pieds en bois.

Il serrait les dents si fort que ses gencives saignaient et donnaient l'impression, en couvrant ses dents de Vitae, qu'il venait de se nourrir.

Il chercha du regard la source de son mal-être soudain et ses yeux se posèrent sur la belle Brujah... une beauté ardente.

Jamais confronté à ce genre de situation, il se doutait fortement que sa détresse devait se lire sur son visage.
Il essaya alors de se concentrer sur un visage mais rien ne remonta dans ses pensés, soit, ce sera alors l'un de ces visages blanc et inexpressif qu'avaient les statues en plastique dans les devantures de magasins.

Spoiler:

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'Dés 10 faces' : 9, 6, 5

Encore sous le choc , Zlothan fut néanmoins assez conscient pour se rendre compte qu'il n'avait pas été le seul touché par la foi de cette femme; et cela le rassura quelque peu ...après tout son prédécesseur était dans un sale état ou en tout cas un état qu'il ne lui enviait pas . Il réfléchit une seconde .
Il devait montrer l'horreur de la situation mais pas trop pour ne pas que cela retombe sur les épaules du Gardien qui était un ventrue...il souriait intérieurement en imaginant ce qu'il aurait fait si ledit Gardien avait été un Toréador, il se serrait sans doutes arracher les chairs en hurlant de terreur jusqu’à la torpeur pour mettre ce dernier dans la situation la plus inconfortable qui soit !!

Il se leva donc d'un bon , trébuchant , les yeux exorbités de terreur et quitta la pièce en titubant et en hurlant

"C'est une honte..... une telle attaque ici dans ce sanctuaire !!!!! Quelle honte !!!!! Quelle humiliation "

jet de comédie

Une fois dans le couloir il fit mine de recouvrer ses esprits durant quelques secondes avant de confier un message à l'une des goules proches

"Mademoiselle , je suis Sir Zlothan émissaire de sa Majesté Mithras infant de Veddartha à la cour de Paris, veuillez céant dire à votre reine , que j'ai été attaqué par une femme qui m'a presque blessé et fait perdre toute contenance dans le salon en usant d'une foi qui est plus que suspecte pour un vampire . J'attends de voir comment cet incident diplomatique est géré avant de faire mon rapport à mon maitre ."

Une fois le serviteur parti délivrer son message il se laissa tomber le long du mur, et ainsi assis dans le couloir, il ferma les yeux .

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'Dés 10 faces' : 4, 8, 5

Une sensation des plus désagréable certes, qui lui entrait dans les tripes et le rendait des plus mal à l'aise.

Cette sensation venait de cette femme. Femme qui pourtant n'avait pas le visage d'un prédateur assoiffé de sang, non, elle avait même un visage calme, presque angélique...

Dans un monde aussi sombre que celui que connaissait Aziel, que ce fut en tant que mortel ou en tant qu'etre sans âme que sont ces abjectes suceurs de sang nommé vampires, il n'avait jamais ressenti une telle chose.

Les autres sangsues semblaient elles aussi dérangée, voie affolée par la présence de cette femme.

Qui était elle? Pourquoi cette sensation?

Pendant un instant Aziel ne pus détourner le regard de la Brujah. Tout ses sentiments ambigus y passèrent, sa colère, que seul les combats pouvait calmer, son désespoir d’être devenu un être mort-vivant et dépourvu d’âme, sa frustration d’être privé de libertés.

Il n'arrivait pas à détourner le regard de cette brune, un roc au milieux d'une mer déchaînée.

Il ne la haïssait pas mais il n'aimait pas sa manière de le regarder, il se posa ces questions :

*Pourquoi? Pourquoi m'envoyer cette sensation? je ne t'ai rien fait inconnue!
Pense tu vraiment avoir le droit de me juger sans savoir qui je suis ni par quoi je suis passé? Es tu sure que si tu avait ma vie tu n'aurais pas fait les mêmes choix et les mêmes erreurs?
Ce regard que tu me porte je ne pense pas le mériter; Oui je suis un monstre mais je ne l'ai pas choisi, ceci me fut imposé par un autre monstre.

S'il te plait avant d’abattre sur moi un jugement aussi dur cherche au moins à savoir qui je suis.*

Puis des pétales vinrent la chercher. Peut etre devrais t'il la retrouver un jour il voulait vraiment savoir pourquoi elle avait fait subir ceci aux gens présents.

Habillée tout en noir, Kalista était enfin arrivée au Louvre. Après avoir déposé ses différentes armes à l' entrée, comme d' habitude, elle demanda poliement à une goule :

" - Pardon, mademoiselle, pouvez vous dire à mon Primogène (clan Brujah), que je suis arrivée, s' il vous plait ? J' attendrai dans le Petit Salon."

" - Bien, mademoiselle."

Kalista arriva donc dans le Petit Salon après la tempête, elle vit Aziel un peu plus pâle que d' habitude, et lui demanda amicalement :

" - Ca va Monsieur ? "

Kalista mit sa main sur l' épaule du Trémère, elle réfléchit, puis se dit

* Une attaque mentale en plein Elyseum, c' est quoi ce délire ? *

Puis elle alla s' asseoir à une table, ou coincidence, était posé un livre sur la Chevalerie. En attendant que la goule vienne la chercher, elle se mit à feuilleter celui ci, tout en gardant un oeil inquiet sur le Trémère, et les autres vampires qui ont été incommodés. Elle essaya de détendre l' atmosphère en disant, sur un ton léger.

" - Hé bien, vous avez mangé des "trucs" pas frais ce soir ? "

Kalista vit un petit sourire gêné, puis salua de la main Nadia, qui semblait vouloir se fondre dans le décor...

Nadia qui avait tenté de se fondre dans le mur se trouva percuté de pleins fouet par l'aura dégagé de Fleur. Elle relève ses yeux verrons sur elle avec colère. Comment se faisait il qu'elle utilise sa en plein Louvre. Cet femme était soit folle, soit inconsciente, dans les deux cas les réactions ne se firent pas attendre. Alors qu'elle regarde les autres vampires tenter de se reprendre, elle recule jusqu'à se coller au mur, malheureusement Cassandre sentant le danger décide de rentrer et se jette droit devant. Nadia n'a que le temps de lui crier un ordre.

"Cassandre stop."

Sachant qu'elle venait de se faire remarquer elle se mord la lèvre inférieur avec un gémissement, avec un peux de chance les occupant étaient trop occuper par Fleur pour se rendre compte de se qui s'était passé. D'ailleurs Francis était sortit, il ne l'avait donc pas vu et ne la réprimanderait pas pour son manque de contrôle. Enfin on fit sortir la jeune femme et Nadia se jeta sur un fauteuil a côté de Aziel, sans un mot, le regard de nouveau au sol alors qu'elle tentait encore de calmer Cassandre. Lorsqu'elle fut calmé elle relève la tête sur le trémère un sourire gêné au lèvre avant de regarder de nouveau ses pieds.

Quelques secondes plus tard une autre femme entra dans le salon, mais Nadia toujours très secouée, ne fait pas attention a celle ci jusqu'à se qu'elle lui fasse un signe de la main. Elle lui répond par un petit hochement de tête timide.