Elle qui aurait aimé rester dans l'ombre ou mieux repartir d'ici rapidement, elle devait faire se que Francis lui avait demandé. Occuper un toréador, avec qui elle n'avait certainement rien en commun. Elle s'approche donc afin de laisser son visage prendre la lumière et pose ses yeux verrons sur le primogène avec un aimable sourire.

"Nadia Nitzulescu, apprentis du clan trémère, monsieur le Bourgmestre."

Nadia fait un signe de tête gracieusement et baisse ses yeux au sol.

Trop tard, la nouvelle se rependait déjà. Si ce n'était pas le cas,
la reine apprendrait la disparition du Sénéchale dans les minutes qui
vienne, mais encore une fois trop tard pour faire croire à ses sujets
qu'elle avait une longueur d'avance.

Sly regarde sa cousine
s'éloigner, suivit de l'alastor. Normalement elle devrait s'en sortir seul et surtout il ne
pouvait faussé compagnie au clan Tremere qu'il venait tous juste de
rejoindre.

"J'imagine que vous êtes également sans nouvelle du Sénéchal ?"

Se retrouver coincer avec deux laques du clan Tremeres, une horreur absolut ! La majorité d'entre eux sont tellement terroriser à l'idée de parler de ce qu'il ne devrait pas qu'on se retrouver immanquablement à parler de la pluie et du beau temps.

La situation avait très vite évoluée, laissant le bourgmestre des roses...sur les roses justement. Le jeune cainite ne pus réprimer un sourire d'amusement, il n'aurais pas voulu être à sa place.
Sa collègue semblant tout aussi sociable que le tréméré moyen, c'était à lui de tenter d'adoucir cet instant certainement désagréable pour leur interlocuteur.

-"Pour tout vous dire je ne connais pas le sénéchal, quand à sa disparition je vient à l'instant de l'apprendre. J'ai bien peur, bourgmestre, que vous ayez à faire à deux apprentis qui de Paris, ne connaissent pour l'instant que la chanterie.

Aussi, si le coeur vous en dis, peut être pourriez vous exposer la situation actuelle de la Camarilla de Paris selon votre point de vue aux deux nouveaux que nous sommes."

Aziel avait son air le plus amical, tentant de lancer un sujet de conversation assez large pour que la rose puisse le faire dériver de manière à ce qu'il ne s'ennuy pas trop.
D'un mouvement adroit, il remis sa pièce dans sa poche sans quitter Sly des yeux.

Luddmila afficha un air triste, faussement triste, qui fut suivit d’un éclat de rire… et elle s’approcha d’Ivan d’une démarche féline



Je comprends très bien, il n’est pas facile d’être ventrue… tu ne peux même pas te permettre une nuit entière de plaisir… avoir su que tu ne passerais pas la nuit à m’accompagner j’aurais accepté de servir de modèle !



Elle rit à nouveau, elle était visiblement d’humeur joyeuse



Je suis prête quand tu l’es… à moins que jouer à cache cache avec le sénéchal dans une ville en guerre te tente ?!?



Visiblement ce n’était pas son idée d’une soirée passionnante, mais… pour se faire une place c’était une cause !

La rose vint s'addosser à un mur pres du ventrue, si elle savait, il saurait déjà !

non rien... je peux passer un coup de fil a quelques personnes en ville, mais je ne crois pas que nous fréquentions le meme genre de personne lui et moi...

elle jeta un coup d'oeil à ce qui se trouvait dans la pièce, septique

je ne crois pas qu'il fréquentait le même monde qu'aucun d'entre nous... enfin nous pourrions être surpris !

Elle haussa des épaules, les yeux pétillants

mais tu as encore raison... c'est au clan nosfératue de commencer les recherche... ne serais ce que pour s'assurer qu'il n'est pas dans les souterrains de la ville !

Le retour de Melissange fut acceuilit par un sourire charmeur voir peut être un tantinet malicieux, ni provocateur, ni moqueur c’était plutôt un sourire comme ceux des mannequins masculins dans certains magazines. Ce genre de sourire entre la politesse et la tentative de séduction courtoise.

Il jetta un regard vers Orléane, pensant qu'elle était la prochaine pour la salle du trone, après tout cela ne se faisait pas dans l'ordre d'arrivé en cas de figure?
Puis reporta son attention vers Sly.

-"Il est vrais que le sujet est vaste, tout comme la ville. Les deux fois ou j'y suis passé; c’était pour un concert de Vanessa Maé la première fois, la deuxième pour le circuit Boris*, une belle ville. Vous y êtes depuis longtemps?"

Il observa les réactions du Bourgmestre, le pauvre Aziel visiblement cainite depuis peut, fixa un instant la carotide de son interlocuteur, avant de se souvenir que le coeur du vampire ne battrais pas plus vite s'il mentait ou cherchait à lui cacher quelque-chose; A dire vrais il ne battrais certainement plus jamais...

*D'ailleur comment un mort-vivant peut'il rendre son art vivant? N'y a t'il pas la un paradoxe?*

Son erreur de jeunesse et sa réflexion interne le firent rire intérieurement, il avait bien des choses à apprendre le jeune Aziel, mais au moins il en avait conscience

*

Spoiler:

Le charmant sourire d'Aziel trouva un écho dans le regard de la rose avant qu'elle ne se mette à surveiller la porte. Voyant le pétale arriver, elle sembla se détendre puis reposa ses yeux sur le tremere.

Elle semblait boire ses paroles, venant de comprendre que lui aussi était dans ce bourbier des eternels depuis fort peu de temps. Qu'elle bouffée d'air d'entendre parler d'autre chose que de tout ce capharnaûm !

"Complexe ?" la rose regarda son frere de clan avec un sourir ravissant.

"Vous utilisez un mot bien plus doux que celui qui me serait venu à l'esprit !" Elle se mit à rire divinement, vraisemblablement quelque peu stressée.

Ses yeux se reposérent sur le tremere, leur soie brune scintillante.

"C'est mon premier passage dans cette ville, ses trésors restent encore à découvrir pour moi." Elle haussa gracieusement des épaules. "Vous avez parlé de circuit Boris ?" Elle ne voyait pas de quoi il parlait, curieuse de nature, elle ne put s'empêcher de lui poser la question.

Un coup d'épée dans dans l'eau, le bourgmestre n'etait visiblement pas d’humeur joueuse, il avait ouvert deux sujets de conversation possibles et celui-ci n'en avait attrapé aucun au vol.
Le réflexe d'Aziel de surveiller la carotide de son interlocuteur n'avait doublement servi à rien, surtout que le bourgmestre ne s’était pas aventuré sur le sujet qui l’intéressait, il eut envie de rire de lui même et de l'inutilité des ses anciens réflexes.

Son regard s’arrêta sur Mélissange, dont il aimait le rire, lorsque celle-ci posa la question au sujet du circuit Boris. Bon c'etait un sujet de conversation comme un autre, mais il doutais que celui-ci intéresse réellement ses interlocuteurs, tant pis, il se lança.

-"Effectivement, le circuit Borris était un évènement underground de combat illégaux. Des riches payaient des pauvres ou des désespérés pour qu'il se battent entre eux..."

Il eut un sourire sarcastique.

-"Certains ont perdu la vie et le prix du vainqueur était de dix milles euros.
Une somme qui représente rien quand vous avez les moyens mais qui est suffisante pour des des gens se battent à mort.
Comme quoi, les gladiateurs trouvent encore demandeurs de nos jours, mais se sont souvent des clochards, des camés, des suicidaire ou simplement des gens suffisamment désespérés pour accepter ces conditions.

Mais au final c'est notre lot à tous non? Nous mangeons tous dans la main de quelqu’un, quelle que soit l'excuse que nous pouvons fournir.

Mais je ne pense pas que ce soit la un sujet qui puisse enchanter des interlocuteur, de votre qualité à tout deux, mieux vaut en trouver un autre non?"

Il avait repris on sourire amical, espérant ne pas vexer les Roses, il avait du mal à les imaginer, même mortels, être dans la détresse et le besoin, mais peut etre se trompait'il.

Nadia qui essayait désespérément de se fondre dans la tapisserie fut distraite par l'âme errante qui lui tournait autour depuis un moment et si elle n'avait pas était au Louvre elle lui aurait simplement commander de partir, mais elle devait faire avec lui....Et tout se monde. Elle put toutefois entendre son confrère parler de combat illégaux aux Toréador, elle fit une moue de mécontentement pas sur que Viennes approuve que l'on puisse sous entendre que les trémères étaient autres choses que des magiciens, mais comme Francis semblait avoir disparu elle ne pouvait en être sur. Enfin excédée par le fantôme et se mit à lui murmurer afin de de pas passer pour une folle...

" अब तक शेयर "

Il balayât la pièce du regard, observant les personnes présentes. Aucun Nosferatu en vue, ou alors il était bien maquillé...

"On y vas ?"

Quoi qu'il en soit, il avait quelques petites choses à voir avec la rose avant de se mettre en quête du Sénéchal ou de passer la nuit avec elle.

[sortie du petit salon]

Elle l'observait tout sourire la soirée allait etre intéressante... les soirées en sa compagnie à lui l'avait toujours été...

oui je te suis

elle salua tous un chacun d'un geste délicat de la tete et se dirigea vers la sortie d'un pas élégant et sensuel

Il jeta un coup d'oeil rapide et intrigué à sa collègue apprentie. Puis sourit de nouveau à Mélissange, qui heureusement ne pris pas ombrage de sa maladresse sociale.

Quand elle murmura un "c'est affreux", le tréméré haussa les épaules, chacun avait son lot et ses difficultés.

Les deux qui quittèrent la pièce ne semblant pas visiblement aller dans la salle du trône et les deux tréméré présent n'étant qu'apprentis, il pensa qu'il serait de bon ton et à la fois bien pratique de laisser les deux roses passer avant eux. Mieux valait attendre le retour de leur superieur.

De plus avec un peut de chance cela lui permettrais de faire connaissance avec la taciturne Nadia.

Il rebondit cependant sur les paroles de Mélissange, avec cet ineffaçable sourire, observant toujours les deux toréadors qui lui faisaient face, l'un après l'autre.

-"Pourquoi suis-je à Paris? Ma foi, en tant que trémére j'ai la même excuse que tous, on m'a envoyé ici. Chose que je ne regrette pas, cette ville regorge de trésors de toutes formes..."

Cette sensation..Pourquoi maintenant? Ha! oui, il est vrai qu'il avait faim, une faim qui malheureusement laissait du mous à sa bête, suffisamment pour que celle-ci le dérange; Cette chose, juste là, sous sa peau, dans son esprit; cette chose qui d’après lui ne faisait que remplir le vide que l'âme des vampires laissait en partant. cette chose contre laquelle le combat était constant et le lot de tout cainites.

*...Et puis elle est en guerre, c'est ça qui te plait hein Aziel? Allé dis leur que t'es la pour casser du sabbat, assouvir ta soif de sang, tu crois vraiment que tu vas réussir à garder ton masque aussi longtemps? Je te connais tu est une bête, un chien de combat, tu crois vraiment avoir changé, ne me fait pas...**Mais ferme ta gueule je t'ai rien demandé.*

-"...Ceci-dis, la personne étant arrivée en premier n'ayant visiblement pas l'intention d'aller voir la reine de suite; Et au vu de votre rang, Bourgmestre, il me semble que c'est votre tour pour la salle du trône non?"