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 Bureau de la primogène Toréador.

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Isabelle Des Termes
Primogène [Toréador] (PNJ)
Primogène [Toréador] (PNJ)
Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMer 5 Sep - 23:12

Isabelle porta toute son attention sur le pouce que glissait Armand entre ses lèvres, que faisait il ? Suspendu à son geste lent elle ne bougea plus curieuse de connaitre la suite de ses intentions, il approcha son doigt humide de son visage, elle regardait sa main délicate et manucurée, il a des geste féminin ceux qui envoutent. Lorsqu'il essuya sa joue elle comprit enfin et se laissa faire avec bonheur, surtout lorsqu'il déposa ses lèvres au même endroit.

"Votre baiser à bien plus sa place sur ma joue que cet matière... Je la travail pour lui donner vie. A vrais dire... La non vie. Je comptait faire une représentation miniature du corps d'un homme que j'ai vue nu ressemant."


Elle eu un petit sourire coquin. Armand ne pouvait savoir qu'elle avait vue ce spectacle par accident, mais qu'elle s'en était délecté avec délice, car le corps musclé de l'ex Fléau de la reine était pour ainsi dire sculpturale... Elle ne pouvait pas passer a côté d'un si beau modèle.


"Une de mes goules est partie cherché Manon, cette petite étourdie à oublié semble t'il de se présenter à son cour... Mais à défaut de la voir à l’œuvre vous pourrez vous satisfaire de m'observer moi en attendant qu'elle vienne.

Elle observa Armand comme s'il pouvait refuser d'être son spectateur alors qu'au lieu de l’élève il pourrait observer le maitre... Car parmi tout les art celui qui la passionnait le plus était sans conteste celui de la sculpture et Armand était un des premiers vampire après Villon et quelques autre trié sur le volet à entrer dans cette pièce, son entre. Ici elle effectué ses travaux de petite taille réservant les autres pour son hangar secret où seule ses goules les plus ancienne avaient accé. Personne n'avait connaissance officiellement de son existence mais les plus malin se doutaient bien que cette petite salle n'était pas le seul lieu de création de la Primogène Toréador...
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Armand Duplessis
Toréador
Toréador
Armand Duplessis


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyJeu 6 Sep - 4:05

Bien qu’ayant amorcé tout-de-suite la conversation après son geste de tendresse, Armand fut ravi de constater que son audace avait été appréciée, cela lui procura un bonheur intense.
Cependant il tressaillit sur les paroles de la Primogène lorsqu’elle lui expliquait ce qu’elle confectionnait.

Elle travaillait à faire la représentation d’un homme nu? Un homme nu qu’elle avait vu récemment?
Armand ne pouvait pas le contrôler mais une espèce de colère monta en lui. Un homme nu? Serait-elle volage? Est-ce que le contact intime au niveau des sens qu’ils avaient partagé hier n’était en fait qu’une coutume fréquente? Que plusieurs hommes venaient prendre place dans cet atelier et que ses hommes se dénudaient? Qu’elle permettait cela? Qu’ils le faisaient à sa demande?
Et elle me souriait! Et d’un sourire qui semblait confirmer mes craintes? Cette pièce d’argile semblait lui évoquer un souvenir sexuel? Elle rendait hommage a un homme nu en fabriquant une effigie!

Oh Armand ne riait plus, Oh que non! Son visage changea du tout au tout! Isabelle avait marché devant lui, Il était derrière, elle ne pouvait donc pas le voir
Son beau visage juvénile plein de tendresse s’était subitement métamorphosé en celui du Caïnite, fronçant les sourcils, ses yeux empli de fureur, un sourire mauvais et vicieux se format sur son visage, il crispa les poings!

En l’espace d’une seconde il se mit à réfléchir très vite! Mais quoi? Il était jaloux? Mais qu’est-ce-que c’était que ce cirque? Comment pouvait-il éprouver cette colère? Comme si elle était sienne? Comme s’il oubliait les 2000 cœurs qu’il avait brisés au Pays? Ses odieuses façons envers des femmes qui a genoux devant lui le suppliant de leur accorder ne serais-ce qu’un regard? Combien de femmes avait’il rendu totalement folles de lui et qu’il s’était mis à mépriser à la seconde ou elle fut consommées? S’il y avait un salaud dans cette pièce en ce moment même, c’était bien lui! C’ÉTAIT LUI! Ces femmes qui s’étaient suicidés parce qu’il les avait rejetés tout simplement parcequ’il n’avait pas trouvé en elle l’extase qu’il recherchait? Et il les avait toujours toutes dominés, ils les avaient toutes mises à genoux, a ses pieds, rampantes et implorant avec force et suppliques une simple petite attention de sa part!
Isabelle était sa semblable, elle avait probablement le même parcours que lui a ce niveau-là! Qui était-il pour la juger et pour se conduire comme jeune puceau écervelé? Maintenant sa colère était dirigée contre lui-même, il s’était écœuré lui-même d’avoir eu cette émotion de jalousie stupide, comment pouvait-il être aussi faible? Aussi faible devant cette femme?
Allait'il faire comme ses femmes, se mettre à genoux et pleurnicher pour qu’elle lui promette son amour?
JAMAIS!
JAMAIS!
JAMAIS!
JAMAIS il ne s’abaisserai de la sorte! Plutôt mourir ultimement!
Armand repris vite ses esprits, Isabelle n’ayant pas pu voir encore son expression facial, il devait faire vite pour chasser ces émotions de….MERDE de sa tête!
Il réalisât que le duel entre elle et lui continua, il était loin d’être terminé, même très loin d’être au zénith. Et en ce moment même, Isabelle lui avait fait plier les genoux! Comme le combattant qui reçoit le coup en se demandant si c’était celui qui allait le mettre au tapis!
Il était hors de question qu’Isabelle voit l’expression de son visage, hors de question qu’elle puisse jouir de cette bataille qu’elle venait de remporter haut la main avec une simple phrase!
Non il réussi rapidement a reprendre ses sens et a réafficher son air d’ange, de douceur et d’amour.
Mais…Réalisait-elle qu’elle venait de frapper? De le dominer? Ou étais-ce une pure coïncidence? Ou un coup de la chance lié au simple hasard?
Armand n’allai pas lui laisser l’impression d’avoir réussi son coup si telle était son intention.
Il lui affichait un beau sourire empli de chaleur et de tendresse en la couvant d’un regard de bienveillance ultime.
NON, elle ne verrait rien, il ne lui infligerai en aucune façon le spectacle de son désarroi!
Elle n’y verrai que du feu et cette combustion attisait Armand a ne plus jamais oublier cette trêve de prudence! Un duel! Parfaitement! Et il était hors de question qu’il perde! Il allait la soumettre! Il allait lui faire pleurer des larmes de sang en l’obligeant a le supplier de lui accorder son amour! Elle ne gagnerait pas! Il ne le permettrait pas! Jamais il n’avait perdu le moindre échange de séduction et il comptait bien garder son score intact.

Elle s’était tourné vers lui pour lui adresser à nouveau la parole, elle n’avait rien vu de sa faiblesse, il avait les même traits que quand il l’avait embrassé.
Manon…Oui c’est ça Manon, parlons de Manon. Manon la sculpteuse. Cette petite étourdie comme elle venait de la qualifier aurait faits quelques mégardes qui lui causeraient un retard.
Isabelle proposait même à Armand de la regarder de la contempler à défaut de voir Manon à l’œuvre…OUPSSS… L’espace d’une fraction de seconde il prit cette invitation comme une gifle, comme une humiliation!

-« Excusez-moi Mademoiselle Des Termes je dois me rendre à la salle d’eau. Pardonnez-moi, je reviens aussitôt, je ferais très vite! Pardon! »

Il sorti de la pièce et en apercevant le bel homme, il lui demandait de lui indiquer la salle d’eau, la goule pointa un doigt vers une porte et Armand allât s’introduire dans la pièce en question. Une salle d’eau de très grand luxe. Il alla vers le lavabo puis tourna le robinet et aspergea son visage d’eau, il s’aspergea et il s’aspergea encore. Puis il croisait son propre regard. Comme si Dieu venait de le prendre sur le fait d’une trahison. Il avait honte. Il s’adossa au mur puis se laissait glisser jusqu’au sol!

Il avait vu la Reine oui, elle dégageait une énorme majesté, une énorme puissance de contemplation, elle devait être le summum de ce qu’il devrait rencontrer dans toute sa non-vie…Mais elle? Isabelle Des Termes? Comment pouvait-elle le mettre dans cet état? Comment osait-elle? Il en avait vraiment honte, son âme était déchirée. Il voulait la tuer autant qu’il voulait la posséder pour l’aimer, il voulait lui faire du mal autant qu’il voulait la prendre dans ses bras pour la mettre à l’abris définitivement rassurée.

Il se sentait comme un homme dont son esprit se scindait en deux. Il devait retourner la voir et ne rien laisser paraître. Elle avait généré chez lui une passion qu’il n’avait jamais vu naitre en lui. Il devait se calmer, analyser et comprendre cette mystérieuse passion qui le dominait, avant de pouvoir dominer lui-même cet état qu’il jugeait détestable en ce moment..

Il se levât, ajusta ses vêtements, replaçait ces cheveux, vérifiant qu’il était impeccable et immaculé. Il quitta la pièce pour retourner voir Isabelle.
Le serviteur lui affichait un sourire.
Oui exactement ce genre de séduction qu’il devait contrôler et non l’inverse. Armand savait qu’avec un seul mot il pourrait déstabiliser ce beau serviteur afin de faire naitre chez lui des désirs incommensurables envers Armand. C’était une preuve, que son talent de séduction était toujours en lui, ce qui lui donnait une certaine assurance et entra dans l’autre pièce pour rejoindre Isabelle.
Aussitôt entrée il s’approcha d’elle tout doucement.

-« Excusez-mon malaise très chère, mais vos paroles…Vos paroles me proposant que je me satisfasse de vous admirer et de vous observer m’ont fait déborder de plaisirs et de sublimations au point que je n’arrivait malheureusement plus a me contrôler sur le moment. Je devais m’absenter un moment pour faire taire ses émotions intenses que vous aviez faits naitre chez moi et ce, bien malgré vous. Émotions indigne d’un gentleman comme moi! Je me dois d’une convenance certaine en votre présence Mademoiselle Des Termes. Veuillez me pardonner! »

Il s’inclinait devant la dame.

-« Aussi, c’est pour moi un immense honneur que vous me faites en m’invitant dans votre lieu de création, sachant par moi-même tout ce que cela peut représenter de très intime. Je me sens absolument privilégié. Merci Mademoiselle! »

Il s’approcha d’elle.
Puis se jeta sur elle, posant ses lèvres sur sa bouche, arrachant avec force son corset, promenant ses lèvres partout sur son visage, lui manquant totalement de respect avec sa langue glissant sur sa chair, défaisant sa robe mettant ses seins a nues et aller déposer sa bouche et ses lèvres sur l’un de ses seins, pendant qu’avec sa main, ses doigts se mirent a pénétrer les lèvres de sa bouche, elle se délectait de ses doigts et tout en gardant son sein dans sa bouche il alla caresser l’autre sein de son autre main avec une tendresse pure et infinie, causant chez Isabelle un spasme intense de plaisir brut! Armand pouvait observer les jambes d’Isabelle trembler sous l’emprise de la quintessence de la jouissance provoqué par ses mains, ses lèvres et sa langue. Elle hurla!

Tout cela se déroula l’espace d’une seconde dans son esprit, ce fut comme un choc, une espèce de commotion! Naturellement il ne s’était rien passé de tel, elle était toujours devant lui tout habillé dans son magnifique corset. Il ne s’agissait que des images que sa propre passion avait transposé, ou plutôt imposé à son esprit.

Armand se contenta d’afficher un sourire de gêne en souriant maladroitement a la belle en demandant du regard, qu’elle était la suite?

Il l’ignorait, mais sa passion avait créer une énorme, solide et brutale érection dans son pantalon et que la surprise du moment l’empêchait de déceler. Bien membré de par la nature. Il était impossible qu’Isabelle ne remarqua point cette protubérance, elle apparaissait si flagrante comme le nez au milieu du visage.
Mais Armand se tenait benoitement devant elle, tel un enfant qui vivait ses premières érections sans en tenir le moindre compte! Il ne réalisât toujours pas cette réaction de son corps pourtant très étrange sur le corps d’un non-vivant.
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Isabelle Des Termes
Primogène [Toréador] (PNJ)
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Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyVen 7 Sep - 18:23

Si t'en est qu'Isabelle eu remarqué la réaction de colère qui avait naquis sur le visage d'Armand, elle en aurait profité pour enfoncer le clou, mais se n'était pas le cas et elle ignorait l'impacte de ses paroles sur le beau Toréador. Évidement elle n'avait pas lancé ça par hasard, car lui parler d'un autre homme lui rappelait qu'il n'était pas le seul à tenter de la séduire et que d'autre était allé bien plus loin que l'embrasser. Peut être n'avait elle rien vue, mais les silence comme elle l'avait dit la veille sont parfois bien plus évocateur que de longs discourt et elle savait donc qu'elle avait marqué un point. En fait elle en avait marqué bien plus semble t'il, mais elle lui avait tourné le dos pour retourner à sa place derrière la table de confection.
Grave erreur dans un jeux de séduction, a moins que se soit pour elle même cacher l'expression de son visage ? Regardons y de plus prêt...

Sur les lèvres d'Isabelle un immense sourire, des étoiles sembles briller dans ses yeux. Il semblerait qu'elle ai parlé vite après le baisé pour ne pas montrer sa joie que finalement elle ne peux retenir en elle et l'exprime à présent bien caché de tout regard sur son visage. En effet le baisé langoureux d'Armand sur Isabelle ne l'a pas laissé indifférente. Toute cette passion l'enivrait, elle veux rire, danser et chanter ! Comment avait elle pu se laisser ainsi dépérir depuis le départ de Villon ?

Pourquoi cette fuite ? Reviendrait il ? Qu'avait elle fait de travers ? Y était elle allé trop fort ? Avait il fait semblant de ne pas connaitre Manon et était présent cette nuit que pour cette nouveau né impur ! Non ! Il ne pouvait en être ainsi.


"Luc ! Assure toi qu'il n'est besoin de rien. Et retire ce sourire nié de ton visage."


Sa voix est sèche elle parle a sa goule, pour elle elles ont pas de valeur se ne sont que des esclaves fragile et influençable. Si Armand l'entendait il ne la reconnaitrait pas.
Le beau brun s'exécuta et attendit proche de la porte sans parvenir a réprimer un sourire lorsqu'Armand lui en adressa un, l'humain avait succombé aux charmes du vampire.
Il revenait... Il était revenue a elle et excusé de son départ, mais il n'y en avait pas besoin. Tout a été pardonné au premier de ses sourires ! Il la remerciait à présent, c'est ce qu'elle espéré après son invitation, mais ses remerciements allé au delà de tout se qu'elle avait pu imaginer. il l'avait fuit car comme il osé lui avoué droit dans les yeux elle avait éveillé trop de joie en lui...
Elle avait déjà déclenché de telle passion, mais jamais elle ne l'avait autant emplit de plaisir. Elle se complaisait de ce bonheur fugace alors qu'il imagniait leur corps enlacé.
L'expression gêné puis interrogative d'Armand ramena Isabelle sur terre. Elle allait prendre place sur sa chaise lorsqu'elle le remarqua.
L'objet du désir.
Le maitre du plaisir.
Le sexe en rut d'Armand pointait du doigt tous les désirs qu'il éprouvait à son encontre, mais loin de l'effaroucher, ce témoignage grandiose l'exitait, l'enivrait encore plus, elle le voulait.
Là.
Au milieu de la terre malléable.
Elle voulait modeler ce pénis dur comme la pierre, le gouter, le sentir en elle.
Elle voulait tout, réécrire la définition du mot passion en un rituel de mouvements langoureux et que cette passion les consument.

Il lui suffisait de tendre la main de se saisir de cette protubérance prometteuse.


Spoiler:
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Admin

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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyVen 7 Sep - 18:23

Le membre 'Isabelle Des Termes' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 7, 9, 2, 5
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http://vampiredeparis.jdrforum.com
Isabelle Des Termes
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Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyVen 7 Sep - 18:52

En une fraction de seconde la voila collé à lui immobile sexe contre sexe, elle sent la chaleur de celui d'Armand sur le sien. Elle inspire doucement, mais profondément, s’imprègne de son odeur. Ses seins libre de corsage son une invitation à la débauche.

Elle susure.

"C'est un réel plaisir que vous soyez là..."


Devait elle le plaquer contre la glaise se saisir de sa bouche dans sa bouche, faire pénétrer son sexe dans le sien ? Non, elle était trop prise par le jeu, il ne fallait pas qu'elle cède à son envie, regretterait elle lorsque dans les journaux du matin son nom apparaitrait à côté des qualificatif : Primogène frivole ? Il était trop tôt, elle avait fait trop d’effort pour arriver a cette place pour tout gâcher. Serte si le ramage se rapportait à son plumage il est sûre que ce serait le plus grand de tout ses amants, mais à quels prix ? Pour combien de temps ? S'ils se laissaient aller à leur passion la laisserait elle vide ensuite sans attrait l'un pour l'autre ?

Elle plongea son regard dans le sien, se noya dans les tréfonds de son âme.

Le temps se suspendit et cédant à l'envie l'embrassa. Leurs bouches se trouvèrent et une explosion de sensations se firent sentir toutes plus bonnes les une que les autres. Elle l'emprisonna dans ses bras et glissa sa langue entre ses lèvres humides un picotement jouissif en résultat. Elle n'avait jamais embrassé avec autant de conviction et n'en avait jamais non plus eu autant en retour. Elle ne voulait plus se détacher de lui, mais il le fallait.


"Appelez moi Isabelle..."


Elle venait de toucher au fruit qu'elle c'était elle même défendu. Se détachant à regret elle recula d'un pas en faisant glisser ses mains le long des bras d'Armand pour enfin en saisir les doigt délicat.

"Si nous libérons notre passion elle nous consumera."
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Armand Duplessis
Toréador
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Armand Duplessis


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptySam 8 Sep - 8:39

Ne détectant toujours pas l’anomalie de son corps, Armand fut pétrifié de la voir à une certaine distance de lui pour ensuite la voir apparaitre collée tout contre lui.
Ses yeux s’agrandirent! Il avait constaté subitement l’état de son membre car celui-ci était fermement collé sur le sexe de la Primogène, s’ils eut été nues, dans cette position et avec la rapidité de son geste, la pénétration totale et complète aurait été effectuée immédiatement, mais leurs vêtements leurs en interdisaient l’accès.
Armand était sous le choc! Réalisait que son…Quelle horreur! Il avait osé bander effrontément au visage d'Isabelle, exhibant son vit mutin et voyou sous ses vêtements! Et que cette réaction impromptue avait fait en sorte qu’elle se colle sur elle avec une aussi rapide vigueur!
Elle exultait!
Non, décidément elle ne l’aidait pas du tout à retrouver sa classe de gentleman pour lui permettre de remmettre son appareil, autrefois génital en position de repos.

Elle lui disait le plaisir que sa présence lui procurait.
Mais étais-ce possible? Son sexe grossissait encore! Mais c’était fou! Comment cela pouvait être? C'était inouï! Cpmlètement surréaliste!
Non, non. Il fallait qu’il se reprenne, qu’il lutte contre l’incommensurable désir qui le possédait totalement.
Il essayait de penser a des choses que lui ferait l’effet d’une douche froide, il essayait de penser a sa mère, ou ses violents et horribles moments de souffrances et d’humiliations qu’il avait du subir lorsqu’il était en prison au Québec.
Mais c’était inutile, inutile de combattre le désir du sexe d’Isabelle collé sur le sien, comme si son corps le supplia de l’empaler sur-le-champ.
Le temps qu’il prenait à réfléchir, elle s’empara de sa bouche pour l’embrasser avec fougue et passion, sa langue effectuait une danse des plus érotiques aves la sienne.
Ils se dévorent l’un l’autre dans le désir, l’espace d’un moment complètement détaché de tout.
Armand déposa même ses mains sur les fesses d’Isabelle pour appuyer son corps plus fortement contre lui, mettant une forte pression du sexe d’Isabelle contre et sur le sien.
Armand jouissait! Et il savait qu’il pourrait jouir encore au centuple avec elle. Il voulait la jeter sur la glaise et lui manquer de respect en arrachant ses vêtements et disposer totalement de son corps, lui montrer visuellement son vit darder devant elle comme pour la choquer, lui provoquer une réaction de honte intense devant l’objet du désir et que cette honte puisse se jumeller à un désir de se laisser posséder pour créer une double sensation qui lui ferait perdre toute notion de son esprit et faire en sorte qu’elle se laisse pilonner comme une vierge effarouchée mais en étant paralysée par l’extrême jouissance et suppliant intérieurement que l’amant ne cesse point sa besogne ou qu’il perde de sa vigueur.

Le baiser de feu et de foudre se prolongeât un moment, qui sait? 5, 10 ou 15 minutes? Ils n’étaient plus temporellement connectés.

Décollant sa bouche dans des filets de salives, elle lui demanda de l’appeler Isabelle pour ensuite reculer doucement en trainant ses mains le long se son corps jusqu’au bout de ses doigts.
Elle se contenait, voulait éviter d’être consumée lui disait-elle.

Elle avait perdu pied elle aussi en ce début de nuit! Le combat était férocement engagé, fort probablement bien malgré elle, Isabelle l’avait mis dans tous ses états au point ou il avait eu besoin de se rafraichir les idées dans la salle d’eau. En revenant se fut autour d’Armand de la mettre dans tous ses états malgré lui.
Ils entretenaient un duel auxquels leurs corps n’agissaient pas de concert avec leurs esprits. Le désir de se consommer charnellement parlait de lui-même indépendamment d’eux.
Ils devaient se faire violence pour se contenir, s’empêcher de se jeter l’un l’autre, corps à corps dans une lutte a faire hurler l’autre de jouissance.
Armand devait reconnaître qu’elle avait raison! Ils devaient contrôler leurs corps et ce, dans les plus brefs délais.

Il alla s’asseoir sur une chaise derrière une petite table ou des matériaux de sculpture prenaient place, ou plutôt il alla dissimuler l’état toujours actif de son membre qui réclamait avec force et suppliques le fruit qu’on venait de lui passer sous le nez pour ensuite lui en refuser l’accès…Que de cruauté témoignée sur cette partie de son corps.
Il croisa ses jambes en tentant de maximiser la dissimulation et posa son menton dans le creux de sa main dans une geste tout à fait féminin.

-« Oui…Isabelle, vous avez raison! Nous nous devons de garder une certaine convenance, après tout, nous ne sommes pas des Caïnites communs. Un tel acte doit être transfiguré avec préparation pour en faire un art qui nous convertira en esclaves de l’œuvre. Soyons…Au-dessus de cela pour éviter d’en faire une simple action vulgaire commandée par la nature ancienne de ce que nous étions. Aussi je vous remercie de vous être retiré afin de nous permettre de conserver notre tact et notre élégance…Du moins pour le moment. Mais…Nous devons reconnaître, qu’effectivement, nous…»

Il ne terminait pas sa phrase, ne trouvant pas le mot ou ne voulant pas le dire pour contrer le risque de recréer une réaction incontrôlée de son corps.
Puis prenant une mine détachée en ajustant sa cravate et en repositionnant son épingle a cravate.
-« Que me proposez-vous maintenant ma belle…Isabelle? Allez-vous vous mettre à l’œuvre pour moi ou d’autres plans vous seraient venus à l’esprit? Oh et...Appelez-moi Armand!»

Le duel était égal jusqu'à cet instant, chacun avait porté son coup sans pouvoir le préméditer. La partie allait certes se poursuivre, cette partie de séduction avec des coups subtils et en traitre de provocations. Lui tout comme elle, allèrent de toute évidence jouer ce jeu le plus longtemps possible pour retarder l’acte afin de s’assurer de modeler l’irruption d’un volcan de passions, d’extases et de désirs.
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Isabelle Des Termes
Primogène [Toréador] (PNJ)
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Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyLun 10 Sep - 17:49

Armand alla se réfugier sur une chaise éloigné cachant sa virilité sous la table, Isabelle quant à elle s’appuya au mur s'y plaquant presque à la recherche de stabilité, son esprit était sans dessus dessous, partagé entre l'enivie de suivre les pultions de son corps, celle de gagner le jeu et celle de rester digne tout en ne mettant pas un terme au combat.
C'était pure folie une sorte de torture qu'ils intensifiaient l'un a l'autre. Car si lui ne finissait pas sa phrase elle était capable de le faire. Ils sont tout deux comme des aimants irrémédiablement attiré l'un vers l'autre, résister à la traction est un travail de chaque instant, la moindre seconde d’inattention et fatale. Ainsi elle avait été si surprise de découvrir l'appendice désobéissant d'Armand qu'elle c'était dans la seconde retrouvé projeté contre lui réclament à corps et à cris plus de contacts encore.

Œuvrer ? Ah oui... Elle devait sculpter la glaiser de ses mains... Elle posa un regard indéchiffrable sur Armand. Son Amant du Plaisir... Elle eu un petit sourit à cette pensée.

Alors a une vitesse délibérément lente elle alla prendre place sur sa chaise de travail, chacun de ses mouvements semble faire partie d'une danse de séduction. Plus ils sont proche plus la traction est grande elle sens l'onde la traverser plus intensément maintenant qu'elle a fait deux pas pour se rapprocher, il doit le sentir aussi. Elle le dévore du regard et relance le jeu. La mi-temps est terminé.


"Approchez vous Armand... Qu’espérez vous voir de ma technique de si loin..."

**Je ne mord pas...**


Elle réprime a nouveau un sourire plus intense.

**Pas toujours...**


"Quelque soit la matière il faut la prendre en main, la sentir, connaitre le moindre de ses défaut et qualité."

**Pour les exploiter...**


Le double sens n'était même pas caché, elle voulait le connaitre d'avantage pour mieux comprendre leurs attirance partagé.
Elle prit en main la boule de terre qu'elle avait commençé à travailler avant l'arrivé d'Armand et recommença à la malaxer...
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Armand Duplessis
Toréador
Toréador
Armand Duplessis


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 11 Sep - 4:40

Finalement ils semblaient, sans vraiment le réaliser, dans un état de choc. Rien en se levant plutôt cette nuit, aurait pu laisser prévoir ce qu’il adviendrait quelques heures plus tard pour eux. Du moins en ce qui concernait Armand.

Elle était allée s’appuyer sur un mur, puis elle avait lancé un regard pénétrant sur Armand. Ce qu’elle devait réfléchir la belle Isabelle. Tout comme lui d’ailleurs.
Si leurs neurones produisaient de l’énergie commercialisée, il y avait dans cette pièce de quoi éclairer tout Paris!

Finalement elle souriait à Armand et ce dernier le lui avait rendu, presque timidement.
Mais! Elle alla doucement et très lentement vers sa chaise de travail afin qu’Armand puisse observer le moindre de ses mouvements, elle le provoquait gestuellement, le mouvement de ses hanches, de ses fesses…Elle voulait l’allumer davantage.
C’était comme de mettre une balle entre les deux yeux du condamné a qui on venait de couper la tête.
La cruelle! Non mais quelle…. Oh la…. Méchante! Méchante fille!
Armand sorti son mouchoir de sa poche et se le plaqua contre sa bouche en fermant très fort les yeux.

La voix de la Toréador le fit sursauter, elle l’invitait à aller le rejoindre.
Non seulement elle l’invitait mais jouait avec ses mots pour l’exciter davantage…Pour gratter la plaie.

Armand se leva, tranquillement, en jetant un regard furtif en biais sur son entre-jambes afin de s’assurer qu’il gardait le contrôle total de son corps.
Le résultat n’était pas parfait mais visuellement, cela paraissait beaucoup moins, il pouvait donc se déplacer en espérant paraître discret a ce niveau.
Une fois debout, il ajusta sa cravate mais garda son mouchoir à la main, comme s’il pouvait éventuellement s'en servir comme d'un bouclier contre la séduction intense de la Primogène.

Armand la regarda, elle lui souriait encore. Armand était envouté.
Méchante! Méchante fille!
Il avait envie de la gifler! De la mettre sur ses genoux pour lui administrer la fessée!
Armand se disait que si elle poursuivait dans cette voie, qu’il n’aurait aucune autre alternative que de lui infliger à nouveau, le spectacle de sa protubérance dressé au plus haut point du firmament, mais cette fois…Sans pantalon!

Soit. Elle voulait croiser le fer à nouveau…D’accord! D’accord! D’accord! D’accord!…
Il alla faire de même. Il posa un regard extrêmement intense sur Isabelle, en souriant farouchement, levant légèrement le coin de sa lèvre. Puis passant sa langue entre ses lèvres dans un geste qui se voulait innocent

Elle ajouta une phrase concernant la manipulation de son…D’un objet pour en connaître la moindre parcelle, la prendre en main.
C’était encore du double-sens mais cette fois Armand était en mode offensif, en mode « intervention. »

Il se dirigeait vers un lecteur cd, manipulant quelques disquettes qui étaient tous a coté, il en sélectionna une et la mis dans la fente et appuya sur Play. "Cliquez ici pour l'entendre"
La musique se mis à se répandre doucement dans l’atelier.
Il reporta aussitôt son regard sur Isabelle, dans le plus profond de ses yeux comme s’il regardait son âme, les yeux d’Armand se mirent à briller, il la déshabillait et lui faisait l’amour de son seul regard.

Elle malaxait une boule de terre meuble et humide.
Armand tira une chaise et alla la placer derrière elle, il s’asseyait en écartant les jambes afin qu’il puisse se coller sur le dos d’isabelle.
Il passa la tête par-dessus son épaule pour mieux observer ce qu’elle faisait, mais en effectuant ce geste il effleura le cou de la belle avec son menton dans une douce caresse voluptueuse. Il posa ensuite ses mains sur les épaules d’Isabelle, la caressant très subtilement avec ses pouces. Son eau de Cologne alla servir d’outil a son dessein. Il en répandait la fragrance qu’elle ne pouvait ignorer.

Lui aussi allait faire preuve d’une cruauté sans nom!
Il déposa un doux et tendre baiser sur sa nuque en effleurant ses boucles.
Puis pour l’achever. Il laissait libre cours a son entre-jambe de prendre la même forme démesurée qui avait mis Isabelle dans tous ses états quelques instants auparavant. Il s’assurait qu’elle le ressente sur les rondeurs de ses fesses.

**Eh oui! Lorsqu’on veut danser avec moi, il vaut mieux s’assurer de pouvoir être en mesure de tenir pendant toute la musique. Il est temps de te montrer que je suis plus coriace que tu ne le crois ma belle, j’ai des gestes féminins certes, mais cela ne veux pas dire que je suis une lopette! Surtout pas a ce jeu-là!**

Il lui chuchota à l’oreille
-« Isabelle…Ma très chère, qu’allez-vous confectionner? Un autre homme nu? Vous ai-je dit que mes doigts sont également très habiles pour malaxer…Pétrir et attendrir la matière qui ne demande qu’a prendre vie? »

Et Toc! Du double-sens il en était question? Eh bien voilà!...Voilà!
Il observait dans un miroir au fond du mur en face, les réactions de la belle Isabelle!

En faisant office de jouer le jeu et de croire en prendre le contrôle, cela donna une certaine assurance psychologique à Armand pour le préserver de ne pas perdre les pédales à nouveau. Quoique c’était très fragile, il jouait avec le feu, une minuscule erreur de concentration et il perdrait totalement pied!

-« Manon sera si en retard que ça?….Ciel!»
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Isabelle Des Termes
Primogène [Toréador] (PNJ)
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Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyJeu 13 Sep - 20:41

Accrochez vous mes amis c'est repartit pour un tour !! La musique et lancé et les acteurs sont en place !

Arrimé à sa chaise Isabelle subit de plein fouet l'attaque sournoise d'Armand, qui lui plante l'arme dans le bas dos et l'en menasse, surprise elle se cambre légèrement. Luky luke ! Il dégaine plus vite que son ombre ! Des paillettes pleins les yeux et un sourire malicieux sur les lèvres la Primogène accueille avec bonheur le retour du gros calibre...
Le Toréador à verrouillé sa cible la belle ne peux plus esquiver, ce n'est plus un jeu... C'est la guerre !
La musique les entrainent met en place le décor et agrémente l'action comme au cœur d'un film. Isabelle frissonne sous la caresse caché d'Armand, elle se languissait déjà du contact de son corps contre le sien et il avait répondue à son appel, il était là... Tout contre elle. Elle se laisse légèrement allé en arrière et les cheveux ondulé de son "amant du plaisir" lui chatouillèrent le visage.
Il lui susurre à l'oreille il ne rigole vraiment plus, il joue avec les mots signifiant qu'il a comprit la passe qui lui a permit à elle juste avant d'envoyer furtivement quelques pics dans le camps ennemie. C'est la riposte qu'elle vient d'encaisser et elle ne va pas rester là sans rien faire ! Non !
Elle est une pro et on ne défit pas un pro sans en tirer les conséquence.


"Oh ?"


Le prenant au mot, du moins au premiers sens, Isabelle se retourne en secouant ses fesses* pour pouvoir agiter joyeusement la boule d'Argile devant le visage angélique d'Amand.


"Je vous en prit... Vous avez piquez ma curiosité... Montrez moi se que vous savez faire..."


Savez t'il vraiment sculpter ou était ce juste pour le double sens ? L'avait elle piégé ou aurez elle une vrais démonstration de ce savoir faire caché ? Plus de simulation, ses seins sont à nouveau contre le torse de son adversaire, il faut le déstabiliser. Pour donner plus de vie à la scène elle prit la peine de respirer, comme le ferait un humain excité, haletante elle projette son haleine fraiche sur le visage d'Armand en réponse à la délicieuse odeur d'eau de toilette que celui ci dégage, toutes les armes sont bonnes à prendre. La bouche entre ouverte, elle attend la réponse de l'homme.


Spoiler:
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Armand Duplessis
Toréador
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptySam 15 Sep - 3:31

Coller sur le dos d’Isabelle, Armand savoura le moment, non seulement la position était confortable pour lui, mais il avait l’illusion d’avoir un contrôle total de la situation.
D’autant plus que la belle manifestait de la satisfaction quant a la pression du Toréador collé sur son dos, sur la rondeur de ses fesses.
Chacun semblait savourer le moment jusqu'à ce qu’Isabelle fasse un mouvement en poussant une petite exclamation.
Prenant le soin au passage de bien frictionner ses fesses sur l’excitation d’Armand. Elle se tourna vers lui.
Celui ci, sous le coup de cette caresse fessière s’écarquillaient les yeux et essayait rapidement de reprendre le contrôle de ses émotions.
L’envie qu’il avait d’aller glisser la main pour lui agripper une de ses si magnifiques fesses. Imaginer l’expression du visage de la primogène avec sa main au derrière.
Mais elle le sortait de sa rêverie en lui tendant le morceau d’argile.
Elle voulait connaître ses talents dans l'art de sculpter l’argile avec ses mains.

Armand pris maladroitement le morceau d’argile comme si on venait de lui tendre une crotte de bique. Le tenant du bout des doigts comme s’il risquait d’attraper un dangereux virus. Il réalisait qu’elle voulait le tester, puis tournant le visage vers Isabelle, il eut comme un sursaut, il avait momentanément oublié qu’elle était si proche de lui. Son joli visage était…Vraiment proche du sien.
Et cette fois c’était elle qui le menaçait de ses atouts. Elle collait ses seins sur son torse. Elle lui rendait la monnaie de sa pièce.
Il était paralysé l’espace d’un instant, Isabelle collé sur son corps et lui tenant du bout des doigts la pièce d’argile.
Elle s’efforçait même d’effectuer un geste humain en projetant son haleine fraiche au visage, caressant la figure d'Armand de son souffle.
Il la regardait, le bout de leurs nez était sur le point d’entrer en contact, yeux dans les yeux.
Elle attendait sa réaction…
Il essayait encore une fois de penser à sa mère, mais encore une fois en vain.
Il avait décidé de faire mine de se lever en avançant davantage son visage pour débuter l’élan.
Et rapidement, d’un geste éclair et de furtivité, dans son mouvement, ses lèvres allèrent se frotter sur les siennes l’espace d’un très court instant.
Il ne savait même pas si son geste avait pu paraitre accidentel ou non. Il se sentait....Très benêt.
Il se levait tournant le dos a la Toréador, s’accotant sur la table a modeler avec sa cuisse puis portait son mouchoir a sa bouche en appuyant avec vigueur tout en fermant très fort les yeux, comme s’il était en train de se battre contre une imminente crise d’épilepsie, il commit même l’erreur de pousser un gémissement presque larmoyant. Un gémissement de détresse.

Refusant de regarder isabelle, remettant son mouchoir dans sa poche il jeta la pièce d’argile sur la table de travail.
Il écarquillait des yeux a nouveaux tout comme un junkie qui tente d’émerger d’un trip d’acide.

-« D’accord…Vous voulez voir mon…Talent »

Il s’essuyait le nez en regardant le morceau. Puis d’un pied il tira un tabouret vers lui pour s’y asseoir.
Il se mit à manipuler l’argile.
Toujours en faisant de son mieux pour ne pas croiser le regard d’Isabelle.
Le regard de séduction meurtrier et sans aucune pitié de la belle.
Il continuait ses mouvements avec plus de vigueur faisant en sorte de tirer le morceau vers sa gauche pour éviter qu’Isabelle ne puisse voir le travail avant qu’il ne soit complété.

-« Vous vouliez tailler une p…Tailler un homme nu m’aviez-vous dit? Alors je suis resté dans votre optique de la pièce désirée, cependant, ne connaissant pas physiquement l’homme nu que vous vouliez sculpter, je me suis alors contenté d’une partie dont je suis certain qu'il soit propre au sujet. »

Il tendait devant le visage d’Isabelle son œuvre…Une pièce d’argile représentant un énorme Phallus avec la perfection ultime dans tous les détails, le gland, les veines et le muscle dans une phase de la plus parfaite érection.

-« Que pensez-vous de mon talent Isabelle? Croyez-vous que je suis doué? »

Cette fois il bombait le torse fier comme un coq et il affichait sur Isabelle un regard de triomphe.
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Isabelle Des Termes
Primogène [Toréador] (PNJ)
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Isabelle Des Termes


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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyLun 17 Sep - 21:24

Un sourire moqueur fugace éclaira le visage d’Isabelle lorsque Armand prit du bouts des doigts la terre à modeler, s'il rechignait à toucher la matière comment pouvait il parvenir à la travailler ?! Elle avait réussi à le piéger et marquerait dans les minutes à venir un point supplémentaire. Lorsqu'il tourna son visage vers elle, elle prit l'air de rien comme si elle attendait avec impatience de la voir à l’œuvre, elle le gratifia même d'un petit geste d'encouragement. Armand se leva non sans la frôler ses lèvres qu'elle avait eu le plaisir de gouter un peux plus tôt. Cherchait il à détourner son attention, pour qu'elle oublie l'argile dans sa main ? Non ! Qu'il ne compte pas là dessus, elle voulait gagner son point.
Et paf ! Elle l'a. Il craque à nouveau ! Va t'il devoir partir se rafraichir à la salle de bain ?
Le voilà même qui jette les armes en lâchant l'objet du défit sur la table.

L'espace d'un instant la Primogène fut déçue de cette réaction et s’apprêtait à stopper le jeux en lâchant un : "Je vous taquine, chacun à son domaine de prédilection..." Pour ne pas le maitre d’avantage mal à l'aise, elle commença même à tendre la main pour récupérer la pièce mole encore vierge de création. Mais revenue des tréfonds de sa fierté le chevalier remonta à cheval et se lance face à l'obstacle ! Doucement il commence à s'élancer, puis il prend de la vitesse et se cache aux yeux curieux de la belle. Elle veux voir, s'attendant à voir un petit bonhomme de pâte à sel comme fond les enfants, une petite pirouette pour la faire rire au lieu de se ridiculiser en refusant le défit.

Lorsqu'il reprit la parole après plusieurs minutes de mutisme créatif, Isabelle s'imagina qu'au lieu d'un petit homme il avait simplement fait deux boules grossières et une sphère allongée entaillée sur le bout, qui dans le jargon actuel des humains pouvait sans hésitation être qualifié de Bite. La Primogène pria en secret pour qu'Armand n'est pas eu l'affront de faire une chose aussi déplacé.

Lorsque l’œuvre lui fut présentée elle ne pu retenir le bas de sa mâchoire qui s'ouvrit bêtement devant le travail accomplie. Puis toujours sous le choc elle regarda alternativement le créateur et l’œuvre à plusieurs reprise, se ressaisissant finalement elle admit en son fort intérieur qu'il venait de marquer un point. Si l'on compte avant cette intervention, elle menait deux points à un le dernier étant celui qu'elle avait marqué lorsqu'il avait poussé un petit son étrange en mangeant son mouchoir. Donc Armand revient au score de deux à deux...

Elle voulait le féliciter, mais d'un autre côté elle avait envie par fierté de lui lancer à nouveau une petite pic. Elle ne voulait pas lui être désagréable, mais voulait simplement poursuivre le jeu.


"C'est très bien fait mais vous n’êtes pas du tout. Regardez plutôt..."


Sans attendre elle prit un morceau de glaise, qu'elle commença immédiatement à travailler. Si elle ne pouvait sur ce genre de création faite sur le pouce pas concurrencer son "amant du plaisir" dans le domaine de la qualité de représentation, elle pouvait sans problème le devancer sur la rapidité d’exécution. Concentré elle garda les yeux rivé sur ses mains agiles, elle ne prit pas le temps de faire des geste langoureux qui aurait pu évoquer un acte sexuel, préférant la rapidité. Elle travailla naturellement comme si elle était seule, ses mains évoluant avec grâce et dextérité devant le regard attentif du toréador se sculpta alors la reproduction parfaite du phallus précédemment créé, sans avoir à lever les yeux sur le modèle, mais en plus petit, moins gonflé et surtout... Au repos !


"Tout les hommes ne sont pas continuellement en érection..."
dit elle en écartant ses mains pour que l'on puisse pleinement regarder l'objet fini.
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Armand Duplessis
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 18 Sep - 8:06

Armand avait à coup sur déstabilisé quelques peu la primogène avec sa création.
Mais il ne savait pas si c’était de bonne guerre.
Isabelle avait pris une nouvelle pièce pour créer un phallus en mode repos.

Ce qui était nettement plus facile a faire en modelant de la pâte que de se livrer à un jeu de séduction avec cette Toréador.
Car en ce moment même, Armand aurait bien aimé avoir la possibilité de modeler son sexe a sa guise pour le mettre au repos, Mais Hélas…
Pour l’heure, il ne pouvait que la féliciter de sa conversion très habile de l’œuvre.

-« Ceci dit, il s’agit de la première œuvre que je vous vois compléter depuis que nous sommes dans cet atelier et je vous en félicite, vous êtes extrêmement doué. Votre talent est hors de tout doute, merveilleux! J’en suis impressionné. Mes compliments Isabelle. »

Prenant l’œuvre d’Isabelle entre ses mains il le scrutait d’un étrange regard, il se mordait la lèvre inférieure et ses sourcils étaient froncés sous la concentration.

-« Tous les hommes ne sont pas continuellement en érection. Vous avez-dit? … Humm mm »

Armand se caressât le menton avec son pouce et son index, il affichait un regard absent et après quelques instants il releva le menton et regarda Isabelle.

-« Je dirais que tous les hommes qui ne seraient pas continuellement en érection dans un face à face de séduction avec vous, ne peut être qu’un eunuque, un homosexuel confirmé, une femme ou un homme provenant de très très loin…Au-delà des étoiles. A plus fortes raisons que de réussir l’exploit de mettre constamment un mort…Un sans-vie…Un vampire dans cet état constitue dès le départ un exploit tout-à-fait remarquable qui dépasse l’entendement. Peut-être vivons-nous une expérience unique et historique vous et moi? Un moment qui sera étudié dans les moindres parcelles a travers les âges a venir. »

Armand alla trouver un siège pour s’y asseoir, puis croisa les doigts.

-« Manon? …Non? Bon! Alors que proposeriez-vous que nous fassions maintenant que je vous ais vu a l’œuvre et que j’ai pu admirer votre talent tout à fait stupéfiant! Devrons-nous nous adonner à d’autres formes d’arts? »

Armand dans sa réaction et dans ses propos faisait en sorte de mettre une certaine forme de trêve dans le duel en tentant même de noyer le poisson. Il se demandait comment Isabelle allait réagir. Le provoquer davantage afin de vouloir jouir d’une victoire totale sur lui? Accepter la trêve silencieusement? Se sentir offusqué peut-être? Bref il scruta minutieusement le visage de la primogène pour voir comment elle allait le prendre.


Dernière édition par Armand Duplessis le Mer 19 Sep - 8:38, édité 1 fois
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMer 19 Sep - 18:58

Isabelle sourit, un sourire sincère contrairement à celui qu'elle sert habituellement lorsqu'on lui fait des compliments. Armand avait des talents pour l'art en général semble t'il... La Primogène laissa même son esprit imaginer qu'il en maitrisait toutes les formes... Musique, chant, danse... C'était semble t'il un Toréador accomplie et recevoir un compliment d'un tel homme était un réel plaisir.
Alors qu'Armand avait les yeux rivé sur le phallus pour en observer le moindre détail, la Primogène l'observait sans gène, imaginant que c’était elle et non lui qui lui mordait la lèvre de ses dents acérées. Cette idée raviva en elle le souvenir pas si lointain du baisai intense qu'ils avaient échangé ce qui lui donne l'irisistible envie de recommencer.
La voie de beau brun la fit sortir de sa rêverie et se qu'il dit la fit même rire.


"je n'ai jamais eu le plaisir de rencontrer une personne d'au delà les étoiles... Et ne me faite pas croire que..."

**Est ce vrais ? Il n'avait pas eu a concentrer son sang pour activer le mécanisme de son...**


Isabelle n'y avait pas songé trop occuper à jouer qu'elle était... Il n'avait évidement pas fait exprès sinon il n'aurait pas été si gêné, mais elle n'avait plus pensé que pour un vampire ce genre de surprise été jusqu'alors impossible à sa connaissance...
Pour le moment c'était surtout lui qui vivait un moment historique, elle n'en était qu'un observateur extérieur... Si elle malaxait l'objet de l'étude peut être alors ferait elle partie de l'histoire en temps qu'exploratrice ? Une Christophe Colomb des temps moderne. Une aventurière sans peur !

Manon ? elle n'y songeait plus, si Armand n'avait pas été là sans doute serait elle déjà tombé dans une colère noire de ne pas voir son éléve arriver, mais cette nuit au contraire cette absence lui plaisait, ainsi les deux professeurs pouvaient réviser ensemble l'objet de leur prochain cours... Oui il fallait profiter de se tête à tête, peut être la petit finirait elle part apparaitre...

Elle fit glisser le bout d'un doigt sur le sexe dressé qu'avait créer Armand avec de la terre, comme distraitement alors qu'elle le regardait sans parler.

Elle grava dans sa mémoire le visage doux de l'homme, sa façon de bouger légèrement féminine, la perfection de son teint la volupté de ses boucles assortie à ses yeux. Un visage de poupée de porcelaine...

Sous ses doigts l'argile est froid et doux, on pourrait croire une vrais peau. Avec un sourire coquin elle continua un mouvement de vas et viens sur la reproduction si réaliste, elle fit participer à la fête deux nouveaux doigts prenant ainsi un peut plus en main le phallus.


"Que me proposez vous ?"


Elle prit un air innocent.


"Peinture ? Et si j'étais votre modèle... ? Adonnons nous a l'art le plus primitif."


Abandonnant le sexe de terre elle fit glisser ses mains sur son corsage en susurrant...


"Body-painting..."

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Armand Duplessis
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyJeu 20 Sep - 6:08

Armand attendait la réaction d’Isabelle.
Eh bien il fut servi!
A peine avait-il terminer sa phrase qu’elle s’était mise à agir, étais-ce volontaire ou distraitement?
Pour Armand il pencherait plutôt sur un geste non seulement volontaire, mais calculé.

Elle le fixait en faisant glisser son doigt sur le phallus en érection qu’il avait créer, tout doucement, elle caressait la reproduction.
Armand sorti aussitôt son mouchoir et se le colla sur la bouche en le tenant à deux mains, mais cette fois il ne fermait pas ses yeux. Il la regardait dans ses moindres gestes comme si elle allait commettre un acte imprévisible.
Elle posa un autre doigt sur le phallus pour le caresser, puis un troisième puis…Elle passait sa main sur la graine en érection, l’empoignant en faisant des mouvements de va et viens.
Armand était en train de manger son mouchoir, il le mastiquait. Ses yeux étaient écarquillés. Il ne pouvait détacher son regard de sur elle et de ses gestes et ce, même si son esprit lui commandait de regarder ailleurs, il ne pouvait pas, tout simplement pas.

Elle devait jouir de ce moment, elle savait très bien qu’elle le torturait.
Puis en prenant un air innocent elle ajouta ce qu’Armand qualifiait de : le tout pour le tout.
"Que me proposez vous ?"
"Peinture ? Et si j'étais votre modèle... ? Adonnons nous a l'art le plus primitif."
"Body-painting..."

Le body-painting…Armand était au summum de l’excitation. Alors que dans son état actuel il aurait du se mettre à crier ou a gémir, il devint soudainement et très rapidement calme, ses traits se détendirent aussitôt, il jeta son mouchoir sur la table.
Il se mis à afficher son sourire le plus charmeur a Isabelle puis le convertissant progressivement en sourire malicieux, presque sadique sur le coin de ses lèvres.
Il regardait tout autour, il remarquait tout l’attirail nécessaire a la peinture. Il allât les observer de plus prêt, ce n’était pas les pinceaux qu’il avait l’habitude d’utiliser, la peinture non plus mais en cette occasion, ils feraient parfaitement l’affaire. Le choix des couleurs étaient vaste, qui plus est, Armand savait très exactement comment confectionner ses propres mélanges pour obtenir toutes les couleurs qu’il désirait. Le tout était sur un établi portable. Il le saisit et s’approcha d’Isabelle en déposant le tout sur la table.

Il sorti quelques pots de peintures, préparait les chiffons, l’alcool pour les imbiber et pour y tremper ses pinceaux. Puis il tourna la tête vers Isabelle et marcha dans sa direction.
Pour arriver en face d’elle tout près.
-« Je relève le défi Isabelle Des Termes, avant le lever du jour votre corps nu sera imprégné totalement des couleurs de l’enfer! »

Tournant la tête vers les accessoires puis reportant son attention sur elle.

-« Il y a un moment que vos pinceaux n’ont pas été utilisés, ils doivent tremper dans l’alcool pendant un moment avant de pouvoir les utiliser. Oh euh…Soyez assuré qu’a partir de cet instant, vous êtes entre bonnes mains, il ne vous suffira que de vous laissez faire, je m’occupe de tout! »
Terminât-il dans un souffle.

Ensuite, tel un véritable artiste préparant ses accessoires, il retira le corset d’Isabelle en faisant comme si cela ne l’excitait point, comme s’il effectuait un manœuvre banale. Puis il déchira sa robe noire…Elle était maintenant en sous-vêtements.
D’un regard très sérieux et très méticuleux il observa le corps d’Isabelle dans les moindres détails, il pris plusieurs minutes a cette inspection visuelle, le silence régnait, puis pointant son index vers les sous-vêtements d’isabelle il se mis à froncer les sourcils tout en affichant un sourire carnassier.

-"Ces accessoires seront tout à fait inutiles Isabelle."
Terminant cette phrase dans un doux rire tel que le diable lui-même ne pourrait faire mieux.

Alors, en utilisant sa force il arrachât son soutien gorge, mais sans faire le moindre mal a Isabelle, seul ses vêtements pâtirent de ses gestes brusques.
Il se mis à genoux pour lui arracher ses nylons.
Se relevant la laissant nue devant lui sa poitrine offerte, elle n’avait plus que sa petite culotte et ses chaussures a talons hauts.

-« Les chaussures vous pourrez les garder, mais ceci… »
Dit-il en mettant la main sur son sous-vêtement caressant par la même occasion le sexe de la Primogène, afin qu’elle sente et qu’il sente ses doigts parcourir le devant se son vagin allant jusqu'à appuyer légèrement sur son clitoris…Il se mis à tirer le sous-vêtement vers le bas, le descendant jusqu'aux chevilles en s’agenouillant à nouveau.

Il resta un moment sur son genou attendant qu’Isabelle lève un pied pour pouvoir retirer complètement le vêtement…Les secondes passèrent puis il leva son regard vers elle pour l’inviter à effectuer le geste attendu.
Voyant qu’il n’y avait pas de réponse physique de la part de la Toréador, Armand déchira la petite culote pour la soustraire de ses chevilles pour ensuite l’enfouir rapidement dans sa poche.
Elle était cette fois totalement nue.
Armand mis ses mains sur les bras d’Isabelle pour les mettre de chaque coté de son corps pour ne rien cacher de sa sublime nudité.
Il tourna autour d’elle, la touchant du bout de ses doigts, comme s’il examinait la texture de la peau en fonction des couches de peinture qu’il devrait appliquer en conséquences.
Effleurant ainsi le bout de ses seins, parcourant ses doigts sur son abdomen, ses hanches.

-« Isabelle vous un avez un corps tout à fait parfait, votre cuir, vos rondeurs, comme si Dieu lui-même vous avait sculpté de ses propres mains, Vous êtes d’un absolu de beauté. Vous êtes la femme parfaite, je vous aime Isabelle! Entendez-moi bien, je vous aime! »

Les yeux d’Armand et son expression faciale étaient sérieux et impassible mais des larmes de sangs coulèrent le long de ses joues. Par derrière, il manipulait ses jolies fesses avec fermeté et soins, faisant même glisser son doigt entre ses fesses pour aller rejoindre doucement son vagin.

Puis s’approchant vers ses accessoires de peinture, tournant le dos a Isabelle il se mis à passer sa main dans ses cheveux sans arrêts dans le même mouvement, du haut de son front jusqu'à sa nuque et pendant plusieurs minutes.

Puis…d’un bond il fut sur Isabelle collant ses lèvres sur les siennes, faisant danser sa langue sur la sienne parcourant tout son corps de ses mains, la caressant, se penchant pour lui embrasser le cou, ses seins, lui suçant les tétines et en leurs assénant des coups de langue. Il frotta avec vigueur son sexe enflé dans son pantalon sur son corps, passant derrière elle, il s’agenouilla pour coller ses lèvres sur ces magnifiques fesses, il les embrassait, les mordait doucement, écartant chacune d’elles pour aller déposer un baiser langoureux entre ses fesses. Puis se relevant, il fit en sorte que son sexe dur par-dessus son vêtement vienne s’accoter sur le derrière de la Toréador. Les mains Armand étaient sur les hanches de la belle et sa bouche couvrait sa nuque et son cou de ses baisers passionnés et avec ses reins il simulait l’action de la pénétration, poussant entre les fesses d’Isabelle son sexe complètement congestionné et durci comme le marbre.

Et comme dans un souffle d’agonie il murmura à l’oreille de la Primogène.
-« Isabelle, Isabelle…Laissez-moi vous aimer de ma passion déchainée, faisons de l’amour, de la sexualité un art destiné aux seuls regards des Dieux, de nos Maitres, offrons leur la quintessence de la beauté, le summum des sens et de la passion entremêlée et le zénith de plus pur plaisir céleste!


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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptySam 22 Sep - 0:37

Armand avait un charme fou, se qui ne laissait pas Isabelle indiférente et la petite touche de folie qui s'emparait de lui lorsqu'il mangeait son mouchoir n'enlevait rien à ce sentiment, au contraire... Elle s'imagina que le jour où elle parviendrait à le faire craquer il jetterait son mouchoir et fondrait sur elle comme une bête féroce. Les dernières parole de la Primogène eurent cet effet... Son regard changea il n'était plus au prise avec lui même, il venait de céder laissant libre ses envies les plus folles.
Le sourire qui apparue sur les lèvres de son "Amand du plaisir" l'inquiéta le temps qu'il était posé sur elle, allait il lui sauter dessus ? La prendre de force ? Non, il reporta son attention sur le matériel pouvant être à sa disposition. Elle ne bougea pas et se contenta de l'observer se préparer jusqu'au moment où il se planta devant elle. Il relevait le défit et la couverait des couleurs de l'enfer... Un légé sourire s'esquissa sur son visage jusqu'à présent sans expression, il s'occupait de tout ? Soit ! Elle ne bougea plus comme une poupée dont Armand était le manipulateur, tirant les fils à sa guise. Il ôta ses vêtements elle se contenta de lui sourire ne bougeant pas pour ne pas le déconcentrer, il semblait bien partit pour rester professionnel, elle ne voulait être la cause de sa déroute. Sans parler du fait qu'elle aimait l’audace du peintre n'hésitant pas à lui arracher ses dessous avec une violence calculée.
Évidement ça commença à déraper lorsqu'il ne lui restait que la petite -très petite- culotte de dentelle sur le corps, voulant jouer aussi elle ne bougea toujours pas attendant de voir comment il se débrouillerait sans son aide. Sans nul doute il ce débrouillait très bien ses actes et ses paroles flattant l’égo de la Toréador.
Elle le sentit s'éloigner et s'agiter dans son dos, la curiosité la rongé, mais elle ne voulait pas rompre son immobilité, lorsqu'il prit ses lèvres des siennes elle ne pu résister à l'envie de répondre au baisé, mais rapidement il reporta la douceur de ses lèvres sur d'autres parties de son corps, Isabelle le laissa faire trop prise au jeu pour résister, l’excitation la gagné toute entière. N'y tenant plus lorsqu'il cola son ventre contre son dos ou plus particulièrement son sexe sur ses fesses. Elle ne pu retenir sa tête de basculer en arrière, elle soupira de plaisir et d'envie tendant ses fesse en arrière et accompagnant son mouvement de roulis.
Levant un bras elle le passa au dessus de son épaule et la sienne et attrapa les cheveux au niveau de la nuque d'Armand. Elle s'y agrippa et s'en servit pour l'écarter de lui.

**Non...**


Se retournant elle plaque à nouveau son corps sur le sien. Remontant sa main glissa jusqu'à la poche où Armand avait glissé son trophée, elle y glissa sa main jusqu'au fond et empoigna le pauvre sexe prisonnier dans un espace trop petit pour lui et le malaxa avec vigueur ses yeux planté dans ceux d'Armand.

**Oh oui...**


Aphrodite déesse de l'amour semble réincarné en elle.

**Non non nonnonon.**


Dans son plus simple appareil la Primogène n’esquisse pas un mouvement pour ôter les habits de son amant, mais ne semble pas parvenir à s'en détacher.

"Se n'est pas l'envie qui me manque de le libérer, mais voiliez vous une dame de mon rang se doit de respecter certaines règles..."

Elle ne cesse de modeler le nouveau phallus entre ses mains, cette fois plus vrais que nature. Elle se mort la lèvre avant de poursuivre.

"L'une de ses règles est "Jamais au premier rendez vous..."."


Elle ressortie sa mains de la poche en même temps que sa petit culotte en lambeaux. Pourquoi avait il tenté de l'emporter ? Collectionnait il des trophées de ses conquête ? Décide à ne pas apparaitre si facilement à son tableau de chasse elle recula d'un pas en souriant. En temps que Primogène elle avait bien plus à perdre que lui. Sa réputation était en jeu.


"Armand.... Je vous en prit, contentez vous de mon offre déjà fort généreuse..."

Elle reprit place au centre de la pièce, la tête haute après avoir lancé un peux plus loin le petit bout de dentelle qu'elle venait de récupérer. Elle n'eu pas le temps de savoir si Armand encaisserait le fait qu'elle l'ai repoussé avec classe, car sa goule entra après avoir toqué au montant de la porte de l'atelier qui était resté ouverte. L'homme sembla surprit un instant, mais pas vraiment gêné de voir son maitre complétement nu, il s’inclina comme si de rien était et attendit un signe de sa part pour prendre la parole, ce qu'elle fit sans attendre.


"Dame Isabelle il y a du mouvement, la Reine requière votre présence de toute urgence à la salle du trône."


Elle leva un sourcil surprise. De toute urgence ? Que ce tramait il encore...
Elle coula un regard vers Armand.


"Désolé.. Le devoir m'appel."


Isabelle s'approcha du peintre lui déposa un baisé au coin de la lèvre et quitta la pièce non sans avoir pensé à récupérer la petite culotte, pour être sure que personne ne l'emporte... Elle marcha de son déhanché habituel, laissant danser ses cheveux dans son dos cambré. Elle lança un regard en arrière pour faire un clin d'oeil -sans rancune- à son invité et disparue à ses yeux.

Armand se retrouva seul avec son sexe en mal d'action dans l'atelier, la goule d'Isabelle l'avait suivit pour l'aider à s'habiller, elle s'adressa à lui rapidement.

"Je vais commencer sans toi, pendant ce temps guide Monsieur Duplessis au Bourgmestre dans le bureau voisin, c'est avec lui qu'il doit voir pour son logement. S'il veux utiliser la salle de bain fait le patienter en attendant que j'ai fini."
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Armand Duplessis
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptySam 22 Sep - 2:32

Isabelle s’était tourné pour se coller tout contre Armand et avait entrepris de lui caresser le sexe par-dessus son pantalon, Puis après s’être détaché de lui elle avait décidé de jeter l’éponge, voyant tout-de-suite ou elle allait en venir, Armand se résigna aussitôt, ajustât ses vêtements et se croisât les bras, il savait qu’il devait maintenant écouter les motifs de son retrait alors que c’était totalement inutile, les corps avaient parlés, les deux étaient montés à un très haut degré de désir, des simples paroles ne pourraient en aucune façon faire mentir le corps, elle avait lâché prise tout simplement et c’était fini, il n’y avait rien a dire, c’était corporel et non spirituel, mais par respect il inclina la tête pour écouter ses justifications.
Elle invoquait des raisons de rangs et elle avait ajouté ‘jamais au premier rendez-vous’, Mais c’était la deuxième fois qu’il se voyait, la première ne comptait plus?
Aussi elle lui demandait de s’en tenir à son offre généreuse, Armand souriait intérieurement, mais bien sur, son offre généreuse faite en masturbant un pénis en terre cuite.
Non il s’agissait effectivement que de justifications pour Armand. Alors il ne cherchait pas a discuter, cela aurait été inutile et totalement sans intérêts.
Ils avaient entrepris ensemble un jeu de séduction et celui-ci devait obligatoirement se terminer lorsque que les partenaires ou qu’un seul des deux se retrouverait complètement nu a faire l’amour ou à se défiler, il n’y avait que deux options.

Il savait aussi que l’entretien était terminé, après avoir atteint ce summum il fallait soit consommer ou soit disparaître.
Et par un heureux coup du sort, le valet de la Primogène était venu lui dire que la reine la réclamait.
Elle sorti donc dans l’autre pièce avec lui.
Armand était maintenant seul dans l'atelier, il récupéra ses effets, son manteau et... Le mouchoir?…Il le laissait sur la reproduction de sexe en érection.
Il rentrait chez lui.
Le valet venait d’entrer dans la pièce comme il allait sortir.
Il lui disait d’aller chez le bourgmestre dans le bureau d’a coté et qu’il allait l’y conduire.

Armand ne le regardait même pas, il l’ignorait comme s’il ne s’agissait que d’une simple mouche, cependant le malheureux alla oser poser sa main sur lui pour le guider.
Armand lui lança un regard si noir, si agressif et mauvais que ce dernier n’osa pas accomplir son geste et recula même de quatre pas.
Armand quittait l’Elysium, se dirigeant vers sa voiture.

Dans d’autre circonstance il en aurait ris, qu’elle décline et prenne congé de lui c’était une possibilité qui faisait parti de la suite logique des évènements, mais de disposer de lui, après avoir vécu ensemble des moments beaucoup trop intenses, d’avoir été aussi haut avec lui dans la passion pour ensuite le descendre en décidant de l'envoyer sans même le consulter comme s'il n'était qu'un vulgaire subalterne, un simple parvenu, de l'envoyer dans le bureau voisin pour y discuter cadastre. C' était une chose qu’il aurait préféré ne pas entendre, il aurait préféré avoir quitté la pièce avant d’écouter, même distraitement, le valet prononcer ces mots.

Il montât dans sa voiture et prit la route de son domicile.
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMer 26 Sep - 16:35

Sa goule revien vers elle l'air comprit, il avait été trop rapide et sa tête ne disait rien qui vaille, Isabelle l'interrogea du regard, mais il ne pipa mot.

"Parle ! Qui a t'il ?"


"Dame Isabelle, Monsieur Dupessis et parti innervé, il n'a pas souhaité que je le guide jusqu'au Bourgmestre."


Elle lui lança un regard sévères qui reléguait celui qu'avait lancé Armand au même homme une minute plus tôt à un regard d'anneaux innervé. Si elle en avait eu le pouvoir ses yeux aurait probablement lancé des éclairs. Il n'était pas possible qu'un homme parte de chez elle sans être satisfait. Elle l'avait repoussé serte mais là était le jeux, un chat et une souris, évidement elle était le chat et elle aimait jouer avec sa victime.

Tout en s'habillant elle laissa aller son esprit sur cette réflexion. Armand n'avait pas l'habitude de se rôle, il avait plutôt coutume de maitriser le jeu et en aucun cas il n'était envisageable de se faire repousser, mais elle, Primogène Toréador n'était pas une courtisane de bas étages, infant de François Villon, elle ne pouvait fricotait avec un homme du tout venant !

Qu'il était idiot de se vexer de la sorte !

Mais si les rôle étaient inversé ? N'aurait elle pas agit et réagit de la même façon. Elle lui avait laissé croire qu'il pouvait s'approcher sans se bruler les ailles et sans crier gare elle l'avait envoyer hors de son bureau. Bien que la Reine l'ai convoqué de toute urgence son comportement n'était pas digne de son rang qu'elle avait tenté par cette action de conserver.

Oui Armand ne la laissait pas indifférente, oui grâce à lui elle avait espérer penser les plaies encore ouvertes due à la déchirure que fut le départ de François... Il était peut être à plus fort titre que Manon sa chance de salue. Non elle ne devait pas le laisser partir ainsi, mais pour le coup elle se réveillé trop tard, il devait déjà être loin à l'heure actuel, car si elle avait eu le temps de se vétire entièrement lui avait du traverser la ville entière pendant ce temps.
Où était il ?


"Laurent. Va à la galerie de Monsieur Duplessis et choisi le tableau où l’œuvre qui te plaira le plus, ne regarde pas le prix. Simplement l'objet, tu l'exposera ici dans mon bureau, je veux qu'il soit en place à mon retour."


Sans attendre de réponse elle sortie.


[direction la salle du trône.]
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 2 Oct - 18:39

[arrivée de la salle du trône]

Arrivée dans son bureau Isabelle trouva le murs toujours vierge de toile.


"Laurent ?!"


Que faisait il ? Il avait largement eu le temps de s'occuper de ça ! La bonne humeur d'Isabelle était en train de fondre comme neige au soleil, elle avait déjà oublié la joie qu'elle avait ressentit lors de la convocation de la Reine pour la nuit prochaine dans ses appartements. Elle était à nouveau dans son bureau où la porte ouverte sur son atelier laissait voir le matériel préparé plus tôt par Armand et abandonné là sans être utilisé, alors se remémora l’agacement qu'elle avait ressentit en apprenant la réaction du peintre.

Les pas hésitant de la goule se firent entendre dans son dos, la Primogène sentait que quelque chose clochait, Cet imbécile avait due échouer lamentablement. Elle se tourna en fronçant les sourcils prête à le rabrouer. Mais devant ses yeux ébahi ce dévoila un spectacle des plus monstrueux. Le bel homme aux traits fins qu'elle avait sélectionné pour sa beauté n'avait plus une parcelle de peau intacte sur son visage qui était à présent complétement lacéré.

Laurent eu un mouvement de recul devant l'air horrifié de sa maitresse, mais le regard se transforma en pitié et lorsqu'elle avança vers lui les yeux plein de larmes il se laissa enlacer.

Isabelle repoussa les cheveux blonds de l'homme qui c'étaient collés sur son visage, mais les croutes de sang les y avaient enraciné. Elle n'insista pas de peur de lui faire mal et le tira vers le sofa où d'un geste doux l'invita à y prendre place. Le souvenir de son propre visage dans cette état lui déchira les entrailles. Que c'était il passé ?


"Ne t'en fait pas je vais m'occuper de tout...."


Elle embrassa le cuir chevelu de Laurent avant de s'éloigner vers la salle de bain. Ce dernier n'osait pas bouger ni parler, il n'avait jamais eu la moindre attention délicate de la part d'Isabelle, et se faire dorloter ainsi par sa maitresse n'était pas pour lui déplaire. La toréador réapparue avec une bassine d’eau tiède et une belle pile de serviettes propres qu'elle déposa sur la table basse. Délicatement elle posa sur la peau meurtrie un coin de tissus humide.

"Que c'est il passé ?..."


"C'est Armand..."

Isabelle sursauta en entendant le nom du coupable, elle n'aurait jamais crue ça ! La colère apparue dans ses yeux assombrissant son regard comme à l'époque où elle était capable de toutes les violences à cause de la douleur qui la rongeait de l'intérieur. Elle avait crue qu'Armand pourrait la guérir définitivement de cette période noire, mais il semblerait qu'il l'entrainerait plus bas encore...

"Il n'était pas content de me voir et s'en est prit à moi après avoir détruit la toile que je voulait lui acheter.

Il a dit qu'il vous offrait une œuvre unique pour vous remercier de votre courtoisie et lorsqu'il a commencé à me tailladé il à dit qu'il fallait souffrir pour être beau..."


Une lueur de démence commença à apparaitre dans les yeux clair de la belle Primogène, Laurent senti le changement opérer et préféra ce taire plutôt que de poursuive. De toute façon la douleur devenait insoutenable il lui fallait du repos.
Isabelle déglutit puis se réanima en levant doucement les mains pour continuer de nettoyer le visage de son serviteur. Il fallait ôter tout le sang séché qui maculait sa peau.

"Ne t'en fait pas je vais m'occuper de tout..."


C'était la même phrase que quelques minutes au paravent, mais cette fois elle ne rassura en rien Laurent qui retient un cri dans le fond de sa gorge. Était ce à cause de la douleur ou de la peur que lui insufflait sa maitresse ?
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 2 Oct - 20:49

Doucement Isabelle réussi à nettoyer ce qu'il restait du visage de Laurent, elle y avait mit toute la délicatesse dont elle était capable. A présent elle pouvait voir chaque coup de ciseaux à bois que lui avais infligé Armand, il était dément !! Comment avait il osé faire sa à une goule qui n'était pas la sienne. A la goule d'une Primogène, ça Primogène. Elle avec qui il avait failli coucher ?!
Un sourire étrange apparue sur le visage d'Isabelle.

Elle alla dans l’atelier et en revient aussi vite en aillant glissé sous ses jupons une chose que je parvient pas a identifier sa goule. Elle avait une démarche féline et un regard lubrique. S'approchant de l'homme elle se mit à caresser l'entre jambes de Laurent qui ne tarda pas à devenir dur malgré la surprise. Il l'avait toujours aimé et ceux avant qu'il n'ai bue son sang, il avait appréciée qu'elle prenne soin de lui et bien qu'il regrette qu'il et fallu qu'il soit défiguré pour qu'elle s'intéresse à lui, il décida de profiter de l'instant.
Isabelle l'entraina dans la chambre où elle le dévêtit enterrement, elle ne l'embrassait pas et lui n'en avait pas la force de peur de se faire mal et de ressaigner. Elle continua de l’exciter tout en l'accrochant aux barreaux du lit, le jeu dura jusqu'à ce que le membre soit parfaitement dur à la limite de débordé d’excitation, alors d'un geste quasi chirurgical elle lui trancha le sexe. Le pauvre bougre se mit à hurler. Isabelle fourra un bout de bras de son lit dans la bouche de sa goule pour étouffer les cris et regarda le sang couler de la plaie qu'elle avait créé elle même. Laurent avait les yeux exorbité. Tout ses pire cauchemar n'était rien par rapport à ce moment, les coup de ciseau d'Armand n’avait été que des caresse en comparaison à la douleur qu'il ressentait à présent. Les Pétales de la Reine l'avaient prévenue qu'Isabelle était violente mais il n'en avait eu rien a faire. Il l'aimait et elle l'avait choisi. Il l'aimait toujours d'ailleurs mais sans doute est ce à présent du au sang qui coule encore dans ses veines.
Isabelle concentré reporta son attention sur le bas de son torse, lui de toutes ses forces tentait de se débattre pour éviter d'avantage de douleur, mais ses membres sont solidement arrimé au lit. La Toréador est en train de sculpter un creux à l'ex emplacement du sexe de sa goule lorsqu'elle semble satisfaite elle sort de sous ses juge le phallus en érection qu'avait sculpté Armand plus tôt dans la nuit et le mette en place comme une pièce de puzzle.
Laurent ne cris plus il a perdu connaissance, Isabelle lui sourit.


"Je m'occupe de tout ne t'en fait pas..."


Alors elle se pencha et lécha les plaies en bas de abdomen en grimaçant, elle veux que le corps de l'humain cicatrice autour de l'argile. Elle prit un peux de recul pour adimirer le rendue. c'était un peux sanglionant mais à la hauteur de ses attentes. Elle sourit a nouveau. Puis se remit au travail, il fallait faire vite avant qu'il ne se réveille.
Elle l’incisa au niveau de cou et glissa ses doigt dans la brèche à la recherche des cordes vocales qu'elle ne tarda pas à localiser. Elle tira simplement dessus pour les arracher. Le mouvement brusque réveilla Laurent. A moins que ce ne soit la douleur ? Son cris ne sortie pas de sa gorge, laissant place à un ignoble gargouillis. Les yeux exorbité la goule regardait Isabelle se demandant comment ils avaient pu en arriver là. Elle le regardait avec un regard doux.

"Chut... c'est fini... Chut.... tout va bien."


Elle lui caressa les cheveux avant de se taillader les veines de son couteau, elle laissa couler son sang le long des lèvre de sa victime qui tenta tamps bien que ma de le boire pour tenter de se sauver. Elle lui donna se qu'il fallait pour qu'il soigne les plaies les plus grave, les siennes. Le beau travail d'Armand ne sera en rien défait. Elle lui sourit avec tendresse avant de se pencher dans son cou pour lui laisser la plaie qui coulait abondament, elle n'avait pas touché d'artère, mais le lit était entièrement carmin tendis-que Laurent n'avait jamais été aussi pale.


'Repose toi tu ne doit pas mourir."


Elle l'embrassa à nouveau sur le haut du crâne et s'éloigna doucement de lui.
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 2 Oct - 21:30

"Bonsoir, Ici Isabelle des Termes. J'aurais besoin de différentes chose pour ma goule."

"Bonsoir madame, je suis désolé pour Laurent, nous l'avons vue rentrer, mais il n'a pas souhaité que nous l’aidions... Que pouvons nous faire pour vous ?"


"Ce n'est rien mon enfant. Faite moi monter des antibiotiques, des poches de sang A+ et se qu'il faut pour perfuser, des antidouleur et des clous. Des grands clous... Admettons...
...
soixante centimètre de long.
Oh ! et un coursier avec une boite en carton, comme pour mettre au courrier. de...
trente centimètre sur vingt et vingt.
Merci."


Et elle raccroche.
La Pétale de la Reine ne demanda pas plus d'informations sur les demandes étrange de fin de liste de la Primogène et de toute façon elle n'en avait pas eu l'occasion. Elle fit passer les ordres.
Une goule de la Reine se présenta une demie heure plus tard avec l'ensemble des demandes.

"Madame, voici le coursier et les objets que vous avez demandé."


Isabelle prit le carton plein et fit entrer l'homme en charge des transports de marchandises. Elle congédia la pétale et ferma la porte avec son pied.

"Mettez cette boite dans celle ci et allez la porter a cette adresse."


Elle lui donna un papier après avoir posé son farda son le bureau.


"Une fois là bas ne trainez pas. Vous pouvez disposer."


Le jeune homme fut soulagé de ne pas avoir a rester plus longtemps l’atmosphère dans la pièce était étrange. Il se redressa dans une sorte de salu militère et s'éclipsa.


"Bien madame."


Isabelle retourna dans la chambre qu'elle avait fermé aux regards curieux de ses visiteurs.


"J'ai ce qu'il nous faut."


Elle brancha la perfusion au bras de Laurent lui fit avaler une bonne dose de cachets et s’installa à côté de lui en le regardant tendrement commencer à sombrer dans l’inconscience dut aux antidouleurs qu'elle lui avait fait avaler à forte dose. Elle lui caressa doucement les cheveux d'un main avec dans l'autre les long clous en se demandant où elle pourrait accrocher cette œuvre dans sa chambre... Pas tout ce suite... D'abord la greffe devait être accepter par le corps de Laurent... Mais... Il fallait que ce soit fait avant que le créateur ne lui rende visite...
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Armand Duplessis
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptySam 6 Oct - 23:51

[Arrivant de sa galerie d'art.]

Spoiler:

Armand gara sa voiture devant Le Louvre et se dirigea d’un pas plutôt alerte vers l’intérieur, il avait hâte de savoir sur quoi allait aboutir son entreprise. Il tenait à la main sa toile dans son emballage cadeau.
Une fois dans les lieux il fut rapidement repéré et accosté par des pétales qui après s’être enquises des raisons de sa présence l’escortèrent vers les locaux de la primogène Toréador.

La personne chargée de l’accueil pour la Primogène prit le relais auprès des pétales
Et se mis à s’informer de la présence d’Armand, la personne voulait savoir à quel propos voulait-il la voir.
-« La raison pour laquelle je veux la voir ne vous concerne en rien, dites-lui simplement qu’Armand est ici »

La personne lui réponda qu’elle allait voir ce qu’elle pouvait faire, qu’elle alla aviser Isabelle Des Termes, se renseigner si la Primogène a le temps de le recevoir car il n’avait pas pris rendez-vous, qu'il aurait du téléphoner d'abord pour prendre rendez-vous, que sa maitresse avait un horaire chargée, qu'il y avait une liste d'attente a respecter. Etc.

Armand leva la main pour signaler à la personne qu’il n’était pas intéressé à l’écouter réciter son guide du parfait réceptionniste et il se dirigea dans l’antichambre du bureau de Primogène.
Il avait déposé son paquet sur un fauteuil et il se mis à tourner en rond en essayant d’adapter mentalement a l'avance divers types de réactions face à toutes les éventualités possibles de réactions qu’Isabelle pourrait manifester envers lui après tout ce qui c’était passé.

Pendant un moment il avait envie de confier le paquet a la personne à l’accueil pour faire suivre le colis a Isabelle et ensuite rentrer chez lui.
Mais non…C’était impossible, il devait être fixé sur la situation et voir ce qu’il serait en mesure de faire pour atténuer la douleur de la femme dont il était amoureux, quitte à prendre un châtiment.

**Oh Isabelle. Isabelle. Isabelle**
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyLun 8 Oct - 14:38

Isabelle avait fini par contacter un de ses autres serviteurs pour venir prendre le relai des soins sur Laurent durant la journée. Sylvain écœuré par le spectacle que lui offrait les reste de son collègue faillit vomir et avait demandé à Isabelle pourquoi ne pas mettre fins à ses jours ou au moins lui ôter le sexe en terre que le barbare qui avait fait ça lui avait planté dans le bas ventre.
Indifférente à ses remarque Isabelle avait simplement tranché qu'il devait vivre avec avant de se coucher dans son lit où on venait de mettre un nouveau matelas et de nouveaux draps. Le corps du mutilé avait été emmenait dans l'anti chambre qui servait pour les serviteurs.

A son réveille Isabelle alla immédiatement prendre des nouvelles du blessé, il s'était vraisemblablement stabilisé, mais pas encore sufisamenet pour être déplacé et encore moins accroché au mur...

Un texto du Prévo Heinrich brisas sa réflexion, elle en dicta immédiatement un à Sylvain, la réponse fut très rapide de la part de son bourgmestre si bien qu'elle enchaina tout de suite sur la réponse.

Elle s'habilla en réfléchissant à la teneur de ses SMS et se ravisa finalement en dictant un nouveau message. La nuit s’annonçait sous des notes de conquérant. C'est donc tout naturellement qu'elle choisit une robe noire et longue au motif et la coupe chinoise. Ils étaient les meilleur dans le monde d'aujourd'hui dans ce domaine... Conquérir les marchés quel qu'ils soit.

Spoiler:

Elle mit des talons aiguilles noire pour parfaire sa tenue pendant que Sylvian lui faisait la lecture du journal des ombres. On l'informa que Monsieur Duplaisis souhaitait la rencontrer. Toutes émoussions quitta son visage.

"Faites le entrer dans mon bureau."


Isabelle prit le temps de coiffer ses cheveux en un chignon très serré et y glissa deux baguettes richement sculpté pour parfaire le tout. Lorsqu'elle entra dans son bureau Armand s'y trouvait déjà depuis une minute, elle le regarda sans parler sans même laisser échapper la moindre expression de son visage légèrement maquillé.
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMar 9 Oct - 10:54

La goule avait finalement fait directement entrer Armand dans le bureau d’Isabelle afin qu’elle puisse l’y rejoindre dès qu’elle serait disponible.

Armand resta debout, se remémorant la première fois qu’il avait fait sa connaissance ici même dans ce bureau quelques nuits plus tôt.
Il marchait de long en large en se mordant la lèvre inférieure, espérant presque qu’elle soit trop occupée pour le voir.
Il se disait qu’il avait été trop prompt a débarquer si vite ici, qu’il aurait du attendre que la poussière retombe un peu et que les esprits se calment, mais il était trop émotif pour s’imposer une telle discipline et surtout il était devenu amoureux.
Il avait déposé le cadeau au pied du bureau.
Il essayait de réfléchir, mais c’était comme rendu impossible, il n’arrivait plus a se fixer les idées.
Il se mis à se faire craquer les doigts.
Ses craquements paraissaient très bruyants dans le silence de la pièce.

Puis la porte s’ouvrit et Isabelle faisait irruption dans le bureau.
Aussitôt il se mis en transe devant elle, les yeux grands ouverts et complètement séduit par sa très grande beauté. Il en était paralysé, elle était tellement resplendissante sans son costume noir oriental.
-« Aaarh. »
Avait dégluti Armand sans s’en rendre compte, en admiration devant cette femme dont il était tombé si follement et si rapidement en amour.
Puis sortant progressivement du sentiment d’avoir été hypnotisé il portait maintenant attention a la gestuelle de la Primogène, son langage non verbal.
Cependant, elle avait regardé Armand en adoptant une attitude trop neutre pour espérer deviner dans quelles dispositions elle était.
Son regard sans expression posé sur lui était lourd. Il se sentait accusé, coupable et dans une situation très désavantageuse pour lui.
Il restait encore un moment à la regarder espérant qu’elle prenne la parole, mais elle ne disait rien, accroissant ainsi le malaise du Toréador.

Armand décida donc de prendre en se penchant le paquet dans ses mains, il tendit le cadeau vers elle avec beaucoup de retenue dans ses gestes.
Il se plissait les yeux en faisant un petit rond avec ses lèvres.
-« Un modeste présent pour vous…Isabelle! Euh, n’ayez aucune inquiétude c’est…C’est sans mauvaises surprises, je veux dire c’est… »
Il ne termina pas sa phrase et se mordait à nouveau la lèvre inférieure

Il essayait de voir en elle la souffrance qui avait si bien palpé lorsqu’il avait observé la boite qu’elle lui avait fait parvenir la nuit précédente. Il était perplexe, se serait-il trompé?
Il n’avait pas la plus petite idée de ce qu’il pouvait bien essayer de dire pour briser la gêne qui se répandait dans la pièce.

Malgré les sentiments amoureux il était trop fier pour présenter ses excuses ou d’implorer son pardon. Il refusait de traiter en inférieur devant elle, refusait de démontrer une quelconque faiblesse.
Il mis ses mains sur ses hanches et recommençait à déambuler dans la pièce.
Se doutait-elle qu’il l’aimait?
Il n’allait pas bêtement se déclarer sans d’abord s’être assurer qu’elle serait réceptive a cet élan d’émotion.
Et puis cette question était peut-être devenue sans intérêt pour elle après ses agissements de la nuit passée.
Argh! Il n’arrivait pas a la deviner et cela l’agaçait au plus haut point, il devait briser le silence car Isabelle n’allait manifestement pas le faire.

Déposant sur le bureau le cadeau qu’elle ne venait point cueillir entre ses mains, il penchat la tête pour mieux l'observer et dans un élan de
résolution, il ne trouva rien d’autre a dire que :

-« Combien de temps fûmes-nous trompés, nous deux? Aujourd'hui métamorphosés, nous nous évadons promptement comme la Nature s'évade.
Nous sommes la Nature, longtemps nous avons été absents, mais à présent nous revenons,
Nous devenons plantes, troncs, feuillages, racines, écorce.
Nous sommes encastrés dans le sol, nous sommes rochers.
Nous sommes chênes, nous poussons côte à côte dans les clairières,
Nous broutons, nous sommes deux bêtes sauvages, mêlées aux troupeaux, primesautières à l'égal des autres,
Nous sommes deux poissons nageant de conserve dans la mer,
Nous sommes ce que sont les fleurs de l'acacia, nous laissons tomber des senteurs par les chemins, de l'aube au crépuscule.
Nous sommes également l'ordure grossière des bêtes, des plantes, des minéraux.
Nous sommes deux éperviers adonnés aux rapines, nous planons dans l'air et regardons en bas,
Nous sommes deux lunes resplendissantes, c'est nous qui nous balançons arrondis et stellaires, nous sommes tels que deux comètes,
Nous rôdons dans les bois, quadrupèdes armés de griffes, nous bondissons sur notre proie.
Nous sommes deux nuages voyageant là-haut, les matins et les soirs.
Nous sommes des mers qui se mêlent, nous sommes deux de ces vagues joyeuses qui roulent l'une sur l'autre et s'entr'inondent.
Nous sommes neige, pluie, froid, ténèbres, nous sommes chaque produit et chaque influence du globe.
Nous avons fait des tours et des tours, tous les deux, avant de nous retrouver de nouveau chez nous.
Nous avons épuisé tout hormis la liberté, tout hormis notre propre joie. »


Armand s’était approché d’Isabelle, il était à moins d’un mètre et il la contemplait dans les yeux.
C’était lui maintenant qui attendait une réaction, qu’elle dise quelque chose, qu’elle l’embrasse ou qu’elle le tue, peu importait, il se noyait complètement dans son regard. Il voulait panser les plaies de sa Primogène, furent-ils au prix de son sang ou de sa non-vie. Il voulait l’aimer tout simplement.
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Isabelle Des Termes
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyMer 10 Oct - 22:25

Rien.
Pas un clignement d'oeil ni une inspiration, pas un soupir non plus. L’immobilité la plus totale, celle que seul les morts peuvent obtenir. Isabelle semble être une statue de beauté figé par le regard d'une méduse en colère, sans doute jalouse de sa beauté qui n'est pas éphémère comme celle de toute ces humaines fragiles et sans profondeur. La Toréador à vécu temps de chose et son esprit si développé que même statufié émane d'elle une majesté grandiose. Non Isabelle n'est pas une femme ordinaire...
Elle n'avait même pas suivie des yeux l'origine de ses tournants, cet même personne pouvait elle un jour taper et l'autre aimer ? Ou aimait il la voir souffrir et ainsi taperait d'une main pendant que de l'autre il la cajole ? L'esprit de ce jeune vampire pouvait il être à ce point dérangé ? La violence de sa peinture s'exprime t'elle également dans la vie sur les gens qu'il aime ? Elle ne serait le dire. C'était pure folie de le laisser entrer, elle savait qu'elle risquait de sombrer à nouveau. Céder à la tentation.
Comment pouvait elle le détester autant qu'elle l'aimait ? Elle aussi elle avait envie de le tuer et de l'aimer en même temps, sa présence déclenchait en elle une rage folle alors qu'un élan de joie la poussait à se projeter vers lui.

Elle voulait être acide l'accuser d'impolitesse de ne pas l'avoir saluer convenablement avant de commencer à parler. Le remercier de sa visite en gardant le tableau et le mettant dehors comme un coursier qui aurait livrait une lettre sans importance. Et irait comme prévue voir la Reine. Elle ne pouvait de toute façon pas être en retard.

Mais il fallut qu'il parle encore... Elle bougea très doucement la tête posant son regard pénétrant sur le poète qui déclamait des vers, elle ne pouvait rester sans réactions plongeant son regard au plus profond du sien.
Elle ouvrit la bouche, ses lèvres gourmandes s'agitèrent d'abord en silence, puis...


"En ce moment où je suis seul, gros de pensées et de désirs.
Il me semble qu'il y a d'autres hommes en d'autres contrées pareillement gros de pensées et de désirs,
Il me semble qu'en promenant mes regards au loin je puis les apercevoir en Allemagne, en Italie, en France, en Espagne,
Ou là-bas loin, très loin, en Chine ou en Russie ou au Japon, parlant d'autres dialectes,
Et il me semble que si je pouvais connaître ces hommes-là, je m'attacherais à eux comme je le suis aux hommes de mon pays,
Oh I je sais que nous serions frères et amis,
Je sais que je serais heureux avec eux. "


Elle n'était à présent plus qu'à quelque centimètre de lui et de son parfum. Ses lèvres s'immobilisèrent un instant et dans ses yeux passa un nuage avant qu'elle ne rajoute d'une voix brisée.


"Vous avez été méchants..."
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Armand Duplessis
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MessageSujet: Re: Bureau de la primogène Toréador.   Bureau de la primogène Toréador. - Page 5 EmptyJeu 11 Oct - 6:00

Isabelle commençait doucement a s’activer après qu’il ai récité sa poésie.
Il était pendu à ses lèvres, il voulait presque la forcer à parler.
Puis elle répondit par un poème.
Elle avait reconnu qu’Armand venait de lui citer du Walt Whitman et elle avait répondu à son tour avec du Walt Whitman également, le célèbre poète américain.

Armand buvait ses paroles il la regardait parler comme s’il pouvait voir les mots sortir de sa si belle bouche. Le Toréador était émerveillé de la voir ainsi se livrer à de la si belle poésie.

Il était tout près d’elle, il la respirait, il goutait sa présence et il secouait la tête de passion qu’elle engendrait chez lui.

Puis elle lui dit qu’il avait été très méchant.
Tout d’un coup, il sorti de sa contemplation comme sous le claquement de doigts d’un hypnotiseur pour réveiller son sujet.

Il fit quelques pas en arrière.
-« J’ai été méchant c’était parce que…Vous m’aviez fait perdre l’esprit. Sachez que je ne vous ferais jamais aucun mal, jamais sur votre personne! Jamais! Et ce que j’ai fait à votre goule était beaucoup plus un geste de désespoir plutôt qu’un geste de monstruosité. »

Il n’osait pas lui dire ou lui décrire la peine que lui avait causé Isabelle en lui donnant congé la nuit dernière, il avait peur qu’elle ne comprenne pas et il ne serait pas en mesure de lui fournir davantage d’explications pour justifier la douleur qu’il en avait ressenti.
D’ailleurs il n’était pas ici pour lui balancer bêtement des excuses, il était ici pour expier, prendre la sentence de cette femme qu’il avait fait souffrir en retour de ce qu’elle lui avait fait ressentir.

-« Dans votre boîte que vous m’avez expédiez…J’ai ressenti que vous aviez souffert d’une profonde et cruelle douleur de par ma faute, de par ma bêtise. Vous êtes la seule femme que j’ai rencontré dans ma vie qui m’a…. »

Il ne termina pas sa phrase il alla vers le bureau pour tâter sa toile enveloppée.

-« Je vous aime profondément Isabelle, vous me procurez autant de passion que de peine.
Toutes les émotions en moi s’entremêlent, je suis amoureux, je suis passionné, je suis un Caïnite, je suis un assassin, je suis un enfant, je suis le père, je suis la mort et je suis la vie et je n’ai aucune idée de comment un être comme moi pourrait devenir un bon et doux amant pour une femme tel que vous! »


Il se tourna vers elle en tendant les mains dans sa direction.
-« Vous avez enfoncé encore plus profondément de vous-même. Le poignard que je venais de vous planter dans le cœur, vous avez achevé de mutilé votre goule que j’avais tout d’abord…Torturé…Est-ce-que je me trompe en qualifiant votre geste comme d’un cri de désespoir et de douleur que vous avez poussez sous mes coups de ciseaux sur votre serviteur? »

Il abaissa les mains devant Isabelle comme impuissant, et coupable.
-« Je vous ai apporté un cadeau et je sais qu’il ne vous distraira en rien du chagrin que je vous ai causé. Si vous voulez me faire du mal physiquement, sachez que je ne me défendrai point…Je suis prêt a boire de votre sang si vous me le demandez. Vous pouvez me demander tout ce que vous voudrez, je suis amoureux de vous Isabelle Des Termes et si j’existe encore demain ce ne sera que par l’amour que j’ai pour vous au plus profond de mon être. »

Il se mis à se passer les mains sur son visage qui allèrent progressivement prendre sa tête a deux mains autant pour se cacher que pour essayer de s’éclater la tête.

-« Autant j’ai souffert d’avoir été convaincu de vous avoir fait beaucoup de mal, qu’autant j’ai souffert à l’idée que vous pourriez vous réjouir de mon anéantissement, que vous puissiez vous moquer de ma douleur.
Mon esprit s’était scindé en deux comme mu par une folle passion froide et cruelle. Envisageant de vous croire satisfaite de me voir ainsi j’ai…Je me suis livré à de l’amour physique sur une femme dans ma galerie la nuit dernière, comme pour montrer à vos yeux invisibles que vous ne m’aviez point tué, je voulais rester debout vous affronter et vous aimer! Oui j’ai posé les mains sur cette femme, je l’ai embrassé, je l’ai dénudé, je l’ai prise en bouche et…il s’agissait d’une de vos oies, une Toréador que vous auriez négligé répondant au nom d’Abigail. »


Il avait toujours la tête entre ses mains et celles-ci finirent par tomber le long de son corps puis il pencha la tête en s’éloignant d’Isabelle.


-« J’ai été méchant… »
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