elle les écoutait, ravit ! celui ci lançant des fleurs, celui là discourant avec brio... elle laissait l'avantage à Lucien, elle n'en avait cure et c'était amusant... Elle sourit au ventrue et tourna rapidement le regarde vers Henri

ainsi donc mon ami, un homme aussi merveilleux que vous trouve les femme dangereuse ? et pourtant...

elle haussa les épaules

je dois vous avouer ne pas comprendre en quoi...

Venant de l'extérieur Kaoum entra dans le club en compagnie d'Abigail à son bras. Il s'arrêta à l'entrée et lança un regard circulaire dans la pièce et repéra tout de suite des vampires mélangé aux humains, par exemple Luddmila. Il repéra aussi certaines personnes éminentes de la villes à deux trois endroits de la pièce.

"Ma belle nous devrions saluer les membres de la famille il me semble en premier."

Il se dirigea donc vers le groupe de Luddmila en affichant un sourire. Il entraina Abigail avec lui (si elle accepte).

"Bien le bonsoir messieurs, madame."

Il s'inclina devant eux.

"Excusez moi le dérangement mais il me semblait naturel de venir saluer des confrères. Je me nomme Kaoum enchanté."

Puis il fit un pas de côté pour mettre Abigail plus en avant, lui tenant toujours la main mais la laissant libre de ses mouvements.

"Mais permettez moi de vous présenter la Lune de mes nuits, Abigail."

tete de Kaoum avec son masque:

Abigail était déjà toute rougit en approchant les autres vampires, elle devint écarlate et regarda Kaoum quand il parla de lune... ravit de la gentillesse, elle en fut tout de même gênée, non habitué a ce genre de chose, surtout devant d'autre personne

elle s'inclina légèrement devant les autres, un peu moins longtemps devant Luddmila et Henri qu'elle connaissait au moins de vue

c'.. c'est un plaisir de.. euh... de vous revoir et de.. euh thrumm..de vous rencon..rencontrer !

le plaisir était réel, bien qu'un peu couvert par la gene

Spoiler:

Henri ne savait que trop répondre à Luddmila. Il lui aurait bien répondu qu'elle lui arracherait le cœur s'il se laissait aller au jeu de la séduction mais au vu de la situation dudit organe de son amie, la chose eût été fort inappropriée. Alors qu'il cherchait une formule galante et précieuse dans son esprit, il fut ravi de l'à propos de l'arrivée d'Abigail au bras de son cavalier. Il connaissait assez peu sa consoeur qui s'était montrée assez réservée lors de la réunion de la veille. Sa personne était un mystère qu'il aimerait dévoiler, figurativement s'entend.

"Mes salutations madame, monsieur. Henri d'Estirac, voici mademoiselle Luddmila et monsieur Rousselet." répondit Henri tout sourire, toujours debout, s'inclinant légèrement pour ne pas attirer l'attention du bétail, puis il en présenta les uns aux autres d'un geste discret de la main.

Kaoum... Il avait vaguement entendu ce nom quelque part mais il n'arrivait pas à se souvenir où. C'en était agaçant. Par contre ce visage lui était totalement étranger, ils n'avaient jamais dû se croiser. L'expression qu'il employa était savoureusement à double sens, à la fois triviale et délicate. Cela le fit d'autant plus sourire.


"Ah, je vois que monsieur est astronome. Pour ma part je suis poète. Vos paroles me rappellent quelques vers de Musset...


Phoebé qui, la nuit close,
Aux lèvres d'un berger
Se pose,
Comme un oiseau léger.

Lune, en notre mémoire,
De tes belles amours
L'histoire
T'embellira toujours.

Et toujours rajeunie,
Tu seras du passant
Bénie,
Pleine lune ou croissant.




Mais nul vers ne transcrira jamais à la perfection les transports de votre cœur aimant pour votre belle."

Et voilà, Henri avait encore étalé sa science littéraire tel un coq se pavanant avec ses plumes colorées dans une basse-cour. Et il semblait très fier de lui.

Lucien ne faisait aucun commentaire ce qui en soi était un exploit dirait certains. Il écoutait et se contentait de glisser le regard de son ami à la Séthite.
 
 Deux silhouettes se faufilaient vers eux et l'homme se présentait ainsi que sa compagne. Un petit évènement qui le tirait de cette lassitude grandissante allant même à sourire légèrement amusé en découvrant l'identité du Nosfératu. Un léger haussement de sourcils s'ensuivait quand Abigail arrivait difficilement à formuler une phrase mais bien que l'occasion soit trop belle, une fois de plus, il se taisait.
 
 Le Gascon s'occuper de l'introduire en le désignant de la main et lui les saluaient d'un léger signe de la tête accompagné d'un geste de la main très décontracté.
 
 " Monsieur, mademoiselle, enchanté."
 
 Il souriait quand le Toréador se lançait dans un petit poème qui venait répondre aux mots de Kaoum.
 
 Il profitait d'ailleurs de ce petit temps mort pour observer les deux tourtereaux puis s'inclinait pour saluer la performance de son ami.

Kaoum serra légèrement la main d'Abigail de façon imperceptible à l'oeil pour lui signifier son réconfort. Puis il sourit à Henri, laissant même échapper un rire appréciateur.

"Malheureusement monsieur d'Hestirac il est rarement possiblie de retranscrire les émotions par les mots avec la perfection qui leur serait nécessaire. Mais je trouves que ce poème s'en approche avec l'habilité d'un maitre et votre connaissance en la matière n'est que plus admirable en soi."

Kaoum savait qu'il en faisait peut être trop et que personne en soit ne serait dupe. Mais il n'était pas contre aller dans le sens de ses interlocuteur quand cela pouvait aboutir à de bons rapports, surtout quand le compliment était sincère. D'ailleurs, il avait tout de suite reconnu le nom d'Henri et le savait porté donc sur la littérature et plus particulièrement l'écriture.

"J'imagine qu'un érudit tel que vous doit parfois prendre lui même la plume non ? J'ai fortement apprécié votre style en lisant le journal ce matin."

Tout en parlant il remarqua que Lucien n'avait pas parlé se contentant de l'observer. Il se permit donc un sourire amical en sa direction.

*En voilà un d'observateur, une bonne chose à savoir. Qui observe, sait.*

HRP=> Arrive de l'Antichambre

Le voilà dans la place. Il s'immobilise un temps en entrant, jetant un regard incrédule autour de lui afin de reconnaître les lieux. Cette simple "entrée" a certainement dû attirer l'attention de plusieurs membres de la famille qui, avec un peu de chance, ne tarderaient pas à venir lui parler. Du moins, c'est ce qu'il espère. En attendant, il se dirige vers le bar et s'installe sur l'une des chaises hautes.

-Un Bloody Mary, lâche-t-il dès que son regard croise celui d'un des serveurs. 

Le Bloody Mary étant une valeur sûre dans un lieu où mortels et immortels se côtoient. Le temps que son verre arrive, il se retourne et toise la salle de long en large. D'après ce qu'il a compris de la gargouille, le bouton de rose qu'il porte servirait à le faire identifier même dissimulé. 

*Ah, tiens. Une entrée gardée, là-bas...*

Son regard croise le néon "V.I.P". Sans doute est-ce là l'entrée réservée uniquement aux caïnites, mais mieux valait s'en assurer plutôt que de foncer tête baissée et de passer pour un sot. Il patiente donc, s'imprégnant de l'ambiance.

Luddmila se tourna lorsqu'elle vit la mignonne abigail approcher avec son cavalier... le nosfératue de l'autre jour... les deux femmes avaient un point commun semblait il ! Elle sourit a  la timide jeune femme qu'elle salut d'un geste gracieux de la tête


c'est un plaisir de vous voir toujours ensemble tous les deux !

puis elle écouta avec joie cette poésie d'Henri, toujours un bonheur a écouter

Cypher semblait troublé par la réponse de Morgan, il etait toujours intéressant d'avoir une vision d'ensemble des  semblables de Paris, encore fallait il pouvoir les reconnaitre..

Il devait forcément y avoir un signe distinctif.Il pris donc le temps de voir quel pouvait il être. 

Spoiler:

Le membre 'Cypher' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 4

La jeune fleur se retrouvait sans raison aucune le centre d'attention, elle n'aimait pas ca... cela la gênait terriblement... elle se mit a rougir encore plus s'il était possible de le faire. elle serra délicatement le bras rassurant de Kaoum et se visage, qui souriait poliment fixait néanmoins le sol.

La musique était bonne, elle tenta de focaliser dessus. elle sentait les regards un peu lourd sur elle... elle aurait du garder son manteau.

c'est...c'est...b..b.bien joli Henri...

elle avait réellement apprécié la poésie improvisée... même si c'était terriblement gênant

Les minutes s’égrainent avec lenteur. Si lentement que son verre ne fait pas long feu, étant la seule distraction qui s'offre à lui pour le moment. 

Puis l'impatience le gagne. Dans cette lumière feutrée et changeante, il ne parvient pas à savoir qui est qui, si bien qu'il décide d'abandonner son tabouret pour tenter sa chance à la zone VIP. Il règle donc sa conso, déboutonne son manteau dans un souci de préservation de la mascarade -Il faut dire qu'il fait plutôt chaud dans cette salle- et traverse la pièce jusqu'au gorille. 

Un signe de tête en passant devant le garde, s'attendant à être stoppé pour contrôle. Non, il passe. Bien. Il disparaît donc aux yeux de la foule et s'engouffre dans le couloir qui mène...A un comité d'accueil. Un homme posté devant deux autres gorilles. 

HRP=> Devant CHaron

N'importe qui aurait remarqué que Kaoum en faisait des tonnes quant aux compliments dithyrambiques à propos de son soit disant génie littéraire dont beaucoup tenait de son érudition de vieux vampire; rien qui ne puisse le comparer à Hugo ou Voltaire. Mais d'Estirac le narcisse magnifique trouva ces douces paroles fort justes puisqu'il s'était toujours considéré comme un très bon auteur sous-évalué par les critiques ou parfois maudit des muses pour ses vers bancales.

"La force d'un écrivain est de tenir leur plume comme d'autres saisiraient leur pinceau; la satire sociale doit rester réaliste et actuelle s'il faut que les lecteurs l'apprécient à sa juste mesure." 

On ne pouvait pas dire que le conte ne comprenait ni l'un, ni l'autre, mais Henri en était persuadé. Il était aussi certain que ce Kaoum avait du goût. Il ne se souvenait plus d'où il venait, mais il comprenait pourquoi la timide Abigail avait jeté son dévolu sur lui et il approuvait pleinement ce choix.


"J'ignore hélas dans quel art vous excellez, mais la Lune de vos nuits pourra vous inspirer." Un sourire aux lèvres il se tourna vers Lucien, d'ordinaire plus volubile. "Ne pensez vous pas cher ami?"

Lucien remarquait tout comme le Gascon l'exagération dont faisait preuve Kaoum pour son éloge. Il échangeait un bref regard avec son ami puis observait Abigail qui semblait avoir de plus en plus de mal.
 
" Houston on va la perdre."
 
Il s'amusait plus qu'il ne se moquait du comportement de la Rose alors que son ami lui posait une question qui retenait toute son attention un court instant où son regard se plissait dans une mine malicieuse.
 
" Je ne saurais vous contredire ! Je suis certain que sa lune inspirera notre ami qui se découvrira probablement une passion...ou la perfectionnera. Mais quel homme de ne se trouve pas inspirer devant la lune de son aimée."
 
Le ton malicieux il ponctuait d'un clin à l'intention des ses deux compères masculins comme pour instaurer une ambiance de franche camaraderie et il s'attardait plus sur le Nosfératu afin d'observer sa réaction face aux divers propos qui se tenaient.

Le sourire n'avait pas quitté le visage de Kaoum. Il écoutait les deux hommes s'échanger des mondanités pas si mondaine que cela. Pour sa part il y entendait plus que les simples mots qui étaient prononcés. Ainsi au moment où les deux hommes se regardèrent il chuchota à l'oreille d'Abigail.

"Tu peux aller danser si tu veux ma belle, tu n'as pas besoin de rester si tu ne veux pas. Je te rejoins rapidement d'accord ?"

Puis il se tourna à nouveau vers les trois autres pour constater que Lucien le dévisageait. Pour ce qui est de Abigail il ne la retenait pas si elle partait et lui offrait son bras si elle restait. Un sourire amusé apparut sur son visage.

"Eh bien messieurs on peut dire que la Lune vous inspire ce soir. En même temps je vous avoue être souvent inspiré moi-même grâce à elle."

Ces mots furent ponctués d'un hochement de tête et son sourire s'agrandit.

*Il est temps de changer de sujet.*

"Mais heureusement pour nous messieurs, les muses ne sont pas rare ce soir."

Il se tourna vers Luddmila toujours souriant.

"Je suis ravi de voir que vous êtes toujours aussi resplendissante ma dame. Je suis heureux d'avoir à nouveau l'occasion de pouvoir vous parler de vive voix."

À la proposition de Kaoum, la jeune femme sourit... ses yeux devinrent pétillant... si elle était trop grosse pour le ballet comme elle l'avait tant désiré plus jeune, elle aimait toujours danser et s'excusant d'un geste de la tête, la jeune rose, ou la lune tout dépendant de qui parlait d'elle se dirigea vers la piste de danse.

Elle se mêla avec facilité aux humains présents, leur ressemblant en tout point. Elle se mit a danser avec grâce et agilité. Les gens qui la regardaient, la détaillaient, ne la dérangeaient plus... elle dansait et le reste n'était pas important.

pour celles et ceux qui regardait le spectacle était a couper le souffle...

Luddmila suivait les petits jeux de tous un chacun... le beau henri trop heureux et flatté pour jouer à quoi que ce soit... le ventrue qui tournait tout à la blague tentant de tirer le maximum de point... Kaoum qui exhibait sa rose fier comme un pan et.. la rose... toujours aussi timide Luddmila se demandait a qu'elle jeu elle jouait! si elle était réellement aussi timide, ou juste étrange, ou carrément menteuse... qu'importe, elle était magnifique... elle mettrait la main dessus un jour...pour le plaisir... d'ailleurs son regard posé sur elle le laissait suggérer... elle la suivait des yeux jusque sur la piste de danse, la regardant danser, sourire aux lèvres

ce sont les mots de Kaoum qui la sortirent de sa reverie... le visage de la sethite se tourna vers Kaoum, gardant le même sourire

 - oh eh bien je vous remercie ! le plaisir est, croyez moi, réciproque ! et l'ambiance de l'endroit beaucoup plus agréable...

son sourire s’agrandit légèrement

Henri se tourna vivement vers Lucien, un grand sourire aux lèvres. Diantre! C'était osé de parler ainsi de le dame d'un autre mais la chose était joliment tournée et bien plus drôle qu'offensante du reste. Il n'avait rien à répondre à cela, laissait ce plaisir à Kaoum. Il n'échappa guère à Henri que Kaoum avait décidé d'oublier la Lune en la personne d'Abigail pour se consacrer à la fascinantes sethite qui enivrait les sens de nombre de caïnites. Il s'étonna qu'elle n'eut pas placé de petit mot spirituel ni ne se soit égayée de la discussion pourtant fort leste. A y réfléchir, elle lui semblait bien silencieuse depuis qu'il avait repoussé ses avances. Était-elle fâchée? En tout cas Henri n'avait aucun remord à l'avoir éconduite. Il ne danserait point.

A propos d'ondulations sur la piste, Abigail semblait attirer l'attention. Un peu trop à son goût, et Kaoum ne semblait guère s'en inquiéter, affichant le visage béat de l'amoureux transi. A trop se laisser entraîner par la musique la demoiselle risquait le bris de mascarade, ce qui serait fâcheux pour la cour, le clan et les amants. Il décida d'interrompre la discussion amicale entre Kaoum et Luddmila pour sous-entendre son inquiétude, quitte à parler à nouveau de mouvements corporels lascifs.


"Mademoiselle Abigail semble avoir se nombreux admirateurs. Elle danse si bien il est vrai, avec tant de vivacité et de grâce. Quel dommage que le Prince n'ait eu l'idée de donner un bal entre nous, elle y brillerait. Mais ici, au centre du commun, elle est l'incarnation de la divine Terpsichore."

Comme il se sentait mal! Il avait l'impression de jouer les fâcheux. Le lui pardonnerait-on au nom de la préservation de son clan? Oh! Comme il avait envie de quitter ce lieu trop bruyant!

Albin entra ainsi dans cette boite ultra-branchée, Malicia à son bras. Il avait la sensation de se retrouver lors de ces fêtes de fins d'années scolaires américaines, où la nécessité d'avoir un(e) cavalier(e) et le bien paraitre devenaient presque des besoins vitaux. Le tremere n'était pas à son aise, et cela pouvait se voir et se sentir. Sa ville d'origine, Rennes était tenue par des Toréadors, par conséquent l'Elyseum de la ville Bretonne se trouver au Musée des beaux-arts. C'était un endroit calme et paisible, rien à voir avec ce qu'il avait sous les yeux.

Il tâcha de se reprendre. Il ajusta machinalement sa cravate. Comme si son emprise sur celle-ci lui permettait de faire face. Il avait une mission et ce but ne devait pas être détourné par de simples doutes plus qu'humains. Albin reprit alors un air sérieux. La mission avant tout. Et s'il devait passer par ce genre d'épreuves et de défis il le ferait, il avait relevé bien pire.

Le vampire observa donc attentivement la salle. La première chose qu'il remarqua fut cette jeune femme dansant admirablement bien au milieu de ce bétail. Toréador. Albin ne put que penser cela, il avait suffisamment côtoyé de Toréadors à Rennes pour les reconnaître en rien de temps. Il remarqua également un groupe qui lui semblait bien être vampirique. Trois hommes et une femme. En les observant attentivement il ne pouvait déterminer aisément leurs clans. Ce n'est pas toujours chose facile que lorsqu'un Toréador fait une représentation ou lorsqu'un Malkavien pète soudainement un boulon... Il était néanmoins persuadé qu'aucun d'eux n'était Tremere. Ces derniers s'ils se trouvaient en ce lieu, devaient se réunir dans un endroit plus calme...

Ainsi le tremere avisa rapidement l'entrée "V.I.P". Nul doute, les siens ne pouvaient que se trouver par là. Son regard se posa sur Malicia. Il lui indiqua d'un signe de tête l'entrée "V.I.P" et d'un regard les vampires qu'il avait pu remarquer. Il sembla l'interroger du regard pour savoir où elle désirait se rendre en premier lieu.

Il commença alors à l'entraîner vers la foule. Il ne lui semblait pas très discret de rester ainsi planter devant l'entrée... Alors qu'ils se mêlaient au commun des mortels il se pencha vers elle. Avec un tel bruit elle n'entendrait sans doute pas, il devait lui glisser au creux de l'oreille.

-"Avez-vous repérez vos Frères ? Je pense que les miens ne se trouvent pas dans une telle salle mais plutôt par là." dit-il en désignant du menton l'entrée "V.I.P".

Puis il se pencha d'avantage pour murmurer discrètement.
-"Tout comme le Maître des Lieux et sa cour... Je vais tenter de m'y rendre. Souhaitez-vous m'accompagner ?"

hrp:

À la remarque d'Henri Kaoum regarda à nouveau vers la piste de danse et sourit avant de s'en retourner vers les autres.

"Effectivement il semblerait qu'elle y mette le feu. Faites attention à ne pas vous y bruler les yeux mon cher Monsieur d'Estirac."

Il finit par un petit rire.

"Mais je crois que vous avez raison et je vais m'empresser d'aller la rejoindre dans ce cas. Mais avant cela . . ."

Il sortit trois cartes de sa poche avec son numéro qu'il donna aux deux hommes et à Luddmila.

"N'hésitez pas à en faire usage si le besoin s'en fait ressentir. En ces temps . . difficiles, tout aide est souvent bonne à prendre."

Il sourit à nouveau et attendit un moment le temps de voir si quelqu'un souhaitait intervenir, pour donner son numéro en retour qui sait. Puis il s'inclina, pas trop pour pas se faire remarquer.

"Messieurs, dame, ce fut un réel plaisir."


Et si personne ne le retient il se dirigea vers Abigail.