*Ben voilà un homme direct ! Et je veux savoir comment il a fait avec la carte !*

Fut la première pensée de Jean. Il avait écouté Aaron d'un bout à l'autre sans cillé, sirotant son verre. Quand il eut finit il ne changea pas de position, semblant juger l'homme qui se trouver en face de lui. Puis il se redressa d'un coup et déposa le verre vide sur la table. Il regarda son verre un instant puis tourna la tête vers Aaron.

"Aaron ! Tout d'abord je vous demanderais de m'appeler Jean et de me tutoyer. Personellement je trouves cela plus naturel pour moi, je n'ai pas l'habitude du vouvoiement."

Il s'adossa contre le dossier du sofa et sembla réfléchir à nouveau perplexe.

"Désolé mais vos questions me font réfléchir car je n'arrives pas à y répondre correctement. En fait, permettez que je vous en pose moi aussi. Ça permettra peut etre une meilleure satisfaction des deux cotés."

Il attendit un instant guettant l'approbation d'Aaron, mais pas trop longtemps pour ne pas lui laisser le temps de refuser.

"Mais questions les voici :
1 : Pourquoi pensez vous que je connaisses suffisamment notre amie commun pour pouvoir porter un jugement objectif sur elle.
2 : Vous vous présentez comme chef d'entreprise, mais sans me dire laquel. Avouez que pour répondre à la premiere et deuxieme question cet élément manque.
3 : Après avoir répondu à mes deux premières questions. Pourquoi me poser la deuxième question ? Pensez vous m'engager ? Pensez vous disparaitre ? Pensez vous que notre amie commun ai besoin de protection ?"

Il marqua une pose sondant les yeux de son interlocuteur, l'air sérieux. Puis un sourire amical, voir amusé, se déssina sur son visage et il émi un petit rire accompagné d'un mouvement de main signifiant que ce n'était pas très grave.

"Excusez moi Aaron. Ça fait beaucoup de question d'un coup je l'avoue. Mais j'avoue aussi que vous m'intriguez beaucoup."

Il rigola un peu et repris d'un coup une mine amusé mais calme.

"Oui vous m'intriguez ! Dans les différents sens de ce terme."

Balthazar était un peu perdu dans ses pensées. Le Prince et Fey avaient tout bonnement ignoré sa présence. Il se demandait ce qu'il avait pu bien faire pour subir tel traitement. Pour le Prince, Balthazar mettait son mouchoir dessus. Les grands de ce monde ont toujours des sautes d'humeur et il savait s'en accommoder. Mais Fey? Que lui avait il fait? Rien lui semblait il. Peut être justement lui en voulait elle de la négliger un peu ces derniers temps? Il resta dubitatif sur ce sujet.

Il fut tiré de ses méditations par le Primogène des Sorciers. Il répondu à ses salutations par un léger hochement de tête pour ne pas attirer l'attention. IL demandait l'accès VIP pour ce qui semblait être sa goule et une jeune femme qui les accompagnait. Il vérifia le sésame et afficha un sourire.

- Bonsoir Monsieur de Lestrain. Je suis ravi de vous voir parmi nous. Je vous remercie pour le compliment. Cette jeune personne est donc votre invitée? Fort bien si vous vous portez, bien entendu, garant pour elle je n'y vois absolument pas de raison de vous dire non. Je vous souhaite une très bonne soirée.

Il rechercha Fey du regard et la trouva longeant un des murs de la salle.

- Si vous voulez bien m'excuser. Monsieur de Lestrain, Mademoiselle, Monsieur.

Le même hochement de tête poli et il s'en alla rejoindre sa compagne.

Il lu posa doucement la main sur l'épaule.

- Qu'est ce qui ne va pas? Tu m'évites?

Jean le regarda toujours ce meme sourire sur les lèvres.

"Oui . . le Rosier de Paris . . je crois en avoir entendu parlé."

Il regarda Aaron d'un air amusé.

"Eh bien maintenant que je sais un peu mieux qui vous êtes et de quoi nous parlons je vais pouvoir peut être répondre à la première question. Pour l'impression qu'elle m'a donné je dirais qu'elle est une femme des plus capables. Calme, agréables sous tous les rapports et mystérieuse à souhait. Je penses que votre . . société, ne peut que se féliciter d'avoir une telle employée."

Il marqua une nouvelle pose. Décidément il s'amusait. Bien plus qu'il n'aurait cru en être capable dans une discution de ce genre.

"Mais votre deuxième question, et les précisions que vous m'avex donnés me laissent toujours perplexes. Même si comme vous l'avez dit je suis à protéger ses amis, je ne vois pas je devrais donné une garantit à un tiers sur ce point là. Auriez vous une raison particulière de demander, car en soit là est la vrai question, je suis bien ami avec elle ?"

Il s'était penché en avant inconsciemment. Tout en lui respirait l'intérêt à la réponse que lui donnerait Aaron. Pour un observateur suffisamment proche, on pouvait peut être voir plus que de l'intérêt, plutôt . . une faim . .

Dimitri suivait le regard de Rozen sans rien dire de particulier à ce sujet.
 
" J'ai appris à jouer avec les règles anglaises mais je préfère les Américaines alors je vais me cacher derrière la galanterie et te laisser choisir. Pour ce qui est d'en trouver ici j'en doute mais ce n'est pas les petits bars qui manquent dans le coin, on doit pouvoir trouver ça. J'aime bien les fléchettes aussi, j'y jouais très souvent avant."
 
La ventrue qui le connaissait se doutait bien à quelle période il faisait référence alors qu'il posait un billet de 10 euros pour payer sa consommation sans attendre la monnaie qu'il laissait au barman. Il se redressait ensuite, prêt à partir suivant le désir qu'exprimerait son amie.

"Eh ben on peut dire que ça c'est de la déclaration !"

Il partit dans un rire où persait l'amusement. Il se reprit et regarda Aaron en souriant.

"On peut dire que tu m'as assez bien cerné. Mais tu ne trouves pas que tu vas trop vite ?"

Jean avait naturellement adopté le tutoiement sans s'en rendre compte. Il le réalisa soudain et se repris.

"Olah pardon. Je me suis laissé emporter."

Il regarda Aaron toujours aussi amusé, pas une seconde réellement désolé.

"Comme je disais ne pensez vous pas aller un peu trop vite en besogne ? Vous m'accordez une confiance que je penses pas spécialement mérité. Je suis un peu un vilain petit canard vous savez. Pas sur que je sois toujours là pour elle. Et puis, qui sait si ça se trouve je vous mens depuis le début."

Il se réadossa au sofa, attrapant le verre vide sur la table et commença à jouer avec.

"De plus, pour le moment vous avez l'air d'en avoir pas mal appris sur moi, selon vous. Mais moi je ne sais encore rien de vous. Etes vous un magicien ou quelque chose comme ça ? Dans ce cas, qui me dit que vous ne me jouez pas un tour ? Une illusion faite pour me duper et dont le bouquet finale reste encore à être dévoilé ?"

Le sourire du Toréador grandis.

-" Nous sommes en conversation privée, tu peux me tutoyer.
Et en effet, tout ce que tu dis peut être aussi vrais que faux qu'a moitié vrais.

C'est là qu'intervient le discernement de chacun.

Comme je l'ais souvent dis nous ne percevons et comprenons le monde qu'a travers des sens limités et ne le décodons qu'avec un esprit lui aussi limité.

La faiblesse de l'esprit humain est de n’être capable de mettre en corrélation toutes ses données, a dis un jour un auteur.

Je fus effectivement magicien, bien que c'est quelque-chose que l'on ne peut cesser d’être; J'ai arrêté pendant longtemps les spectacles par deuil de ma fidèle assistante. Mais le temps du deuil touche à sa fin et je pense reprendre mes activités de scène, si toutefois ma nouvelle occupation m'en laisse le temps.

Comme tu le sous entend un magicien trompe les sens, donnant à l'esprit les mauvais outils pour travailler à la résolution d'un problème, mais contrairement à ce que l'on puis croire ce n'est pas chose aisée.

En ce cas les question à se poser pour discerner les choses pourraient être :

-Qu'a t'il à gagner en me racontant tout ça?

Car c'est plus souvent en comprenant le but d'une rhétorique que l'on peut en discerner les moyens et les pièges. Mais là encore une fois on peut rebondir en se demandant si ce même discourt n'est pas lui même un piège.

-Combien de tiroirs peut tirer cette personne si elle veut me piéger ?

Est aussi une question qui as sont intérêt.

Mais tout ceci peut mener à la paranoïa, il est difficile de conserver une méfiance légitime sans tomber dedans, particulièrement dans notre milieux, ce qui rend la confiance en soit à la fois une puissante arme et une terrible faiblesse.

Au final, à la fin nous sommes seuls face à nos décisions et aux conséquences de celles-ci; Ce qui reviendrais à dire que pour être sur de ne jamais se faire avoir il ne faut jamais prendre de décision personnelle.

Ce serait un peut triste non?"

Il eut un sourire franc et amical envers Jean.

Arrive de l'entrée.

Gatien, un peu à reculons, rejoignit la soirée.
Il y avait un monde fou, des lumières vives, et l'inévitable musique pourrie...
Chose à laquelle il ne s'attendait pas, c'est qu'il y avait même ces barres sur des estrades, où se trémoussaient des danseuses dont on pouvait sérieusement douter que le véritable métier soit la danse...
Même les barmaid étaient vêtues de façon à ce qu'on puisse douter de la nature de ce qu'elles offraient : boisson ou poitrine ? Quand aux barmans, on ne pouvait pas dire qu'il affichaient une franche virilité...
Bienvenue à l'Antichambre...
Quelle tristesse...
Le jeune Ventrue, qui n'avait jamais fréquenté volontairement ce genre d'endroit de son vivant, était atterré. Certes, cela allait bien avec la nouvelle équipe dirigeante, mais un bon nombre d'anciens devaient se retourner dans leur tombe à la vue d'un Elyseum aussi affreusement vulgaire...

Il fit contre mauvaise fortune bon coeur, espéra très fort que Lucas ne tarderait pas, et se lança.

Il sourit aimablement à tout le monde, serra des mains, salua tous ceux qu'il pouvait reconnaitre malgré la foule et ceux qu'il ne connaissait que grâce à la liste fournie par Rozenmilna.
Mais globalement, il se dirigea assez vite vers l'espace privé.


Vers Charon

"Las Vegas... Oooooh! Je jamais mis les pieds au Nevada. Je connaissais mieux la côte Est, j'ai fait la Guerre d'Indépendance." Il s'était illustré sur le champ de bataille en n'en faisant qu'à sa tête, bien entendu, mais ce gentilhomme français avait de suite acquis la loyauté de sa petite troupe de fermiers américains grâce à son charisme indéniable. Toujouts sur le ton de la confidence, il poursuivit.

"Je me suis arrêté à Atlantic City dans la fin des années 1970. La Nouvelle Angleterre m'a beaucoup déçu; les gens ne parlaient que de disco et de funk. La mode n'a pas changé depuis, elle est toujours affreusement tape-à -l’œil. L'ambiance dans les casinos étaient à peu près la même que ce soir."

Il secoua la tête de gauche à droite, pour indiquer qu'il n'aimait toujours pas les talons hauts et les robes moulantes.

"Je crois qu'à cette époque l'on a oublié le sens commun en matière de toilette et de séduction. Autrefois l'on vêtait les déesses nues sur leur piédestal ce qui les rendaient d'autant plus belles. Aujourd'hui j'ai l'impression que toutes les femmes se sont muées en érotomanes mesurant leur popularité au nombre d'amants qu'elles ont pu avoir plutôt qu'à la qualité d'une étreinte. Je n'apprécie pas plus ces jeunes femmes que vous, mis à part pour me sustenter. Nul ne croirait l'histoire d'une de ces bêcheuses si elle prétendait s'être fait mordre au cou."

Elle le vit s'approcher et... leva les yeux sur lui... elle était a deux doigts de la crise et ne savait pas quoi faire parce qu'il y avait trop de gens, trop de discours, parce qu'un fou dansait parmi les hommes, parce que son coeur avait envie de danser, parce que sa tete avait envie de faire son travail, parce que le prince lui avait répété qu'elle avait été un bon choix alors qu'elle n'arrivait pas a faire ce pourquoi elle était là, parce que la musique l'étourdissait, parce que le mur la rassurait, parce que ses fils partaient dans des extrêmes qu'elle ne connaissait pas, qu'elle ne contrôlait pas

 elle le vit s'approcher et... leva les yeux sur lui... ses mains étaient prises entre elles formant un étaux qu'elle savait, tristement pouvoir détruire... elle ne savait pas ou aller et était perdue...et surtout, elle ne voulait pas s'arracher de la chair devant les invité de balthazar... elle s’efforçait de rester loin des groupes


je ne t'évite pas Balthazar... aide moi... amène moi ou il y a moins de... ou il n'y a personne... pitié ! ils sont trop, ils bougent trop, ils parlent trop et... ils me terrorisent !

Venant du bureau du Prince.

Jacques arriva finalement dans la zone de la boîte, où il avait de fortes chances de remarquer son primogène. Le jeune vampire espérait que la courte description qu'on lui avait faite ne correspondait pas trop à la réalité, mais au fond de lui, il en doutait. Ce qui donnait d'avance un peu d'excitation à Jacques, car ses talents si particuliers pour un gangrel, seraient fort utile au clan, ici à Paris. Ne Sachant pas trop ou se diriger pour le moment, il avisa une des dernières tables inoccupées de la salle, et s'y installa, et commença à attendre avec un peu d'impatience l'arrivée de son primogène, car Jacques ne doutait pas que cette dernière serait remarquable.
En attendant il porta sont attention sur son environnement, essayant de voir si il pourrait s'apercevoir aussi facilement de la présence d'un autre vampire.

 " Je ne peux que me ranger à votre avis. Beaucoup trop se cachent derrière les paillettes mais au final elles utilisent simplement les mêmes artifices que ces stars qui hors plateau télévision et sans maquilleuse ressemblent à des Nosfératus."
 
 Bien sûr le dernier mot était murmuré.
 
 Lucien était beaucoup plus détendu depuis l'entame de cette discussion.
 
 " J'ai moi-même visité Atlantic city mais j'ai été assez déçu. Pour certaines raisons dont vous avez parlé mais aussi fort de constater les «limites» de cette ville ne peut soutenir la comparaison avec sa soeur à aucun point."
 
 Il marquait juste une courte pause.
 
 " Las Vegas est tellement plus accueillante et son service écrasant de qualité ! Vous serez peut-être surpris d'apprendre que le jeu n'est qu'une des nombreuses activités qu'elle a à offrir ! Shopping, cabaret ... et les spectacles mon ami ! A vous couper le souffle ! "
 
 Son regard, sa manière de parler reflétaient un tel entrain et l'amour qu'il portait à cette cité malgré une pointe de nostalgie dans son timbre de voix. Pas de masques, pas de jeu, il se dévoilait sans retenue à Henri avec sincérité et simplicité.
 
 " C'est décidé, quoi que l'avenir nous réserve j'aimerais vous faire découvrir toutes ces choses dont je vous parle. Je vous en prie laissez-moi être votre guide le jour où vous souhaiterez quitter notre bon vieux pays. C'est une invitation officielle ! "
 
 Un sourire malicieux aux lèvres et il se penchait pour encore plus d'intimité en parlant directement au creux de l'oreille du Gascon.
 
 " Et bien sûr il n'y a pas de limitation sur la validité de cette offre."
 
 Il voyait Gatien franchir les portes de la salle et lui faisait quelques signes de la main pour lui signifier sa présence si ce dernier souhaitait les rejoindre bien qu'il semblait décidé à rejoindre la zone des VIP. C'est tout naturellement qu'il commentait avec un ton amusé.
 
 " Vous qui entrez ici abandonnez tout espoir."

Jean jouait toujours avec son verre, le faisant tourner entre ses doigts. Il souriait aussi pendant toute la tirae de Aaron qu'il trouvait des plus amusantes. Il riait aussi intérieurement à l'idée de l'image qu'ils devaient donner. Deux grand nigaud qui se lançait des tirades longues comme son bras tout en se souriants tels des enfants devant une patisserie.

"Oui ce serait d'une telle tristesse. Mais je vois plutot ça comme de la curiosité que comme de la paranoïa. Du coup je suis très curieux de connaitre la réponse à ces deux questions."

Jean rigola à la réponse de Aaron.

"Oui ! Oui je crois mettre fait une assez bonne idée de la personne se trouvant derrière cet éternel sourire."

Il repris son sérieux et regarda Aaron dans les yeux. Après un moment d'air sérieux un nouveau sourire se dessina.

"Je prendrais d'ailleurs volontier le numéro de ce magicien. J'ai toujours été intéressé d'apprendre un peu de magie. Enfant celà m'avait toujours faciné quand mon père m'emmenait au cirque. Le magicien donne-t-il des cours d'ailleurs ?"

Jean pris la carte de Aaron et sortit son portable de sa poche en meme temps. Il commença à noter le numéro tout en écoutant Aaron parler de ses espoirs et envies.

"Il est certain qu'une bonne assistante est primordial pour ce genre de spectacle. Je vais faire sonner ton téléphone pour que tu puisse avoir mon numéro en retour."

Accompagnant la parole par le geste il appela Aaron pour faire sonner son téléphone. Un fois cela fait il raccrocha, rangea son téléphone et sourit.

"Dans tous les cas maintenant que t'as un moyen de me contacter j'espère que tu m'inviteras à ta première représentation. Je ne peux rater un spectacle de magie sans m'en vouloir."

Puis il prit un air un peu plus pensif et commença à scruter la salle pour voir qui était présent.

"Tient dis moi. Toi qui est . . chef d'entreprise. Tu dois t'y connaitre en mondanité non ? En regardant cette salle, qu'est ce que tu peux me dire ?"

La question était flou, il s'en rendait bien compte. Mais ne sachant comme la formuler autrement il s'en contenterait.

- Ok ça va aller ne t'en fais pas.

Il passa son bras autour de la taille de Fey pour la soutenir tout en donnant le change pour faire croire que c'était juste un geste affectueux.

- On va aller dans mon bureau le temps que tu reprennes des forces.

Balthazar l'entraina loin des gens, loin du bruit. Ils partirent en direction de la zone VIP. Ils passèrent Charon qui leva des sourcils interrogateur pour le Gardien. Celui ci se contenta de répondre en pivotant la tête de négation.

[--> Bureau du gardien]

Dimitri écoutait la Ventrue sans l'interrompre et ne manquait pas de sourire à certains propos notamment sur les références télévisuelles. Il n'avait pas assisté à ce bal dont elle contait les louanges mais il notait surtout une certaine nostalgie mais ne faisait aucun commentaire à ce sujet. Les actes valaient plus que les mots et il s'occuperait de ça plus tard.
 
" A temps différents moeurs différents, c'est ce que je me borne à me dire. Et avant que tu trouves quelque chose à redire, ça ne veut pas dire que j'adhère forcément."
 
Il ne comprenait pas vraiment l'allusion au comportement de Charon mais se voulait sage en ne posant pas une question qui pourrait la conduire à une frénésie verbale.
 
" Sans la faire courir comme tu, si elle n'arrive pas d'ici 30 minutes je quitterais cet endroit et irait l'attendre dans le coin."

*C'est moi ou depuis genre 15 minutes il parle pour ne rien dire de concret. Ouais, il a eu ce qu'il voulait maintenant il s'en va.*

Jean leva les deux main paume vers le ciel en signe de négation.

"Navré je n'en ai pas. Personellement, la pluie ne me fais pas peur spécialement. Je la trouve rafraichissante, pouvant apaisé les coeurs les plus ardents et imprévisibles."

À ces mots il regarda Aaron avec un petit sourire laissant tomber son intérêt pour la salle.

"Mais je suis sure que si tu demandes à l'homme qui se tient à l'entrée de la zone VIP il pourra t'aider. Je ne connais pas son nom mais il semble travailler pour le gardien. Enfin ça tu l'aurez certainement deviné toi même."