Fey s'éloignait lentement, quand elle sursauta poussant un léger crie... elle arracha une partie de l'os de sa cuisse par accident, le jetta aus sol et prit son cellulaire... lu tout en s'assoyant au sol... elletremblait. Elle pouvait faire ca ! elle se mit a texter... les gang dans paris étaient déjà pas très amis... une tite chicane de plus ou de moins...

elle le devait à Fleur, et... elle avait le sentiment de devoir quelque chose a elea aussi... elle ferma son cellulaire et resta là

"Bien , très bien .. bon maintenant faisons notre petit tour histoire d’être rassurés .. "

Il s'approcha de Fey , posa deux doigts sur son épaule

"ça ira ? "

Spoiler:

Le membre 'Heinrich' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 2

Elle fixait son cellulaire quand il déposa ses doigts sur elle. elle leva ses yeux vers les siens et fit non de la tête. elle se sentait inutile, elle avait peur et n'avait pas, elle le savait, le quart de ses moyens habituels...

non... enfin... évantuellement surement, mais là... non

[arrivé de devant le Louvre]

Le gardien arriva dans la Salle du trône d'un pas rapide et sûr. Il fallait remettre le prévôt à sa place.

" Prévôt, je vous remercie pour tous le boulot que vous avez ajouté au mien, j'avais peur de m'ennuyer en cette fin de nuit. Si vous n'avez rien d'autres à faire qu'envoyer des hommes sur une scène de crime j'aimerais que vous regardiez les vidéos des cameras de sécurité. Chose que vous devriez déjà avoir fait.
Je n'ai aucun soucis quant au fait de travailler avec vous, mais n'oubliez pas que je suis le gardien et que la sécurité de ce site m'incombe à moi."

Le templier observait les cainites devant lui en silence, quand enfin un message.
Il lus son téléphone, un sourire apparu sur son visage. Il se tourna vers le Prévôt.

-"La mission est un succès, l'otage est libéré, les sabbats sont morts sauf un prisonier, nous n'avons que des blessés et la scène du combat restée sous contrôle est en train de partir en fumé pendant que je vous parle."

Il savait que cette équipe ne le décevrais pas.

Il salua avec respect le Gardien et fit un signe de tête approbateur lorsqu'il les informa des mesures prises.
Puis il se tourna vers Fey, lui souriant de manière amicale.

-"Si vous avez besoin de quoi que ce soit n’hésitez pas à demander."

Un autre message arriva, cette fois-ci il répondis [Mp Elea.]

D'autres messages, d'autres réponses. [Mp]

-"Je vais devoir vous laisser, le devoir m'appelle."

[Direction petit salon.]

il pianotait sur son téléphone pendant le laïus du Gardien

"Oh vous êtes là gardien ? je ne vous avez pas entendu .
Apparemment l'air pur de l’extérieur ne vous sied pas , je ne saurai trop vous le déconseiller à l'avenir .. "

"aah ça c'est cool primogène ! je veux bien une copie du rapport à l'occasion ."

il reçu un message sur son téléphone et sur sa radio

"ola ! bon messieurs moi aussi le travail m'appelle , l'heure n'est plus aux distractions . je vous souhaite une bonne fin de nuit , primogène vous recevrez surement un message de moi dans l'heure , si vous hommes sont libre il se peux fort que j'ai une mission de reconnaissance pour eux !"

*sortie vers les geoles*

Tout le monde avait quitté depuis un petit moment déjà, la jeune femme se releva, elle s'était calmé... pas de nouvelles des espions, gallus disait que la jeune femme avait été retrouvée... tout allait pour le mieux alors

Elle prit lentement le chemin de chez elle...



(ben chez elle )

[En provenance de l’entrée du Louvre]

Le jeune Ventrue, tout de blanc vêtu, marchait à vive allure, sa cape immaculée virevoltant à sa suite. La jeune femme aux boucles blondes, habillée de son habit rituel de cuir blanc brodé d’un spectre Ventrue bordeaux à l’emplacement du cœur, le suivait comme son ombre. Ils arpentaient les couloirs du Louvre d’une démarche fluide mais rapide, le port droit et altier.

Le couple arriva enfin dans le couloir qui menait directement à la salle du trône. Ils ne ralentirent pas, ne sachant si les autres étaient déjà entrés ou pas. Il espérait que non. Il avait déjà rencontré Parménion, et s’était déjà présenté de façon plus ou moins officielle, mais il ne savait pas comment le nouveau Prince prendrait un retard.

Lorsqu’ils arrivèrent à proximité de la porte massive qui menait à la salle du trône, il n'aperçut aucun autre Ventrue. Ils ralentirent avant de s'arrêter face aux portes massives qui menaient au trône. Visiblement ils n'étaient pas en retard. Les autres l'auraient certainement attendu, il était bien précisé que l'entrée devait se faire en groupe. Son empressement l'avait peut-être conduit à être le premier sur les lieux. Il sourit et accompagné d'Evangéline, il attendit que d'autres arrivent.

Le jeune Ventrue leva les yeux vers le nouvel arrivant dont il pouvait entendre les pas dans le couloir princier. Il reconnut la silhouette de l’homme habillé de blanc qu’il avait déjà croisé à plusieurs reprises. Il ne savait pas grand chose à son sujet, si ce n’était qu’il était lui même un Ventrue. Sur ce fait, nul doute ne persistait.

Lorsque l’homme arriva à leur niveau, il s’inclina légèrement à la suite de ce dernier et imité par Evangéline. Il écouta le Ventrue se présenter, non sans une petite surprise qu’il su cacher admirablement bien. Ainsi il avait rencontré le Gardien, sans le savoir, dès sa première nuit à Paris. Il sourit agréablement à l’homme avant de s’incliner plus franchement.

« Je ne savais pas que j’avais déjà eu le plaisir de vous rencontrer monsieur le Gardien, c’est un honneur. Pour ma part, je ne suis effectivement que Gildven Phoenix, fils de Yandros de Veyyil, de la lignée de Toln. Et voici, à mes côtés ma suivante, dame Dunkel. »

A sa suite, la femme aux magnifiques boucles blondes s’inclina très largement face à monsieur d’Arcy. Elle aurait certainement préférée faire une révérence, mais elle n’était pas correctement habillée pour ce type de procédé et cela aurait semblé plus grotesque que poli.

« C’est un honneur de vous rencontrer, monseigneur. »

Toujours affichant ce sourire avenant, le jeune Ventrue continua.

« Vous pouvez imaginer notre soulagement en vous apercevant dans ce couloir, monsieur, nous commencions à nous demander si nous n’étions pas arrivés trop tard pour la réunion avec sa Majesté. »

Le jeune Ventrue affichait toujours le même sourire qui se voulait avenant. Malgré toute sa contenance, il ne pu empêcher ce sourire de s’agrandir de quelques millimètres lorsqu’il entendit le Gardien reprendre les expressions qu’Evangéline et lui même avaient utilisés. Un Gardien pointilleux sur les coutumes, c’était donc le genre d’homme qu’était monsieur d’Arcy. Bien, il saurait s’en accoutumer.

De plus l’homme ne semblait visiblement pas vouloir trop en dévoiler. Il n’avait même pas révélé son prénom. Un homme qui aimait rester secret. Il est commun de dire que la connaissance est le pouvoir. Mais si on ne dévoile rien, on finit par ne rien apprendre des autres. Enfin, l’homme avait obtenu la place de Gardien de l’Elyseum après tout. Il serait bien de se montrer quelque peu méfiant à son égard, sans toutefois l’alerter. Un coup d’œil à sa suivante lui apprit qu’elle était arrivée aux mêmes conclusions que lui.

Evangéline fut toutefois surprise lorsqu’il la congédia. Elle n’avait certes pas prévu d’entrer avec Gildven dans la salle du trône, ce n’était pas là sa place, mais elle pensait pouvoir l’attendre dans le couloir et le retrouver dès la fin de l’assemblée. Elle était déçue et surtout frustrée d’être traité de la sorte, mais son visage resta de marbre, elle ne pouvait se permettre de mettre son maître dans l’embarras. D’ailleurs, du regard, Gildven faisait comprendre à Evangéline qu’elle pouvait se retirer. Bon gré, mal gré, elle s’exécuta, s’inclinant devant son maître et devant le Gardien.

« Maître. Monsieur d’Arcy. »

Elle avait légèrement accentué les derniers mots, d’une façon très subtile signalant à son interlocuteur qu’elle avait bien compris ce qu’il lui avait dit. Puis le port bien droit et d’une démarche tout à fait altière elle s’éloigna des deux hommes, se dirigeant vers le poste de sécurité.

Gildven quant à lui, reporta son attention sur monsieur d’Arcy. Il souriait toujours. Faisant fi de ses remarques de sémantiques, qui de toute façon ne méritaient pas plus de commentaires, il s’évertua à répondre à la question du Gardien.

« Comme vous devez le savoir, cela ne fait que trois nuits que je suis à Paris. Mais pour être tout à fait franc j’ai autant vécu dans cette ville qu’en Irlande. Je pense que le plus simple serait de vous répondre que je viens de Galway. »

Le sourire du jeune Ventrue ne disparaissait pas. Il avait noté le regard quelque peu insistant de son interlocuteur sur Evangéline lorsque cette dernière s’en alla. Il s’en amusa brièvement et classa l’information. Il était habitué à ce genre de réactions, on ne pouvait pas dire que la femme était du genre à passer inaperçue.

Ce fameux monsieur d’Arcy agissait exactement comme le devait un Gardien, surtout vis-à-vis de son clan. Certes, il avait la désagréable impression que l’homme le percevait encore comme un tout jeune caïnite, mais il saurait le surprendre en temps et en heure. D’une voix douce et calme, il entreprit de répondre à son interlocuteur.

« Le plaisir est tout partagé, monsieur d’Arcy. Cela étant dit, ne vous en faites pas trop pour moi. J’ose espérer que je saurai me comporter convenablement face à sa Majesté. »

Il sourit un peu plus largement, histoire de faire comprendre à d’Arcy qu’il lui était reconnaissant de sa sollicitude. D’autres pas se firent entendre dans le couloir, pour révéler quelques instants plus tard leur primogène. Le jeune Ventrue salua Ivan et écouta attentivement ses directives. Sans tarder, il s’exécuta et se plaça exactement comme l’avait suggérer le primogène. Sa place marquait la différence hiérarchique qui existait entre lui et les deux hommes qui l’accompagnait. Aucun déshonneur à y percevoir.

« Il semble que ce soit la formation parfaite, monsieur. »

Sa réaction lui indiqua qu'il y avait eu une légère incompréhension.

« À vrai dire je parlais de situation politique monsieur Gildven, je n'ai nul doute quant à l'éducation de notre Sang pour une présentation à un Prince… »

Il sourit d'un air entendu à son Cousin. L'arrivée d'Ivan interrompit leur conversation. Il salua ce dernier en s'inclinant tel que son rang le méritait.

« Bonsoir, Primogène. »

Air neutre et protocolaire de rigueur. Il l'écouta sans ciller.

« Comme il vous plaira, Primogène. J'aurais pour ma part opté pour un léger retrait de ma personne vis-à-vis de vous car Son Altesse désire voir le Clan des Roys plus que l'officier que je suis. Ceci dit, cette décision vous revenant de droit, inutile d'épiloguer davantage. Si vous voulez bien vous donner la peine… »

D'un geste délicat de la main, il invita le Primogène à ouvrir la marche. Il était prêt à le suivre au pas.

[sortie vers la salle du Trône]

UN garde s'avança vers le primogène devant qui il s'incline à une distance raisonnable avant de prendre la parole.

"Le prince et sa sénéchal vous attend."

Le jeune Ventrue s’amusa une fois de plus du fait que les autres Ventrues l’appellent par son prénom. Voilà un des faits les plus intéressants qu’il eut à noter depuis son arrivé à Paris, il y a de cela trois nuits. Il ne dit cependant rien et comme à son habitude rangea cette observation dans une partie sombre de son cerveau. Le visage devenu inexpressif, il suivit le primogène et le Gardien, adaptant sa cadence aux leurs afin de toujours rester légèrement en retrait des deux hommes, sur la gauche.

[Vers la salle du trône]

[Arrivée du Petit Salon]

Le Nosferatu accompagné de ses frères
s'étaient déplacés du Petit Salon jusqu'à l'antichambre de la salle du
trône et attendir de pouvoir entrer pour faire leur présentation.

Spoiler:

petit salon



John arriva prés de ces frère et resta en silence pour attendre le moment de s avancé.