[Arrivé de salle d'arme.]

Gallus sortit de la salle d'arme, et sembla attendre quelqu'un.

Il observa son camarade avec un sourire triste.

-"Vous avez entièrement raison l'ami, mais il vous manque une information.
D'apres le journal interne de l'élyséum, hier au soir Monsieur le Fléau avait giflé au sein du Louvre le Giovani qu'il prétend avoir défendu ce soir contre trois membres du Sabbat.

Dame Syriniel que vous venez de voir se trouve être la gardienne de cet élyséum mais aussi l'infante de la reine.

Si elle demande, d'un regard, à être seule avec lui dans la pièce, malgré les risques, dont elle-même ne peut qu'avoir conscience, je n'ai pas besoin d'être un habitué des jeux de cours pour savoir qu'il y a un problème auquel je ne veux pas être lié..."

Son expression de visage devint plus sérieux.

-"Cependant, le risque étant grand je ne laisse qu'une porte entre eux et moi afin de pouvoir agir au moindre cri.
Dans son état je serait certainement capable de le retenir jusqu’à l'arrivée de renforts."

"Si tant est qu'elle le soit encore monsieur, si tant est que l'on puisse encore la sauver"
La phrase avait été dite par un homme de taille moyenne, habillé avec élégance mais "prêt à porter" dirait un Toréador. Il salua Gallus de la tête avant de ranger son mala dans la poche de sa veste .

Gallus se préparait à répondre à son tour à son interlocuteur, quand arriva un silhouette qu'il connaissait, un sourire apparu.

Il salua respectueusement l'homme.

-"Les idéologies ne meurent jamais et dans les heures les plus sombres, la lumière y est plus éclatante."

Il regardait la silhouette, il se tramais quelque-chose, quelque-chose qui dépassait surement le vieux chevalier.

Il sourrit

" En l'occurence monsieur, c'est vous qui êtes entrain de faire des messes basses devant cette porte à quelques centimètres, je n'ai fait qu'entendre et non pas écouter, la différence est subtile je vous le concède mais vous en conviendrez m'excuse dans ce cas "
Il s'inclina
"Mais permettez moi de me présenter , Malvin Neaus, sans clan pour vous servir..."

L’intérêt que le simple mot "Caïtif" suscite fait pétiller le regard de Jonathan

" Un caïtif ! Extraordinaire, cette ville est vraiment pleine de surprises ! Vous devez avoir nombre d'histoires incroyable à raconter. Hélas Monsieur vous tombez mal. Mais permettez moi de me présenter tout de même. "

Jonathan se fend d'une grande révérence en mimant qu'il enlève un chapeau à plume.

" Jonathan Livingston Monsieur, je n'irai pas jusqu'à dire pour vous servir, mais au moins suis je prêt à vous écouter "

Il observait les deux hommes discuter, une oreille cependant attentive en cas de cri de détresse venant de la salle d'arme.
Toujours avec un sourire et avec respect envers le sans clan :

-"Monsieur Neaus, vous dépeignez un tableau bien noir, auriez vous vent d'informations sur cette situation qui vous font penser cela?"

A leurs dernière rencontre ces deux hommes avaient échangé quelques mots sur un livre qu'il connaissaient tout deux, un érudit tel que Malvin était rare.

" Oh je suis certain qu'avec un élément de votre Qualité ...." il prononça ce dernier mot assez étrangement
"Les forces qui, tapies dans l'ombre œuvrent pour de noirs dessein, n'ont qu'à bien se tenir...." Puis il se tourna ver Gallus

"Je suis ravis de voir que vous êtes sein et sauf, perdre un érudit...c'eut été regrettable... je n'ai aucune certitude, simplement la vision d'une hydre qui perdait une tête , une tête qui était en fait un crane ...."

Gallus salua Dame Syriniel, ainsi qu'Iris avec qui il avait déjà discuté, il fit même un sympathique sourire à celle-ci.
Puis il s'adressa à ses camarades.

-"Hé bien messieurs, (Dame ,vu que logiquement Moncieur d'Arcy et Melissange sont sortis) je ne saurais que vous inviter à suivre la demande de la gardienne de L'Elyseum, nous pouvons continuer cette conversation, au choix dans le petit salon ou dans le Bureau de .... dans mon bureau."

Il avait encore du mal à croire qu'il était le primogéne et que par la même Pascal était mort.

Il regardait encore Malneaus et se passa la main sur le menton, visiblement, le brujah était plongé en pleine réflexion.

-"Hé bien monsieur Neaus, il en va de même pour moi, ravi de vous voir en un seul morceau. Quand le temps s'y prêtera je serais ravi de reprendre avec vous la conversation que nous avions commencé au bal.

...Une hydre... Hum..."

Il plissa les yeux.

-"Sachez que si vous souhaitez participer à la conversation à venir, je vous y invite. Si vous ne le souhaitez pas, je ne saurais que vous souhaiter une bonne nuit en espérant vous revoir prochainement."

Puis il se tourna vers les deux ventrues:

-"Le refuge Brujah est très souvent vide et j'ai entière confiance en la discrétion de ceux qui pourrait y venir, si l'un d'entre vous possède un véhicule nous pourrions nous y installer."

Il s'inclina à son tour pour saluer Monsieur d'Arcy.

-"N'ayez craintes, je comprend que ce dernier événement soit pour le moins inattendu, vous etes tout excusé.

Cependant décidons nous au plus vite, petit salon, mon bureau ou le refuge brujah."

Il regarda d'Arcy avec un sourire, cet homme n’était pas du genre à fuir, bien, sans le savoir il venait de passer avec succès le premier test.

-"En effet nous ne serions d'aucune utilité au carrefour s'il y a un danger au Louvre.
Dans ce cas mon bureau est tout indiqué. Nous pourrons y discuter et agir au plus vite si une attaque interne venait à se produire.

Bien que les goules de la sécurités soient, j'en suis certain, efficaces, tout comme les systèmes de sécurités automatisées installé par l'ancien prince.
Et pour ces systèmes, j'en parle d’expérience croyez moi."

[Quand tout le monde sera prêt, direction : http://vampiredeparis.jdrforum.com/t695p15-bureau-du-primogene-brujah#10815 . Bien sur Gallus ne part pas "comme ca" il attend les réponses de chacun des acteurs présents.]

[Arrivé depuis le bureau du primogéne Brujah.]

Gallus passa simplement dans le couloir afin de vérifier que les ordres du Sénéchal avaient étés exécutés et le rideau blindé de la salle d'arme abaissé.
Il ne marqua pas de temps d’arrêt, quel que soit son constat (sauf si évidement Iris avait un problème ou toutes chose inhabituelle et dangereuse), poursuivant sa route vers...

Un sourire poli à l'intention du Gangrel.

-"Sire Sheperd ! Bien le bonsoir."

Il regarda vers la sécurité. Puis d'un air sombre.

-"Hé bien ceci est mise en place de sécurité pour l'un des nôtres qui se trouve être très puissant et que nous suspectons d’être actuellement instable.
Vous tombez bien, j'avait à vous parler."