Comme si Lou avait lut dans le pensée du sénéchal elle lui avance son propre fauteuil avec un petit sourire. Elle s'assoit elle même plus loin près de William .

"Pour résumer la situation , monsieur le sénéchal? Hier sur mon territoire un Jeune Brujah inconnu au bataillon a porté secours à une des nôtres en laissant des cadavres derrière lui. Il a appelé à l'aide Monsieur Sheperd ici présent qui a réglé une partie du problème. Il nous maintenant le retrouver lui est sa compagne afin d'éviter d'autres Bris de mascarade."

Elle regarde toutr à tour William, afin qu'il la contredise ou donne des infos supplémentaires, Jonathan le visage neutre et impassible puis enfin le sénéchal.

Lou hausse un sourcil en entendant parler Jonathan. Les version diffère selon les personnes, mais elle n'en avait rien a faire à présent. La colère du sénéchal était normal, pourtant elle eut un petit pincement pour William qui n'avait cherché qu'à bien faire. Elle lui offre un regard amical avant de regarder Jonathan avec une touche interrogative. Elle lui aurait bien posé quelques questions si cela n'avait pas était le mauvais moment. Puis elle se rappela que monsieur d'Arcy devait lui aussi faire partie de cette coterie et elle eut un moue de mécontentement, qu'il cacha tout aussi rapidement. Sa soirée s'annonçait bien plus long et pénible qu'elle ne l'avait prévu. Elle qui voulait se détendre sa ne risquait pas d'arriver avant l'aube.

Lou fait un signe de la main signifiant qu'elle autorisait Jonathan à faire se qu'il devait faire. Pour l'appuie elle verrait sa plus tard, mais surement qu'il s'en doutait déjà. Soudain Lou se sent mal, elle ressent la faim pour la première fois. Cette nuit avait tellement mal commencé qu'elle n'avait pu se nourrir. Elle se lève d'un coup tout en sortant son téléphone portable, un air de prédation sur le visage. Elle devait appeler Siegfried rapidement avant que cela ne soit ennuyant pour elle.

"Désolé monsieur le sénéchal mais je dois aussi me nourrir, le début de nuit a était difficile....."

Lou n'en rajoute pas plus elle avait déjà tellement honte. Elle va s'isoler dans son bureau et en ferme la porte afin d'être tranquille quelques secondes de plus. Puis elle prend son téléphone pour appeler son major d'hommes.

"Siegfried......... oui j'ai besoin de vous........ Apporté moi des poches au Louvre s'il vous plait."

Lou raccroche très vite, se laisse glisser le long dur mur pour se retrouver par terre. Il ne lui restait plus cas faire bonne figure le temps qu'il arrive

Lou entendit le sénéchal quitter la pièce à grand renfort de bruit de canne et se releva. Son major d'homme ne tarderait pas à arriver. Elle entendit le coup frapper à la porte, puis la voix de Jonathan, se qui la fit stopper dans son élan. Elle regarde la porte quelques secondes sans ouvrir la bouche, avant de se décider à mouvoir son corps jusqu'à la porte pour ouvrir à son cousin. Lorsqu'elle ouvre elle sourit.

"Et si je ne veux pas vous allez fuir les lieux comme un lâche ?"

Elle remit d'un geste nerveux une boucle qui venait chatouiller sa joue. Elle ouvre grand la porte et lui fit signe d'entrer.

Lou reste figée devant les yeux de l'homme, la gorge sèche alors qu'un léger frisson lui parcoure le dos. Allait elle avoir la vérité ? De toute manière elle ne lui accorderait plus aucun mensonge, plus aucune échappatoire. Elle se rapproche de l'homme, en gardant toutefois une distance de sécurité suffisante, elle se méfiait maintenant. Elle ne le lâche pas du regard alors qu'elle avance et c'est d'un ton calme qu'elle lui murmure ses quelques mots.

"Qu'avez vous comprit ?.........."

Elle allait rajouter quelques choses mais elle retint les mots de justesse, car ils n'étaient pas au refuge . Elle regarde son ordinateur surprise de l'idée qui lui passer par la tête. Elle se détourne de Jonathan pour appuyer sur les touche de son ordinateur ou elle enclenche la bibliothèque média. Immédiatement se diffuse dans la pièce une musique de violoncelle modernes suffisamment fort pour couvrir le bruit de personnes parlant à voix basse et abimer les oreilles de certaine personnes. Ensuite elle retourne tout près de l'homme afin de pouvoir parler à son oreille, même si pour sa elle doit poser ses mains sur ses épaules afin de lui indiquer qu'il devait se baisser. Elle le regarde encore une fois dans les yeux avant de murmurer à son oreille.

"Dite moi, la vérité Jonathan......... "

La musique défile dans le bureau de la Primogène. Ses lèvres bougent près de l'oreille du Goéland, alors que ses yeux exprime de la colère. Jonathan parle à son tour. Une félure apparaît soudain dans son regard, comme une ... Une émotion ? Une véritable émotion ? Mais cette ouverture ce referme instantanément, comme si les iris du Goéland étaient des portes de prison. Il avait fallu à la Primogène s'approcher très près pour entendre les mots du Goéland, mais cela ne la gêna pas. Elle relève les yeux sur l'homme pour croiser son regard alors qu'elle parle de nouveau, essayant d'ignorer se qu'elle vit dans son regard. Il semble grave et sérieux, il attend que la musique reprenne avant de parler de nouveau et plus il parle plus Lou semble surprise.

Lou recule, mais le goéland accompagne le mouvement, leur corps semble presque se toucher. IL parle de nouveau et une larme de sang roule sur la joue de Lou qui ne regarde plus Jonathan. La discussion à changé de cap. Jonathan pointe cet larme de sang alors que la musique du bureau se fait plus forte. La discussion semble presque ressembler à une dispute mais au lieux des paroles seul le bruit des violons s'entend. Puis soudain les corps se rapprochent de nouveau. Lou se hisse sur la pointe des pieds et vint à la rencontre des lèvres de Jonathan qui s'avance à son tour pour l'embrasser.

Lou se recule d'elle même au bout de quelques minutes, sentant le téléphone portable de Jonathan vibrer. Elle se laisse glisser hors des bras de l'homme pour aller éteindre la musique. ON frappe à la porte, le major d'homme de Lou vient d'arriver avec une mallette de sang. La discussion était close, chacun pouvait retourner à son occupation du moment.

Lou sort de son bureau enfin nourrir, le visage plus serein. Elle hausse un sourcil lorsque Jonathan lui parle de l'appel du Sénéchal.

"Il est hors de question que vous vous y rendiez tout seul monsieur Livingston. Demandez à monsieur Sheperd de vous accompagner, je vais tenter de vous trouver du monde puisque la coterie n'est pas prête."

Nul trace de reproche dans sa voix, juste une énonciation de fait. Son regard et redevenue vert, froid et calculateur. La discussion d'avant n'avait jamais eut lieux ou tout le moins fut relégué au second plan. Déjà elle réfléchissait aux personnes présente au Louvre à qui elle pourrait demander un coup de main. Elle s'installe à son bureau, commence à pianoter sur son ordinateur portable, elle jette un regard rapide à l'homme puis appuie sur la touche de suppression. Ensuite elle parle de nouveau à son cousin.

"Faite cous discret le temps que nous sachions quoi faire et fait un rapport régulier. Je me charge de chercher des volontaire."

Lou relève la tête, à la fois agacée et surprise.

"Je doute que mes restriction alimentaire vous convienne monsieur Livingston. Vous irez donc chasser et repartirez avec monsieur Sheperd. Dès qu'il sera de retour, je le mettre au courant de vous attendre."

Lou regarde l'homme droite dans les yeux, son ton n'accepte pas de réplique, surtout pour apposer un refus aux ordres donnés.

A peine Jonathan partie que le téléphone de lou sonne. Une goule l'iforme que monsieur le régent demande à la voir dès qu'elle serait seule. Lou fronça les sourcils avec agacement c'est justement cette nuit qu'il se décidait à venir lui parler. elle avait bien une petite idée de la discussion qui allait se dérouler, mais sela ne l'enchantait pas. elle prévient donc sa secrétaire de le faire rentrer. Lou étaint son ordinateur et se lève jusqu'au miroir ou elle vérifie que sa tenue soit parfaite.

Lorsque la porte s'ouvre, Lou est devant son bureau et se dirige vers l'homme avec un visage aussi lisse que de la porcelaine, laissant ressortir ses yeux vert émeraude. elle aborde un sourire de circonstance.

"Monsieur le régent Bonsoir, que me vaut l'honneur de votre visite."