[Arrive de : Bureau de la Sénéchale.]

Le templier entra, saluant respectueusement les personnes présentes.
Ceci fait, il se dirigea vers Nadia et Kalista.

-"Mesdemoiselles, suivez moi, nous avons du travail.
Mademoiselle Nietzulescu, vous serez nos yeux, Kalista, vous êtes autorisée à porter les armes au seins de l'Elyseum sous ma responsabilités."

Gallus semblait sérieux, même si il pensait que le Sabbat ne se risquerait pas à attaquer cette nuit, il prenait au sérieux son rôle sécuritaire.

Elle le toisa du regard, stoppant sa lecture, remettant de l'ordre dans ses affaires et sa tenue.
Elle se demandait bien pourquoi elle avait attiré l'attention du vieux Sollers mais elle était curieuse de connaître la suite, aussi elle le suivit calmement.

"M. Sollers, pourriez – vous me renseigner plus précisément sur les raisons de ma présence au Louvre je vous pris ?"

Elle regarda Kalista un moment, puis Gallus, se demandant si eux trois suffirait à protéger le Louvre selon ses mots et comment ses compétences pouvez lui être utile.

Il observa la Trémére avec un sourire rassurant.

-"Certe, je vous expliquerais mais une fois sortit du salon."

Tel un chevalier, il tendis la main à Nadia pour l'aider à se lever, puis fit aussi un signe, accompagné d'un sourire paternaliste à Kalista, l'invitant à les suivre.

[Direction: couloirs du Louvre,ronde de garde.]

Kalista salua son grand sire, puis eut un petit air étonné. Ainsi donc, elle pouvait porter son attirail sur elle ? Cela fut de son goût.

" - Je vous suis, monsieur..."

Puis
elle suivit son grand sire, non sans fierté pour lui. Avec lui, Kalista avait l' impression d' avoir retrouvé bien plus qu' un tuteur... Un ami. Mais pour le moment, elle n' osait pas encore le lui dire. Elle était si jeune encore...

(couloirs du Louvre, ronde de garde)

elle senti sa main se faire prendre, ne sachant pas trop pourquoi elle regarda la main...longtemps, ne remarquant pas le chevalier qui entra... elle prit la main de la rose entre les siennes, la manipulant délicatement, l'observant comme un objet rare et magnifique...

La brujah releva la tete, remarquant son primogène qu'elle salua tandis qu'il sortait... se reconcentrant sur la main de la rose, elle lui sourit !

oh... mais non je n'ai besoin de rien...ce que je vois ici me suffit ! votre main est magnifique, tout comme vous d'ailleurs...

Elle manipulait toujours la main de la rose, comme fasciner, mais pas quoi ?!?

Mélissange saluat poliment Gallus puis observa la réaction de Fey avec un petit sourire géné, mal à l'aise d'un coup de se retrouver seule dans le salon avec la jeune brujah.

Pourquoi s'attardait elle autant sur sa main ? Fine et douce, avec 5 doigts, des comme ça il y en avait des millions. N'avait elle pas l'habitude qu'on lui donne des signes de compassion ? Peut être allait elle lui lire la bonne aventure dans la paume de sa main.

Mélissange sourit doucement de ses pensées idiotes, hésita à retirer sa main, se disant qu'au moins, la jeune femme avait arrété de se gratter.

"Je vous remercie du compliment madame et ne peut que vous le renvoyer." Maintenant il fallait changer de sujet avant de glisser sur une pente qu'elle ne souhaitait pas prendre dans le salon du Louvre !

"Nous n'avons pas été présentées convenablement, je suis Mélissange de la Ruisselière..." Il est vrai qu'elles n'avaient pas prit le temps d'échanger cette simple politesse, Mélissange ne connaissant toujours pas le nom de la jeune femme brisée.



"

Elle qui était concentrée sur le poignet et sur la main et les doigts et la douceur de cette peau... observant le grain comme sur une sculpture de grande valeure... regardant les ongles mgnifiques

Mélissange... oui ca allait bien avec cette main, avec toute cette personne d'ailleurs !

Elle releva sa tete vers ses yeux, elle lui sourit

moi c'est Fey ! je suis enchantée de faire votre connaissance mademoiselle de la Ruisellière

Une pétale débarqua dans le Salon, s'inclinant poliment, interpelant chaque vampire en haussant la voix.

"Messieurs Dames, je me dois de vous informer de la situation actuelle du Louvre. L'entrée du Louvre a été attaqué : un fourgon est passé devant et a mitraillé l'entrée de balles, tuant et blessant des pétales ainsi que des Vampires. Nous soupçonnons une attaque du Sabbat, possiblement suivit d'une prochaine ou qui aurait servie de leurre, aussi je vous demanderais de vous équipez dans le cas d'une attaque avec les armes présentes dans le sac. Si vos compétences vous le permettes, tentez d'entrer en contact avec le primogène Brujah, du Prévôt ou de la Sénéchal pour aider, mais ne sortez surtout pas avec les armes."

Elle posa le sac sur la table, sortant chaque armes une à une.

"Ceci ne sont pas des jouets, si vous ne savez pas les utiliser je vous demanderez de ne pas vous servir. Merci par avance."

Elle sortit prestement après une dernière révérence qu'exigeait l'étiquette puis se rendit à son nouveau poste : chaque issus possible du Louvre s'était vue affubler de trois pétales et celles qui était encore disponibles surveiller les couloirs par binômes, veillant à se qu'aucun intrus ne se soit infiltrés malgré leurs vigilances.

Le brujah porta une attention particulière au discours de la pétale tout en caressant les longs doigts de Mélissange. Elle savait ce qu'elle devait faire... mais la ville avait changer et... elle sourit à la belle toréador et déposa sa main doucement, puis elle prit son cellulaire, envoyant une bonne dizaine de messages... elle verrait bien ce que ca donnerait !

puis elle se dirigea vers la table, prit une arme a feu au cas ou et se placa stratégiquement dans le salon, observant l'entrée de par la fenetre, jetant un coup d'oeil aux dégats qui étaient fait à l'extérieur

Elle priait intérieurement que la police arrive a prendre en photo quelques visages de l'ennemi elle pourrait ainsi les faire suivre et les faire tuer !

Un autre message, ele répondit,

Désolée de devoir vous faussez compagnie, mais... le prévot a besoin d'Aide...

(sortie salle du trone)

Le changement d'attitude de Romain avait détendu son interlocuteur. Même s'il y avait en lui toujours cette sensation de devoir dominer le jeune homme, il se contrôlait maintenant. Alors que le jeune Ventrue s'apprêtait à répondre il entendit distinctement les détonations provenant de l'extérieur. Ses yeux prirent la beauté de l'or en fusion. Que se passait-il ? Un problème dans le Louvre ? A l'extérieur du Louvre ? Etait-ce un attentat ? Un assaut du Sabbat ? Evan à ses côtés lui lançait des regards inquiets. Gildven le rassura en posant ses yeux dorés sur le jeune homme.

Quelques instants à peine après les détonations, son téléphone vibra. Sans se préoccuper de la bienséance - la situation pouvait être grave et il n'avait pour l'instant aucune idée de ce qui pouvait se passer hors du petit salon - il sortit son téléphone et lu le message du Prévôt. Une attaque du Sabbat, aux portes de l'Elyséum, c'était donc cela. Les vermines ! Ils agissaient sans aucune considération. Il fallait juste espérer que leurs actions ne mettent pas en péril la Mascarade. Les actes de chaque caïnite dans ce genre de situation était primordial pour le maintien d'une Camarilla forte. Ses yeux se posèrent sur Romain et il se leva.

"Je suis navré mais notre discussion va devoir s'achever là. Tu devrais te mettre dès à présent à chercher Rosie. Nous sommes peut être tous en danger."

Alors qu'il se tournait vers la sortie - Evan le suivant de près, une pétale entra en trombes portant un énorme sac. Il écouta son discours avec attention. La situation était suffisamment grave pour autoriser le port d'armes au sein de l'Elyseum. Il devait se rendre auprès de la Sénéchal et lui proposer son aide. Il ne savait pas s'il était qualifié pour répondre aux désirs de la dame, mais comme il le lui avait dit à leur premier entretien, elle avait son entier dévouement. Mais il ne pouvait pas laisser Romain, il l'avait promit à Rosie. Evan devrait rester avec lui, au moins jusqu'à ce qu'il retrouve sa protégée. Il prit un glock 17 sur la table, vérifia que la sureté était mise et le mit à sa ceinture. Il se tourna vers Evan et Romain.

"Evan, tu vas rester avec Romain jusqu'à ce qu'il retrouve Rosie. Romain, il est inutile de discuter, c'est une promesse que j'ai fais à Rosie."

Ses yeux brillaient légèrement. Il ne voulait pas entendre les deux hommes discuter de ces ordres. Il avait à faire et il avait une promesse à tenir. Plus bas il ajouta, de façon à ce que seuls Evan et éventuellement Romain ne l'entendent.

"Evan, si Romain te semble devenir étrange ou agressif, fait lui peur, vraiment peur. Je compte sur toi. Lorsque vous aurez trouvé Rosie, rejoint moi au bureau de la Sénéchal."

Sans attendre d'avantage, le jeune ventrue se mit en marche, à vive allure, sa cape immaculée flottant dans les airs. Il quitta le petit salon en direction des escaliers menant au bureau de la Sénéchal.

[Vers le bureau de la Sénéchal]

Ainsi donc elle s'appelait Fey. Quel curieux nom, aussi mystérieux que sa propriétaire. La rose n'eut pas le temp d'en penser plus ni d'en dire plus, qu'une pétale faisait son apparition, demandant aux présents de se transformer en bête de guerre.

Mélissange sourit à Fey, acquiessant doucement à son départ avant de se retrouver seule devant le sac d'armes. N'avait elle pas pensé quelques minutes auparavant que le Louvre n'était pas sûr ? Etait elle maudite ?

Elle fouilla, cherchant des armes utiles et faciles à manier. Son choix se porte sur un minuscule revolver, à n'en point douter pour femme, qu'elle glissa dans une de ses jarretierres apres l'avoir vérifier, puis deux desert eagle chromé qu'elle garda en main, gonflant ses poches de cartouches.

"Et maintenant ?" Se demanda t'elle tout haut en vérifiant la chambre d'un des flingues. "Gallus..." Le seul qu'elle connaissait et qui l'avait convié dés son arrivée à rejoindre une coterie de défense, juste avant qu'Isabelle ne donne son véto et toute l'histoire qui s'en suivi.

"Le destin et ses pieds de nez..." Elle en sourit, tant pis pour le régent, puis envoya quelques messages avant de sortir vers le bureau du chevalier.

[MP Eléa, Sly et Isabelle]

[Sortie vers bureau de Gallus]

La chemise pleine de sang fut jetté dans une coin , sa veste en revanche avait été moins touchée et sa couleur sombre faisait de toute façon moins ressortir le carmin du sang . Bien sûr niveau look c'était pas ce qui se faisait le mieux en matière d'élégance : un marcel blanc , un gilet noir et une veste noire avec quelques taches suspectes, mais à sa connaissance , le Louvre n'abritant aucun magasin de textile, il devrait rester comme cela tant qu'il sera dans la battisse. Sa voiture était dehors, autant dire au bout du monde pour le moment et ses rechanges également! En se dirigeant vers le salon , il vérifia son révolver , les balles étaient là , éclairant ses doigts d'une lumière tamisée, sa lampe tactique également; une fénix Ld10, très petite compacte pourtant 100 lumens de lumière, toujours bon à prendre d'autant qu'elle pourrait bien lui révéler bon nombre de choses cachées dans l'ombre.... La main non loin de la queue de détente de son arme pour le moment dissimulée dans sa poche droite , et sa lampe tenant au creux de sa main gauche il pénétra dans le salon . Il n'arrivait pas à comprendre le but de cette attaque, ou plutôt il n'arrivait pas à comprendre son utilité si c'était autre chose qu'une diversion pour investir les lieux ....A peine arrivé c'était déjà le bordel, bien plus qu'il ne l'avait pensé ! Alors il n'était plus d'humeur à prendre des pincettes, il était en mode survie !!! Il lui faudrait voir la sénéchale , le gardien aussi certainement , même s'il était assez réaliste quand au fait que leur emploi du temps ait du être sensiblement modifié ....
Arrivé dans le salon il constata qu'il abritait quelques personnes , dont une jeune femme qui s’apprêtait à sortie . Il la salua en l'éclairant au niveau du visage l'espace d'une seconde ou deux . Puis il fit de même , sa,s se justifier aucunement sur les personnes présentes dans la pièce... A cet instant précis il se moquait royalement de la réaction des gens ....

Le salon se vida, et ça lui allait très bien il s'installa dans un fauteuil continuant à gérer la gestion de cette merde depuis son mobile que ce soit par sms, mail ou appel .... Il commençait déjà à réfléchir à ce que serait la version officielle , et bombarda de sms son contact à la préfecture qui dans un premier temps aurait pas mal de pouvoirs et de latitude.

Ce général devenait gourmand, un peu trop à son gout mais soit il paierait.... ce soir il n'avait pas le choix , a mascarade devait être préservée . Il vit Le gardien s'approcher, et l'entendit toussoter alors qu'il terminait d'envoyer son mail via son blackberry.

" Excellent vu les circonstances je n'espérait plus une entrevue aussi rapidement,c'est avec plaisir que je vous suis Monsieur le gardien "

Il se leva et accompagna d'Arcy jusqu'au bureau de la sénéchale

Ahuizotl, Maya et Jessica étaient finallement revenus indemne de cette escapade et alaient pouvoir echanger certaines informations s'ils en avaient de nouvelles mais, comme convenu, ils le feraient au Louvre, esperant pouvoir y trouver un Tremere et plus précisement Doryan.

A l'entrée, Ahuizotl avait laissé ses armes, comme d'habitude, et avait demandé s'il était possible de parler à Doryan où à un representant du clan Tremere présent en ces lieux. Il avait pris soin de préciser qu'il attendrait au petit salon, comme d'habitude. Il demanda aussi quelles étaient les nouvelles de la Reine et enfin, demanda, sans trop y croire, si Shanel était venu ce soir. La Reine ayant perdu son trône, les vampires influents sur Paris allaient surement sortir le bout de leur nez ....

En arrivant dans le petit salon, il remarqua la presence de quelques cainites, a priori inconnu. Les saluant rapidement d'un signe de tête, il alla s'installer sur un fauteuil, espérant que le temps qu'il allait perdre dans ce lieu qu'il detestait tellement allait servir à quelquechose ...

en attante au salon


John rendit les salutation a l étranger qui venais de s'asaoire sur un fauteuil mes n osa sans plus il connaissait personne et attandi qu'on lui adresse la parole, il voulais surtout pas froissé des gens important. surtout avec la situation a l extérieur...

Quand il vit Doryan faire son entrée dans le petit salon, les yeux d'Ahuizotl se braquerent sur lui pour ne plus en bouger. Il se leva aussitot, un sourire discret s'affichant sur son visage plutôt fermé, et s'avança vers le Tremere pour lui adresser la parole.

"Excusez moi de vous déranger mais mes deux amies et moi aurions besoin de vos connaissances en matière de magie pour certains problèmes que nous rencontrons. Pourriez vous nous accorder quelques instants s'il vous plait ?"

Il connaissait cet homme et savait qu'il était compétent. Il se souvenait tres bien de lui, les quelques fois où il avait pu le voir à l'action. Il espérait qu'il serait bien disposé envers son clan ... C'était là une toute autre histoire ...

Ahuizotl fut soulagé de voir que Doryan était coopératif. Il commença alors à lui exposer son problème, sur un ton plus bas que la normal, sans forcement chuchoter. Ainsi, ses soeurs de clans participaient sans que cela ne gêne les autres cainites présents dans la pièce.

"Nous avons découvert hier une porte qui mène à l'umbra en cherchant une alliée qui court un grave danger. Je ne sais malheureusement pas si je peux lui venir en aide et comment je pourrais le faire.

Est il possible, à votre avis de la retrouver ? Et auriez vous une idée de comment nous devrions nous y prendre ?"

Il marqua un leger temps d'arrêt puis donna à Doryan quelques détails supplementaires qui pourraient l'aider.

"Mon alliée est une lupine du nom d'Amandine et elle semble experte dans le domaine des esprits. Je sais où elle a passé l'avant dernière nuit et nous avons decouvert l'endroit où elle a disparu... dans les egouts ...

... Les danseurs de la spirale noire sont à sa poursuite à elle aussi et la pleine lune ne va pas arranger les choses ... J'ai besoin d'aide ! S'il vous plait !"

Doryan savait que le Gangrel n'affichait rarement une telle preoccupation et qu'il aimait agir seul. Cette alliée semblait tres importante à ses yeux.