[ Arrivée de devant le Louvre ]

Les couloirs étaient encore assez déserts hormis quelques gardes ou personnels et il arrivait rapidement au petit salon. Dimitri ouvrait la porte et jetait un rapide coup d'oeil fort de constater qu'il était le premier arrivé. Un haussement d'épaules et il allait prendre place dans un fauteuil pour attendre patiemment une réponse à son message.

Voir le prince n'était pas non plus exclu si celui-ci était disponible avant que le petit salon se remplisse comme c'était souvent le cas. Il n'avait pas eu le temps de se présenter de manière officielle la nuit dernière et comptait bien pallier ce manque d'étiquette.

[Chambre allouée par d'Arcy]

Il arriva après sa douche. Il repensait à Luddmila, la verrait il aujourd'hui, si le prince ne le recevait toujours pas?... Il faudrait qu'elle passe au Louvre tout au moins. Il arriva dans le petit salon, il y avait dejà un homme qui en imposait, qu'il salua en entrant après avoir été fouillé à nouveau par les gardes du petit salon.

- Bonsoir monsieur.

Puis il alla prendre une chaise. Le temps commençait à être long. Deux jours sans se nourrir.

Spoiler:

L'entrée de Phantom cassait la monotonie du silence qu'il régnait dans le petit salon. Il y avait un petit temps d'observation. Pas que l'apparence du nouvel arrivant choquait ou dérangeait Dimitri, il n'avait que faire de ce genre de considérations. Ils n'étaient pas du même sang mais ça restait un de ses "frères", sa présence ici l'attestait et ça lui suffisait.

" Bonsoir "

Ce n'était qu'un mot mais le ton avait été amical et la parole était accompagnée d'un hochement respectueux de la tête et d'un sourire.

Spoiler:

Spoiler:

L'homme lui répondit courtoisement. A cet instant Phantom reçut un message sur son portable. Il s'agissait de la belle Luddmila, son sang ne fit qu'un tour, ce n'était pas juste une passade hier soir... Tant mieux. Il prit le temps de lui répondre.

Spoiler:

L'homme attendait lui aussi.

- J'me suis même pas présenté... Phantom du clan des masques. Je suis nouveau en ville et j'attend depuis un certain temps le Prince Parménion pour me régulariser. Si le coeur vous en dit vous pouvez vous joindre à moi.

Dit Phantom en désignant le siège à côté du sien.

[Depuis le parking]

*c''est le son de la voix de Rozenmilna qui fis son entrer avant son corp, les deux résidents peuvent entendre la poupée qui pinaille encore sur l'état de l"Elyseum*

Trés bien trés bien... Je vois qu'il n'y aura aujourd'hui encore aucun membre du personnels pour nous annoncer. "Devinez les goules" dois être la nouvelle activité mondaine de Paris je suppose...

*Sa phrase se termina au moment même où elle passa la porte.

Messieurs... *Suivie d'un belle révérence, comme a son habitude.*

Dimitri se relevait à l'invitation du Nosfératu. Et de fait il inclinait légèrement le haut du corps de manière élégante, une main sur la poitrine.

" Dimitri Romanoff du clan Brujah "

Il marquait un instant d'hésitation. Il était évident que ce n'était pas par malice ou un quelconque calcul, il pesait juste le pour et le contre de ses prochains propos.

" J'en suis le Primogène depuis la nuit dernière. Même si certains évènements ont un peu chamboulé le côté traditionnel de la réunion "

Un brin amusé par ce qu'il disait même si son regard se faisait un peu plus dur l'espace de quelques secondes. Sûrement que son interlocuteur avait eu vent de cette explosion au coeur du territoire Brujah. Dans ces conditions forcemment ...Et après s'être présenté il venait prendre place à côté de celui qui l'y avait invité. Mais trés rapidement il se relevait pour s'incliner de nouveau devant la jeune demoiselle qui venait de faire irruption dans la pièce.

" Bonsoir "

Il n'ajouterait rien derrière, de peur de faire une faute en se prononçant sur son statut de demoiselle ou dame.

La fille de l'autre fois fit son entrée dans le petit salon, Phantom la salua d'un signe discret.

- Madame.

Le mec se présenta. Primogène brujah, diantre, comme une sorte d’évêque au sabbat, quelqu'un qui avait des responsabilités. Phantom ne sourcilla pas, l'homme avouait être juste nommé de la veille. Il s'installa à ses côtés, et se releva pour saluer la fille. Il reçut instantanément un autre SMS de Ludd, qu'il prit le temps de lire et d'apprécier.

- croyez vous que nous pourrons voir le prince ce soir?

Dimitri s'apprêtait à répondre quand il senti son téléphone vibrer. Un SMS qu'il s'empressait de lire et même si c'est rare il avait l'air plutôt contrarié en découvrant le message. C'est de manière un peu sèche qu'il refermait son téléphone et le rangeait, le regard perdu dans une réflexion qui venait de s'imposer à lui. Malgré tout il ne pouvait pas se montrer discourtois envers les deux personnes présentes et après une grande inspiration il retrouvait un air plus serein.

Et c'est d'une voix claire et posée qu'il répondait à la question du Nosfératu.

" Je pense qu'il n'y aura pas de problème, il est rentré en fin de nuit hier "

L'originalité aussi bien physique que les actes de Rozenmilna lui avaient tiré un léger sourire qui n'avait pour autant rien de moqueur. Il avait pris soin de ne pas répondre avant que les deux en aient terminé avec leurs affaires et parlait toujours avec un ton posé et qu'on pourrait qualifier d'accueillant.

" Je vous remerci emademoiselle de Sancy. Mais permettez-moi d'apporter une petite nuance. De mon point de vue, l'influence n'est pas une chose acquise, elle se mérite ou se gagne comme pour la confiance je dirais. Je ne cache pas avoir retiré un certain honneur et plaisir d'apprendre que j'étais du même sang que le Prince, mais à aucun moment je n'estime jouir et profiter de ça ou même avoir un traitement de faveur. J'aime qu'on me juge sur mes paroles et mes actions et uniquement sur ça. "

Il terminait de parler avec une légère révérence. Il ne cherchait pas à les leurrer, ses mots étaient sincère et sans arrières pensées et c'était d'une évidence folle. Et quand il se redressait c'est aux deux qu'il s'adressait.

" Pour ce qui est de la disponibilité du Prince, je n'ai pas connaissance de son agenda, mais vous pouvez demander aux gardes devant la salle du trône si l'impatience vous gagne ou que des obligations vous appellent ailleurs "

viens de là

Kaoum entra dans le petit salon après être passé par les gardes. On lui avait subtilisé son couteau de même que ses couteaux de lancer. Mais il n'en avait cure, du moins ici à l'Elyséum.

Il entra donc, et jetta un regard circulaire aux alentours et vit trois personnes rassemblées en train de discuter. L'un d'entre eux lui était inconnu, un homme grand à la belle apparence, La poupée sur patte et un de ses frères qu'il n'avait encore jamais vu.

Il se dirigea donc vers eux, ne pas les saluer aurait par trop attiré l'attention.

"Bien le bonsoir mes chers amis. Je ne penses pas m'être encore présenté à vous. Je me nomme Kaoum du clan, comme vous devez le remarquer, des masques."

Il fit un salut révérencieux au groupe des plus courtoie. Toujours cette révérence entre le trop et le pafait. On ne pouvait pas dire qu'il en faisait trop et ne pouvait donc paraitre ridicule, mais la révérence restait toujours un peu trop prononcée. Cela pouvait passer pour une moquerie auant qu'une mauvaise connaissance de l'étiquette.

(Venant des égouts)

Après avoir subit la fouille…Du bout des doigts gantés des gardes qui peinaient de la toucher par peur d’être éclaboussés de pustules ou de quelconques parasites.

Même avec l’habitude, ces mauvaises manières blessaient la Nosferatu.
Mais justement avec l’habitude, elle arrivait toujours a gérer ce type de chagrin.

Elle ne portait jamais d’armes alors elle entra aussitôt dans le salon pour voir l’effet de ses messages.
Deux étaient présents déjà, c’était fort encourageant si on calculait le peu de Nosferatu présentement en ville.

Phantom et Kaoum, ils s’étaient mêlés à la petite Rozen et au joli Brujah, elle avait de la difficulté a se rappeler son nom.

Elle s’approcha d’eux a pas feutré.
-Bien le bonsoir Madame Rozenmilna, Monsieur Phantom, Monsieur Kaoum!
Puis elle regardait le Brujah avec un sourire joyeux.
-Ravie de vous connaître mon cher Monsieur, je m’appelle Dalila!
Elle inclina la tête a son attention, elle le trouvait…Très bel homme.

Puis la Nosferatu jeta des regards en biais a Kaoum et a Phantom en hochant la tête.

Il hochait légèrement la tête à l'intention de Phantom alors qu'un autre Nosfératu venait d'entrer dans la pièce et venait se preséntait à eux. Et le temps qu'il se redresse une nouvelle arrivante se glissait dans le salon et il décidait donc d'attendre quelques secondes avant de répondre a Kaoum voyant que cette dernière se dirigeait vers le groupe à son tour venant elle aussi se présenter. Ce n'est qu'une fois qu'elle eut terminé qu'il se permit de prendre la parole.

" Dimitri Romanoff, Primogène du clan Brujah, enchanté "

Il s'inclinait légèrement et de manière respecteuse envers Kaoum et Dalila. Même si pour cette dernière il s'inclinait légèrement plus avec galanterie car c'était une dame et ce n'est pas son apparence qui changerait ça ni sa manière d'agir.Les apparences étaient tellement peu importante, ce n'était pas ça qui dévoilait la valeur d'une personne. Et quand il se redressait c'est un sourire accueillant et franc qui venait orner ses lèvres. Et il essayait de porter le même temps d'attention à chaque personnes présente afin qu'aucune ne se sente offusquée.

*Rozen se rendit compte qu'elle avait oublié le nosfératu, hors quand elle se montre odieuse, elle aime que ce soit parce qu'elle est fait exprès. elle s'empressa donc de ce corrigé.*

Excusez-moi...*elle hésita un instant, car elle n'avait pas l'habitude de prononcer des pseudonyme* Phantom, je vous ai un peu ignoré. Comprenez mon impatiente à rencontrer le primogène d'un clan qui a toujours eu une histoire liée avec le mien sur Paris.

*Puis arrivèrent les autres habitants des égouts, plus qu'un et auront pu avoir les tortus ninjas au complet.*

Dame Dalila c'est toujours un plaisir de vous rencontrer, monsieur Kaoum, je n'ai pas osé hier lorsque je vous suis parti dans la même direction que les amoureux hier, mais faite attention à qui et comment vous essayer de tirer des infos lorsque vous êtes en Elyseum.

*C'était frustrant de devoir partir alors qu'elle avait enfin un Brujah sous la main, et pas n'importe lequel. Il était tant qu'elle aille à la réunion alors elle prit la nouvelle édition de la chronique de l'ombre et se retira en saluant une fois de plus tout le monde d'une révérence.
Si la nuit nous l'accorde, nous nous reverrons bientôt.*

[Direction refuge ventrue]

Dalila eu un sursaut en entendant le bel homme se présenter. Oui Dimitri elle se rappelait maintenant son nom…Mais Primogène?
*Quoi? Mais….Quoi? Mais comment? Et Gallus? Mais...Quoi?
Bonté Divine, mais c’est bien sur! l’Édit affiché sur le mur aura causé très rapidement des remous…Mais si rapidement?*

Dalila semblait sous le choc mais essayait de le cacher.
-Oh! Toutes mes félicitations Monsieur le Primogène, mes respects les plus sincères Monsieur.
Fit-elle en inclinant la tête.
*Il faut absolument que je sache ce qui s’est passé, Bon Dieu, tout bouge trop vite en trop peu de temps, je n’arrive pas a suivre la cadence, cela en est incroyable, renversant!*

Ensuite elle écouta Rozenmilna adresser ses politesses aux Nosferatus avant de quitter pour un rendez-vous.
Dalila la salua chaleureusement en agitant la main comme une maman envers sa petite fille lorsqu’elle part à l’école.

Puis le portable de Dalila vibra.
*Encore? On ne me laisse pas vraiment le temps de m’asseoir ce soir*

Deuxième choc, elle tâta par derrière dans le vide pour saisir le haut d’une chaise puis après l’avoir trouvé, la tira pour s’effondrer dessus.

*PAR LES POILS DES COUILLES DE TROTSKY!*

Cette fois il n’était plus possible pour elle de masquer ses émotions.
Elle regarda aussitôt Kaoum et Phantom en levant le menton accompagné d’un regard chargé d’émotions.

Elle ne pouvait absolument pas s’exprimer en public, déjà que sa réaction devait avoir attiré l’attention, alors elle pianota sur son portable un SMS en CC pour tous les Nosferatus.

Elle fit même un signe de la tête a Kaoum et Phantom afin qu’ils puissent prendre leur message sur leur portable de toute urgence.

Elle se leva du siège.
-Veuillez me pardonner Primogène.
Dit-elle à l’attention de Dimitri.
-Mais je dois me sauver, une affaire urgente a gérer, toutes mes excuses et j’espère que j’aurais l’occasion de faire plus ample connaissance avec vous. D’ailleurs je dois faire connaissance avec vous, ne serais-ce que pour bénéficier de votre charmante compagnie, Monsieur le Primogène.
Elle lui afficha un sourire.

Puis elle quitta le petit salon en faisant des signes a Kaoum et Phantom.

MP Nosferatus

Direction du refuge de Stanislas.

Rozenmilna prenait congé et il répondait à son salut d'un léger hochement de la tête poli. Et avant qu'il ne réponde à Dalila, cette dernière avait reçu un message qui visiblement légèrement déstabilisée. Dimitri ne l'incommodait pas en faisant comme si de rien était pour ne pas incommoder la Nofératu qui se levait quelques instants après et prenait à son tour congé.

" je comprends tout à fait ne vous en faites pas. -Un léger signe de tête- Nous aurons tout le temps ensuite pour faire connaissance "

-Et il la saluait d'une légère révérence pour marquer que le plaisir avait été partager-

" A bientôt "

Kaoum apprécia les manières du Brujah, Primogène qui plus est. Il n'en fallait pas moins pour l’impressionner. Un homme au clan tapageur parlant et agissant comme un gentilhomme et qui plus ai avait dû réussir à impressionner tout son clan pour arriver si vite à cette position prestigieuse. En résumé, voilà un homme sur lequel Kaoum n'allait pas manquer de se renseigner.

Suite à la salutation distingué du Primogène, et à la remarque de Dalila, Kaoum avait remarqué l'écarquillement de ses yeux et fut heureux qu'elle en soit surement arrivé à la même conclusion que lui. Il alla jusqu'a s'incliner devant l'homme.


Les paroles de Kaoum étaient sincères et cela se voyait dans son attitude qui pour une fois ne cherchait pas à être provocante. Puis il tendit une carte au Brujah avec son numéro et dit.


L'attitude de Kaoum était servile mais on pouvait deviner toujours dans sa posture et son attitude un brin de fierté qui pouvait laisser supposer qu'il n'agissait pas comme cela avec tout le monde.

Spoiler:

Kaoum se tourna alors vers Phantom pour lui adresser la parole quand les parole de Rozenmilna le coupa court dans son élan. Il ne lui répondit pas et la suivit du regard quand elle partit.


C'est alors qu'il perçut du coin de l’œil une Dalila qui s'effondrait sur une chaise.


Il était plus curieux qu'inquiet. Pour que Dalila fasse preuve d'un tel choc, la nouvelle qu'elle venait de recevoir devait être de la plus haute importance. Il n'osa pas du moins la questionné en présence d'autres personne, il en saurait assez bien assez tôt de tout manière.

Il écouta et regarda Dalila s'en aller presque en courant et sentit son portable vibrer, mais ne le regarda pas, pour ne pas alerter d'éventuels observateur. Il ne faisait aucun doute que le message était de Dalila qui, si elle avait jugé utile de le prévenir par ce moyen, voulait que cela reste le plus secret possible.

Kaoum se tourna donc à nouveau vers son frère, laissant de façon apparente une place au primogène dans la conversation.


Kaoum parlait dur un ton amusé, comme si le départ précipité de Dalila ne le concernait pas et n'avait d'important.

Dimitri écoutait avec attention Kaoum et appréciait la sincérité de ses paroles. Il n'avait pas eu une once d'hésitation lorsque la carte avait été tendu et la prenait alors qu'il proposait la sienne en retour.

" Je suis honoré de votre considération et de cette offre qui, soyez sûr, ne sera pas oubliée. Je vous en suis d'ors et déjà reconnaissant Monsieur Kaoum "

Il avait parlé en s'icnlinant devant Kaoum pour se mettre sur un pied d'égalité avec lui. Il n'était pas question de statut et voulait témoigner son respect par ce geste. Et il s'écartait ensuite légèrement quand ce dernier s'adressait à son frère pour ne pas se montrer indiscret et il en profitait pour sortir son téléphone afin de consulter ses SMS après que son portable ai vibré.

La jeune rose entra dans le Louvre… encore toujours autant
de sécurité… elle ne comprenait pas pourquoi les gardes s’obstinaient à la
fouiller.. comme si elle savait utiliser une arme… est ce qu’ils faisaient ca à
tout le monde ou s’était car elle était américaine ?





Un peu retourner de cette nouvelle fouille, elle regarda
dans son sac si la robe y était toujours au cas ou le prince accepterait enfin
de la recevoir.. elle était peu convaincu, mais on sait jamais. Quelques échanges
avec le chef par sms et… elle entra dans le petit salon, riant légèrement en
envoyant un message.





Elle les vit, tous à discuter… la dame, les nosfératus et…
le monsieur…elle cessa de rire et les saluant, toute rougit en baissant les
yeux.





Fuyant leur regard, vérifiant que son manteau fut attaché,
elle se dirigea un peu plus loin… tout en envoyant un autre message, l’air
dérangé par la dernière demande recue.





Elle s’assit tranquille, croisant ses longues jambes. Elle fouilla dans son sac et prit un
ruban, elle noua ses cheveux…





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*Ainsi donc voici le fameux Phantom qui a passé sa fin de nuit sur les toits. Que pouvait il bien y faire.*

Kaoum sourit obligeamment à Phantom.

"Eh bien mon ami, si effectivement vous êtes encore nouveau dans la capitale, permettez moi de vous souhaiter la bienvenu. Pour ma part j'y suis depuis un petit moment et je me nomme Kaoum. Mais permettez moi une déduction, j'imagine que si vous vous trouvez ici c'est surement pour rencontrer notre cher prince ?"

Kaoum tout en parlant avait jetté un oeil au primogène pour voir ce qu'il faisait.

*Tient il a reçu un message . . . bah de quoi je m'étonne, il est primogène et certainement occupé . . .*

Kaoum continua sans s'arrêter à parler à Phantom.

"Sinon d'où venez vous ? Je suis très curieux des origines des gens que je rencontre. Moi même ne suis pas né en France vous savez"

Kaoum parlait d'un ton badin et semblait apprécier la conversation. C'est alors qu'il vit rentrer la Belle. C'est yeux la suivirent avant de se retourner vers son frère de clan. Il valait faire mine de ne pas la connaitre.

Kaoum écoutait la réponse de son frère quand tout à coup un garde annonça l'arrivé du Prince.

*LE PRINCE ???!!!!!*

Kaoum se retourna d'un bloc vers la source de l'appel et une présence impossante le frappa de plein fouet. Puissance et majesté, cet homme qui se tenait à l'embrasure de la porte de pouvait être effectivement que le prince. Toutes les fibres du corps de Kaoum le ressentirent. Kaoum claqua alors les talons dans une pose parfaitement millitaire. Toute manière obséquieuse ou affable avait disparut de son corps ou de son visage. Il s'iinclina alors profondément devant le prince pour ne se redresser que lorsqu'il fut sur de le pouvoir.

Il ecouta en silence l'annonce du souverain qui lui fit hausser très haut les sourcils.

*Voilà qui est loin d'être coutumier. Voilà qui peut laisser sous entendre beaucoup de choses. Soit il y a dernièrement tellement de nouveaux qu'il a jugé utile de le faire en une fois. Soit les choses bougent plus vite que je ne le pensait et qu'il a préféré nous voir tous en même temps pour se libérer la nuit pour des chosesn qui attirent plus son attention. Soit Il s'ennuit. Les 3 hypothèses sont valables et ne sont pas imcompatible. Mais cela pourrait être autre chose aussi.*

Tout à ses réflexions Kaoum laissa passer d'autre personnes devant lui. Il attendit le bon moment puis il s'avança à son tour vers le Prince. Ne connaissant qucune autre manière d'interagir avec la hiérarchit, il garda son allure martial. Et se réinclina devant le Prince. Néanmoins, il se sentait gêné de se présenter ainsi devant tant de monde. Il parla donc le plus bas qu'il put pour ne se faire entendre que du prince se trouvant devant lui.

"Prince Parménion, je suis honoré de me présenter à vous. Je me nomme Kaoum, du clan des Nosfératus, infant de 13ème génération. Je souhaite aussi présenter une de mes consoeurs qui était là il y a un instant et n'a pas eu la chance de vous rencontrer. Elle se nomme Dalila, du même clan que le mien. Je ne connais pas sa génération."

Kaoum avala lentement sa salive pendant qu'il réfléchissait. L'occasion était trop belle et il ne devait pas la laisser passer. Son cerveau tournait à vive allure pour tirer le maximum de la situation sans rien révélé aux oreilles indiscrètes tout autour. Il reprit alors la parole, n'ayant fait aucun geste pour se retirer pour indiquer qu'il n'avait pas terminé.

"Mon seigneur, je penses que ma consoeur Dalila, dans son grand respect que je lui connait des usages et de la volonté du Prince, souhaitera certainement fournir à votre majesté les informations qu'elle désire par elle-même. De même . . ."

Kaoum déglutit lentement, regardant à droite comme à gauche de façon suffisament voyante pour que le prince le remarque, avec un regard inquiet, puis continua.

". . . De même que mon clan souhaiterait assez . . . urgeamment . . . vous rencontrer en privé."

Kaoum sans s'arréter de parler, et avec un grand effort de volonté face a l'aura de puissance du prince, leva alors les yeux pour croiser ceux du prince. Son regard était celui d'un millitaire au rapport.

"Si vous pouviez me transmettre un moyen de vous contacter directement, ou si non, me permettre de prendre rendez-vous avec vous pour mon clan, cela serait le plus grand des honneurs que vous pourriez me faire."

Si Kaoum pouvait devenir encore plus pâle il l'aurait certainement fait. Il avait fait une demande inconsidéréau Prince alors qu'il venait tout juste de se présenter à lui. Mais par sa bouche il espérai que celui-ci entendrait l'appel d'un des clans les plus toucher de Paris. Il lui fallait réussir, pour le clan . . . et pour lui.

Kaoum ne put empêcher une pensée de lui traverser l'esprit.

*Je suis fou ! Je viens siot e réussir le plyus grand coup de ma non-vie. Soit je viens de me comdamner à jamais !*