Elle fut accompagnée au nouveau bureau que la reine lui allouait ou déjà sa secrétaire avec prit les disposition nécessaire. Lou s'installa à son bureau avec un soupire las et alluma son ordinateur. Le travail n'allait pas attendre, elle avait beaucoup de choses à faire pour aider sa reine, aider le clan et empêcher Armand de continuer ses horreur. Elle attrape son téléphone portable et pianote rapidement un message à Ivan, elle devait avoir une discussion sérieuse avec lui rapidement et faire repartir leur relation sur de bonne base. Elle pensa aussi à Auguste et Jonathan, cela ne s’annonçait pas bien, mais elle ne pourrait pas y couper. Elle appuie sur l'interphone et prévient sa secrétaire qu'elle ne voulait pas être déranger de la nuit et qu'elle attendait Ivan....

Lou releva la tête agacée que l'on ose la déranger tout de même, mais lorsqu'elle vois Auguste elle laissa sa colère se refléter dans ses yeux. Comment pouvait il encore se présenter devant elle avec son air outré et ses manière d'homme bafoué. Elle se relève donc lentement bien plus glacial qu'elle ne l'avait jamais était, elle fait glisser lentement son téléphone portable allumé sur la table afin que l'homme puisse voir se qu'elle lui montre. Elle reste quelques secondes silencieuse les yeux plongé dans les siens avant de reculer avec un sourire crispé.

"Merci, monsieur mais vous n'étiez pas obligé de venir jusqu'à mon bureau pour me féliciter. Maintenant j'ai des affaires a régler je ne vous retiens pas plus longtemps."

Elle le fusilla du regard avant de se rassoir a son bureau et recommencer à écrire sur son ordinateur.

Lou l'écoute d'une oreille distraite, du moins elle donne l'air de ne pas accorder d'attention à ses propos, puis elle pose ses mains sur le bureau passablement énervée et le regard qu'elle lui lance n'a vraiment rien d'amical.

"Je ne me vois nullement obligée de vous répondre monsieur, mais je veux bien faire un effort : J'ai changé d'avis monsieur et il me semble que vous avez trouvé rapidement de quoi finir votre nuit alors évitons les reproches de façade. Et de quel rendez vous parlez vous ?........."

Le regard d'incompréhension de Lou se mue soudain en surprise. Mais bien sur il pensait vraiment qu'elle était sortit avec le régent, mais quel idiot.

"Monsieur le régent est repartie seul, si c'est la votre question, tout comme vous le ferez dorénavant monsieur....... Je n'ai nullement besoin de vous surveiller, Armand s'en charge pour moi et maintenant sortez de mon bureau avant que je ne demande à la reine des explication sur votre comportement...."

Elle se lève excédée pour rattraper l'homme. Pourquoi fallait-il qu'il ne comprenne vraiment rien à rien celui la. Sans vraiment faire attention à se qu'elle fait, elle lui attrape la manche de son smoking. Soudainement se rendant compte de se qu'elle faisait elle le lâche et recule de deux pas.

"Si Armand trouble vos affaires il vous faudra le prouver avant de vous en plaindre, mais laisser moi faire en sorte qu'il ne vous ennuie plus jamais..... Je ne veux plus vous revoir autrement que pour les affaires. Ceci devrais vous mettre à l’abri de sa folie. "

Elle recule cette fois complètement et retourne voir sa secrétaire avec humeur pour l'agresser.

"Ne pas être dérangée, vous avez intégré le principe ou je dois vous l’imprégner ? "

Elle retourne dans son bureau en claquant la porte.

Elle avait tenter par réflexe de se débattre lorsque le vampire vint le ceinturer, mais rapidement elle comprit qu'elle ne pourrait rien y faire et arrêta de bouger. Un frisson traversa son corps pendant qu'il murmurait a son oreille, mais elle resta immobile cherchant a cacher toute émotion et lorsqu’enfin il la lâcha elle se retourne sur lui un air grave sur le visage. Elle le détaille quelques instant avant de reprendre la parole.

"Allez vous en et restez en dehors de sa............. Je n'ai pas envie de perdre quelqu'un d'autres."

Elle le repousse jusqu'à la porte.

Elle pût voir un sourcil dépasser de ses lunettes, ainsi qu'une moue dubitative après sa phrase. Il se laissa repousser jusqu'à la porte.

« À vos ordres Sénéchal…qui est votre successeur au fait ? Il serait navrant que le Gardien ne sache pas à qui envoyer un Semblable cherchant le Primogène des Roys. Et, inutile de passer vos nerfs sur votre secrétaire, je ne lui ai pas laissé le choix. »

[Sortie vers le petit salon]

[Arrive du refuge de Luddmila]

Après avoir déposer ses armes à l'entrée du Louvre, le Ventrue rejoignit le nouveau bureau de sa Primogène, frappant quelques coups sec sur la porte annonçant à la secrétaire que quelqu'un attendait avant de se présenter à elle afin qu'elle l'annonce à mlle Boniface.

Avec un peu de chance, ils auraient enfin une conversation sans haussement de voix ?

Lou regarda mécontente son téléphone qui sonnait, sa secrétaire avait elle décidé de la pousser à bout se soir, ou était ce juste de l'incompétence qu'elle n'avait pas remarqué jusqu'à maintenant. Elle attrape donc le téléphone avec colère, mais avant qu'elle n'ai pu ouvrir la bouche sa secrétaire débite son message à grande vitesse, faisant se crisper la mâchoire de la Sénéchal et durcir son regard. Elle raccroche d'un coup sec avant de se lever d'un bond pour sortir de son bureau. Bien sur elle fut arrêter en chemin par l'arrivé de Ivan, elle devait lui parler, mais l'ordre de ses priorité venait de changer et elle se dirigea vers lui tout en calmant sa colère.

"Monsieur, je suis vraiment navrée de ne pouvoir vous recevoir, mais une affaire urgente requièrent mon attention en urgent. Acceptez mes excuse pour de faux bond, mais je tiens réellement à discuter avec vous se soir."

Elle avance encore un peux et une fois à presque le dépasser, elle le regarde de nouveau avec intensité.

"J'aimerais vraiment repartir sur de bonne base avec vous, alors je vous laisse le choix de quand vous pourrez repassez dans la nuit."

Elle sort du bureau rapidement.

Le Ventrue regardât la Sénéchale décontenancer durant un bref instant de la voir aussi charmante. Elle avait bouffé un camer pour devenir comme ça en une nuit ?

Il la regardât partir sans avoir le temps de lui répondre puis rentrât dans le bureau pour s'adresser à la goule.

"Vous pourrez dire à la Sénéchale de me contacter à son retour, je tacherais de resté disponible.

Vous savez ce qui la presse ainsi ?"

"Une affaire concernant le régent et le renégat monsieur."

Le renégat ? elle ne comptez tous de même pas se venger de Duffeau ?

Sans plus attendre, il se lançât à la suite de de la ventrue.

Lou se laissa tomber sur son fauteuil avec un soupire de lassitude, puis sortie son portable afin de prévenir le prévôt que ses petits soldat étaient déjà arrivé sur les lieux. Maintenant il ne lui restait plus qu'à attendre que Monsieur d'Arcy, l'homme qu'elle n'avait pas envie de voir se soir, mais alors pas du tout. Elle devait calmer sa colère, alors elle alluma sur son ordinateur et pianota furieusement pendant un long moment, commençant enfin à travailler sur les rapports pour la reine ainsi que sur les noms qu'elle devrait donner.

[Venant du petit salon au Rez de chaussée.]


En chemin la pétale lui avait dit que Madame la Sénéchal allait le recevoir pour la présentation par intérim de La Reine, ce qui concordait à la fois au désir du Ventrue. Il en fut fort soulagé.
Louis se disait qu’il avait eu l’habitude de traiter avec des Caïnites de haut rang au U.S.A.
Il fut lui-même Primogène Ventrue à la nouvelle Orléans avant que l’Archevêque Lombart Hisst l’oblige a quitter le continent après avoir pris le pouvoir sur la ville. Louis avait été le seul Primogène a survivre à ce soulèvement.
Quoiqu’il en soit. Louis était plus a l’aise de discuter avec une Sénéchal de son clan plutôt qu’a une Reine d’un pays. Car il n’avait jamais rencontré ce type de régnante dans son existence car elle ne gérait pas une ville mais bien un pays tout entier.
Ah l’Europe et l’Amérique, que de surprise dans le monde des ténèbres.

La pétale frappa à une porte et une voix féminine disait d’entrer. La pétale ouvrit la porte et présenta Louis a la secrétaire, puis elle laissa Louis pour retourner à ses fonctions.

"Monsieur DeSade, mademoiselle Boniface va vous recevoir dans un instant si vous voulez bien vous asseoir, cela ne devrait pas tarder."

"Merci infiniment mademoiselle, vous êtes bien aimable."
Répondis Louis avec un sourire poli.
Alors Louis s’assis dans un confortable fauteuil non loin de la porte du bureau de la Ventrue. Il se caressait le menton en observant la secrétaire vaquer à son travail. Elle était très jolie pensa Louis. Puis sur une table basse, il y avait une édition du Figaro. Il le pris et commença à le feuilleter en attendant le moment ou il serait convoqué.

Les mains de la sénéchal s'immobilise au dessus du clavier et son visage en colère se tourne sur le gardien. Elle n'a pas envie de se pencher pour l'écouter, elle veut simplement le voir sortir d'ici, mais elle doit jouer son rôle de sénéchal aussi se penche t'elle mais en montrant tout le méprit qu'elle ressent fasse à lui. Elle le laisse parler sans jamais l'interrompre, puis elle se recule toujours silencieuse, réfléchissant rapidement à tout se que venait de lui révéler Auguste. Son visage se détend quelques peux, mais ne sourit pas pour autant. Au bon d'un moment elle se penche de nouveau, venant effleurer l'oreille du gardien de ses lèvre pour lui murmurer quelques mots. Enfin elle le regarde dans les yeux un long moment puis se recule pour retourner taper sur le clavier.

"Monsieur ceci ne relève pas de ma compétence, je suis sur que la reine comprendra que vous lui demandiez un entretient pour sa, surtout si les trémère ne sont pas montré assez clair. Maintenant sortez d'ici et faites entrer mon prochain rendez vous."

Un homme élégamment vêtu dans un costume blanc de haute gamme venait d’entrer dans les locaux, il était attendu par la Sénéchal.
Par son style il ne s’agissait pas d’une goule c’était évident, par ses vêtements Louis pensait Toréador ou Ventrue tout comme lui, mais les lunettes noires le pris au dépourvu. Les Gangrels voient très bien dans l’obscurité la plus totale, qui plus est, il avait déjà rencontré un Gangrel qui gravitait dans la haute société en Louisiane.
Ce type en blanc en était peut-être un.
Au même moment l’homme en question se tourna vers lui pour lui adresser un signe de tête tout en lui disant du « monsieur » poliment.

Louis répondit par un sourire en faisant la même chose, un signe de tête en prononçant:
-Monsieur.
Il s’adressa ensuite à la secrétaire puis entra dans le bureau de la Sénéchal.
Louis apprit par la même occasion que la secrétaire s’appelait Clarisse et il remarqua que l’homme portait une épée lorsqu’il passa devant lui.

Aussitôt que l’homme fut entré Louis replongea dans sa lecture du Figaro.
Quelques instants plus tard, l’homme a l’épée sorti du bureau, l’entretien avait été somme toute plutôt brève et l’homme était venu se poster devant lui pour l’informer poliment que madame la Sénéchal l’attendait.

-Oh merci Monsieur, je vous souhaite également une excellente nuit.

Répondit Louis en l’observant quitter la pièce.
Puis il posa le figaro la ou il l’avait pris, se leva tranquillement, il redressa son costume en ajustant sa cravate.
Il tourna ensuite la tête vers la secrétaire en lui adressant un sourire puis s’approcha de la porte. Il avait remarqué la façon dont l’homme en blanc avait procédé.
Il fit donc de même en frappant trois coups et en tournant la poignée.

Dans le bureau il y avait la Sénéchal naturellement, mais il ne s’attendait pas qu’elle ai ce type de physique, il savait que l’apparence ne signifiait pas la même chose pour les vampires comparé aux humains. Des vieux d’apparence pouvaient être beaucoup plus jeunes que ceux qui portent des traits juvéniles.
En fait, c’était la beauté et le charme de la dame qui paraissait si naturel et si simplement exposé qui lui avait semblé étrange, car les vampires de hauts rangs aux postes importants possédaient souvent cette solennité très prononcée et hautaine cachée derrière leur apparence qui dénotait visuellement, une certaine importance en exigeant d’emblée le respect le plus complet.
Mais chez elle non, il ne percevait rien de cela.
Il referma doucement la porte puis il s’inclina devant elle avec tout le respect du a son rang car après tout elle servait également d’intérim à la Reine, ce qui n’était pas rien.

-Madame, je suis honoré que vous ayez accepté de me recevoir, je me présente Louis DeSade, originaire de la Nouvelle Orléans aux États-Unis et arrivant de Nice en France jusqu’à Paris. Je viens à vous tel que les protocoles de la Camarilla l’exigent afin de me présenter aux autorités régnantes et demander le droit de séjour.

Naturellement il resta debout et il n’osa pas s’approcher de son bureau pour lui baiser la main ou pour effectuer un quelconque geste qui pourrait paraître déplacé à cette occasion.
Mais définitivement, la Sénéchal était une fort joli femme.

Lou venait d'envoyer son mail avec un petit soupire de mécontentement, cela ne lui convenait clairement pas, mais elle n'avait plus le temps de penser à cela, car le nouvel arrivant entra dans la pièce, elle posa son regard vert émeraude sur lui dès qu'il franchit la porte, le regardant s'avancer. Puis elle se leva pour accueillir, le vampire avec un sourire poli accroché aux lèvres. Elle détaille rapidement l'homme de la tête au pied alors qu'elle s'avance vers lui. Au vu de sa tenue et de son maintient elle aurait pu penser un instant qu'il était de son clan, mais sa manière de se se présenter n'y correspondait pas. Il devait être Toréador..... Et elle allait devoir lui montrer les bonnes manières, dommage car il présentait vraiment bien.

" Sénéchal Boniface, infante d'Armando de Couchene de la lignée d'hardestadt."

Elle resta la devant lui à attendre qu'il se présente comme il se doit, sans se départir de son sourire polie, le regard neutre. Si le vampire était un temps soit peux intelligent, il comprendrait se qu'elle attendait de lui.

La sénéchal s’était levé de son bureau pour s’approcher de lui.
Louis ne s’était jamais vraiment mis au fait des usages monarchiques européenne de la Camarilla, n’ayant que rencontré des Princes, ces derniers étaient parfois très différents les uns des autres quant a l’étiquette, il se souvint qu’en Virginie le Prince était un Brujah et lors de sa présentation, le Prince l’avait convié à chasser avec lui durant une partie de la nuit et c’était entre deux proies humaines qu’il avait du se présenter et répondre à ses questions. Cela n’avait pas été de très bon gout pour Louis. Peut-être que le Prince Brujah n’avait fait cela que pour choquer et mettre mal a l’aise un Ventrue? Il n’avait jamais eu la réponse a cette question. Cependant è la Nouvelle-Orléans le Prince était Ventrue et cela avait été très différent autant que la Nouvelle-Orléans devait être différente d’une régence de par une Reine.
La sénéchal ne l’était pas mais elle la représentait. Alors il allait improviser avec la politesse, le respect et l’étiquette en tachant d’en mettre un peu plus sur le protocole que s’il était devant un Prince, il allait se concentrer.
Il pris doucement la main de la sénéchal tout en posant un genou au sol et il déposa délicatement ses lèvres sur le dos de sa main.
Jamais il ne s’était agenouillé devant un Prince, au pays les harpies lui auraient collé une réputation d’eunuque-flagorneur.

-Enchanté de faire votre connaissance Madame la Sénéchal, Moi je suis du clan Ventrue et je suis de la dynastie des DeSade de par le corps. Infant de Dame Nadejda Mischkin de la lignée Tzarine de la maison des Romanov de par le sang.

Spoiler:

Le membre 'Louis DeSade' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 5, 6, 5, 7, 3

Lou retira doucement sa main, un léger sourire au coin des lèvres... Les us des Amériques ne devaient pas rendre obligatoire l’absence du toucher des lèvres sur la main. Elle prit sur elle pour ne point se familiariser de cet incident et désigna un siège à Louis avant de s’installer de l’autre côté de son bureau. Elle joint ses mains sous son délicat menton, faisant reposer ses coudes sur les accoudoirs de son fauteuil et le dévisagea un moment.

“Bien Mr De Sade, je suis enchantée de compter un nouveau membre de notre clan dans notre ville. Auriez vous la délicatesse de me dire ce que vous savez de la situation actuelle de la ville, ainsi que la raison de votre venue ?”

Sans le quitter du regard elle se releva pour s’adosser complètement dans son fauteuil, coinçant son visage entre le pouce et l’index de la main gauche, son majeur caressant lentement sa lèvre inférieure pendant que sa main droite dessinait des courbes imaginaires sur le bureau avec le bout des doigts.