Morgan rendit salua la primogène ventrue par un baise main.

- Les honneurs sont pour moi de vous avoir à mes côtés...

Dit il à l'intention de Rozenmilna et de Dimitri. Il prit ensuite le temps d'écouter sa majesté, qui fit un discours des plus martial. Il n'était pas le Parménion pour rien... Il salua ensuite les autres qui arrivèrent. Puis il s'adressa à Elea, légèrement en apparté.

- Le médaillon est là-bas, vous pouvez le regarder pour vous en inspirer... Je sais ce que c'est de tenir à quelque chose.

Par réflexe il prit le sien entre ses doigts..

- Par contre ne le touchez pas.

Phantom paraissait un peu perdu au milieu de tous les vampires de la ville. Il se sentait un peu comme Jean le forestier, un être à part. Il sourit et donna une accolade franche à Victor quand celui-ci le remercia à nouveau devant tout le monde.

- Vous auriez fait pareil à ma place.

il écouta ensuite le discours du prince, captivé. Quel homme charismatique.

Dimitri écoutait le discours de Parménion mais restait attentif à la réaction qui suivrait du Primogène Gangrel.
 
Victor approchait ensuite pour venir faire un petit commentaire au sujet de la tuile ce qui ne manquait pas de faire sourire Dimitri. Les mots qu'il avait ensuite étaient reçus par une légère inclinaison emplie de respect qui parlait plus qu'un «merci». Il souhaitait l'entretenir un peu à l'écart du groupe alors le Brujah répondait favorablement à cette demande en l'invitant de la main.
 
" Avec plaisir."
 
Il s'écartait légèrement comme le souhaitait le Trémère et en profitait pour avoir un petit signe de tête particulier à l'attention de Gatien puis Gustave même s'il avait salué chaque personne à mesure qu'elles se présentaient.
 
" Je vous écoute."

Ahuizotl avait prêté une oreille attentive à Oswald lorsqu'il lui proposa son aide. Sauf qu'il n'avait pas eu le temps de répondre car l'appel du Prince fut perçu comme un ordre et peut être la solution à son problème.
Il allait surement lui offrir du sang pour lui permettre de combattre. Il en avait les moyens ...
Ecoutant la voix de la raison qui murmurait encore en lui malgré la soif qui le dévorait, il détourna son attention de la voiture et se dirigea vers le prince.
Son sang était puissant ....
*Garder le contrôle encore quelques minutes ...*
Il posa un genou à terre devant le Prince.
*ouvre tes veines et donne moi du sang!*

La Bête hurlait de toutes ses forces et le visage du Gangrel était si crispé qu'il ne semblait plus humain.
*reste fort devant ton Prince !*

[HRP : Je me permet de faire venir Kaoum un peu avant le discours du Prince. je voulais poster hier, un oublie de ma part désolé]

Kaoum entra dans le Panthéon, seul. Il salua tout le monde mais ne parla pas. Un coup d'oeil vers sa Primogène et il se mit tout de suite à inspecter le système de surveillance. Tout, semblait-il, avait été fait à la perfection. Il regarda son portable, le serveur était fonctionnel. Tout se déroulait parfaitement. Il n'avait plus rien à faire ici. C'est ce moment que choisit le Prince pour faire un discours.

Kaoum l'écouta respectueusement puis quand tout fut fini s'approcha du Prince.

"Mon Prince, je suis Kaoum du clan des masques, tout le système informatique est en place. Je m'en vais me mettre en position comme convenu."

Il s'inclina devant le Prince et s'éloigna (sauf si celui-ci l'intercepte ou lui parle). Passant non loin de Venise il lui murmura à l'oreille.

"Ma Dame, je suis navré pour mon comportement des deux nuits dernières. Je tiens à le préciser et j'espère avoir le temps de vous expliquer les raisons qui je vous l'assure sont valables. Et . . . aussi . . . "

Son ton se fit plus hésitant.

"Je ne sais si nous survivrons à cette nuit, ni même le clan. Mais sachez que ce fut pour moi un véritable honneur et plaisir de vous avoir rencontrer. J'espère que nous nous reverrons demain victorieux."

Et sans attendre de réponse ressortit. Direction le poste de surveillance

[HRP : Je suis en attente de création du poste en question ]

Avec Alice et Thomas


La goule était archéologue ? Sympa.
Philippe l'interrogea un peu, au court du trajet, pour savoir dans quel domaine il s'était spécialisé.
Il voyait bien qu'Alice était nerveuse, et qu'elle n'avait hélas rien à ranger sous la main. Quand à Thomas, s'il avait pu être encore plus livide, il ne s'en serait sans doute pas privé. C'était une façon comme une autre de les distraire, mettant entre parenthèses leurs inquiétudes.

Une fois arrivés, Alice eut la gentillesse de lui ouvrir la porte, ce qui n'aurait pas été évident depuis l'intérieur de l'utilitaire.
Ils eurent ainsi droit à la scène de Zozolt. Il venait juste de se réveiller, ou quoi ? Il avait largement eu le temps, la veille, de chasser pour se remettre de sa torpeur imposée. A moins qu'il n'ait été très gravement blessé...?
Puis le prince fit un discours qui enflamma... ben... un mec, un peu excité façon nazi... Pour les autres, s'ils étaient enflammés, c'était nettement plus discret.

Puis la jeune femme lui proposa de contacter les trois manquants. Philippe murmura.

"Très bonne idée, Alice.
C'est avec le groupe de de Lestrain que tu seras. Je dois justement le voir, tu viens ? Thomas, toi ausi ?"

Puis, saluant tout le monde d'un aimable "bonsoir", en se présentant au besoin ainsi que Thomas, Philippe s'approcha de Morgan, s'inclinant avec légèreté.

"Bonsoir, primogène. Nous n'avons pas pu nous voir, hier, alors, si vous voulez récupérer l'ingrédient qui vous manque..."

Il offrit volontiers son sang, chose qu'il n'avait pas pu effectuer avant. Et pour oublier que ce n'était jamais une riche idée de filer de sa vitae à un Tremere, il continua comme si de rien n'était.

"Voici mon infant, Thomas Bellanger. Thomas, voici Morgan de Lestrain, primogène du clan Tremere. Si ce soir le Baali retourne à l'état de pétrification, ce sera grâce à eux."

Puis il enchaina, en désignant Alice.

"Alice pourra dissimuler votre groupe, primogène, si vous êtes toujours preneur de ce talent. Je compte sur vous pour prendre grand soin d'elle."

Sa demande était sérieuse. S'il arrivait quelque chose à Alice, il n'hésiterait pas à pourrir la non-vie de de Lestrain.

Dimitri répondait à Victor et les paroles étaient accompagnées d'une inclinaison très respectueuse à l'attention du Trémère.
 

Spoiler:

Camionnette malkavienne

Thomas écouta la conversation que menait Philippe avec Paul. Si son esprit n'avait pas été obnubilé par l'évènement qui se rapprochait de minute en minute, il aurait sans doute volontiers participer plus que par les deux ou trois questions éparses qu'il avait pu poser.

Ils arrivèrent. Face à l'enchaînement des évènements, il se sentit un peu anesthésié. Du monde, beaucoup de membres de la Famille. Certains furent nommés, d'autres pas vraiment. Thomas laissa son regard vagabonder de ci de là. Un murmure qu'il avait originellement souhaité un peu plus puissant franchit ses lèvres.

Thomas Bellanger, du clan Malkavien, Infant de Philippe, notre primogène.

Les mots étaient fluides mais ils manquaient d'un peu de substance. Le néonate était tout à son effort pour apprendre, comprendre, enregistrer, trier, traiter, analyser toutes les informations qui lui parvenaient. La confidence d'Alice le tira de ses rêveries, ou plutôt de ses pensées. L'arme ? Le regard se posa rapidement sur la dague. Il fit signe que oui à Alice, il la voyait.

C'est une belle arme.
Tranchante, parfaitement affutée. Solide. Efficace.

Il se rappela avoir dressé la description d'une lame semblable quelques jours auparavant. Cela le frappa aussi surement qu'un poing de glace. Comment pouvait il seulement ne pas y avoir pensé ? Un regard vers la chevelure de vampire lui confirma que la piste que son esprit suivait n'était pas dénuée d'un certain sens. Comme hypnotisé par ce primogène à moitié sauvage, il suivit la scène. Au fond son cerveau oscillait entre fascination et circonspection. Allez comprendre le cerveau d'un malkavien.

L'attention fut captée par le Prince. Qui d'autre ? Thomas n'était pas vraiment d'un caractère martial. Il se considérait plus cérébral. Mais il admirait en cet instant les qualités de meneur d'hommes de Parménion. Si on devait croire les livres d'histoire, ces qualités il les possédait déjà du temps d'Alexandre. Le médecin avait encore du mal à se faire à l'idée qu'il avait en face de lui quelqu'un qui avait connu Alexandre le Grand. Ou même que certaines des personnes l'entourant avaient peut être vécues la Révolution française ... Le vampire au cri de guerre puissant avait il connu la Seconde guerre mondiale ? Avait il alors le même visage qu'en cette soirée au Panthéon ?
Beaucoup de questions.
Peut être trop.
Sans doute.

Philippe prononca son prénom. Retour à la réalité. Sorts, magie, ténèbres, vampire vieux de plus de 1000 ans ... Tout était bien enregistré. Il fut présenté à un autre primogène, devant lequel il inclina poliment le haut de son buste, tout en restant silencieux. Le vampire face à lui pouvait donc pétrifier les gens ? Sans doute l'objet du rituel. Avec des gens aussi puissants, Alice ne risquait rien. Du moins c'est ce que Thomas pensait. Ou se plaisait à croire. Son esprit était bien trop rigoureux pour ne pas saisir la fine nuance entre ces deux choses là.
Oui le médecin espérait. Parce qu'il n'avait que cela. C'était son pouvoir ce soir. Espérer. Ni plus, ni moins.  Il avait commencé à s'attacher à cette Famille, à ce clan de gens singuliers. Chacun était sensé, à sa manière. Chacun était dans le vrai, à sa manière.

Soudain, Thomas sentit un peu de tension quitter ses épaules. L'espoir. Il fallait bien cela. Un sourire éclaira de nouveau son visage morne. Inutile d'aller accomplir cette mission comme s'il avait été un animal mené à l'abattoir. Tellement futile. Autant sourire. Autant être fier, même si l'acte n'est qu'une bétise. Autant ne pas rougir. Ni ne pâlir.
Le médecin sentit son esprit s'ouvrir au défi que cela représentait. Ce soir, peut être lui faudrait il user de tout son savoir faire, de tout son sang froid, hé hé hé, sang froid ... pour participer, aider, soutenir et vaincre avec sa nouvelle Famille.

En arrivant de chez lui

Hadrien marchait tranquillement pour rejoindre le panthéon, il ne se pressait pas non plus, il n'avait aucune idée de l'heure à laquelle cela commençait. Il se dit simplement qu'on finirait bien par le joindre pour le prévenir.

Il vérifia à tâtons la présence de son téléphone ainsi que celle de son couteau. Il sentit distinctement les formes des deux objets et sourit calmement.

Il se rapprochait du lieu de l'opération quand il sentit sa poche vibrer, il regarda son téléphone et vit un message de Aly auquel il ne répondit pas.

Quand il arriva en vu du Panthéon, il remarqua le groupe de caïnite. Il 'en approcha, mais resta tout de même à bonne distance, il avait remarqué qu'il y avait des femmes autre que sa soeur. Il appréhendait de s'approchait plus et s'arrêta s'installant dans un coin un peu plus discret. Il envoya un message à Philippe pour le prévenir qu'il était sur place. Il espérait que son ''chef'' comprenne qu'il ne souhaitait pas ce confronter au groupe. Il attendit patiemment les ordres de son primogène ainsi que l'arrivée de Liel.

Il obervait le groupe de loin, reconnaissance par ci par là quelques têtes, mais il ne voulait par aller les saluer. Pourquoi prendre le risque de faire un e crise dans une situation pareil. En plus la seule personne qui l'avait calmé jusqu'à présent n'était pas encore arrivé. Mais Hadrien s’inquiétait quand même.

*J'espère qu'aucune d'entre elle ne s'approchera de moi ...*

Spoiler:

Du bruit. Un long et monotone bruit...


Il y avait foule et tous conversaient en tous sens. Du discours du prince, Annabelle n'avait à peu près rien compris.
La foule la mettait mal à l'aise, la rapidité des énoncés la perturbait. Tout allait trop vite dans une farandole de mots vide de sens.


Elle échangea quelques mots

Spoiler:

avec Rozenmilna et imita sa primogène... c'est à dire, se taire et ne pas bouger.
Ça, elle savait particulièrement bien faire.

Puis, elle glissa discrètement à l'oreille de Rozenmilna :

- Je maintient qu'on aurait mieux fait d'aller au cinéma ...

[Venant de là]

Lucas gara sa moto non loin du site où devait se dérouler l'action, il remarqua la moto de Gatien et se demanda brièvement depuis combien de tant ce dernier était là et s'ils pourraient se voir avant de début des hostilités. Il en descendit et l'attacha soigneusement avant de se diriger vers la zone des futurs combats. Le casque sous le bras, il regarda son téléphone pour lire ses messages et en profita pour en envoyer d'autres.
Un attroupement peu discret était stationné devant le panthéon et Lucas aurait pu frissonner s'il avait été encore humain. Les gens ne risquaient-ils pas de se poser des questions ? D'un haussement d'épaule, il éloigna ce genre de question qui, d'une n'était pas de son ressort et de deux, dont il se foutait royalement, ce n'est pas lui qui avait eu ce plan de ''génie''.
Une silhouette se détacher de la masse et Lucas reconnut Hadrien, il faisait le planton en regardant les femmes de l'assemblée d'un œil scrutateur.

* Hé ben... ça commence bien... Pitié !! Faites qu'il n'y ait pas de femme adverse sur le champs de bataille... Faites qu'il ne nous craque pas un boulon au moment le moins opportun... *

Il s'approcha de son frère, son regard fixé sur la masse grouillante de vampires Parisiens qui donnaient l'impression d'être à un cocktail mondain. S'il avait pu ou en d'autre circonstance, il se serait mis à rire. Seulement la seule chose qui lui donnait envie en ce moment, c'était de soupirer, absurde pour un vampire donc....

'' Salut frérot !! Tu t'approches pas ? Tu préfères surveiller les arrières du groupe ? ''

Il agrémenta sa remarque d'un clin d'oeil appuyé, tous les vampires de Paris n'étaient pas obligés de savoir de quel genre de problème Hadrien souffrait. Il ouvrit sa veste de moto et en tira un des deux flingues, montrant la cross à son interlocuteur avant de le lui tendre dans un mouvement discret.

'' Tu me diras ce que tu en penses, mais j'espère que tu n'auras pas à t'en servir ce soir... ''

Retournant son attention sur le groupe, il chercha des yeux des têtes connues, voulant trouver Gatien et Thomas.

Spoiler:

Parménion regarda tout le monde. La tension était palpable. Des yeux il chercha Morgan de Lestrain.
Une fois qu'il eut capter son regard, il énonça.

- Que chacun se mette en place!

Il tourna les yeux vers Morgan.

- Les dés sont jetés...

HRP:

Morgan salua son vis à vis le primogène Malkavian et lui rendit la politesse de sa démarche. Saluant son infant par la même occasion. Il était temps de mettre à exécution le piège qu'ils avaient élaboré tous ensemble..

Il attendit que Tous soit en place avant de mettre fin au sortilège qui allait sans doute lancer l'attaque du démon.

IMPORTANT:

Tout le monde se mit en place suivant le plan établi. Chacun connaissait le rôle qu'il avait à tenir durant la bataille. Le choc serait terrible. Morgan prit le temps de bien s'organiser pour bien faire les choses, les objets étaient bien disposés prêts à être employés. Il prit son médaillon dans ses mains, faisant une courte prière en le serrant contre lui, puis il acheva de rendre son rituel anti-vampires. Puis il lança à travers les communicateurs un message qui lançait les hostilités.

- A tout le monde. Je libère Melissange tenez vous prêts!

Il concentra sa volonté, et lâcha l'impulsion suffisante pour rompre le rituel qui la masquer aux yeux du démon. IL referma son cercle de protection, faisant un signe de Tête à Alice.


- Les dés sont jetés.

Une vingtaine de minutes venaient de s'écouler.

HRP :

2eme tour de combat

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