[arrivant de l'entrée]

Morgan entra après avoir frappé.
il s'inclina devant Parménion puis devant ses pairs.


- Chers frères et soeurs, me voici, un peu en retard certe...

Il constata néanmoins que le Sénéchal n'était toujours pas là lui non plus, ainsi que l'enfant.

[Arrive de l'entrée]

On frappa à la porte alors que de Lestrain finissait juste de parler, puis Philippe entra.
Il fit la révérence au Prince et s'inclina devant les autres participants.

- Votre Majesté, Madame, Messieurs...

On ne devait sans doute pas attendre Venise, mais le beau parleur Toréador n'était pas là non plus.
En même temps, viendrait-il ? Au cas où le pseudo-enfant aurait été le dernier, il s'adressa à la cantonade.

- Veuillez excusez mon arrivée tardive.

Enfin, tardive, il avait dû faire un chemin non négligeable pour venir, et lui, il n'avait pas de chauffeur particulier, juste des tickets de métro et ses petites jambes. Il était donc venu aussi vite que possible, et ne se sentait nullement coupable.
Il attendit une invite du Prince pour s'installer autour de la table, toujours très concentré sur une pensée ou une autre pour garder le contrôle.

[ viens du chevet d'Elea ]


Après avoir frappé, Aaron entra à son tour, salua l'assemblée courtoisement.

-"Prince, madame, messieurs. Pardonnez l'heure tardive, j’étais au chevet de l'un des miens."

Il pensait être le dernier, mais le Sénéchal semblait manquer à l'appel.

Parménion n'avait que fit des querelles entre les primogènes. Il souriait voyant à quel point la politique et les envies pouvaient faire disparaître même les plus puissantes victoires.


- Je vous propose de vous installer, en attendant que Vivian arrive. Il prendra la réunion en cours de route, vous aurez aussi ainsi l'occasion de lui parler. En attendant avant d'aborder certains sujets, nous allons faire un tour de table. Je propose que l'on commence par Dimitri, mon primogène, puis Madame de Sancy, monsieur Delcroix, monsieur De Lestrain, monsieur Merle puis enfin monsieur zilberman.

Jacques se demandait comment il allait aborder sa réponse, sans trop se fâcher avec tout le monde. Car même si la primogène Ventrue avait fait un début de réponse qui lui convenait, le reste n'était pas du tout de son goût, et risquait de ne pas l'être de la majorité des membres de son clan. Mais il fallait dire quelque chose, et de préférence la vérité. Il attendit patiemment son tour et se jeta dans le bain.

" Avant d'entrer dans le vif du sujet, j'aimerais dire quelques mots. J'ai bien conscience de ma jeunesse, et ma relative inexpérience à un poste de commandement, et surtout du fait que mon clan dans son ensemble a quitté la Camarilla.l J'ai juré de servir la Camarilla, et en tant que membre de mon clan, il m'est interdit de revenir dessus.

Maintenant j'en viens à ma réponse. Personnellement , je trouve que tous nous regrouper au même endroit, pour plus d'une soirée, est une mauvaise idée et ce à plus d'un titre.

Tout d'abord cela ressemblera fortement à un refuge communal du Sabbat.

Ensuite vient les problèmes de promiscuités. Nous sommes des créatures territoriales pour la plupart. Et en tant que telles, ils nos arrive souvent de nous prendre le bec pour des questions de territoire, alors plus le territoire alloué va être réduit, plus les problèmes d'entente entre nous vont s'accumuler. Et autre point important , la promiscuité va grandement réduire la sécurité que nous aurons  contre les membres de notre Secte qui voudraient profiter honteusement de la situation.

Pour continuer, les membres de mon clan ont habituellement une très forte volonté d'indépendance. Je pense qu'ils seront peu nombreux, à trouver que cette idée  est bonne. Et je ne les obligerais pas à abonder dans ce sens.

Enfin, je m'arrêterais la dessus. l'ennemi connait l'adresse de notre principal lieu de réunion. Si nous commençons à rester trop longtemps ici. On leur donnera l'occasion d'économiser des cartouches, pour nous tuer."

Morgan écouta la mise en bouche du prince. Il tapait du doigt contre la table, regrettant que la bienséance ne lui permette pas de griller une cigarette. Mais il écouta chacun d'entre eux. Puis lorsque vint son tour, il prit quelques instants et parla d'une voix claire.

- Pour ma part j'aimerais revenir sur un point, puisque nous parlons de sécurité. J'ai pu, sous l'impulsion de certains d'entre vous, analyser et décrypter le glyphe qui protège le Louvre. Comme il y va de la sécurité de chacun d'entre nous, il est important d'en parler. Je contrôle le glyphe. Vous expliquez serait complexe, mais partez du principe que la protection de ma fondation est reliée magiquement à celle du Louvre.

Il laissa quelques instants.

- C'est ainsi que j'ai pu en prendre le contrôle, et vous accorder à tous l'usage de vos dons ici. Je pourrais pousser cela un peu plus loin et rendre l'usage des dons à tous, tout en laissant des gardes fous. Je pourrais transformer la "protection" actuelle en une sorte de super-systeme de sécurité video... S'il le faut je pourrais relier certains d'entre nous sur ce "systeme"...


Il faudrait que l'on en débate ce soir.

Le petit Primogène ne releva pas la remarque de Rozenmilna, bien qu'il ait posé sur elle un regard vaguement surpris. D'abord parce que le patois du sud-ouest lui était étranger, et ensuite parce qu'il se moquait plus ou moins d'une éventuelle critique.

Invité à s'asseoir, il se posa, et écouta avec une attention aiguë tout ce qui se disait, observant ceux qui prenaient la parole, mais aussi ceux qui écoutaient. Il se concentrait sur tout ce qu'il pouvait pour rester aussi normal que possible. Mais il sentait bien que ses sens étaient un peu troublés, et qu'il réfléchissait moins vite.

Différents sujets étaient abordés, tous très intéressants, et il en avait un à soulever aussi, même s'il n'était pas d'une importance capitale par rapport aux autres. Mais puisque c'était l'occasion de parler...
Ce n'était qu'un tour de table pour mettre des choses à l'ordre du jour, on débattrait sans doute de chaque sujet séparément.
A moins que ce ne soit directement la foire d'empoigne, qui sait ? Ce pouvait être drôle aussi.

- J'aimerais quant à moi aborder le sujet des influences. A l'heure actuelle il règne un flou certain en la matière. Serait-il possible de faire un point officiel à ce propos, et de le diffuser au sein de l'elyseum ?

Les nouveaux qui ne cessaient d'arriver n'avaient aucun moyen de savoir de prime abord s'il pouvaient subjuguer tel policier ou graisser la patte de tel journaliste sans s'attirer des foudres inconnues.

Il se tut ensuite, laissant la parole à Zilberman.

Aaron se passa une main gantée de noir sur le visage comme s'il caressait une barbe imaginaire pendant que ses comparses s'exprimaient. Lorsqu'il fut son tour de parler, il se redressa.

-" Pour ma part je trouve la proposition du primogéne Brujah intéressante et peut être mal comprise. Il ne sagirais pas de tous se réunir en permanence ou d'abandonner les territoires respectifs, mais de permettre aux clans de posséder un refuge dans les quatres premiers arrondissements.

Un peut comme il existe divers fortins autours d'une citadelle. Certe cela augmenterais sensiblement la population cainite de ces arrondissement et pose donc d’éventuels problèmes, mais le fait , en pleine guerre de renforcer le centre de notre territoire lorsqu'il nous as été prouvé que nous ne pouvions assurer pleinement la sécurité de nos pairs sur nos territoires me semble nécessaire.

Dans les limites invoquées par la primogéne Ventrue bien entendu.


Nous avons certainement tous en tête les divers enlèvement s'étant produit dans les propres refuge de certains.
Cette idée peut rejoindre le problème des gangrels qui auraient un nouveau point de chute.

Le refuge Tremere quand à lui as été attaqué par deux fois il me semble et si les sécurités liée au Louvre ont leur système de contrôle la-bas, il me semble important de travailler afin de renforcer ce territoire aussi, une glyphe ne dois pas être aisée à déplacer." Dit Aaron avec un air interrogateur à Morgan.
-" Pour le reste, je ne comprend pas non plus que Mélissange soit encore en non vie je l'admet aussi, même si j’admets qu'une exécution ludique me paraisse déplacée pour ma part.

Quand à ce qui concerne les influences, le chaos ambiant semble avoir eut raison de la-plupart, en tout cas dans mon clan propre.

Les médias nous ont échappés, mais si l'infant de l'ex Sénéchale as Hérité d'elle, les médias de Paris sont dans les mains des Ventrues.

Ce n'est pas encore terminé, mais je travaille sur un plan qui permettrais à mon clan de reprendre les influences sur les milieux de la mode et des arts, ce peut à première vue paraitre dérisoire mais ça reste intéressant, surtout dans cet arrondissement et particulièrement si l'on veut rendre au Louvre son cachet d'antan.

Je n'en sais pas plus à ces sujets et j'ai déjà beaucoup parlé."

Aaron s'adossa à son siège, montrant ainsi qu'il avait (enfin) fini de s'exprimer.

Parménion prit la parole à son tour. Certaines des choses abordées nécessitaient l'arrivée du Sénéchal.

- Concernant Melissange, elle se trouve dans les geôles, un pieu dans le coeur. Le fléau et l'équipe constituée l'a ramené ainsi en attendant mon jugement. Je laisse à l'équipe encore quelques temps pour analyser et trier tous les documents qu'ils ont retrouvé avant de trancher. J'hésite entre l'anéantir et l'enfermer à jamais dans une gangue de cristal afin que les jeunes générations n'oublient pas.


Je sens que certains d'entre vous veulent de nouveau s'exprimer, aussi je vous laisse de nouveau la parole.

Dimitri dodelinait de la tête. Les chroniques, le bal et maintenant la réunion... le Gangrel lui faisait de plus en plus pensait à un jeune chiot mordant dans tout ce qu'il pouvait pour tenter de s'imposer qu'a un Loup.

*Pour les obiger à quoi que ce soit il faudrait déjà qu'ils te reconnaissent et te respectent*

Une pensée qu'il gardait pour lui malgré la franchise qu'on lui connaissait mais il ne souhaitait pas mettre Jacques dans l'embarras devant ses pairs en faisant référence aux évènements survenus la nuit précédente avec Ahuizotl et Julien.

Le Prince prenait la parole pour statuer au sujet de Melissange et il fût rassuré de constater qu'ils partageaient le même avis quand au sort de la traitresse.

Le Brujah écoutait ensuite puis les autres Primogènes soulever des choses intéressantes avant de reprendre la parole à son tour.

" C'est effectivement ce que j'ai exposé que vous venez de résumé Monsieur Zilberman. Ce à quoi mademoiselle de Sancy a ajouté judicieusement quelques précisions pertinentes que j'aurais pû apporter . Ni plus, ni moins."

Il se tournait légèrement vers Morgan pour répondre au sujet du glyphe.

" Vous connaissez déjà ma position à ce sujet mais avant de donner un avis tranché j'aimerais en savoir un peu plus. Vous en avez le contrôle, mais à quel point ? et s'il est relié à votre fondation pouvez-vous nous assurer qu'aucune autre personne puisse en user à votre insu ?"

Il n'y avait aucun piège, ni intention dans ce sens dans ses questions. Il n'y connaissait tout simplement rien au fonctionnement de la sorcellerie Trémère.

Une fois ce point abordé c'est vers Philippe qu'il dirigeait son attention, bien qu'il prît toujours la peine de s'adresser à tous de manière égale.

" Vous soulevez un point intéressant qu'il me semble effectivement primordial d'éclaircir. Je ferais un recensement auprès des membres de mon clan car connaître leur domaine d'influence est une chose mais je ne connais pas à quel degré leurs contacts opèrent."

Il inclinait légèrement la tête pour ponctuer et laisser un autre s'exprimer.

Parménion jeta un regard complice à Vivian et lui fit signe de s'assoir. Il intima au tour de table de continuer malgré cela. Le temps de parler de Vivian viendrait.

*Et bein voyons. Le prochain coup, ça va être quoi? l'adresse de nos refuges persos, la couleur de nos sous-vêtements, nos proies préférés. Là ça commence à être abusé comme situation.*

Jacques trouva la situation des plus étranges, surtout a la vue des réactions des autres primogènes présents. il écouta tout le monde perler, les uns après les autres, ses yeux s'écarquillant au fur et à mesure. Le jeune gangrel réfléchissait également une réponse à apporter qui le satisferait, tout en n'offusquant personne. Ce qui avait l'air d'être mal partit, vu Jacques ressentait de plus en plus de colère. Les paroles lui vinrent enfin.

"Je vais essayer de faire plus cour que tout à l'heure.
Tout d'abord, Monsieur Merle, je refuse de répondre à vôtre proposition. ces choses là me permettent de survivre dans ce monde moderne. Ce sont mes figures dans mon jeu de poker. Si je les dévoile, je serais un bien mauvais joueur de cartes."

Il se tourna alors vers le primogène trémère. Le clan que Jacques appréciait le moins. Il cessa tout activité vocale pendant quelques secondes, puis reprit à nouveau la parole.

"Tout comme Madame de Sancy, je suis d'accord pour un maintien de la glyphe. Mais je voudrais y apporter quelques subtilités. Il m'apparait dangereux de n'avoir qu'un seul gardien de la glyphe. Nos ennemis savent qu'il y a une protection magique sur ce lieu, il me semble. Et nos ennemis vont tout de suite penser à votre clan et à son primogène. Donc pour la sécurité de cet endroit, il serait peut être préférable d'accroître le nombre de gardien si c'est faisable. Et pour ces mêmes raisons de sécurité à mon sens, que les gardiens ne soient pas tous du clan Trémère."
 
Jacques arrêta là de parler, attendant ce qu'allait dire les autres. Il se prépara à observer attentivement tout les protagonistes e cette réunion

Sécurisé...

- les autres personnes que je connaisse qui puissent y avoir accès sont Doryan, l'ancien primogène Tremere, c'est lui qui a mis en place le Glyphe dans le Louvre. Sans doute que Nadia Nitzulescu pourrait y avoir accès, mais c'est moins sur.

Il écouta ensuite la suite de la conversation, jusqu'au jeune gangrel. Il le regarda d'un oeil en biais pendant son intervention. Évidemment les animaux ne comprenaient rien à la magie.

Il fallait que Morgan lui réponde.


- Que d'autres y ait accès?... A part des tremeres c'est impossible.

Un simple mensonge clôturerait le débat. Morgan ne comptait pas donner les clés pour sa fondation à n'importe qui.


- Au mieux je peux autoriser certains d'entre nous à activer ou pas le glyphe, mais c'est tout.

Philippe écoutait de toutes ses oreilles, disciplinant sévèrement son esprit pour ne pas qu'il s'égare sur autre chose que la réunion. Mais plus le temps passait et plus l'exercice devenait difficile...

Il inclina la tête à l'adresse du retardataire, regrettant que les règles locale n'imposent pas le port du masque aux Nosfés. Venise avait eu des attentions louables en en portant toujours un. Ils étaient vraiment à vomir. Heureusement que ce genre de réflexe biologique était mort avec le reste...

La réponse du Primogène Gangrel arracha un sourire imperceptible au pseudo-enfant. Signaler ses influences ce soir signifiait au fond qu'elles devenaient plus ou moins chasse gardée, à moins que le Prince n'impose une préséance à son bénéfice. Ne rien dire exposait donc à d'éventuels empiétements.
Et c'est précisément pour cela que Philippe n'avait rien énoncé de son côté. De toute évidence le clan de la Lune à Paris ne se préoccupait pas de s'implanter dans le monde des vivants, de cette façon du moins.

Le petit Primogène se fit la réflexion qu'on aurait dit que c'était Delcroix le Brujah de la soirée, tant chacune de ses interventions était chargée d'opposition.
Il n'en restait pas moins tellement tellement mieux que Zozolt...

Lorsque Morgan eut fini de parler, Philippe reprit la parole :

- J'approuve l'idée d'une translation des refuges de clan sur le domaine Toréador, selon les précisions apportées par madame de Sancy.

Pour Mélissange, nous avons déjà un ennemi pétrifié mais vivant. Il serait judicieux de ne pas en garder deux.
Zéro aurait été mieux...

Il regarda de Lestrain, qui lui avait clairement dit que ce ne serait pas si évident de zigouiller le Baali, même transformé en minéral. Lui était plus partisan d'un largage dans une fosse marine qu'une fonction vaguement décorative au Louvre, mais bon.

- Concernant le glyphe, s'il peut être détourné par le Sabbat, je suis soit pour son abolition, soit pour que plusieurs personnes puissent le désactiver en cas de besoin.
S'il est capable d'entraver aussi les êtres comme les garous ou les fantômes, je serais plus pour la seconde solution, dans le cas contraire, pour la première.

Il n'y avait pas de raison de conserver un truc qui serait un handicap seulement pour les Camaristes, même si l'effet de surprise on/off avait un côté très séduisant.
Philippe retint un frisson et chassa les images de violence qui s'insinuaient dans son esprit. Il tourna son petit visage marmoréen vers Aaron pour lui montrer qu'il avait fini de parler.

Aaron restait de marbre à chaque interventions. Il salua cependant le Sénéchal à son arrivée. Puis ce fut à son tour de parler, pour une fois il n'avait pas grand chose à dire, mis a part l’appui de quelques détails.

-"Je ne vais rebondir que sur cette histoire de glyphe.
Loin de moi l'idée ou l'envie de voler des tours à des magiciens plus doués que moi..." Dit-il avec un sourire dénotant une note d'humour.

-"...Mais il est vrais qu'au vu des derniers évènements, si c'était possible, il serait préférable qu'une personne au sein du Louvre; que ce soit le prince, le Sénéchal , le gardien ou même qui sait un responsable de la sécuritée; soit doté d'un récipiendaire pouvant couper temporairement le rituel.

Est-ce envisageable monsieur de Lestrain?"

le tour de table faisait son effet, et Vivian les avait rejoint.
Nombre de questions étaient soulevées. Parménion prit de nouveau la parole.

- chers Primogènes, voici monsieur de la Rochère, Vivian de son prénom. Un ami de longue date, qui est parfait pour le rôle de Sénéchal du royaume. Son expérience et ses connaissances nous seront des atouts précieux pour l'avenir.

Nous avons des sujets à débattre et notamment ceux que vous avez évoqué ce soir. La sécurité du Louvre est un sujet important. Monsieur de Lestrain nous a fait part de la particularité qu'il y avait ici. En tant que Tremere, nous pouvons lui faire confiance quand il dit que cela n'est pas vraiment adaptable pour un vampire non magicien.

Peut être avons une autre solution? J'ai cru comprendre que le glyphe d'ici était lié à celui de la fondation... Pouvons nous le délier? ou l'inactiver complètement? Et repartir sur de saines bases?

Il se tournait vers Vivian.

- Qu'en penses tu mon ami?