(arrivée du Louvre)

son pas avait pris de l'assurance, le sac sous le bras, elle avait remis le manteau qu'elle avait repris à la sortie du Louvre. Elle n'osait toujours pas le regarder, mais marchant tranquillement, sa respiration était revenue, son calme revenait lentement

Le membre 'Kaoum' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dés 10 faces' : 9, 7, 5

Kaoum marchait silencieusement au côté de la Belle. Son apparence avait changée, passant de monstre à homme, cela en était radical.

Kaoum ressemblait maintenant quelque peu à l'homme qu'il était autrefois. Grand et assez bien bâtie il faisant dans les 35ans pour 1m90. Une légère barbe lui couvrait le visage au teint quelque peu basané. Avec son grand manteau il ressemblait un peu à ces détective des années 70 avec un chapeux sur la tête.

Cela faisait un moment qu'ils marchaient depuis le Louvre. Kaoum n'avait pas encore osé abordé le sujet qui lui tenait à coeur, se contentant dee mâcher et remâcher ce qu'il savait. Bien peu en réalité. La Belle avait l'air de s'être calmer, sa nouvelle apparence aidant surement, et il était temps. Il prit alors son courage à deux mains et se tourna vers la Belle tout en marchant. Puis il parla prenant un ton naturel de professionnel, un ton de flic.

"Dame Abigail que diriez vous de passer le temps qui nous reste à discuter ? J'aurais quelques questions à vous poser par rapport à un certain incident survenu la nuit du 8 Février dernier. Selon certains rapport vous auriez était aperçu en compagnie de personnes recherchées pour une affaire importante. Que pouvez vous me dire à ce sujet ?"

voilà la pierre était jetée. Les bord du lac n'allait pas tarder à se rider. on allait voir comment l'eau qui dort peut être va réagir. De cela dépendra tout le reste . . .

Elle marchait tranquillement à ses côtés sans pour autant avoir osé le regarder encore... toujours les yeux au sol, elle sursauta quand il parla, elle avait presque oublié sa présence...

elle remarqua alors qu'il avait changé, elle secoua la tête complétement déstabilisé par la différence ... il voulait parler...

" euh... o .. ok !"

puis... il se mit a parler du 8 février... le 8 février ? c'était loin... très loin... elle ne savait pas trop... elle ne comprenait absolument pas de quoi il parlait. ses pas ralentirent, elle cherchait... non... elle ne revoyait même pas la soirée en question.. elle aurait besoin d'un coup de pouce là

et certains mots restèrent accrochés... rapport, incident... c'était quoi là !?! il jouait a quoi...

elle arrêta de marcher... ou elle avait encore mis les pieds

"je... je... (elle respira profondément) je... compr.. comprend rien.. je.. je sais.. mêm ..même plus qu'es.. qu'est ce que.. que j'ai fait ... le... le 8!"

*Ainsi donc elle le jouaut comme cela.*

Kaoum était perplexe. Il rechignait à se dire qu'elle se jouais de lui. Finalement il décida de lui laisser encore le bénéfice du doute.

"En êtes vous si sûr ? Rappelez vous vous en avez fait référence tout à l'heure en parlant avec Luc . . . vous avez parlé d'une agression . . . parlez m'en. Qui était ces personnes qui vous ont agressé ? Pourquoi l'ont-elles fait ?"

Kaoum la scrutait intensément. Il était litéralement scotché à ses futurs paroles.

Ce fut comme une révélation, elle se rappelait de l’événement, mais la date ... elle n'en avait aucune idée...

" je.. je.. ne sa... savais pas que... ca..ca fai..fai..faisait si longtemps..."

se lèvres se pincèrent à nouveau, le souvenir était un moment pénible... se yeux se rougirent, elle se détourna. il pouvait voir les épaules de la jeune toréador bouger, elle sanglotait.

" ils...ont brulé... ils ont tenté de... "
La tête de la rose tomba en avant.... elle fouilla dans son sac et se mis a marcher plus vite... le fuir ?!? non... peut être... non finalement elle alla se cacher dans un coin pour sécher ses larmes... elle s'assit sur un banc

"je.. jouais sur les quais.. pour... pour le plaisir et... ils m'ont... encerclé et... on voulu me... mmmee..."

Elle eut un haut le coeur... qu'elle contient de justesse

elle se replia sur elle meme et cessa de parler

Bon au moins la on avait quelque chose. Et quelque chose qui correspondait aux informations que Kaoum avait réussit à récolter.

*Au moins elle ne dément pas. Mais ses accès de larmes me sembles un peu exagérés tout de même. C'est la première fois que je vois une vampire aussi . . . fragile. Bref dans tous les cas il faut que je contiue, tant que j'ai encore tous mes esprits face à sa beautée.*

"Navré dame Abigail de vous imposer cela mais il me faut des réponse. Je pourrais ainsi peut être vous protéger . . ."

*AH NON ! tu vas pas recommencer !*

". . . enfin, du moins dans la limite de mes moyens. S'il vous plait veuillez répondre."

Kaoum lui tendit un paquet de mouchoir et lui fit un petit sourire compatisant.

"Dîtes moi. Que faisiez vous sur les quais ? Et vous connaissiez ces personnes ? Et si non, avez vous entendu quelques choses qui me permettrais de les identifier ? N'importe quoi peut être utiles, un détail, un mot, une parole . . ."

Kaoum patienta calement en attente de sa réponse. Il essayait d'adopter un ton paternaliste tout en lui donnant ce qu'il lui fallait de mouchoir pour qu'elle n'en manque pas.

Il faisait quoi là, il il insinuait que... Elle avait peur, mais... elle était en colère aussi

" MAIS J'EN SAIS RIEN MOI!"

Elle leva les yeux sur lui, son regarde était suppliant... les mots tentaient de sortir, mais... rien... ses lèvres seules bougeaient.. ses mains vinrent se place devant sa bouche, elle resta interdite quelques instants respirant péniblement cette histoire était le début de son calvaire avec Geneviève...elle n'aurait pas du crier...

" Je suis désolée..."

Kaoum était loin d'être un fin psychologue. Mais la réaction de la Belle au lieu de le surprendre le rassura. En effet, elle semblait REELLEMENT désemparé. Il se posa tout de même la question du pourquoi cela lui faisait cet effet là mais finalement la reporta pour plus tard. Il touchait au but maintenant. Il ne fallait pas brusquer le petit oiseau, sinon il risquait de s'envoler à tire d'aile. Il reprit alors la parole d'un ton d'un calme apparent.

"Dame Abigail. Calmez vous je vous pris, votre réaction est tout ce qu'il y a de plus normal. Je vous rassures sur un point, vous n'êtes accusée de rien . . ."

*pas encore . . . *

" . . . et tout ce que je souahites c'est récolter votre témoignage. Tenez assayez-vous et prenez le temps de réfléchir. Toute information qui vous reviendrait est bonne à dire."

Ce disant il montrait un banc de pierre non loin de là, où il prit lui même place, un sourire confiant sur le visage.

"Alllons-y par étape si vous le voulez bien. Racontez moi cette nuit là, celà peut être du, mais celà est important."

Il attendait, il attendait de toute corps, de toute son âme . . . mais en fait qu'attendait il donc reellement d'elle ?

Elle se remémora le peu qu'elle pu de la nuit, elle tentait de se calmer et... devoir se rappeler tout cela ne l'aidait pas vraiment à passer à autre chose... tour à tour, sourire... les yeux brillants, les mains muscles des bras qui se contractent et ceux des jambes et du ventre aussi..., un plus beau sourire... elle semblait revoir la soirée devant elle comme un film... puis les yeux qui se ferme... le corps qui frissonne qui suit un rythme... la jeune rose devient livide... faché... elle ouvre les yeux, elle respire rapidement... elle a peur

Abigail referma ses yeux et le front sur les genoux, elle se calme...

" 3 hommes, un roux, un blond... assez grand l'autre... je ne me rappelle plus... une femme, assez jolie dans son genre... moins téméraire que les gars... elle voulait aller chercher... le père... Etienne... le père étienne..."

Elle décrivait vraiment la scène comme si elle la revoyait... lentement... pratiquement en temps réel

" ils me trouvait trop jolie et... trop habile aussi... leur conclusion, j'étais un cadavre...et...ils ont tenté de mettre le feu sur moi... j'ai paniqué et je suis partie... j'y ai laissé mon premier violoncelle. Je suis retournée a l'élysée et Geneviève était en colère."

elle frisonna... elle n'avait pas buté sur les mots, elle parlait machinalement... d'un ton monocorde... lent... triste...

Kaoum écoutait dans un silence quasi religieux. La Belle semblait se remémorer des événement aussi tristes que joyeux, mais au final bien traumatisants.
Ainsi elle avait faillit réellement bruler vive. Une mort atroce. Kaoum compatissait à son drame. Il passa un bras sur son épaule dans geste paternel et protecteur.


Kaoum lui fit un sourire encourageant puis repris son sérieux. Il réfléchissait à toute allure.
Selon les dires de la Belle on avait affaire à ce qui ressemblerait à des chasseurs. Et selon sa propre enquête cela pourrait bien être une organisation entière qui se trouve derrière tout çà. Il fallait qu'il sache ce qui se tramait derrière cette église et ce fameux père Etienne.


Ce disant Kaoum sortit de sa poche un petit appareil d'enregistrement vocal qu'il enclencha, un sourire rassurant sur les lèvres.

Elle avait fait déjà l'effort qu'elle pouvait fournir, elle ne savait pas quoi ajouter d'autre et encore moins pourquoi elle ferait l'effort pour lui... il était qui pour venir lui faire revivre ca !

la jeune rose serra ses jambes contre elle, elle tremblait de peur... elle ne voulait plus penser à ca ! il disait vouloir la protéger, il disait vouloir l'aider, mais l'aider à quoi ? il ne savait pas qui elle était a moins que?!? non... il savait qu'elle avait été aggressée par les chasseurs parce qu'elle l'avait dit a Luc... Non... elle n'avait pas parlé de la date, elle ne savait pas la date... elle n'avait pas la mémoire aussi bien développée.

Elle fit non de la tête... elle ne voulait plus penser à ca.

" je... je veux ren... rentrer... j'habite au coin de la ... de la rue... à vous de ... de décider ce que vous fait.. faites... je veux plus parler de ca... pas... pas... là, pas main...maintenant"

Elle essuya ses larmes et retirant ses talons hauts, elle fini le trajet qui la séparait de son appartement...

(sortie pour chez Abi)

Il était évident qu'il ne pourrait pas en tirer plus d'elle cette nuit. Kaoum s'en sentait triste . . . attendez ! Est ce pour çà ou pour une autre raison. En la regardant s'éloigner Kaoum était confus. Il eu tout de même la présence d'esprit de l'interpeller avant qu'elle ne s'éloigne trop..


Il la regarda s'éloigner et ce n'est que lorsqu'elle disparue de sa vue qu'il décida de prendre le chemin des égouts, la torpeur commençait à agir sur lui et il était temps de rentrer.

direction l'antre de Kaoum

( arrivee du secteur notre dame)

La rose marchait lentement pieds nus, chaussure a la main, hésitant entre rester pieds nus encore puisqu elle sentait sa peau dechirer a cause de la friction et remettre ses souliers... elle se disait que l humain qui avait créé ses objets devait etre un homme qui pour punir une femme avait créé cet objet de torture et qu il devait etre un magicien pour faire en sorte que toutes les femmes acceptent d en porter...

Puis d une idee a une autre elle tenta de comprendre tour a tour les comportements des 2 hommes qu elle venait de laisser... cherchant reelement l intention du nosferatu et... tentant de comprendre pourquoi julien l avait mise dans une situation comme celle ci alors que 10 minutes avant il disait qu il ne voulait pas. La meler a tout ca...

Elle finit par s'assoir sur le bord de la rue, les pieds en sang... elle pestait contre l’inconstance des uns, les mesquineries des autres et sa propre incompétence et incompréhension de ce qui l'entoure.

elle ne savait pas trop ou elle était rendue, elle observa autour d'elle... la rose sourit, se disant que ce serait une belle place pour observer le soleil se lever ! qu'elle meilleure endroit que celui qui vous est inconnu...

elle se remis a marcher lentement le pas lourd... elle passa devant le louvre et ...comme finalement il était moins tard que prévue (parce que les nuits allonge à paris...) elle y arreta

(louvre)

(chez elle)

Elle avait donné rendez vous a Victor pas très loin, juste assez pour qu'il ne vit pas l'appartement de merde dans lequel elle vivait. en chemin, elle se demandait honnêtement ce qu'elle allait faire là... sortir en ayant si faim pouvait tourner à la catastrophe... elle saurait se contrôler, elle connaissait la faim, elle y arriverait. elle alla s'assoir sur un banc tout près de l'intersection ou elle avait rendez vous.

La robe noir faisait contraste avec son teint qui bien que rosé comme à son habitude était particulièrement pâle, elle serra son manteau contre elle et attendit perdu dans ses pensée

En provenance d'ici .

Victor arriva au lieu dit grâce à son GPS qui pour une fois n'avait pas trop fait des siennes.
*Ah, la technologie. Qu'est-ce que c'est bien quand ça marche !!* se dit-il, se remémorant son arrivée difficile à la Chantrie de la capital.

Il regarda dans la rue, cherchant du regard Abigail, puis, l'ayant reconnue, s'arrêta à sa hauteur.

"Bonsoir Mademoiselle. Vous avez commandé une soirée sympathique en charmante et agréable compagnie ? Dans ce cas, veuillez excuser notre agence, mais seul restait le modèle Victor. (il se désigna lui-même d'un ample geste de la main, affichant un air faussement contrit).Du coup, nous ne pouvons que vous garantir le fait que vous passerez une soirée."

Il sortit de sa voiture, en fit le tour et lui ouvrit la portière côté passager, en s'inclinant élégamment, l'invitant par la même à monter à bord.

Quand elle vit la voiture ralentir, elle fut nerveuse pendant deux secondes, peut être trois, en fait elle fut nerveuse jusqu'au moment ou elle vit Victor et l'entendit blaguer... encore ! elle lui sourit, rit même devant les propos qu'il tint

je..je suis certaine que la soirée se...sera magnifique, surtout avec le mo..modèle Victor !

et il vint lui ouvrir la portière... elle baissa les yeux, rougissante

merci !

Elle se glissa dans le véhicule et défroissa sa robe tandis que la porte se refermait. Elle attendit qu'il remonte dans la voiture pour lui sourire timidement...

qu'est ce que nous allons vo...voir comme concert exactement ?

Il entra avec... des fleurs ? c'était la première fois qu'on lui offrait des fleurs ! elle rougit et baissa les yeux... elle les prit et émue dit

 mer..merci beaucoup Victor....elles sont..sont magnifiques !

Elle plongea sont nez dedans! puis regarda Victor

merci !

 et ils allaient vraiment écouter de..de la guimbarde ! bah y'a pas de sot instruments fallait laisser la chance non ! et la voiture refusa de démarrer... elle sourit, inconfortable ne sachant quoi dire ou quoi faire... la sécurité... ahhh ! aucune idée C'était quoi elle ne conduisait pas!...

la voiture démarra... et c'était parti

Venant de chez Abigail Kaoum sortit en sa compagnie dans la rue. Il fit un tour d'horizon, caché par son masque des 1000 visages, pour repérer une proie. Il devait faire attention à ce que sa bête ne surgisse pas. Il se souvenait encore des conséquences quand il avait refusé de boire le sang donné par sa sire à ses début, il avait détesté. 

Il y avait du monde dans la rue, trop de monde pour boire incognito. Un peu frustré, par la faim et les chicaneries de sa bête il laissa échapper un marmonement.

"Bon sang je vais faire comment pour attirer un calice moi ?"

(chez elle)

Elle n'avait pas remarqué que Kaoum avait faim, prenant pour acquis qu'il se nourrissait toutes les nuits... il semblerait que non ! elle marchait tranquillement à son bras et quand il exprima son déplaisir de la faim d'une manière un peu surprenante et brusque, elle arrêta de marcher et... le regarda


 -ben... va leur parler ! ... enfin ca dépend de ce que tu veux manger ...

elle ne savait pas trop quoi faire... fallait il qu'elle lui choississe, qu'elle le conseil, qu'elle chasse ? elle était embêtée de la situation

Kaoum s'arrêta et regarda Abigail un peu gêné.

"Eh bien habituellement je chasse sous terre, ce qui n'est plus possible sans risque, ou dans des coins isolés, ce qui n'est pas le cas ici. Je ne sais pas m'y prendre pour attirer les gens."

Se passa la main dans ce qui lui servait de cheveux.

"Du coup je suis bien embêté. Ceci dis c'est certain que ce serait plus facile si j'étais une femme."


En disant celà Kaoum eu une sorte de révélation et regarda Abigail.

Pourquoi il là fixait comme ca... ohh .... elle afficha un air découragé


 - Vraiment... tu veux que je chasse pour toi ? j'aime ps chassé et ils goutent mauvais... tu veux quoi ?

elle regardait dans la rue... observait les gens plus solitaire

 - j,essais, je garanti rien de rien... il y a elle l`bas qui pourrait être possible et.. euh lui...et lui...

elle avait pointé discrètement deux hommes et une femme

 - veux que je te l'apporte ou moi je bois et tu te nourrit sur moi ensuite ?