Les archives du Louvre

Toréador

[Entrée depuis l'opéra]

Mélissange suivait avec impatience les goules l'emmenant vers la salle des archives. Une fois arrivée devant la porte, elle fit signe aux deux goules de la laisser, attendit d'être seule pour ouvrir la porte avec fébrilité tel un enfant ouvrant son cadeau de Noel.

La porte s'ouvrit sur une vaste salle voutée qui semblait ne pas avoir de fin. La rose laissa échapper un cri d'admiration puis s'engouffra dans le long couloir formé par une bibliothéque monumentale.

Bouche bée, la main posée sur ses lèvres comme pour s'empécher de crier de nouveau, elle arpenta les archives, faisant sauter son regard affamé de savoir d'une étiquette à l'autre, s'arrétant de temps à autre sur une sculpture ou un tableau mal rangé.

Par où allait elle commencer ! Il y avait tellement à voir, compiler, fouiller, étudier...

Prenant entre ses doigts fébriles un énorme tome rédigé en langue latine, elle souffla sur la couverture afin d'en retirer un bon centimetre de poussière, tout en se posant en tailleur à même le sol de pierre glacial.

Rien n'était inscrit sur l'épaisse couverture de cuir racorni, c'est en ouvrant délicatement l'énorme livre, qu'elle pousa de nouveau un petit cri ravi.

Des enluminures se jettérent dans son regard ébahit alors qu'une écriture magnifique calligraphiée d'une manière somptueuse s'envolait sur la page d'à coté.

Mélissange se jeta avec gourmandise dans la lecture des lettres latines, jusqu' à en oublier le temps.

Il sagissait d'un exemplaire des mémoires d'un moine dominicain relatant les hauts faits des débuts de l'inquisition en l an de grâce (le chiffre était peu lisible) en pays cathare.

La jeune rose lacha un nombre incalculable de "Oh !" et de "Ah!" au fur et à mesure de l'avancée de sa lecture de cette mine d'information en latin sur les différents supplices et sur les jugements rendus pour hérésie.

Plusieurs dessins infernaux agrémentaient le récit, reprenant la multitudes d'objets conçus uniquement pour faire avouer des crimes n'étant, pour la plupart, certainement réels que dans les esprits torturés des bourreaux.

Tout en se collant le dos contre une des étagère, ramenant sa robe sur ses jambes pliées, Mélissange sorti ses lunettes de son sac, les posant sur son nez...Une veille habitude humaine dont elle n'arrivait pas à se défaire.

Elle scruta de plus prêt les croquis époustoufflants de réalité et se mordilla les lèvres en imaginant la douleur des suppliciés, pour la plupart seulement coupable d'avoir existés.

Combien de temps la rose passa t elle à compiler sa trouvaille ? Elle n'en avait aucune idée, ce qui la fit soudainement sursauter, l'arrachant à sa lecture et sa contemplation puis refermer le manuscrit avec d'infimes précautions avant de le ranger sur son étagère.

Regardant le cadran de sa montre en nacre et diamants noirs, elle ferma les yeux. L'heure de la cérémonie approchait. Que cela lui plaise ou non, elle devait s'y rendre, quitte à rester dans un coin, bien loin d'apprécier ce genre de réunions.

[Sortie vers la réunion de commémoration.]

Toréador

[Arrivée depuis la place vendôme]

A peine arrivée, la rose laissa choire son manteau rouge au sol puis quitta ses escarpins. Elle riait seule, tout en s'asseyant devant l'ordinateur de la salle des archives.

Elle resta un moment à regarder l'écran, les yeux dans le vague, n'y voyant que les traits d'une splendide jeune femme au chignon défait, ce qui l'a fit s'exclaffer encore plus, finissant par comprendre que l'ordinateur était éteint, l'écran noir lui servant de miroir.

Prenant son visage entre ses mains, elle essaya de se remettre un peu les idées en place, il ne restait que quelques heures avant la fin de la nuit et elle comptait bien en profiter quelque peu.

"H...A...L...A...F..." s'appliqua t'elle à taper sur le clavier avant de changer d'avis, effaçant les lettres une à une, préférant quitter l'écran et continuer de fouiller les archives à la recherche d'un veux document parlant de ce qui se trouvait sous les ruines de cette forteresse découverte sous le Louvres. Il fallait qu'elle sache pourquoi cela interessait tant de monde...

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Toréador

Rien...Il n'y avait rien, à moins que ce ne soit juste son esprit qui lui joue des tours, trop occupé à se souvenir de la moindre seconde de cette foutue soirée.

"Come on !" Elle continua de compiler une pile d'archives avant d'aller la ranger dans son allée. S'arrétant pour contempler les murs de paperasses, objets en tous genres, livres, elle resta interdite.

"Pourquoi n'ai je pas vu ça avant !" Murmura t'elle. "C'est impossible !" La rose se mit à faire le tour des archives comme une illuminée, laissant ses doigts courir sur les numéros d'allées et emplacement de chaque chose.

"Soit ce sont des incapables soit..." Elle retourna s'asseoir à son bureau avec une pile de nouveaux livres sortis à droite à gauche, puis commença de nouveau sa recheche, mais cette fois en soupirant et ne restant que quelques seconde sur chaque ouvrage.

"Que je soit maudite !" S'écria t elle en refermant rageusement le dernier manuscrit.

Se fut le moment qu'une goule choisi pour lui annoncer le début d'une nouvelle cérémonie. La rose la remercia d'un petit signe de tête, entiérement plongée dans sa réfléxion, ne comprenant pas de suite ce qu'on venait de lui dire. Tel un robot, elle se leva pour ranger les archives et en reprit de nouvelles, soupirant de plus en plus à chaque page tournée.

Elle finit par se lever, ranger ses documents puis se diriger vers la salle du trône sans grande envie, se disant qu'elle pouvait bien faire un effort, si son corps allait être dans la salle, son esprit lui serrait encore aux archives à essayer de comprendre...

[Sortie vers la salle du trône]

Toréador

[Entrée depuis l'île saint Louis]

Mélissange resta un moment à observer les files d'artefacts et d'archives qui s'étalaient devant elle, son sac à bout de bras.

"Bien, maintenant c'est entre toi et moi !" Un large sourire amusé et un regard de défis traversèrent son visage soucieux...Ca n'allait pas être de la tarte !

D'une main, elle vida le bureau, jetant au sol tous ses dossiers puis le rempli de pages blanches, commençant un savant organigramme de toutes les pages manquantes qu'elle avait pu repérer ainsi qu'un tableau prouvant que le systeme d'archivage était plus que mauvais, voir même largement tronqué.

"Vous..." Sans détourner le regard de ses dessins et listings, elle appela une goule du bout de sa main tendue.

"Trouvez moi le responsable des archives..." La voix était calme et posée mais n'aurait souffert aucun refus.

La tête toujours penchée sur le bureau, griffonant à une vitesse folle, les cheveux en bataille, elle continua de rechercher un lien possible entre les feuilles manquantes. Rien pourtant ne semblait les relier...Il devait bien pourtant y avoir une raison à ce vandalisme !

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Mélissange n'arrivait pas trouver un lien , à trouver une logique même si elle était persuadé que c'était là, sous ses yeux ou presque ....

La jeune femme sembla surprise de la demande de la Toréador

"ET bien madame c'est moi, même si je dois vous avouez je ne comprends pas grand chose à tout cela et encore moins à leur système de classement des ouvrages... l'ancien archiviste aurait pu répondre aux question que vous vous posez , mais ...il a été tué comme toutes les goules de François Villon lorsque ma maitresse est arrivée sur le trône de france ...."

Toréador

Le geste de Mélissange fut suspendu alors qu'elle tournait la tête, hébétée par ce qu'elle venait d'entendre.

"Toutes tuées ? Mais pourquoi ! Qu'elle idée de tuer le responsable des archives !" Elle dévisagea un long moment la jeune femme qui se tenait devant elle puis replongea dans ses recherches avant de se relever rapidement pour retourner dans les étagères.

"Comment pouvez vous en tant qu'archiviste, ne pas connaitre ni comprendre le système !" Lui lança t'elle juchée tout en haut d'une échelle, comptant et vérifiant chaque ouvrage. "C'est une abérration ! Comment faites vous pour rajouter les nouvelles archives ?" La rose fit rouler l'échelle vers l'étagere d'à coté et continua sa fouille minutieuse pour enfin redescendre et cette fois faire face à la goule, l'observant avec suspicion.

"Soit vous savez et êtes de ce fait coupable de détérioration ainsi que d'occultation d'archives, soit vous ne savez pas et êtes donc de se fait une incapable !" Mélissange se détourna rapidement visiblement furieuse. Se contretemps dans ses recherches l'ennuyait fortement, elle se voyait déjà perdre plusieurs mois à brasser du vent dans ces archives tronquées.

Se laissant choire au sol au milieu des archives, elle y perdit son regard.

"Savez vous au moins de quand date ce systeme d'archivage ?" Demanda t'elle tout en réfléchissant, les code des ouvrages dansant dans son regard.

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"mademoiselle, on m'a nommé il y a trois nuits je suis comme vous je découvre et j'essaie de comprendre , car tout cela n'est pas cohérent , le système ne me parait pas convenablement dimensionné pour l'ensemble des documents, à présent si vous voulez bien m'excuser j'ai à faire, on est un peu en sous effectif en ce moment avec tous ces morts.... cette guerre ...."

Elle salua alors Mélissange avant de prendre congé.

Toréador

Mélissange hésita à lui faire part de sa découverte. Si elle était un tant soit peu débrouillarde, elle trouverait bien assez rapidement, lui laissant le temps nécéssaire pour pousser plus loin ses investigations.

Elle la remercia d'un regard et d uns igne de tête, s'excusant presque de s'être emportée puis un petit sourire illumina son visage, elle aurait aimé connaitre l'ingénieux archiviste qui avait mis au point ce systeme pour cacher les archives comme bon lui semblait. Elle comprenait mieux pourquoi elle tournait en rond, mais soupira de savoir que tant qu'elle n'aurait pas trouvé les vraies archives, elle n'irait pas plus loin...Restait à connaitre le lien entre les pages manquantes.

Regardant sa montre, elle se décida à se relever du sol glacé, remettre un peu d'ordre dans sa tenue bien malmenée puis quitta à contrecoeur les archives pour allé s'enfermer dans le bureau du sénéchal.

[Sortie vers bureau du sénéchal]

Toréador

[Entrée depuis le bureau du sénéchal]

Mélissange pénétra furieuse dans les archives, donnant coups de pieds et de poings dans tout objet assez fort pour supporter sa colère et bien entendu assez récent pour ne pas être précieux à ses yeux.

"Moi présomptueuse ? Mais pour qui se prend il ce...ce." Cette fois se fut un envoi rageur d'une pile de documenst vers le milieu de la salle qui acheva sa phrase.

Arrivée vers le bureau, elle défit son chignon qui n'en était plus un, rangea nerveusement ses feuillets et tomba sur le nouveau numéro du torchon écrit par Cathy Schmidt. La rose parcouru la feuille de chou et contre toute attente finit par rire à s'en tenir les côtes, nervosité oblige.

Elle regretta que le clan de la rose ne soit pas cité, brillant par son absence mis à part, bien entendu, la reine, dont pour une fois Cathy ne fit pas son chou gras, ce qui la soulagea.

*Et maintenant ?* Pensa t'elle en reposant le papier, toujours hilare.

Sans grande envie, elle commença à pianoter sur l'ordinateur, cherchant des sites farfelus sur la toile avant de se forcer à en revenir à ses recherches. Elle fouilla dans les archives en ligne, essayant de voir si il restait une trace des archives cachées ou si un shéma ressortait quand aux documents ou les pages manquaient.

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Toréador

Un message d'erreur s'afficha sur l'écran alors que la souris restait figée.

"BLOODY HELL !!!!!!!!!!" Hurla la rose tout en envoyant valser la souris tout en se levant telle une furie. Prenant son sac, elle quitta la salle des archives, manquant renverser au passage pas mal d'étagères.

Il lui fallait de l'air frais et surtout se changer les idées, oublier ses nerfs et la raison de son tourment, ce qui n'était pas une mince affaire...Au diable le flegme britannique !

[Sortie vers Montmartre]

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viens du bureau d'Isabelle

Stanislas entra dans cette pièce qui n'avait pour lui que très peu d'intérêt il y a peu...
A présent il craignait un peu ce qu'il pouvait s'y cacher...
Il salua la goule affairée à ramasser quelques documents à terre, il y avait eu une tornade ici ou quoi ???
A moins que la jeune toréador ne soit venu se passer les nerfs ici.

Il se dirigea droit vers l'ordinateur central et commença à rechercher si des données avaient pu êtres dissimulées...

Il ne pourrait certainement rien comprendre à ce qu'il trouverait, s'il trouvait quelque chose, mais elle méritait un petit coup de main...

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Stanislas fronça les sourcils... Les dernières modifications etaient récentes... Un peu avant la nomination de la pétale a ce poste, mais apres le massacre des goules de Villon...
Quelqu'un avait donc ôter des informations entre temps...
Il poussa donc un peu en avant, si des choses avaient été cachées, c'est qu'elles méritaient d'être vues....

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Non, il n'y avait rien, pourtant Stanislas savait que quelque chose avait été dissimulé mais il n'arrivait pas à le trouver...
Il s'acharna encore t encore, le but n'était plus de donner un coup de pouce à l'impertinente Toréador, il s'agissait maintenant d'un défi à relever, un duel d'habileté avec celui qui était passé avant lui...
Il sortit un calepin et prit diverses notes manuscrites tout en continuant à pianoter furieusement sur le clavier, curieusement une trame semblait se dessiner...
Quelque chose de vaguement familier qu'il lui semblait avoir déjà vu...

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Stanislas écarquilla les yeux... Ce n'était pas possible, et pourtant tout ceci portait sa signature.
Il reprit les notes qu'il avait et demanda quelques ouvrages à la documentaliste...
C'étaient de forts anciens manuscrits, très apocryphes pour l'époque, mais le codage était le même que celui qu'il utilisait.
Il copia le résultat et plia la feuille qu'il rangea dans la pochette de son veston.
Il envoya un sms à Melissange, peut être celà la tirerait elle de sa bouderie...
[Mp Mélissange]
Il demanda une lampe torche et s'enfonça dans les profondeurs du Louvre, se dirigea vers une porte d'acier légèrement cabossée, juste en dessous de là où Isabault avait fait éxécuter les goules de Villon.
Derrière cette porte un escalier s'enfonçait encore un peu plus dans les profondeurs souterraines.
Il lui fallut un quart d'heure pour se repérer dans le labyrinthe sur lequel il débouchait, mais il fini par trouver l'endroit qu'il cherchait.
Il passa sa main sur le mur, comptant mentalement pour arriver à la pierre clé.
Oui, elle était toujours là et n'avait pas bougée depuis tout ce temps. Il n'y toucha pas, la laissant en place, s'il avait estimé nécessaire de cacher quelque chose, il devait s'assurer que ça reste caché...
Trois points d'ancrages avaient surement était déjà perdu, un subsistait et il allait devoir s'assurer que le dernier était toujours en place... Sans attendre il remonta, s'aidant de plus en plus lourdement de sa canne, il demanda à rencontrer la reine au plus vite, attendant devant la porte de la salle du trône...

Toréador

[Arrivée des Higlands]

Melissange avait traversée tout le Louvre d'un pas rapide, le regard baissé, son sac besace d'étudiante serré contre sa poitrine comme un rempart de protection. Contre quoi ? Contre qui ? Son esprit était ailleurs, peut être encore dans les sous sol du manoir à moins qu'elle ne soit entrain de ressasser chaque mot, chaque lettres des deux messages reçu durant son exil. La lueur candide et joyeuse qui avait jusque là fait briller ses yeux avait disparue, remplacée par une ombre d'amertume et de perdition d'une enfant blessée.

Elle s'arrêta sur la pas de la porte d'entrée des archives, contemplant les lieux de son regard vide d'envie essayant de rattraper l'étincelle de curiosité qui l'habitait habituellement.

"Monsieur Daragon ?" Tenta t'elle doucement comme pour ne pas réveiller les livres poussiéreux et les statues endormies. "J'ai fait aussi vite que possible... Je ..." Elle osa un pas sur le parquet, grimaçant à son grincement tout en serrant un peu plus son bouclier de cuir inutile à la gueule rempli d'objets en tout genre.

"Je suis vraiment désolée pour mon comportement, je n'aurais pas dû..." Parlait elle au vent ? Y Avait il au moins une quelconque oreille bienveillante pour entendre ses excuses proférées d'une voix aussi douce que navrée ? Tout ce qu'elle entendit fut le bruit de ses talons claquant trop joyeusement sur le bois ciré.

Elle se rapprocha timidement du bureau vide, ses doigts crispés sur son sac, c'était si bête d'avoir peur. Lachant enfin son gardien, elle le déposa au pied de la chaise sur laquelle elle prit place, croisant ses longues jambes drapées de soie noire sous la table puis examina l'ordinateur et les alentour. Peut être que le masque avait laissé une note à son intention.

[Recherche indices]

Elle prendrait le temps de chercher et ensuite, oui, seulement ensuite, irait voir monsieur Gallus pour la coterie. Ses doigts commencèrent à trembler alors que Merrit revenait hanter ses pensées...Surtout ne plus y penser...Elle fouilla son sac, en retira ses lunettes qu'elle chaussa, un rituel ridicule qui l'apaisait. Il ne restait plus qu'à chercher maintenant.

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La pétale chargée de l'archivage surpris Mélissange en pleines fouilles du bureau.

"Mlle de la Ruisselière ? Désolé de vous importuner mais Mr Daragon a laissé une note à votre intention..."

De deux doigts elle sortit la note dissimulée par la serviette de cuir de la rose...

Sur la note une référence de livre, visiblement l'étiquettage a été tronqué avec un autre car il n'est pas à sa place...

Toréador

Mélissange avait sursautée à l'écoute de son nom puis prit le morceau de papier avec un sourire géné, le regard fuyant. Elle le lu attentivement avant de retomber sur le bureau la tête entre les main tout en murmurant un "merci" .

Tout semblait se jouer d'elle, même ses maudites archives...Des pages manquantes, un classement aléatoir, des codes ne se suivant pas et maintenant des numéros tronqués ! Ces sous sols avaient ils décidés de la rendre folle ?

Elle n'y voyait aucun shéma, juste que quelqu'un avait voulu effacer toute une partie des archives, mais pourquoi saboter avec autant de minutie ?

"Savez vous où est ce livre, mademoiselle ? Ainsi que monsieur Daragon ?" Demanda la rose d'une voix lasse.

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» Présentation au Louvre
» Non loin du louvre
» L'entrée du Louvre, le 15/02
» Premier pas : le Louvre.
» à la sortie du Louvre !

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