[ arrivée de la gare Montparnasse ]

Finalement, le trajet lui aura semblait bien court, perdu dans quelques pensées sur ce qu'il allait bien pouvoir dire lors de son entrevue, fixant par instant une lettre qui dépassait du livre qu'il tenait dans la main. C'est même le chauffeur de taxi qui l'extirpera de ses pensées, afin de lui indiquer qu'ils étaient arriver, et bien sûr réclamer sa course. Ce qu'il fît évidemment avant de sortir de la voiture.

Et le voilà enfin à destination, avant toute chose, une longue inspiration, et un bon étirement, tout ce voyage à rester immobile l'avait engourdit. Jettant un dernier regard sur cette lettre qui dépassait de son livre, avant de la retirer et la déchirer suffisament et la disperser au vent, du moins une partie, il brûlera l'autre avec son briquet, on ne sait jamais.

"Voilà une bonne chose de faite, si je ne suis pas capable d'expliquer les raisons de ma présence ici et d'être accepter, autant que je reparte tout de suite"

Oui, c'était bien la lettre d'introduction de son Sire dont il venait de se débarasser, un poid de moins pour lui, peut être la dernière épreuve de son mentor dont il venait de trouver la réponse. Et c'est d'un pas tranquille, sac posé avec négligence sur l'épaule, qu'il s'approche des portes du Louvre, s'attendant bien évidemment à être "reçu" par une service de sécurité.

Alors que tu cherches un Garde du regard, l'un d'eux s'approche près de toi.

"Qui dois - je annoncer ?"

La voix est tranquille, le port martiale, alors qu'il t'interroge, il t'invite à rentrer où il procède à une fouille et t'indique le chemin du petit Salon. Lorsque tu auras répondue, il ajoutera ton nom à la liste des nouveaux venues que le Prince doit rencontrer.

Il regardait le garde approcher, préparant déjà son sac qu'il fît glisser de son épaule en l'ouvrant pour que le garde puisse inspecter ses effets. Rien d'extraordinaire. Quelques habits, quelques livres, rien de cacher.

"Simplement Ashton"

Oui inutile de s'étendre en grand discours avec les gardes, et sûrement préfèreraient ils ça. Venant ensuite poser le sac encore ouvert, à lever les bras vers le haut le temps de cette fouille, où le garde ne trouvait rien, du moins aucunes armes. Une fois cette dernière terminée il récupèrait son sac, avant de saluer le garde en prenant le chemin que ce dernier lui avait indiquer.

[ Direction le petit salon ]