Phantom réagit rapidement. La meilleure défense ayant toujours été l'attaque. Il sent qu'il est plus rapide que celui qui le charge avec sa hache et il s'avance donc pour le frapper avant que celui n'amorce la descente de son coup de hache.

Le coup est net, rapide et puissant.

Le bucheron vole en arrière sur la marin d'eau douce, Visiblement le coup n'a pas l'air de lui faire mal mais il est très puissant et précis, le pauvre bucheron s'empale sur l'arme de la fille qui se trouve derrière lui, l'entrainant dans sa chute.

La lanceuse de couteau est elle aussi déséquilibrée par la chute des deux premiers, mais échappe a la chute de justesse.

Le bucheron se relève sans montrer la moindre marque de douleur dans son regard ni ses mouvement, mais il saigne abondamment du flan. La fille dégage son sabre du corps de son coéquipier en se relevant. Phantom est satisfait de son jeu de quille, prêt à foncer leur asséner un deuxième coup de semonce.

HRP:

-GAAAH !

Le couteau que Sebastian reçoit à l'épaule est plus meurtrier que le poing d'un brujah en frénésie. Sans que le Trémère ne comprenne comment, l'arme pénètre sa chair, traverse muscles et os et ressort se ficher dans le mur en face en emportant une gerbe de sang avec elle. Son épaule laisse voir un trou béant, ruisselant du fluide grenat.

HRP:

La douleur envahit le blondin, il n'a que le temps de se retourner pour voir d'où vient l'attaque qu'il se retrouve paralysé par la souffrance. Il n'a encore jamais reçu un coup si soudain ni aussi violent. C'en est tel qu'il tombe à genou, incapable de maîtriser son corps.

*Comment c'est possible ?! Ca m'a transpercé comme si je n'avais pas été là...et malgré le durcissement de ma peau !*

-Phantom ! Crie-t-il pour être certain qu'il l'entende. Tue la meuf qui lance des couteaux ! Elle fait mal !

Il aurait préféré dire "Elle est puissante", mais c'est tout ce qui est sortit dans la hâte de l'instant. Son coéquipier semble intact, au moins. Le sorcier comprend, en voyant les ennemis directs de Phantom ensanglantés, ce qu'avait été le bruit sourd qui était venu de derrière lui quand il a volé le sang de l'homme du groupe de Victor. 

Sebastian se reprend alors, se relève et recule, sur ses gardes, pour se placer en retrait du nosfé. Il profite de ce moment pour soigner la plaie béante, remerciant la magie trémère pour l'abaissement de génération, qui lui permet de se guérir d'une telle blessure en quelques secondes. N'importe quel autre vampire aurait besoin de beaucoup plus de temps pour s'en remettre. Il garde cependant le second ennemi avec ses couteaux de boucher qui s'approche de lui à l’œil et espère être opérationnel lorsque ce dernier sera à son contact.

HRP:

La pièce est enfumée et le sorcier se rend compte que sa vision est réduite. Pas seulement en profondeur, mais en largeur de champ aussi. Si une attaque vient des côtés, il ne serait pas en mesure de la voir venir, ce qui le frustre. Mais ce qui le perturbe encore plus, c'est que tout va de travers.
D'abord Jean qui fait la bêtise de s'élancer sur Boubanos seul, puis le vol de sang qui ne fonctionne pas bien -Sebastian est habitué à un meilleur résultat et pensait faire tomber directement un adversaire- et maintenant il se retrouve handicapé parce qu'il a voulu faire le malin et n'a pas vu le coup venir.


*Pour quelqu'un qui veut prouver des choses, tu commences mal mon gars* se dit-il avec amertume. 

Mais il a l'intention de se rattraper. Il décide de laisser son compagnon d'arme faire le ménage devant et de l'assister depuis l'arrière. C'est la meilleure chose qu'il puisse faire pour l'instant. 

HRP:

Phantom estima qu'il ne pouvait pas se rapprocher de la lanceuse de couteaux meurtrière sans se débarrasser d'abord de ses deux adversaires...

Il se cambra donc en arrière pour éviter l'attaque du "bûcheron" et profita de sa position pour placer un violent coup de pied au ventre de son agresseur. L'homme, pourtant imposant, bava un peu et s'écroula d'un bloc, comme un arbre abattu. Peut-être mort, peut-être assommé, qui sait...

La femme au sabre porta un coup à la poitrine du Nosferatu qui pivota sur lui-même, entrant dans sa garde et lui collant un méchant coup de coude au visage.
Un peu sonnée, elle papillonna des yeux.

Phantom en profita pour se replacer, en prévision de la suite du combat.

HRP:

Le sorcier avait espéré que le nosfé puisse intervenir, mais visiblement il doit encore s'occuper de son propre groupe d'adversaire. La lanceuse de couteaux à l'avantage sur le trèm, suffisamment à distance pour ne pas le craindre mais assez proche pour lui infliger des dégâts non négligeables et couverte par son ami boucher qui court vers le sorcier. Elle est inatteignable et Seb à sa merci, ce qui le frustre.

Le blondin recule lentement tout en régénérant ses tissus organiques, espérant que la distance le rendra moins facile à viser et qu'il aura le temps de se soigner avant l'arrivée de la goule masculine. Bientôt, seuls ses habits témoignent de la blessure qu'il a reçue. Légèrement sur son côté arrive la goule de corps-à-corps, chargeant le magicien pour se donner plus de force lors de la première frappe. Cette situation insuffle un vent de panique chez Sebastian, qui peine à entrevoir une solution pour s'en dépêtrer. 

Mais sa bête s'emmêle. Tel un shoot d'adrénaline, elle lui transmet son excitation pour le combat et le carnage. Les crocs du trémère sortent, il retrousse les "babines" et lâche un grognement sourd. Il jette un coup d’œil vers la lanceuse, qui arme son bras, puis se fixe sur le mec qui est presque sur lui. Tout se passe alors très vite. Le Trémère fait un pas de côté, espérant feinter le boucher et se servir de lui comme bouclier contre la lanceuse, puis s'élance sur son adversaire tandis que ce dernier frappe de sorte à éviscérer le sorcier. Le bras du blondin se tend avec vélocité dans le but d'entrer en contact avec l'ennemi, sans véritable agressivité ni menace directe. Il n'a pour objectif que de le toucher, même de simplement l'effleurer pour pouvoir le mettre à bas...

-Meurs ! Lâche subitement le trémère avec force lorsqu'il parvient à entrer en contact. 

HRP:

Un instant plus tard, la goule s'effondre au sol en hurlant de douleur et se raidit en position fœtale. Son corps se couvre de plaques rouges et de cloques sous l'effet du pouvoir du sorcier, tandis que de la vapeur s'échappe par les pores de sa peau. Un spectacle pour le moins effrayant...

-Requiescat in pace, s'exclame le sorcier envers son ennemi défait. 

Cette fois, l'ampleur des dégâts indique a Seb que la maîtrise de ses pouvoirs est revenue. Il regarde ses mains un instant avec satisfaction, serrant puis ouvrant les doigts plusieurs fois tout en lâchant un "Ah, enfin !" de contentement.

Mais un sifflement grandissant le sort de son état et il a juste le temps de lever le regard qu'une dague vient se planter droit dans son torse. Néanmoins, l'arme de jet ne s'enfonce cette fois que jusqu'à la garde, stoppée nette dès que le dernier millimètre de tranchant s'est introduit dans la chaire du trémère. La surprise passée, il plonge son regard dans celui de la lanceuse et dessine un sourire de défi sur ses lèvres, avant de déclarer:

-C'est ton tour, maintenant...

Phantom voyant la situation en cours avec Lieta réagit au quart de tour. Il fonça sur l'adversaire qui tenait Lieta et tenta de lui faire un coup du lapin au passage, alors que son objectif réel était de frapper de toute sa puissance l'adversaire qui se trouvait derrière.

La femme lâcha Lieta, pour esquiver l'adversaire qui se dirigeait dans sa direction. Phantom, qui avait prévu, se servit donc de son élan pour frapper son adversaire derrère. La puissance du coup le fit voler sur quelques mètres.

Phantom était désormais au coeur de la mélée et Lieta était libre.

Sebastian, prit dans son état d'excitation, ne tarde pas à s'élancer contre la goule aux poignards volants. Il peut arriver sur elle en quelques grandes enjambées et le plus petit contact serait fatal à la fille droguée. Mais le sorcier est stoppé dans son élan par l'arrivée d'un autre adversaire qui dépasse la femme en chargeant le blondin, batte en main.

C'est le moment que la lanceuse choisit pour décocher un nouveau couteau et arme son bras. Sebastian tente une esquive en bondissant sur le côté pour mettre le batteur entre eux, mais l'arme de jet vole déjà sur lui. Voyant l'inévitable se produire, il se campe sur ses jambes et place ses bras en croix devant lui pour se protéger. Lors du contact, le Trémère sent la force surnaturelle avec laquelle l'arme est projetée et comprend pourquoi son épaule avait été arrachée quelques minutes plus tôt. Mais cette fois, il avait eu le temps de se préparer et la dague rebondit sur son avant-bras à la manière d'une balle de pistolet qui ricoche, et va se ficher dans un mur.

Durant ce court laps de temps, le batteur s'est dangereusement rapproché du Trémère. Il lève son bras armé pour frapper, mais le blondin se fend vers l'avant dans l'espoir de le toucher en premier et ainsi pouvoir le carboniser comme le boucher précédent. Néanmoins, la massue de fortune de l'armoire à glace percute l'angle entre le cou et l'épaule du sorcier, stoppant net son élan dans un craquement lugubre.

Sebastian à un instant de surprise, car il a cru que la batte lui ferait ben plus mal que cela. Pourtant, la douleur est supportable et il ne sent rien de gravement atteint dans la zone d'impact. Lui-même n'a pas vraiment subi de recul, hormis l'arrêt de sa propre offensive.

Il lève alors le regard vers le batteur, et, les yeux remplits d'une excitation pétillante, déclare avec un certain détachement:

-J'espère que tes prières sont faites.

Effectivement, à cette distance, la goule aura peu de chance de lui échapper au prochain échange de coups....

A peine avait elle abattu le boxeur qu'un homme surgissait derrière elle pour tenter une immobilisation. L'intervention de Phantom lui évitait quelques soucis et lui permettait d'esquiver le projectile tiré dans sa direction avant d'enchaîner une attaque en aveugle que l'homme aux manches rouge esquivait en partie «grâce» au Nosfératu qui l'avait projeté à quelques mètres alors que la seconde pour le lanceur de clou portait. Un coup de taille rapide et précis au niveau de la gorge.
 
A la fin du mouvement elle échangeait un regard avec Phantom le remerciant d'un signe de tête puis venait se plaçait dos à dos avec lui que chacun puisse couvrir l'arrière de l'autre.
 

Spoiler:

Round 5


Après les mots terribles de Boubanos qui ont fait flancher la réalité, les enragés qui attaquaient notre vaillant trio ont hurlé, pris par la peur.
Toutefois, si leurs mouvements semblent nettement moins assurés pour certains, ils n'en continuent pas moins leurs agressions. Peut-être espèrent-ils échapper à l'enfer s'ils contentent leur maître...

L'homme au spray et la sabreuse restent concentrés sur Phantom, tandis que la lanceuse de couteaux décoche une nouvelle lame en direction de Sebastian.
L'homme au contact avec le Tremere relance sa batte sur lui, et l'homme hagard tenant un pistolet en plastique vise Lieta.
Quand à "manches rouges", il roule sur lui-même comme pour se relever, mais s'arrête en position à demi-assise, ses yeux fiévreux et son visage effrayé fixés sur Phantom et Lieta. Sa voix est pleine de terreur lorsqu'il se met à crier :

- Vous ne comprenez pas ! Vous vous attaquez justement à celui qui peut nous protéger de pire que l'enfer. Ces lumières, ces murmures que l'on goûte là, ce n'est rien. Rien du tout par rapport à ce qui veille, qui dort et qui emportera tout dans un brasier éternel lorsqu'il se réveillera ! Sans Boubanos, on sera bus, mangés, détruits, absorbés, mais on souffrira encore. Et vous vous rappelerez en riant de désespoir de ce moment précis, et vous vous maudirez ! Vos amis vous maudiront ! Le monde entier vous maudira !!

Est-ce l'émotion portée par la voix de "manches rouges", ou ce qu'il promet, ou la proximité soudaine d'un enfer hanté par des silhouettes angoissantes...? Des visions de soleil rougeoyant et de destruction lente et horrible se mettent à passer dans l'esprit de la goule et du Nosferatu.

HRP:

Les enfers étaient là... Quelque chose s'était produit et la porte des enfers s'était ouverte suite à l'intervention du démon... Il sentit les âmes torturées le frapper, tenter de lui prendre ce qui restait de la sienne si toutefois il y avait encore quelque chose à prendre...

Il se vit dans cet endroit... Allait il le rejoindre au moment de sa mort? Etait ce le sort commun de tous les vampires?

Il faillit y rester... Mais Alors qu'il reprenait tant bien que mal ses esprits devant le portail du mal, L'homme aux yeux rouges s'approcha de lui et lui jeta une prophétie dans la gueule...

L'homme pénétrait à l'intérieur de son esprit il en était sur... Au prix d'un effort surhumain il résista et tenta de le frapper. Mais celui ci était vif il le rata de peu...

Phantom esquiva ensuite sans peine les jets de flammes et le coup raté de la lame de son adversaire d'a côté.

Les paroles de Boubanos résonnent dans la pièce avec force, déversant leurs sombres pouvoirs sur les combattants présents. Les effets maléfiques de la corruption du démon ne tardent pas à apparaître. Un bruit strident à donner des frissons emplis la salle, aussitôt suivi par les cris affolés de nombreuses personnes dont les deux goules contre lesquelles se bat le sorcier. Puis l'enfer se manifeste, la pièce entière se retrouve changée en portail menant sur le territoire des âmes damnées. Un évènement magique tel que Sebastian n'en a encore jamais connu. Il contemple les êtres décharnés qui sortent à moitié des murs, hurlant, suppliant pour retrouver leur liberté, mais parvient malgré tout à garder un œil sur ses adversaires.

Ensuite, une sensation de moiteur et de froid glacial s'empare du blondin. Il se sent poisseux de sueur, ses vêtements se collent à lui, et il a la sensation que des centaines de milliers de mouches invisibles tournoient autour de lui et se posent partout sur son corps dans un un ballet agressif et interminable. Incapable de se concentrer, il se débat dans le vide pour chasser ses assaillants microscopiques, malheureusement en vain. A ce moment, un infâme parfum de chair pourrie et brûlée emplit ses narines, qu'il inspire dans un hoquet malgré lui. L'odeur emplit son être, s'accapare sa raison et le fait tomber à genou, esquivant ainsi le couteau de la lanceuse qui passe au dessus de lui et qu'il ne remarque pas. En appui sur ses mains au sol, un rejet gastrique expulse ensuite du sang dont quelques gouttes passent la barrière des lèvres du sorcier, le paralysant de douleur.

Ce n'est néanmoins pas finit. Des murmures malsains viennent chuchoter des paroles que la raison ne sait pas déchiffrer, mais que le corps et la bête comprennent très bien. Des promesses de souffrances éternelles en cas de résistance, et d'autres de puissance en cas de conversion.
Le sorcier a un instant de surprise en sentant sa bête réagir seulement maintenant, ayant pensé qu'elle se réveillerait plus tôt. La force grandissante avec laquelle son démon intérieur se débat fait craindre le pire à son porteur, dont l'esprit se remplit de flashs qui lui montrent son sire s'esclaffant de satisfaction devant sa destruction, puis un à un tous les autres Trémères de son ancienne chantrie. Le blondin lutte difficilement pour ne pas se laisser abattre, préférant accepter toutes les railleries dont il a déjà connaissance, plutôt que de les nier vainement.
Mais il sait qu'il vaut mieux que ça. Il sait que désormais à Paris, les choses changeront pour lui. Son échec passé, c'est celui de son sire et de la chantrie de Lyon.

-Le clan passe d'abord, toujours, lâche-t-il dans un murmure lui servant à catalyser sa concentration.

Tous les Trémères de Lyon l'avaient-ils méprisé ? Non. Les paroles qu'il vient de prononcer sont celles que Clarisse, unique personne bienveillante envers lui de la fondation "du sud", qui les lui répétait à chaque fois qu'il lui avait demandé pourquoi elle l'aidait. Dans un ultime effort de pour sortir de cette tourmente infernale, Sebastian parvient à se souvenir d'elle, à placer son portrait devant tous les autres. Elle, la seule qui ait eu de l'attention pour lui. La seule qui ait cru en lui.

Sebastian se raccroche à la pensée que ce n'est pas en subissant la destruction cette nuit qu'il pourra continuer à se rendre utile au clan. Il se relève alors avec une détermination retrouvée, apaise sa bête et fixe le chaos ambiant.

-C'est donc ça, l'enfer...

Les effets du pouvoir de Boubanos sont toujours présents, mais il arrive désormais à faire suffisamment abstraction pour ne pas être incommodé. Puis tout-à-coup, la batte de l'imposante goule ennemie vient le percuter en plein visage avec une force capable de décapiter un humain. Néanmoins, la résistance accrue par la magie du sang est si grande qu'il ne bouge pas d'un millimètre. L'impact résonne cependant dans son corps et le parcourt de long en large, ce qui le ramène une fois pour toute à la raison.

Sa lucidité retrouvée, il est envahit par une peur primale et sans émule, une peur qu'éprouve une proie face à son prédateur, un enfant face à un adulte hostile, un petit mortel face à la colère d'un dieu. Son courage le quitte, il ne se sent plus la force ni la confiance suffisante pour continuer le combat. Le désespoir monte, l'instinct de survie prend le dessus et sa bête lui commande de la laisser agir. Mais dans l'état affaiblit où il est, il sait que se soumettre à son démon lui sera fatal, car il ne serait pas capable de le maîtriser à nouveau par la suite. A défaut, il préfère prendre la fuite et se met à courir vers la sortie le plus vite qu'il lui est possible, laissant là son manteau fétiche et le sabre que son sire lui avait offert.

[C'est finit pour moi, bon courage à tous ! Direction=> Le rez-de-chaussée]

Le coup de Lieta fut puissant, et son adversaire se trouvant à moitié au sol poussa un cri de douleur.
Dans l'angle extrême de son champ de vision, elle vit l'homme au pistolet à eau appuyer sur la gachette, et un jet minable de liquide tomber à ses pied, quasiment sur ses propres chaussures.

[HRP : Fin du cinquième round !
A bientôt pour la fin !]

[HRP : Sixième et dernier round ! Géronimooo !!]

Malgré l'ambiance cauchemardesque de la crypte, il y aurait presque eu quelque chose de drôle à l'attitude des ennemis. Sur le principe du "même joueur joue encore", ils s'acharnèrent à continuer leurs précédentes actions.
Ceux qui visaient le Tremere qui venait de partir en courant se rabattirent sur le plus proche...

Phantom eut donc encore affaire à la sabreuse et à l'homme avec son mini lance-flammes, plus un petit cadeau de la lanceuse de couteaux.

Lieta, quand à elle, hérita du base-balleur de Sebastian, sans compter son arroseur qui se rapprochait.

Le seul qui n'attaqua pas fut manche rouge, qui roula sur lui-même pour s'éloigner.

Phantom enchaina pour tenter de trouer le malkav fou qui  roulait boulait sur lui même.
Raté.
Il dut ensuite esquiver la sabreuse et l'autre qui voulait lui cramer le poil. Tout se passait bien quand il reçut un couteau dans l'épaule. il avait tout le monde sur le dos. Le combat prenait un angle qu'il n'aimait paS.

D'un dernier geste triomphal Parménion planta son glaive jusqu'à la garde dans le torse de son adversaire, avant de lui asséner un coup de poing qui réduit sa tête à néant. Puis sans en finir de sa célérité il se dirigea vers le malkavian que phantom et Lieta affrontait bravement.

Dans un seul geste sûr et précis il lui planta le glaive du sommet du crâne jusque dans le torse, le réduisant ainsi à néant.

- Rendez vous tous maintenant...

Imposa til d'une voix forte et puissante que tous entendirent.

[HRP : Une petite conclusion pour clôturer cette longue nuit.
Si l’action de votre personnage ne vous convient pas, mpez moi, j’éditerai.]

Hélas, les pauvres goules, droguées jusqu'à la moelle, en frénésie, n'étaient tout simplement plus capables de comprendre la magnanimité du Prince de Paris.

Phantom dut estourbir le base-baller pour lui faire entendre raison, et il fallut à Lieta un coup de pied au menton de l'homme au pistolet en plastique pour qu'il cesse de se ridiculiser devant Parménion.

Quant à la lanceuse de couteau, elle paniqua sembla saisir le danger, et chercha aveuglément une sortie qu'elle n'arrivait pas à trouver. Sa course tenait plus du lapin dans un salon que d'une véritable fuite. Seul un plaquage en bonne et due forme put l'arrêter.

Retentit alors le rire de Boubanos, terrifiant.
Dimitri proposa au Prince de s’unir pour tenter une action d’éclat contre le monstre, mais le Prince n’eut pas le temps de répondre. Le Baali se statufia, et tomba soudain en poussière, il était a nouveau dans l'état où Mélissange l'avait découvert dans les sous sol du Louvre.
Les enfers s'évanouirent aussi, les deux réalités retrouvant leurs places respectives, au grand soulagement de tous.

Le Prince, prévenu par Victor, s'éloigna pour intercepter un caïnite qui essayait de fuir discrètement et qui se rendit à la première sommation.
Puis il laissa les cryptes pour suivre Dimitri, alerté précédemment par celui-ci qu’il se rendait à l’étage pour en finir avec le danger…

Cela était étrange à dire, mais il était désormais temps de quitter la crypte avec les prisonniers, et d'y laisser oeuvrer les serviteurs pour que rien ne subsiste de la scène au petit jour.