*Une limousine blanche, américaine typique des années 50 s'approcha prés du palais. D'ailleurs cette voiture avait l'habitude d'être garé ici. c'est là où elle risquait le moins.*

Merci Sthéno, vous pouvez rentrer à la résidence et laisser la Lincoln ici. je me débrouillerai.

*La servante salua la maitresse, non sans un petit air de déception, de ne pas avoir reçu "sa récompense". Ce serait une nuit comme les autres, Rozenmilna serait aller directement attendre dans un salon. Mais nouveau prince, surement nouveau protocole. Et puis il valait mieux de faire profil bas ce n'est pas comme si elle était connue. L'ambiance était bien calme, il n'y avait pas l'effervescence escomptée, le nouveau prince était-il déjà bien en place? n'ayant pris le soin de renseigner pour garder la surprise. Elle s'avança vers le garde le plus proche. Ce n'était pas à elle d'ouvrir la conversation, elle attendait que le garde daigne venir à la Ventrue*

Le garde s'inclina et pria Rozenmilna de le suivre, après une fouille rapide mais consciencieuse pendant laquelle elle pût entendre que l'on prévenait le gardien de sa venue elle fut escortée dans les dédales du Louvre jusqu'à une pièce où plusieurs des siens semblaient attendre...

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La limousine était bien revenue, après avoir pris la température de la ville la ventrue se douter qu'un garde n'aller pas venir lui ouvrir la porte de sa voiture comme cela avait pu se produire dans le passé. Sa servante connaissez bien les habitudes de Rozen et démarra le moteur pour se rapprocher de sa maîtresse pour l'éviter de trop marcher à travers le parking.
Une fois à l'intérieur l'ambiance était silencieuse. Stheno voulu se mettre à parler, probablement posait une question. elle avait heureusement prit le réflexe de regarder la réaction de sa patronne dans le rétroviseur. À peine avait elle inspiré pour émettre un son que le regard froid et dur de la ventrue lui fit comprendre de se taire pour le moment.

[direction refuge de Rozenmilna]

[Arrivé du salon]

Elle sort lentement et descend les escalier en sautillant telle une enfant jouant avec les carreaux des marche en chantonnant une comptine incompréhensible. Elle marche le long du trottoir le nez en l'air évitant les passants de justesse pour arriver jusqu'au pond qu'elle travers de nouveau en jouant du vent passant dans ses cheveux.....

Une fois le pond passé, elle soupire et regarde une dernière fois en arrière avant de retirer les chaussure et de reprendre sa route un air plus sombre, plus déterminer avec une démarche presque féline.

[Direction le refuge]