[Cela faisait plusieurs jours qu’il voyageait à présent, tout allais très vite dans ce nouveau monde, les calèches n’avaient plus de chevaux et filaient comme le vent, les hommes semblaient même avoir conquit le ciel. Tout avait changé, il fut même contraint de voler des vêtements dans lesquels il se trouvait ridicule. (Sweet à capuche vert, jean, basquets).

Et Paris, comme les villes qu’il avait croisé, aussi lumineuse de nuit que de jour et dépourvue de murailles.

Il n’y avait aucun doute les temps avaient changées, trouverait’il des Caïnites au château ? Si château il y avait.

Le voyage fut rude, ne serais-ce que pour s’abriter du soleil. Mais l’agrandissement du tout à l’égout qui parcourait les entrailles souterraines de chaque villes était salvateurs en ce sens la.

Et l’odeur, bon sang l’odeur pour lui la différence entre dans les égouts et en ville était toute relative.

Pendant qu’il laissait le fils de ses pensées se dérouler il observa l’endroit, notamment les gens, essayer de comprendre les us et coutumes actuelles s’adapter, trouver un autre Caïnite. Déjà il est dans la ville, déambulant au hasard afin de prendre ses marques, ses repères dans cette citée méconnaissable.]

Abigail avait recu le sms de la pétale pour aller se présenter, elle était sur les rebord de la seine a se promener tranquillement à ce moment là énervée devant tant de pression, elle se dépêcha et... se perdit ! regardant de gauche à droite, elle se retrouva au beau milieu de cette grande place à observer les gens. Décidément cette cité était fantastique, vraiment trop géniale ! Mais ou il était le Louvre ?

Elle s'approcha d'un homme tout près
Excusez moi! Monsieur ? Le louvre c'est dans quelle...

Qu'est ce qu'il était pâle ! se surprenant à le dévisager elle rougit et détourna les yeux était il un des leur ou elle se trompait encore.

[Il observa la personne qui venait de l’interpeller, de ses yeux rouges émettant une faible lueur, puis dans un français qui semblait dater et avec un léger accent Teuton il fini par répondre.]

« Plait-il ? Le quoi ? »

[Marquant un léger temps d’arrêt]

« Pardonnez ma rudesse. Je ne vois pas de quoi vous parlez. Cela dit y a-t-il un château dans cette….ville. ? »

[Ce type semblait franchement paumé]

décontenancé, elle le regarda s'exprimer avec difficulté dans un premier temps et chercher le Château? elle lui prit doucement la main et en faisant un signe de la tête en direction d'un endroit plus calme, plus isolé elle lui dit

Viens avec moi toi...

Et subtilement, afin que lui seul les voit, elle lui montra ses crocs. Puis elle le guida et l'éloigna de tout ce bruit

T'as vraiment l'air perdu... Y'a pas de château ici ! t'arrive d'ou exactement?

[L’on peut brièvement apercevoir un sourire sur son visage à la vue des crocs]

« Je vient de faire le voyage depuis le Saint Empire romain germanique. Et je cherche le seigneur des lieux, mais c’est moins évident de le trouver maintenant avec tout ces…Changements. Mais vous allez pouvoir m’aider, ou réside le seigneur ? »

vous vous êtes réveillé il n'y a pas super longtemps ou vous avez de mauvaises habitudes

Elle l'amena s'asseoir

Oui bien entendu que je vais ou aider. Je dois me rendre auprès de la reine moi aussi elle est sur le trône depuis cette nuit ! On va commencer par vous aider sur un premier détail... Le saint empire de machin existe plus ! C'est l'Allemagne maintenant !

Si j'ai bien comprit, la nouvelle reine de de la camarilla de Paris c'est une toréador, elle s'appelle Geneviève D'Orceau elle est un poil a cheval sur l’étiquette.

Elle lui jeta un coup d'oeil

on fera avec !

[Regardant son interlocutrice dans les yeux]

"Effectivement je ne suis pas réveillé depuis très longtemps.

Bon Toréador à Paris ce n’est pas foncièrement une surprise.

Quand à la présentation, ma foi il serait judicieux que je vous laisse faire en première, ainsi je pourrais réajuster ma conduite."

C'est une excellente idée

Elle se leva, lui prit la main et appela un taxi

Le louvre s'il vous plait ! Aller vient ca sera plus rapide et il y a moins de danger que nous nous perdions

(direction salle du trone)

Regardant la main qui par deux fois avait attrapé la sienne il commença un :

« Vous faites toujours cella aux inc…? »

Il eut une grimace en voyant l’intérieur étriqué du véhicule auquel il ne faisait pas encore tout à fait confiance et interpellé par celle qu’il accompagnait mais se laissa tout de même entraîner.

Avec pour toute personnes ayant un minimum d’empathie un certain amusement.

(Direction salle du trone)