Cinquante-quatre pour-cent des personnes qui ont regardé Nicolas Sarkozy, jeudi soir, dans l’émission « Paroles de Français », n’ont pas été convaincu par les propos du président de la République. Soixante-quatorze pour-cent de Français qui ont suivi ou qui ont entendu parler de l’émission n’ont pas été convaincu.

Nicolas Sarkozy n’a pas convaincu. Selon un sondage Harris Interactive pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, publié samedi, 46% seulement des personnes ayant regardé « Paroles de Français », jeudi soir, sur TF1, ont été convaincus par le président. Sur l’ensemble de la population, le chef de l’Etat n’a convaincu que 26 % des Français. Un chiffre particulièrement bas. A l’inverse, 74 % des Français n’ont pas trouvé le président de la République convaincant.

Dans le détail, 14 % des Français qui ont suivi l’émission ont trouvé le président « très convaincant », 32 % « plutôt convaincant », 29 % « plutôt pas convaincant » et 25 % « pas convaincant du tout ».

Toujours parmi les Français qui ont suivi l’émission, 58 % ont trouvé Nicolas Sarkozy convaincant sur le sujet de la dépendance et 51 % sur la grève des magistrats. A l’inverse, 55 % des Français n’ont pas été convaincu par le chef de l’Etat sur le dossier de la sécurité des biens et des personnes, 60 % sur la lutte contre le chômage, 54 % sur l’utilisation par Michèle Alliot-Marie d’un avion privé lors de son séjour en Tunisie, 64 % sur les inégalités sociales, 63 % sur la réformes de la fiscalité et 70 % sur le pouvoir d’achat.

Lors de la précédente émission « Paroles de Français », l’année dernière, Nicolas Sarkozy avait pourtant réussi à convaincre 57 % des Français présents devant leur télévision. Quelque 8,2 millions de personnes ont suivi jeudi soir l’intervention du chef de l’Etat à la télévision, soit 34 % de part d'audience.

Sondage réalisé en ligne, les 10 et 11 février, par Harris Interactive pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, sur un échantillon de 1117 individus issus de l'accès panel Harris Interactive, représentatifs de la population française âgée de plus de 18 ans, se la méthode des quotas.

Le domicile de l'ancien ministre du travail, Eric Woerth, a été perquisitionné par les enquêteurs de la brigade financière, sur ordre des juges d’instruction bordelais en charge de l’enquête sur l’affaire dite Bettencourt.

Une perquisition a été conduite, il y a quelques jours, au domicile de l'ancien ministre du travail, Eric Woerth, à Chantilly (Oise), rapporte le journal Le Monde. Cette perquisition a été ordonnée par les trois juges d'instruction de Bordeaux, Jean-Michel Gentil, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël.

Dans un communiqué, le procureur de la République de Bordeaux, Claude Laplaud, a confirmé vendredi après-midi, que des perquisitions et des auditions avaient eu lieu dans le cadre du dossier Bettencourt. Il n’a toutefois cité aucun nom.
« A la suite de la parution, ce jour, d'informations relatives aux affaires dites Bettencourt, le Parquet apporte la confirmation de ce que les magistrats instructeurs en charge du dossier ouvert contre X le 29 octobre 2010 des chefs d'atteinte à la vie privée, violation du secret professionnel, publication illicite d'enregistrements, subornation de témoins, dénonciation calomnieuse, vols, trafic d'influence, blanchiment, escroquerie, abus de confiance, abus de biens sociaux, financement illicite de parti politique ou de campagne électorale, violences sur ascendant, ont commencé leurs investigations et ont, notamment, diligenté plusieurs opérations de perquisitions assorties du recueil de plusieurs témoignages », précise le texte.

D’autre part, les magistrats ont entendu, jeudi 10 février, comme témoin, Patrick Ouart, l'ancien-conseiller pour la justice du président de la République Nicolas Sarkozy. Des perquisitions ont également eu lieu à son domicile et dans ses bureaux.

Les dossiers de l’affaire Bettencourt ont été transférés, le 17 novembre dernier, par la Cour de cassation du tribunal de Nanterre à celui de Bordeaux. Six jours ont été désignés pour instruire les dossier.

Le paludisme est une maladie tropicale et infectieuse due à un parasite du genre plasmodium, transmis par la piqûre d'un moustique anophèle femelle.

Symptômes de la malaria


Les symptômes du paludisme sont très nombreux et les plus réguliers sont : la fièvre, la fatigue généralisée, la perte d'appétit, les vertiges, les céphalées, les troubles digestifs, les nausées, les vomissements, les douleurs abdominales, la diarrhée, les myalgies, les maux de tête, des courbatures, la fièvre, les tremblements intermittents, les arthralgies, des signes d'anémie engendrés par l'hémolyse, l’hémoglobinurie, les convulsions, l’ictère.

Le paludéen peut également ressentir des sensations de picotement notamment quand le paludisme est causé par le plasmodium falciparum.
Le symptôme le plus classique de la malaria est la répétition cyclique d'une sensation de froid soudaine suivie de frissons avec fièvre et hyperhidrose.


Différents types du paludisme


Il existe plusieurs types de paludisme mais les causes des plus graves sont dues par le plasmodium falciparum.

L’on cite entre autres :
- le paludisme viscéral évolutif
- La néphrite quartane
- La fièvre bilieuse hémoglobinurique
- La malaria de la femme enceinte
- La malaria transfusionnelle
- La splénomégalie tropicale
- La malaria de l’enfant


Comment éviter et traiter le paludisme ?


Aucun traitement ne permet à 100% d’éviter le paludisme mais le moyen le plus sur est de se protéger des moustiques.
Pour ce faire, l’on peut passer par tous les moyens pour les empêcher de faire des victimes à partir de leurs piqûres.

Au rang de ces moyens, il faut toujours dormir sous une moustiquaire simple ou imprégnée dont les mailles sont très serrées, éviter de se déplacer vers les zones à risque sans se protéger.
A défaut de la moustiquaire, l’on peut se vêtir de vêtements longs et amples allant jusqu’au pied puis appliquer des répulsifs sur toutes les parties du corps qui ne sont pas couvertes.

En effet, l’usage de ces répulsifs, surtout ceux à base de DEET ne doit pas s’étendre aux nourrissons de moins de 3 mois, aux femmes enceintes et aux femmes qui allaitent. Un autre moyen de se protéger contre le paludisme est l’utilisation des insecticides non seulement à l’intérieur mais également à l’extérieur ou le fait de dormir avec l’air conditionné.
En ce qui concerne le traitement anti-paludéen, le paludéen doit consulter un médecin dès qu’il ressent les premiers signes de la maladie.

Le malade peut également prendre des médicaments tels que la nivaquine, la chloroquine etc.