[Café République] Philosophie quand tu nous tien...

Primogène [Brujah] (PNJ)

Le « Café République », une place idéale pour les grandes manif's sociales. C'est pour cela que Pascal ce plait à y venir de temps à autre. C'est ici que de nombreux slogan ont vue le jour. Ce soir c'est de la terrasse chauffé que s'élève le brouhaha des discutions enflammé d'un débat sur la hausse du prix de l'essence. Pour une fois le Brujah ne monopolisait pas la parole, il écoutait les idées de chacun pour pouvoir mieux les retourner contre eux si besoin est.

Pauvres jeunes humains... Si ils savaient... Avec leurs esprits tellement jeune ils s'extasie devant la beauté de la lune, mais il ne savent pas que les petits point lumineux qui l'entour sont autant d'autres planètes...

Il regardât sa montre 21h53, non il ne faut pas qu'il prenne la parole, il le sais, sinon il risque de ne plus voir s'égrainer les minutes et de ce fait arriver en retard au concert. Il n'en ai pas question. Il s'était fait une place discrète au coté de l'Archonte ce n'est pas ce soir qu'un autre postérieur que le sien la chaufferait. Bon encore une petite demie heure, cinq minutes suffisait pour arriver au Louvre d'ici, la circulation est fluide et de nombreux taxis tournent dans ces environs à la recherche d'un client.

Trémère

Doryan arriva à pied dans ce petit café qui lui semblait sympathique, l'effet de son charme ne tardant pas à faire son petit effet...
Un homme fait, la quarantaine grisonnante plein de charmes et d'assurance l'aborda.
Ils discutèrent quelques minutes, parlant de la pluie et du beau temps, quand Stéphane le prit par la main et l'entraina dans les toilettes...

"J'ai envie de toi ici et tout de suite..."

Doryan l'embrassa langoureusement tandis que sa main descendait vers son entrejambe bien bombé.
Il lui fit un petit sourire appréciateur en défaisant un à un les boutons de sa chemise, couvrant son torse velu de baiser...
Il s'assit sur le toilette, libérant le sexe de son partenaire sous ses yeux et passa amoureusement sa langue sur le gland tendu avant de le happer...
Un gout de bois de Santal lui emplit la bouche au fur et à mesure de ses va et viens langoureux... Quand il senti que Stéphane commençait à se crisper, il mordit, libérant la vitae qui se mêla à la semence de l'homme.
L'extase de Stéphane fut plus grande qu'il ne s'y attendait, aussi lacha t'il un hoquet de saisissement quand toutes ses sensations le submergèrent.
Doryan passa un dernier coup de langue sur le pénis qui commençait à s'avachir afin de refermer les plaies, embrassa fougueusement Stéphane et le laissa planté là avant de poursuivre son chemin...
Vers le Louvre

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'Sang Humain' :
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» 4 février, début de nuit. plaisir quand tu nous divertis !
» Café Kousmichoff
» Café Kléber (Trocadero)
» Café Marly, dans la cour du Louvre
» À quelques rues du Louvre, un café bien sympa !!

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