(via les quais de la Seine)
Thierry ne traina pas en route. Arrivé au lieu du refuge 1, il arriva prudemment, puis, descendit vers une cave, via un escalier, puis ouvrit une porte avec une clef spéciale, puis ensuite la referma et fit un code digital, et descendit un long escalier en colimaçon descendant dans la Terre. Il arriva à une porte, refit un code digital et dévérouilla la porte avec une clef spéciale et la referma. A cet instant, tous les verrous refermèrent les passages.
Ou sommes nous ? Dans un ancien bunker (hé oui, encore), composé d' une grande salle décoré de façon spartiate, avec un lit, une lampe, une table et un tabouret.
A gauche, la poudrière, avec des armes et des munitions, à droite, un coin douche, et en face, une issue dont l' entrée se trouve quelque part dans l' arrondissement voisin.
Un vieux téléphone relie le refuge au bureau central du sire de Thierry. C' est la seule ligne disponible.
Thierry enlève sa veste et va dans le frigo, il y a toujours du sang frais.
Puis il se détend un peu, en écoutant un cd, sur un vieil appareil laissé là par un autre Ventru.
Il réfléchit. Il doit retourner sur le lieu de l' agression, en faisant attention, le sabbat a surement une discipline genre occultation. Mais il a peut être laissé des indices sur place, qui sait ?
Ensuite, Thierry s' équipa, d' un désert eagle, de munitions au phosphore, et d' un poignard. Il vérifia l' arme, puis prit un long manteau de cuir noir, qu' il mit, et laissa sa veste noire dans le vestiaire. Il noua ses cheveux en catogan et prit la clé du véhicule 903, une moto, et le casque qui va avec, bien sûr.
Il sortit du refuge, puis vérifia que personne n' était à l' entrée de l' abri, ferma la porte, ce qui vérouilla les autres puis se dirigea vers la moto, et retourna au Louvre.
( sortie vers 11éme arrondissement)