La chambre était grande, pas une suite bien sur, mais il ne se sentait pas du tout à l'étroit. On pouvait dire que le Louvre permettait d'offrir une bonne image de l'hospitalité du gardien. On pouvait ainsi trouver un lit, une armoire, une table et deux chaises. Des tableaux et des tapis agrémentait le reste d'une touhe d'art et de fantaisie agréable à l'oeil. Malheureusement, même si il appréciait cela, la chambre restait impersonnel pour Jean. En fait, cela faisait des dizaines d'année qu'il n'avait plus ce qu'on aurait pu appelé : une maison, un chez soi.
Jean s'assit sur le bord du lit, ses pensée s'étaient à nouveaux perdu dans ses souvenirs. Constance riant à l'une de ses b;agues, les marches dans les plaines . . . rien ne lui manquait plus que les marches dans les plaines, seul avec elle. Puis il s'affala sur le lit, se pinçant le nez dans un effort de reprendre le contrôle de ses pensées. Il se força à repenser à son entretient avec le Prince. À cette pensée un sourire apparut sur son visage.
*Bien je serais fixé demain, mais si le prince me prend à son service . . . !*
Il contint un nouveau sourire carnassié. Le combat, il ne connaissait que celà comme manière de "vivre", et c'était tellement . . . pratique. Les humains avait l'habitude de dire que la vie était comme un long fleuve tranquile, le sien de fleuve subissait la tempête et la cru de façon permanente, et la seul digue qui lui avait permis jusqu'à maintenant de tenir avait été l'exutoir du combat.
Il soupira, donnant un coup de poing dans l'air. L'idée du combat lui avait fait repenser à celui qu'il avait mené cette nuit. Alexie lui avait fait pensée à Constance en bien des points. Elle était forte et énergique, taquine et en même temps elle semblait faire attention aux autres. Son combat avec elle lui en avait beaucoup appris et il commençait déjà à l'apprécier.
Jean resta ainsi en travers du lit en plein dans ses réflexions bien décidé à ne pas bouger d'ici la nuit suivante. Rêverait-il d'elle encore ?
*Contance. . .*