[arrivée du concert au Louvre.]

Pascal était rentré tard, il avait pris le temps de discuter de ce que lui avait révélé Fey au sujet du sabbat, avec Egareg. Celui ci lui avait donné carte blanche en disant qu'il lui faisait confiance. Ils avaient tout les deux continué de discuter autour d'un verre, finissant la soirée entre homme. C'est donc content de lui même qu'il avait plongé tête la première dans sa torpeur journalière.

22H, Il était plus que temps de joindre la jeune Fey pour lui donner son adresse afin que celle ci le rejoigne. Attrapant son portable il composa un message.

Citation :

Bonjour, j'espère que votre sommeil a été doux. RDV chez moi pour le débriefing de votre filage d'hier. (13 Rue de Vaugirard) A tout a l'heure, je vous attends.

Après avoir envoyé la missive électronique, il commença à ce préparer.al

Lorsque Fey ce mis à ce tortiller sur son postérieur, Pascal se demanda si elle voulait le rendre fou ou si elle était simplement détendue en ce lieux. La dévorant des yeux il conclu pour lui même que dans les deux cas c'était une bonne chose. Si Fey ce sentait bien ici ou si elle 'l'allumait", peut importe. Quoi qu'il en soit il nota que son corps de déesse détourné son regard de manuscrit où ses yeux étaient habituellement rivé.

"Il ne faut pas laisser faire votre inconscient. Seul votre volonté peux contrer ce problème. J'imagine que la situation que vous avez vécu devez être traumatisante."

Il se racla la gorge.

"J'arrête de vous poser des question d'ordre personnel, mais sachez que si vous avez besoin de parler ou de conseil"

*ou plus*

"Je me tien a votre disposition"

Il lui fit un sourire charmant qui éclaira son visage doux.

"Pour revenir à nos moutons... Je ne veux plus que vous vagabondiez seule à la poursuite du Sabbat."

Cet fois il parlait d'un ton plus paternel, plus protecteur.

"Avez vous la possibilité de contacter...Fenril?... L'homme qui était avec vous hier."

Il ne se souvenait plus très bien le nom qu'elle lui avait dit.

"De quel clan est il? Est ce un ami?"

Il prit place sur le fauteuil face à elle son verre de sang à la main.

*Mais de qui il parle... Fenryl... Korgann* Elle éclata de rire, jetant la tête par en arrière c'est en souriant qu'elle tourna la tête vers lui

-- vous parlez de Korgann M'sieur ! un ami non... oui... peut être ... je l'ai rencontré hier j'avais de la difficulté avec l'ambiance du concert, il aime pas vraiment ce genre de spectacle on c'est retrouvé a échanger un mot ou deux...

Elle semblait songeuse, se mordillant la lèvre inférieure tout en regardant Pascal à quoi pensait-elle?!? difficile a a dire...Mais elle le regardait le détaillant

-- il est gangrel on doit pouvoir le trouver dans le bois... ... ...M'sieur !

Puis elle secoua la tête... dans un mouvement elle bascula les jambes vers l'avant du siège tout en les croisantet accota ses coude sur ses genoux

-- que désirez-vous de moi pour ce soir M'sieur?

Depuis combien de temps n'avait il pas pris le temps de séduire une immortelle? Ne serait ce que pour une nuit? Celle ci était fort appétissante et ne semblait pas résistante... Mais comment réagirait elle ensuite, lui qui avait déjà un grand amour ne voulait rien de sérieux. La philosophie voila une maitresse qui ne le trahirait jamais. Les femmes sont toujours compliquées, même après avoir vécu aussi longtemps il ne comprenait pas tout, beaucoup de complication pour assouvir un besoin aussi animal... Aussi humain... Non tout ceci n'était pas pour lui. Il irait chasser, faire succomber une humaine à ses charmes, la prendre et finalement lui prendre la vie. Pas de mal entendue. Pas de regards en coin le lendemain. Tout un tas de questions et de doutes évités.

Il bu un peu à sa coupe, fermant les yeux il laissa glisser le fluide vitale le long de son gosier. Non il avait deux maitresse. La philosophie et la soif. Cette pensée lui arracha un sourire.

D'un trait il fini son verre et ce leva.

"Vous allez garder l'œil ouvert, je vais faire passer le message dans les rangs Brujahs. Si quelque chose parait suspect, trouvez par n'importe quel moyen quelqu'un avec qui vous ferez équipe avant de vous lancer."

Il parla d'un ton autoritaire, qui ne laissait pas place à la discussion. Il continua du même ton.

"Et ne m'appelez pas "m'sieu", Pascal fera l'affaire."

Perdant son sérieux il sourit et alla à la cuisine mettre son verre dans l'évier.

La jeune fille éclata de rire, la situation, elle la trouvait drôle... puis quand il parti dans la cuisine faire je ne sais quoi, elle se leva et emplogna son manteau ! Les hommes étaient étranges, elle trouvait intéressant comme réaction... elle se dirigea vers la porte

-- promit, je ne fais aucune imprudence... je vais tenter des les trouver et je les détruits tous, un après l'autre

elle ouvrit la porte

-- bonne fin de nuit ! s'il y a quoique ce soit, je vous appelle !! ... Aurevoir M'sieur !

puis elle sortie en riant !

Pascal se rembrumât lorsque Fey ce mit a rire. Voila. C'est ce genre de choses qu'il ne voulait pas.
Il se précipita dans la cage d'escalier et flute pour les voisins ils cria.

"J'ai dit PASCAL!"

Il ferma la porte à clé et alla se resservir un verre.

*J'sortirais plus tard... Pas envie de la croiser en bas et qu'elle rigole encore.*

Il s'installa avec son verre à son bureau et repris le document qu'il consultait avant la venue de la tentatrice. Cette petite brunette avait bien faillie mettre du désordre dans sa tête et ses projets si bien organisés.

Le téléphone portable de Pascal vibre sur le coin de son bureau. Le numéro qui s'y affiche est celui de l'archonte. il lui signifie de le fameux Korgan se trouve dans son bureau et qu'il réclame la présence de Fey le plus rapidement possible.

Pascal plongé dans son étude, rala lorsque son téléphone vibra. Il voulu dans un premier temps ne même pas regarder qui appelé.

*C'est peut être urgent... Fey n'a tout de même pas déjà des problèmes?!*

Il regarda le combiné. Encore plus important que ce qu'il pensait. Egareg...
Il saisi prestement le portable pour répondre. Décidément c'était tout de même au sujet de Fey... Lorsque la conversation fut achevé il envoyé le plus vite possible un sms à Fey, il ne voulait pas l'avoir en directe pour a nouveau entendre son rire moqueur.

SMS de Pascal a écrit:

Go au plus vite au Louvre, pour rencontrer l'Archonte. Il vous y attend avec votre "ami" Gangrel.

Pour Pascal la nuit commençait comme toutes les autres. Lire les journaux après avoir "déjeuné" à l'extérieur. Cette fois Cathy n'y était pas allé de main morte...

Il décida d'envoyer un message à Egareg.

Citation :

Bonsoir, j'imagine que vous êtes fort occupé, mais lorsque vous aurez une minute je vous incite à jeter un oeil sur la Chronique de l'Ombre. Faite moi savoir si vous ressentez le besoin de faire "peur" à notre chère Cathy, je me ferez un plaisir de vous aider... Amicalement. Pascal.

*Satanée Harpie...*

Il plaça soigneusement les deux journaux dans une paniette qui contenait ceux de la veille. Quand à la fin du mois il les ficellera et les placera à la cave avec tous les autres mois il disposait d'un beau volume de vieux journaux. Depuis le temps qu'il vivait à paris ça faisait beaucoup de papier imprimé.

[sortie vers le centre administratif du journal "Chronique de l'Ombre"]

[Arrivé du journal de l'Ombre]

Le rouge du couché de soleil venait a peine de se dissiper que Pascal était déjà sur ses pieds. Il s'était précipité vers son bureau où était délicatement posé les deux journaux de Paris. Il ouvrit avec enthousiasme celui des Chroniques de l'Ombre et ne prêta pas attention à la première page dont il connaissait parfaitement le contenue puisqu'il l'avait dicté à Cathy. Il chercha son article, l'orgueil du Primogène fut flatter de lire son nom dans le titre de son quotidien préféré. Il lu avec attention la totalité de l'article. L’interview était fidèle, pas de détournement de propos ni d'arrangement. Il était agréablement surpris de cette délicatesse de Mme Schmit. Finalement elle n'était pas si terrible cette harpie...
Il lu l'article suivant et retira sa dernière pensé envers cette satané Harpie! Ne pouvait elle pas tenir sa langue! Comment avez t'elle osé écrire une suite a son enquête sur "piétiné fait il mal au pied?" ?? Pascal soupira et pris le journal suivant. Rien de bien enthousiasmant dans le monde des humains. Il referma la pages et posa le tout dans un des coin encombré de son bureau.

Il fallait être tôt au Louvre pour montrer l'exemple, c'est donc rapidement qu'il se prépara et quitta son domicile.

[Sortie vers le Louvre]