Christine Lombard Toréador
| Sujet: Refuge de Christine : hôtel particulier (Paris 16ème) Mar 30 Avr - 3:47 | |
| C'est un hôtel particulier en pierre de taille datant du début du siècle, doté d'un jardin privatif sans vis à vis de 300m². Un héritage familial qu'elle avait fait rénover en 2008 en vue de son retour à Paris, il est sous le nom d'épouse de Christine et non à son nom de jeune fille.
Si elle devait ventre sa demeure, elle la décrirait ainsi:
"Le rez-de chaussée se compose d'une salle de réception avec une belle hauteur sous plafond, une salle à manger et une vaste cuisine dînatoire. Une terrasse de belle taille jouxte la salle de réception et donne sur le jardin.
Le premier étage comprend trois chambres avec leur salle de bain. La chambre de maître comporte un grand dressing.
Le deuxième étage est composé d'un vaste bureau/ bibliothèque, d'un atelier et d'une salle de loisir donnant sur une terrasse ensoleillée.
Le sous-sol comprend une piscine et un spa privatif avec hammam.
Le tout compété par une cave à vin, d'une buanderie et un parking. Le troisième étage est réservé aux domestiques et a été refait à neuf pour leur confort, un second escalier dérobé leur est réservé à leur discrétion pour ne pas déranger la maîtresse des lieux."
La composition de la maison peut surprendre, mais de par son métier, Christine reçoit souvent des amis humains qui peuvent disposer de la maison, qu'elle soit là ou pas, toujours après avoir eu sa permission. Cependant des pièces sont toujours fermées à clés comme sa chambre personnelle, son dressing, son atelier et son bureau. La cave est sécurisée pour protéger les vins et alcools collectés par ses défunts parents. |
|
Christine Lombard Toréador
| Sujet: Re: Refuge de Christine : hôtel particulier (Paris 16ème) Dim 9 Juin - 1:49 | |
| [Arrivée depuis le louvre]
Arrivée devant le portail de son hôtel particulier, Christine vit son assistante sortir avec empressement de la maison, comme si elle aviat guetté le taxi depuis qu'elle avait reçu le sms que Christine lui avait envoyé. Elle paya le taxi et ouvrit la portière pour aider sa patronne à sortir du véhicule. Christine sortit ainsi le plus gracieusement possible que lui permettait sa robe. Elle sourit à la jeune femme tandis que le taxi repartait.
- Spoiler:
-"Merci Mélanie, le voyage a été long et les démarches ne sont pas terminées de mon côté, je passe vite fait le temps de me changer et d'inspecter l'avancée de l'installation. Les travaux que j'avais fais faire sont-ils conformes à ce que j'avais demandé?"
Mélanie hocha la tête et se lança dans ses explications pendant que Christine marchait vers la maison, appréciant le bon état de la cour avant et de ses espaces verts, les jardiniers avait bien travaillé. Les plantes hivernales s'épanouissaient tandis que les plantes printanières et estivales étaient encore en dormance sous terre ou pas encore plantées. Soucieuse de l'esthétique de son refuge, elle avait exigé un bon entretien de la maison et du jardin et avait fait envoyer ses affaires par compagnie de transport plusieurs jours à l'avance, ainsi que certaines oeuvres d'art dont elle refusait de se séparer par convoi spécial.
-"Oui, les travaux ont été fait conformément à vos désirs, surtout le sous-sol. J'ai tout préparé comme sur vous instructions. Mais je pense que vous apprécierez mieux de vos propres yeux. Les chambres sont prêtes, vos affaires sont rangées dans la buanderie. Le reste attend encore dans les cartons comme vous l'aviez demandé."
Melanie avait été envoyée en France quelques jours plus tôt tandis que Christine achevait de finir de fermer sa villa florentine. Maintenant qu'elles étaient réunies, Christine était contente de retrouver sa ville natale et Mélanie découvrait la France. Heureusement que l'anglais était devenu une langue internationale qui permettait de pouvoirs communiquer à l'étranger, ce qui n'avait pas posé trop de difficulté à la jeune fille.
Arrivée à la porte, la toréador se tourna vers Mélanie.
-"Les amis sont arrivés?"
La jeune femme hocha la tête et ouvrit la porte tout en confiant en jeu de clé à sa maîtresse pour qu'elle puisse entrer à sa guise dans sa demeure.
-"Il y a deux jours, ils m'ont bien aidée pour la mise en route de la nouvelle chaudière centrale."
Christine sourit avec compassion, elle comprenait qu'une femme humaine avait besoin d'aide masculine pour certaines tâches plus difficiles, c'était pourquoi elle avait eu la gentille attention envers Mélanie en lui envoyant ses amis. Des humains comme elle.
Elle entra dans le hall d'entrée et poussa un cri de plaisir, elle constatait que la maison était en meilleur état qu'elle ne le pensait et que les employés qui avaient été en charge de l'entretien de la maison avaient été méticuleux. Son contact avait été efficace sur le choix du personnel. Et en plus un service de sécurité veillait à la sécurité de la demeure avec une patrouilles qui veillait à la sécurité et un système d'alarme qui était relié à leur central. Elle esquissa un sourire ironique en pensant que c'était les voleurs qui seraient en danger chez elle en sa présence.
Après avoir inspecté la maison du sous-sol au grenier, Christine récompensa Mélanie. L'appartement du dernier étage avait été attribué à la jeune fille, trés confortable et moderne. Christine l'emmena dans sa salle de bain et lui caressa les cheveux avant de se trancher le poignet d'un coup de dent et fit couler trois gouttes de sang dans la bouche de la jeune fille. Avide de goûter de nouveau à la vitae de sa maîtresse, en manque d'elle depuis quelques jours, mélanie ouvrit aussitôt la bouche en tendant la langue pour recueillir cette précieuse vitae. Christine lui caressa tendrement les cheveux et nettoya sa minuscule plaie d'un coup de langue.
-"Ce sera tout pour ce soir. Tu as été efficace et précieuse, je suis contente de toi."
La jeune femme était heureuse du compliment et lui sourit, contente d'avoir satisfait sa maitresse. Christine lécha de nouveau la coupure qui ne saignait presque plus puis laissa Mélanie dans son appartement. Elle quitta l'étage pour descendre dans sa propre chambre et revêtit une longue robe d'intérieur noire et légère, elle n'avait jamais froid et devinait que le chauffage avait été mis pour ses invités humains, Mélanie et trois hommes. Elle avait enfilé une paire de ballerines noires en cuir à clous dorés, elle demeurait assez grande malgré tout.
- Spoiler:
(ses cheveux sont plus longs et ne correspondent pas tout à fait à la photo)
Elle entra dans le petit salon agréablement éclairé par des bougies posées sur chaque basse disposée dans la pièce, offrant une douce lumière tamisée, où elle retrouva sa petite cour. Elle sourit et les remercia chaleureusement pour leur aide pour avoir installé les affaires les plus encombrantes.
-“Bonsoir mes amis, quel plaisir de vous voir! Je vous remercie d'avoir prêté assistance à Mélanie, elle aurait été bien embêtée sans vous!”
Elle avait parlé d'un ton chaleureux, visiblement ravie et heureuse de revoir les trois hommes qui étaient aussi ses calices. Elle les appréciait pour les diverses qualités qu'ils possédaient et le divertissement qu'ils lui apportaient dans ses nuits lorsqu'elle consentait à abandonner son atelier pour se mêler aux humains et vampires.
- « Christine, tu sais très bien que j'ai toujours un grand plaisir à satisfaire les désirs d'une belle dame. »
Elle regarda avec plaisir les trois hommes présents qui ne se ressemblaient pas vraiment. Celui qui avait parlé était un charmeur aux cheveux longs et à la barbe et moustache soignées. Il arborait une chemise noire sur un pantalon noir et des chaussures de cuir élégantes de la même couleur. Malgré sa tenue sobre et élégante, l'homme était un charmeur qui prenait plaisir à complimenter la toréador et à la faire rire.
- Spoiler:
Elle regarda celui-ci avec un pétillement amusé dans les yeux et le laissa faire un baise-main très vieille france. Il lui faisait penser à un mousquetaire dandy tout droit sorti d'un roman d'Alexandre Dumas, un des écrivains favoris de Christine . Elle se demandait si ce n'était pas pour cette raison qu'elle avait été sensible à son charme et décidé d'en faire son calice pour partager un plus grand plaisir avec celui-ci. Elle se souvenait qu'il lui avait fait la cour à l'ancienne tout en maniant humour, verve et galanterie. Il émanait de lui une séduction et une sensualité qui excitait encore plus la rose lors de leur rituel de sang.
De plus, il faisait partie d'une vieille famille fortunée et elle avait connu ses grands-parents avant qu'elle ne quitte paris. Elle l'avait rencontré à une soirée à Rome et avait continué à le revoir. Chemin faisant, il était devenu plus proche d'elle puis elle en avait fait son calice.
- « Toujours aussi charmeur Nicolas ! »
Elle avait répondu d'un air amusé tout en caressant du pouce la veine qu'elle sentait palpiter entre le pouce et l'index de celui-ci. Le geste était une marque d'affection discrète qu'elle faisait en public pour ne pa fais de jaloux. Elle aimait sa cour, bien qu'elle soit une vampire, elle tenait à maintenir une harmonie sous son toit. Il arrivait que les hommes se chamaillent ou se lancent des piques mais ça n'allait pas plus loin que des mots.
*Les aléas de la mondanité, chacun veut briller et être au sommet mais il n'y pas de place pour tous. Les humains ne sont pas si différents des vampires là dessus. *
Elle tourna la tête et sourit au jeune homme qui était debout près du fauteuil gauche du salon, il était torse nu et vêtu d'un simple pantalon noir d'intérieur. Milo était un de ses mannequins favoris, beau comme une statue d'apollon, les cheveux rasés de près et le regard innocent. Il était à la fois un homme et un enfant aux yeux de Christine. La toréador était en extase devant sa beauté juvénile et parfaite qui lui évoquait les jeunes dieux antiques immortels. Il était son adonis et elle espérait qu'il ne connaitraît pas le funeste sort de ce mortel bien malchanceux.
- « As-tu essayé la piscine Milo ? »
Elle lui embrassa la joue et avait senti au passage le parfum de santal qu'elle lui avait offert, un flacon qui venait de sa collection de la marque Lombard. Comme ses collègues, elle avait diversifié les produits vendus sous son nom, qu'elle comptait développer plus à Paris en même temps que les défilés de haute couture. Parfums, accessoires, vêtements, bijoux, tout y passait sous son œil attentif. Elle aurait frissonné de plaisir si elle avait été encore vivante mais le plaisir était quand même là.
- « Pas encore mais ça ne saurait tarder. C'est un paradis cette maison ! »
Elle fut amusée de l'émerveillement du garçon, il venait d'un milieu modeste et s'était battu pour se faire une place dans le milieu de la mode. Elle avait fini par le remarquer en choisissant ses mannequins lors d'un casting qu'elle faisait faire en vidéo par son équipe et l'avait rappelé pour un deuxième casting en face à face avec quelques autres personnes retenues du premier casting. Il avait une démarche souple et féline qui lui avait plu, sa beauté d'ange associée à un corps de dieu avait accroché son œil.
Lorsqu'elle lui avait posé des questions, elle avait pu remarquer un esprit vif et sensible. Intriguée elle lui avait demandé son avis sur la marque Lombard sans détour, en toute franchise. Elle avait adoré son esprit critique et son regard artistique sur ses créations. Il comprenait ce qu'elle faisait et il était devenu au fur et à mesure plus proche de Christine.
Elle se rendait compte que ses calices étaient aussi des amis pour elle, même si le sexe était un élément présent dans leurs relation ainsi que le sang. Elle aimait les humains et ses calices le lui rendaient bien.
Installé au fond de la pièce, assis dans un fauteuil, un livre à la main, le troisième homme l'avait regardée approcher en silence, l'écoutant saluer les deux autres comme à son habitude. C'était l'homme mystérieux au regard sombre et magnétique, il parlait peu mais bien. Il avait des yeux bleus magnifiques qui se faisaient obscurs lorsqu'il regardait les gens tout en les jaugeant.
Christine s'approcha de lui et inclina légèrement la tête pour lire la page ouverte devant lui. Il inclina la livre en esquissant un sourire discret pour lui permettre de lire le titre du livre. Elle fut amusée en découvrant l'oeuvre qui captivait son attention. Une vieille édition des années 50 reliée d'une épaisse couverture rouge du roman de Lewis Caroll, « Alice aux pays des merveilles ».
- « Je vois que ça vient de ma petite collection, l'histoire te plaît ? »
Il lui sourit plus franchement sans dévoiler ses dents, étirant ses lèvres sensuelles tandis que son regard se faisait plus amusé.
- « Il est plus étoffé que la version Disney que j'ai connue enfant. »
Il inséra le marque page élégant en métal dont la tête représentait une pomme dorée rappellant le logo de la maison Lombard. Elle eut un petit rire à son appréciation du roman, Disney avait grandement simplifié l'oeuvre et ne rendait pas totalement ce qu'avait imaginé l'écrivain à l'avis de Christine.
- « Je ne peux qu'en convenir Domenico, tant que tu as du plaisir... »
Sa voix était devenue plus veloutée et avait baissé de plusieurs tons pour n'être audible que de son garde de corps. Elle l'avait engagé quelques années plus tôt pour préserver la mascarade étant donné son statut de célébrité publique et fortunée dans le milieu de la mode. Elle se montrait peu mais son nom était connu et on la voyait aux défilés. Il leva les yeux et frissonna de plaisir en plongeant ses yeux dans ceux de la vampire.
Ancien militaire des forces spéciales reconverti dans le privé, exploitant ses talents de combattant en arts martiaux, armes blanches et armes à feu, il s'était mis à son compte. Il avait fini par rencontrer Christine Lombard qui l'avait engagé à son usage exclusif et un salaire bien confortable.
Elle se redressa et se dirigea vers le bar pour sortir le champagne et les coupes qu'elle tendit à ses hommes un fois qu'elles étaient remplies. Une coupe supplémentaire était sur le comptoir à l'intention de Mélanie lorsqu'elle les rejoindrait.
- « A Paris et ses lumières ! »
Ils trinquèrent et savourèrent leur coupe tranquillement tandis que du feu flambait dans la cheminée de la pièce violette. Elle aimait l'ambiance chaleureuse et cossue que le décorateur avait su faire à sa demande, le séjour dans sa demeure promettait d'être agréable pour ses convives et elle-même.
La nuit fila en leur présence, elle partagea son temps entre eux et la maison puis alla se coucher pour la journée. Elle avait pris un peu de sang avec chacun de ses calices pour se nourrir. (à voir dans une suite style fan fiction pour remplir les blancs de cette nuit). (+3 PS)
Elle sombra dans les doux draps de son lit dans une torpeur bienfaisante. Au début de la nuit suivante, elle s'éveilla et alla prendre une douche bienfaisante dans sa salle de bain. Elle entra dans son dressing et inspecta ses vêtements avant de jeter son dévolu sur une de ses créations favorites, sobre et élégante. Elle enfila ce qui se révélait être une longue robe blanche et une longue cape assortie. Sobre et élégant pour se présenter si son clan avait enfin réussi à obtenir un entretien avec le prince grâce au gardien.
(-1 pt de sang)
- Spoiler:
Elle entendit la sonnerie de son téléphone et le prit sur la table de nuit pour lire le sms qu'elle venait de recevoir. Elle soupira et répondit aussitôt au gardien. Il venait de s'excuser d'un contretemps, le dîner était reporté à la nuit suivante.
*Dommage, il m'est d'une compagnie agréable. Ce n'est que partie remise...*
Elle prit une pochette blanche assortie à sa robe et transvasa le contenu de la pochette de la veille dans sa nouvelle pochette. Elle était prête et secoua sa longue crinière châtain qui retombait sur ses épaules et sa poitrine. Elle vérifia son maquillage et une fois satisfaite, elle descendit et prit la voiture dans l'allée pour aller au louvre. Elle ne voulait pas prendre de taxi cette fois, elle avait besoin d'être mobile cette fois-ci, il se pouvait qu'elle doive faire plus de choses cette nuit entre ses propres affaires et l'elysée.
[Vers le louvre] |
|
Christine Lombard Toréador
| Sujet: Retour de New York Ven 25 Avr - 2:22 | |
| Merline avait dû s'absenter de Paris pour présenter un défilé à NewYork et agrandir son affaire grâce à quelques signatures prometteuses de succès. Ses vêtements avaient remporté un franc succès auprès des américains qui raffolaient de la vieille Europe et de l'élégance à la française avec une touche d'influence italienne. Maintenant de retour dans sa chère ville, elle soupira d'aise en retrouvant son domicile. Mélanie l'avait accompagnée dans son voyage pour s'occuper de son agenda et de la logistique pendant le jour pour aider sa patronne. Domenico avait été bien sûr été à ses côtés pour assurer sa sécurité pendant le séjour et avait été plus mutique qu'à son habitude, très attentif à la sécurité de Christine. Il se méfiait beaucoup des américains et refusait de courir le risque d'une agression qui aurait provoqué un bris de mascarade involontaire. Et bien entendu, Milo son mannequin fétiche avait été de l'aventure pour porter les vêtements phares de sa ligne Homme tandis que Nicolas l'avait accompagnée pour les mondanités obligatoires qui amenaient à rencontrer les investisseurs pour affaires dans un cadre ludique. Elle avait bien choisi ses calices, ils lui fournissaient du sang et étaient utiles sur d'autres plan. Elle prélevait vraiment le minimum sur eux et le moins possible, préférant se nourrir d'amants de passage, prélevant un peu à chaque fois et effaçant son baiser d'un coup de langue qui cicatrisait miraculeusement la plaie. La troupe était donc de retour et reprenait ses marques, chacun rejoignant ses pénates attribuées par la maîtresse des lieux pour se reposer. Merline s'était déjà reposée amplement dans le jet privé qu'elle avait emprunté à un ami compréhensif qu'elle avait aménagé en fonction de ses besoins. La possibilité de faire un vol de nuit et un voyage plus rapide n'était pas négligeable avec ce genre d'avion. Elle était vêtue d'un pantalon tailleur avec une chemise blanche et une veste de tailleur cintrée qu'elle accompagnait d'un chapeau de feutre noir qui lui allait à merveille. A ses pieds, des escarpins noirs à semelles blanches attiraient l'oeil lorsqu'elle avançait d'une démarche féline. Elle avait laissé ses cheveux châtains lissés tomber librement sur ses épaules et dans son dos. Elle devait contacter sa primogène pour la prévenir de son retour et ainsi s'informer de ce qui s'était passé en son absence pour se mettre à jour. |
|
Christine Lombard Toréador
| Sujet: Re: Refuge de Christine : hôtel particulier (Paris 16ème) Ven 25 Avr - 13:51 | |
| Elle décida de se rendre à la cour pour voir si sa primogène était présente, sinon elle verrait si de nouvelles têtes étaient arrivées dans leur clan ou pas. Tout pouvait rester immuable pendant des décennies et changer rapidement d'un coup en peu de temps. Comme elle avait été absente, elle estimait qu'il était l'heure d'aller prendre la température. [ vers le Louvre] |
|
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Refuge de Christine : hôtel particulier (Paris 16ème) | |
| |
|